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Marc90

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Messages posté(e)s par Marc90

  1. il y a 2 minutes, SkahHigh a dit :

     

    il y a 59 minutes, Dominic723 a dit :

    Quelques fois, comme le gros projet de Canvar sur St-Jacques où ils sont retournés à la planche à dessins. Cependant je me demande pourquoi le CCU ne présente pas un visuel des projets qu'il revise, favorable ou non. Sûrement que légalement ils ne peuvent à cause des ententes de confidentialité lors de transaction avec la ville.

    Des employés municipaux pourraient nous éclaircir ? Merci

    Quelle serait l'utilité de montrer les projets non approuvés avant leurs modifications? Ça ne servirait à rien, sauf à alimenter le forum ici haha. Ça demanderait du temps et des ressources additionnelles (peu, j'en conviens, mais quand même) pour la ville de rassembler et produire cette documentation, pour des projets qui ne verront jamais le jour sous cette forme...  

    Les projets refusés dans le cadre de concours sont intéressants à connaître pour voir l'émulation artistique architecturale des équipes perdantes, mais au delà, quand il s'agit de projets de promoteurs, ça ne donne rien de voir les versions refusées à mon avis. 

  2. Il y a 3 heures, acpnc a dit :

    Tout à fait d'accord. Conserver et intégrer l'ancien dans la mesure du possible, c'est aussi une excellente manière de combattre le générique qui dépersonnalise nos villes.

    De toute façon, c'est souvent le foncier qui a le dernier mot. Si on veut conserver des "esprits" de quartier davantage qu'un seul bâtiment anecdotique, il faut accepter que ces bâtiments soient largement transformés, puisqu'il serait trop cher pour les pouvoirs publics de payer leur conservation intégrale, et trop peu intéressant pour le secteur privé pour les maintenir aussi dans leur forme originelle, en raison de la différence de valeur entre le bâtiment et le terrain. 

    Les pouvoirs publics devraient surtout miser à financer la conservation intégrale de marqueurs individuels, de bâtiments clés et uniques. La conservation de "panorama urbains" et de quartiers, elle, peut se satisfaire d'être régie par une réglementation plus souple, qui permet notamment une forme de façadisme. C'est sûr que c'est dommage, et que ce n'est pas l'idéal, mais le pire scénario est de tout mettre sous une cloche de verre intouchable et ainsi décourager les investissements et développements qui, sans eux, mènent trop souvent à l'abandon et carrément à la perte, puisque vétuste, du bien qu'on a voulu protéger "trop fort". 

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  3. il y a 14 minutes, KOOL a dit :

    J'ai l'impression que la maquette est un peu trop massive,  surtout si on la compare à d'autres évocations

    Unknown-1.jpeg

    Elle me semble exacte. L'effet de perspective nous fait voir la face nord, qui ajoute une perception de largeur. Cette évocation, une élévation 2D, élimine d'office cet effet. 

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  4. Il y a 8 heures, Flynnster a dit :

    I for one will never call the station by that name , it will be know as griffentown station. I also know whom I won’t be putting my support in the next mayors election. 

    À mon avis, c'est une réaction purement enfantine que celle-ci. Bernard Landry a été un personnage majeur pour le Québec et pour la renaissance de ce quartier précis, d'ailleurs. Son nom est très approprié, ça ne fait aucun doute, historiquement et géographiquement. Évidemment, comme toute opération de toponymie, il y a toujours plusieurs options! Et il restera aussi d'ailleurs toujours des choses à nommer. 

    Ma seule déception est qu'il s'agit encore d'un nom d'homme politique blanc, catégorie déjà bien représentée en toponymie. Il faut clairement faire plus d'efforts pour nommer des éléments au nom de femmes importantes et au nom de gens d'autres communautés, et de personnes racisées, et autochtones. 

    Il y aura éventuellement une autre station dans Pointe-St-Charles, en plus, à nommer elle aussi. 

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  5. Il y a 2 heures, Rocco a dit :

    On s'en retourne dans les années 60. Il y a plusieurs tours identiques le long de la rue Sherbrooke. Poreux, bétonneux, carré, rien de bien spécial. Dans 20 ans elle sera probablement noircie avec des coulisses dû à sa porosité, comme ses contemporaines plus anciennes.

    Screenshot_20200622-125109_Earth.jpg

    Screenshot_20200622-125142_Earth.jpg

    Screenshot_20200622-125231_Earth.jpg

    C'est en effet une reprise de ce courant, à la différence que la proportion de vitrage demeure quand même beaucoup plus élevée dans les nouveaux projets, que les rythmes des façades sont mieux détaillés et variés quelque fois comme pour MAA et Eli, il y a un jeu de composition qui n'est pas nécessairement uniforme à la totalité du volume et qui suggère des différences de programme ou des alignements au contexte environnant. 
    Et les rez-de-chaussée sont aussi mieux travaillés dans les projets contemporains de ceux-ci. 

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  6. Il y a 2 heures, Jollysnork a dit :

    Nice pics Martinez, merci! Hey, how long do you think it takes for the cement floor they are smoothing out in your last picture to dry given average weather conditions?

    La cure totale d'une dalle de béton est de 28 jours pour développer sa résistance réelle. On peut commencer à utiliser une dalle (qui continue d'être supportée) après 3 jours pour faire le moulage de la suivante, il me semble.  

  7. il y a 3 minutes, Ousb a dit :

    Justement j’ai eu l’impression (fausse?) que c’était encore plus plat que la maquette.

    Il y a un effet d'optique. Il y a un pic, côté nord-ouest, comme prévu, mais l'angle est différent dans la partie Ouest, plus plat, de la partie Est, plus à pic. Donc à distance, depuis le Vieux Montréal, on ne verra pas un Losange mais bien un triangle. 

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  8. il y a 58 minutes, Wave Arts a dit :

    Je suis d'accord avec toi, mais je me questionne sur l'efficacité d'un toit vert à 200m. Le toit de la Place Bonaventure est incroyable de tout point de vu, mais je ne sais pas si un toit vert en haut du 1000 serait aussi efficace que celui de la PB. Un aménagement qui permet d'utiliser tout le potentiel énergétique de cet ilot de chaleur me semble plus avantageux pour le bâtiment et pour l'environnement. 

    Mais je ne remets certainement pas en question les toits verts d'édifices de quelques étages, qui sont un très bel ajout à un quartier et une ville. 

    Les toits verts se déclinent en deux familles. Les toits verts extensifs et les toits verts intensifs. Les deux ont des impacts structuraux complètement différents. Les "intensifs" sont ceux avec beaucoup de terre, des plantations volumineuses et donc possiblement des arbres. Ça demande une intervention particulière peu propice à plusieurs bâtiments, surtout existants.

    Une important proportion de bâtiments de Montréal pourraient cependant soutenir un toit vert extensif, qui se caractérise par un substrat (terre) relativement mince et des plantes de type couvre sol, graminées, et autre. Ce genre d'installation est simple, relativement peu coûteuse, ajoute une isolation efficace, est résistante aux vents et intempéries, et réduit véritablement les îlots de chaleur et permet de contribuer à une gestion des eaux de fortes averses plus saine à la grandeur de la ville. C'est vraiment une solution à mettre de l'avant sur tous les bâtiments possibles, puisque c'est une solution passive, qui demande peu d'interventions technologiques coûteuses ou à la fiabilité trop changeante. 

    Je serais totalement en accord avec une politique du toit vert at large, peu importe la hauteur du bâtiment. 

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