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Normand Hamel

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Messages posté(e)s par Normand Hamel

  1. Le centre-ville de Montréal «renoue avec les chiffres de 2019»

    Le centre-ville de Montréal s’est presque complètement remis des effets de la pandémie, qui a durement affecté l’achalandage dans ses commerces dans les dernières années, en plus de changer les habitudes de travail et de consommation de la population. Mais cette reprise n’est pas uniforme, et des défis demeurent pour assurer sa vitalité à long terme.

    « On renoue avec les chiffres de 2019 », s’est réjoui mardi avant-midi le directeur général de la société de développement commercial Montréal centre-ville, Glenn Castanheira, dans le cadre d’une conférence de presse tenue au square Phillips.

    https://www.ledevoir.com/politique/796280/on-renoue-avec-les-chiffres-de-2019-au-centre-ville-de-montreal?

    Le Devoir.webp

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  2. il y a 2 minutes, Rocco a dit :

    ⬆️ Retiré de ses affiches placardées et bien nettoyé, c'était un bijou art-déco. Dommage que le ptit peuple ne voit rien passé les affiches et la suie. Quelle perte.

    Cet édifice avait un certain mérite en effet. Mais il fallait quelque chose pour répondre au 2-22 juste en face. Il fallait aussi effacer l'époque des péripatéticiennes.

    • Sad 1
  3. Il y a 3 heures, Rocco a dit :

    Vive la laideur.

    Il y a 3 heures, johan a dit :

    Normand... Tu ravives ma douleur de ne pas voir la phase 2 du Carré Saint-Laurent...

    Parlant de laideur et de douleur, on se console lorsqu'on compare la situation actuelle avec ce qu'il y avait à cet endroit il n'y a pas si longtemps encore.

    Montréal s'embellit de jour en jour.             

    2-22 et Carré Saint-Laurent.png

    • D'accord 1
  4. Montréal retrouve son affluence touristique d’avant la pandémie

    Alors que la saison estivale bat toujours son plein, Montréal a déjà accueilli 100% des visiteurs ayant afflué durant la même période en 2019, c’est-à-dire avant la pandémie de COVID-19, selon un bilan de mi-saison de Tourisme Montréal.

    Si les touristes américains et français sont toujours majoritaires, la métropole a connu une hausse de 10% du nombre de visiteurs d’autres pays, dont les touristes du Royaume-Uni, du Mexique et du Brésil qui sont 30% plus nombreux à visiter Montréal cette année.

    https://www.tvanouvelles.ca/2023/08/14/montreal-retrouve-son-affluence-touristique-davant-la-pandemie

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  5. Extraits de l'article partagé ci-haut par @Le Roach

    Ce concept porte un nom : communauté verticale, ou vertical city, en anglais. Longtemps considéré comme un sujet d’étude futuriste, il est aujourd’hui au cœur de projets parfois spectaculaires menés par plusieurs bureaux d’architectes d’envergure mondiale à Milan, à Melbourne ou encore à New York. 

    À Montréal, le projet Humaniti, situé tout près du Palais des congrès, a ouvert la voie en 2021 à ce nouveau genre de grands immeubles où se mélangent dorénavant les espaces de bureaux, de commerces et d’habitations. L’immeuble Odea Montréal, actuellement en construction dans le Vieux-Montréal, est également issu de cette ligne de pensée, affirme Jean-François Gagnon, associé principal au cabinet d’architectes Lemay.

    Ces immeubles sont en rupture avec la ville verticale telle qu’on la conçoit depuis plus d’un siècle, affirme M. Gagnon, qui signe le projet Odea Montréal avec l’architecte autochtone Douglas Cardinal. Cette évolution était nécessaire dans une volonté de densification urbaine, ajoute-t-il. 

    « On assiste depuis quelques années à un retour vers les centres urbains », croit l’architecte. « Or, avec les immeubles traditionnels, on tente de densifier la ville pour amener le plus de monde possible à l’intérieur d’un lot vertical défini, mais à usage unique : on y travaille ou on y habite », rappelle Jean-François Gagnon, associé principal au cabinet d’architectes Lemay. 

    Cette séparation traditionnelle des usages crée une ville composée d’espaces homogènes refermés sur eux-mêmes, dépourvus d’une vie collective enrichissante. La vie urbaine s’en trouve aussi réduite à des trajets pédestres strictement utilitaires, de lieu en lieu.

    Screenshot 2023-08-13 at 10.10.47 PM.png

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  6. Il y a 3 heures, acpnc a dit :

    Mettons les chiffres en perspective. La centrale fournissait 5 TWh par année. Cela équivaut à 5 % du déficit énergétique à combler. À titre de comparaison, l’appel d’offres en cours pour l’éolien vise l’ajout de 4 TWh.

    Sauf que pour vraiment mettre les choses en perspective il faudrait comparer des pommes avec des pommes. Un terawatt-heure éolien n'est pas l'équivalent d'un terawatt-heure nucléaire, loin de là. Car la production d'électricité éolienne est aléatoire tandis que l'énergie nucléaire produit de l'électricité en continue 24 heures par jour, 365 jours par année, sauf en cas de défaillance. De plus les centrales canadiennes de type CANDU ont la particularité d'offrir un rechargement automatique du combustible qui permet au réacteur de continuer d'opérer pendant le remplacement des piles usées.

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  7. il y a 56 minutes, acpnc a dit :

    C'est donc la démonstration que les constructeurs réussissent assez bien à contourner la politique municipale sans trop de mal.

    Ce n'est rien en comparaison de ce qu'il en coûte à un promoteur en Ontario. Ce qui ne les empêche pas de construire parce que la demande demeure très forte là-bas.

  8. Il y a 20 heures, Lappy a dit :

    En 2005, un responsable de la division nucléaire d'Hydro-Québec affirmait que le coût de production de Gentilly-2 s'élevait à 6 cents le kilowatt-heure et la centrale avait une puissance brute de 675 MW (net 635 MW).

    Indépendamment des coûts de réfection (4G$+) les coûts de production sont en effet très élevés à cause de la main d'oeuvre requise pour opérer une centrale nucléaire.

    Cela dit, un des avantages du nucléaire est la production en continue de d'énergie 24/365. Ce qui n'est pas le cas d'un barrage par exemple qui doit arrêter de turbiner à certaines heures du jour afin de permettre au réservoir de se remplir. Pour ce qui est de l'éolien la disponibilité est très variable en fonction de l'intensité des vents, ce qui en fait une énergie d'appoint seulement.

    La fermeture de Gentilly-2 en 2012 a eu pour effet de déstabiliser le réseau et a nécessité la construction de la ligne de transport Micoua-Saguenay au coût de 1,1G$ afin de rétablir l'équilibre de l'approvisionnement. C'est que G-2 est située entre Québec et Montréal. À part quelques exceptions les barrages eux sont généralement situés en régions éloignées.

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  9. Énergie nucléaire: Hydro-Québec pourrait réactiver Gentilly-2 

    Le nouveau PDG de la société d'État veut savoir si une remise en fonction de la centrale nucléaire de Bécancour est imaginable

    À la recherche d’une dose massive d’énergie, le nouveau patron d’Hydro-Québec Michael Sabia enclenche une étude de faisabilité sur la relance de la centrale nucléaire Gentilly-2, inactive depuis 2012.

    https://www.journaldemontreal.com/2023/08/10/energie-nucleaire--hydro-quebec-pourrait-reactiver-gentilly-2

    Screenshot 2023-08-10 at 9.53.45 AM.png

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