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Malek

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Messages posté(e)s par Malek

  1. L'intérieur se démarque tellement du reste. Par exemple, salle de bain principale en marbre. lumière encastrée et rideaux pour tout les fenêtres inclus.

     

    Oui exact et beaucoup plus. C'est un excellent projet et Maxime s'est défoncé pour y arriver.

     

     

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  2. Peut-être, peut-être pas. Je ferais une étude de marché avant de sauter sur cette conclusion. C'est pas come si les prix des terrains à Montréal étaient si élevés que ça.

     

    Tout est relatif bien sur.

     

    Mais on s'entends que quand on dit ile de Montréal on parle de Montréal central.

     

    Parceque sinon on pourrait le foutre baie d'urfe et ça serais toujours trop loin pour ceux sans voiture.

     

    (Pense pas que les gens de baie d'urfee aimerait avoir ça chez eux lol)

     

     

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  3. Je suis d'accord. Ou ajouter le lien sous l'image (qui est une règle du forum je crois).

    C'est beaucoup plus chiant de consulter des anciens threads et voir que la majorité des images sont manquantes...

     

    Beaucoup plus préférable d'avoir un lien de source en début ou fin de page pour référer à la source, peu de gens utilisent le *right click* voir l'URL de l'image.

  4. C'est juste pas possible de faire ça sur l'île... les terrains trop chers et les coûts d'exploitation aussi.

     

    Ce genre de chose est mieux à l'extérieur, laissons l'île pour le résidentiel, commercial dense et les institutions.

     

    90%+++ des familles avec enfants ont des kids, pour les autres y'a communauto.

     

    On s'entend aussi qu'une famille ira pas là 5 fois par an.

  5. Bombardier CSeries tests resume, with hopes they will spark new orders

     

    BY FRANÇOIS SHALOM, THE GAZETTE SEPTEMBER 8, 2014 9:36 PM

     

     

    Can the resumption of test flights Sunday shake Bombardier Inc.’s CSeries out of its sales torpor? Can it energize the ambitious program, which has taken a series of knocks in recent months?

     

    “I think the fact that they’re flying again is somewhat important,” said Cameron Doerksen, an analyst with Montreal’s National Bank Financial.

     

    “There are potential customers out there looking at the plane, so getting back in the air is something I presume most of them would look at before making any decision (to buy).”

     

    The CSeries flight-test program was halted for more than three months on May 29, after its new-technology Pratt & Whitney engine experienced a total failure and fire during ground testing at Mirabel, damaging one of the four test aircraft.

     

    “What airlines want to see is the potential delivery timeline,” Doerksen said, “and this provides a better estimate of when the program can be completed.”

     

    The CSeries, after several delays, is now scheduled to be ready for first deliveries by the end of 2015.

     

    But Doerksen noted that Bombardier “now needs to have all (four test) aircraft back in the air pretty quickly and flying regularly if they’re going to meet that (revamped) timeline.”

     

    Benoit Poirier, an analyst with Montreal’s Desjardins Securities, said that the resumption could spark renewed interest in the airliner in development. About 330 hours of flight tests have been completed so far, about 14 per cent of the 2,400 hours required for the program, Poirier noted.

     

    The CSeries FTV2 (second flight-test vehicle) returned to the air Sunday with a 35-minute flight around Mirabel, where the final assembly for the aircraft and the engines will be done.

     

    Doerksen said that the determination by the company that the engine failure is not overly serious and “won’t affect the economics of the airplane is definitely positive.”

     

    Sara Banda, a spokeswoman for Pratt & Whitney in Hartford, Conn., said in an email that “the CSeries engine issue is resolved. The incident originated as a result of an oil system issue. We do not foresee any further issues with the engine.”

     

    But analysts add that any further disruption to the flight-test program will result in yet another delay, going into 2016.

     

    “I assume it will go into early 2016 anyway,” said Doerksen, “which is not a big deal. What we need now is progress on the flight testing.”

     

    But Richard Aboulafia of aviation consultancy Teal Group in Farifax. Va., and a longtime critic of the CSeries program, was blunt and severe.

     

    “Oh right, hooray! You fire everyone associated with the program, you have this unpleasant looking accident followed by a long unexplained silence (from Bombardier after May 29) and a nasty company re-organization. But hey, you’re flying again. I mean, what the hell?”

     

    Aboulafia said “at this point, you can’t rule out a total program failure.”

     

    Bombardier has fired the three top CSeries executives in the last year — Guy Hachey, Chet Fuller and Philippe Poutissou — and reorganized the company into four divisions.

     

    Bombardier Aerospace spokeswoman Marianella de la Barrera suggested that more CSeries orders are imminent.

     

    “Momentum is certainly picking up again,” de la Barrera said. “There have been some developments of (discussions with potential clients) that kicked off at Farnborough.”

     

    But she would not identify any of those potential customers.

     

    And she would not comment on the widespread belief that Australian leasing firm Macquarie AirFinance could place an order for up to 50 CS300s, the larger CSeries model. Such an order could galvanize Bombardier and spur into action other airlines or lessors who so far have been content to sit on the sideline with a wait-and-see attitude. The earlier an order is placed, the less it costs.

     

    “We’re satisfied with our order book and the way it looks.”

     

    Chris Murray, an analyst with Toronto brokerage AltaCorp Capital Inc., said that some of those orders — for Iraqi Airways and a Russian lessor, notably — are on shaky ground due to political upheavals.

     

    http://www.montrealgazette.com/business/aerospace/Bombardier+CSeries+tests+resume+with+hopes+they/10185789/story.html

  6. RCQC | Par Ici Radio Canada

    Publication: 08/09/2014 21:35 EDT Mis à jour: Il y a 1 heure

     

    La moitié des 1300 postes de cadres que Québec éliminera dans le réseau de la santé se trouvent à Montréal. Au total, Québec compte ainsi économiser 60 millions de dollars.

     

    Des données obtenues par Radio-Canada indiquent que le « taux d'encadrement » - qui représente le pourcentage d'heures travaillées par les cadres par rapport aux syndiqués - est plus élevé à Montréal qu'ailleurs au Québec. Neuf des 20 centres de santé et de services sociaux qui présentent le plus haut taux d'encadrement sont situés sur l'île de Montréal.

     

    C'est le CSSS de la Montagne à Montréal qui a le taux d'encadrement le plus élevé dans la province, à 7,7 %. Le seul CSSS montréalais qui n'est pas en haut de cette liste est celui de l'Ouest-de-l'Île (3,8 %).

     

    Tout en bas de la liste on retrouve le CSSS de Laval, avec un taux d'encadrement de 3,7 %.

     

    En entrevue à la fin août, le ministre de la Santé expliquait à Radio-Canada que « certains hôpitaux ont des missions plus complexes, qui nécessitent un encadrement différent ». Mais Gaétan Barrette estime que ces chiffres restent significatifs. « Pour une installation qui a la même mission, la même population, oui, il y a des taux d'encadrement qui sont beaucoup trop différents ». Le ministre Barette refusait de cibler une région et affirmait que « l'heure n'est pas à pointer des gens ».

     

    Québec cible clairement les conseillers-cadres ou « cadres fonctionnels », qui n'ont pas nécessairement d'employés sous leurs ordres. Ces cadres fonctionnels ont parfois un contact direct avec les patients, comme pour les infirmières en prévention des infections. Pour d'autres, ce statut aurait été octroyé pour d'autres raisons, entre autres salariales.

     

    Depuis la semaine dernière, l'appréhension augmente puisque plusieurs gestionnaires ont déjà appris que leur poste pourrait être éliminé.

     

    Réjean Hébert parle d'un « problème montréalais »

     

    De son côté, l'ex-ministre de la Santé, Réjean Hébert, dit tout haut ce que plusieurs répètent à micro fermé. « Il y a un problème à Montréal, un problème entre autres pour la coordination des services ».

     

    « Laval a fait un travail de réduction du nombre de cadres qui n'a pas été fait dans plusieurs établissements sur l'île de Montréal », affirme-t-il. Il remarque que la plupart des CSSS montréalais ne sont pas affiliés à un hôpital. L'ex-ministre de la Santé estime que « ces établissements-là ont moins bien performé dans la réduction du nombre de cadres et dans l'optimisation des services depuis 10 ans ».

     

    Le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, estime aussi que le fait que certains hôpitaux ne soient pas affiliés à des CSSS est dans certains cas une anomalie.

     

    Le réseau montréalais alourdi par les clivages linguistiques et religieux?

     

    Le réseau montréalais n'aurait pas complété le virage de 2003 qui avait entraîné la création des CSSS. « Pour l'île de Montréal, ça a été une oeuvre inachevée », dit Réjean Hébert. « On a conservé les statuts particuliers pour les hôpitaux et on ne les a pas intégrés dans les CSSS. »

     

    Est-ce que le caractère multiethnique de la métropole complique les choses? Oui répond Réjean Hébert. « Il y a des établissements qui sont linguistiques, il y a des établissements qui sont religieux. L'Hôpital général juif est un bon exemple ». Cette situation compliquerait l'organisation des services parce que ces établissements ont une clientèle qui déborde leur territoire immédiat. Selon M. Hébert, cet état de fait ne rend pas la tâche impossible, mais réformer le réseau à Montréal demeure une opération complexe.

     

    Une bureaucratie qui alourdit la tâche des employés

     

    L'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé (APTS) estime que l'augmentation du nombre de cadres découle en partie des exigences du ministère et que cela alourdit la tâche des employés.

     

    « Nos travailleurs sociaux croulent sous les documents à compléter », dit la présidente Carole Dubé, en évoquant notamment les évaluations de performance. « Pendant ce temps-là, c'est certain qu'ils ne vont pas dans les services à domiciles. »

     

    Cette reddition de compte demandée aux établissements et aux travailleurs serait problématique, selon l'APTS. « C'est ce qui, selon nous, fait que le nombre de cadres a augmenté de façon aussi importante », affirme Mme Dubé.

     

    Son organisation n'est pas convaincue que des fusions viendront à bout du problème. Elle donne en exemple la vague de fusions de 2003, qui a provoqué une augmentation du nombre de cadres sans pour autant améliorer la qualité des services.

     

    D'après les informations de Davide Gentile

     

    http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/09/08/reseau-de-sante-680-postes-de-cadres-elimines-a-montreal_n_5788072.html

  7. Saint Joseph est affreux regarde tes photos. C'est pas sérieux voyons.

     

    Les autre sont pas si mal, c'est quand même des photos pour montrer leur beauté, je pourrais faire le même exercice mais dans un esprit contraire.

     

    Il y'a aussi beaucoup de sailli a ville Marie et sur le plateau plus proche des rues commerciales qui sont très sales.

     

    P.s. Ton argumentation que ça aide les automobilistes est un peu tiré par les cheveux parce que la végétation longue réduit le champs de vision aux intersections.

     

     

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