Marc90

http://www.longueuil.ca/vw/asp/gabarits/gabarit_popup_comm.asp?ID_MESSAGE=40430&ID_ARROND_COMM=0

"La Ville de Longueuil va de l’avant avec son complexe culturel

Longueuil, Jeudi 14 mars 2013

La mairesse de Longueuil, Caroline St-Hilaire, a annoncé aujourd’hui que la Ville de Longueuil ira de l’avant avec son complexe culturel et qu’il sera érigé à la Place Charles-Le Moyne, en face de l’Université de Sherbrooke. Le nouveau complexe accueillera notamment le Théâtre de la Ville et l’Orchestre symphonique de Longueuil.

« Cette décision de mon administration fait en sorte que l’engagement financier de la Ville envers un nouveau complexe culturel, en considérant la valeur du terrain sur lequel il sera construit, atteindra près de 20 M$ ! Ce complexe culturel sera de qualité supérieure. Il se démarquera par son architecture et la qualité acoustique de ses salles. En dotant notre ville d’un nouveau lieu de diffusion et de création dans ce pôle stratégique du Longueuil 3.0 que représente la Place Charles-Le Moyne, nous affirmons notre ville et notre potentiel de développement culturel », a souligné la mairesse de Longueuil, Caroline St-Hilaire.

Une résolution sur ce projet d’envergure a été adoptée cette semaine par le Comité exécutif de la Ville et sera déposée à la séance du conseil de ville du mardi 19 mars prochain. "

Très bonne nouvelle pour Longueuil!

Avec espoir que ça ne se construise jamais! Si triste projet, si petite vision...

Ce fil ne devrait-il pas être dans "en construction" ?

OH MY GOD. I think that's all I can say for now. That would be so amazing. Any more information???

Moi j'aime ce que je crois voir. Franchement, l'autre version à pignon me faisait penser à une pâle imitation d'un concept "hôtel ferroviaire début XXème siècle"... Je préfère une version vitrée, avec étagement, comme celui-ci.

Les fils des tramways sont pas plus nocifs à la vue que quoi que ce soit de propre aux transports. C'est complètement insensé de se priver de cette merveille de technologie moderne qu'est le tramway à notre époque. Ce n'est plus le tramway de jadis! J'ai été a Vancouver en Novembre, et il m'a fallu porter attention vraiment longtemps et précisément aux fils suspendus des trolley-bus qui passent un peu partout dans la ville pour vraiment m'en rendre compte ou pour qu'ils aient une influence sur mon champ de vision. Ils disparaissent du champ de vision aussi bien que les pigeons ou les lampadaires. Et franchement, ça ne porte pas atteinte à la beauté de la ville de Vancouver. Et EN PLUS, la technologie du tramway moderne permet maintenant de faire passer le courant au sol (à Bordeaux je crois, pour une portion du centre-ville). Sérieusement, s'emporter contre le tramway en raison des fils, ce serait comme s'emporter contre toute forme de navigation en raison du mal de mer... La majorité des gens ne sera jamais dérangée par cela.

Pour ce qui est de l'enlaidissement de Toronto, y'a surement d'autre facteur pour expliquer ça Et quand j'étais à Amsterdam, j'ai fait des clichés écoeurants en intégrant les fils de tramway, qui se marient très bien à leur environnement. Ils deviennent partie du paysage, et les avantages du tramway, et son esthétique remarquable font vite oublier les quelques désagréments vécus par quelques bourgeois à la vierge et pure rétine.

Vrai, mais le Mall ne s'est pas construit après l'établissement des Musées : il a été pensé à la base. Les champs Élysées n'ont pas été construits après que les magasins aient été établis, etc. Si on construit un espace propice à une telle vie urbaine et un tel attrait touristique / commercial, ça a le potentiel d'attirer. Par contre, il ne faut pas se limiter dans nos projets à penser les choses telles qu'elles sont aujourd'hui, mais plutôt par rapport à ce qu'elles peuvent devenir avec le développement.

J'adore l'idée de boulevard ouvert, qui permettra ENSUITE d'accueillir une plus grande densité, un plus grand attrait. On ne peut pas espérer attirer ce que le Mall de Washington abrite ou ce qui se trouve sur les Champs Élysées avant même d'avoir l'élément fondamental à leur établissement : le boulevard ouvert. Une chose est sûre, si on a pas de boulevard, on aura pas l'Attrait qui vient avec. Si on a le boulevard, peut-être qu'on n'aura pas l'attrait associé dans l'immédiat, mais au moins on se dote des infrastructures pour l'obtenir et on ouvre la porte, on se donne le potentiel de créer un tel environnement.

Qu'il y ait une telle effervescence à Toronto semble impressionnant, mais penchons nous sur les taux d'occupation et sur l'ampleur de la bulle immobilière avant de dire que tout est rose dans la ville Reine et gris à Montréal. Mais bon, cela dit, en effet il y a matière à questionnement...

Ce que je trouve spécial, c'est que ce soit le ministre lui-même qui soit allé jusqu'à Paris pour le rencontrer. C'est dire que le sujet est assez important... Et c'est une opinion additionnelle que celle de M. Taillibert, qui s'ajoute au concert de voix pour un toit rétractable et une revitalisation en profondeur des installations. Plutôt positif, comme nouvelle!

Roger Taillibert ajoute son grin de sel au débat, sur TVA.

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2012/12/20121214-095722.html

"Roger Taillibert ajoute son grain de sel dans le débat sur l'avenir du Parc olympique de Montréal. Dans la foulée du rapport Bissonnette, le ministre responsable du dossier, Pascal Bérubé, s'est déplacé personnellement à Paris pour y rencontrer l'architecte français.

En déplacement en Belgique dans le cadre du 40e anniversaire de la Délégation générale du Québec à Bruxelles, M. Bérubé a fait un crochet par Paris pour s'entretenir avec l'architecte qui a conçu l'œuvre emblématique située dans l'est de Montréal.

Vocation sportive

Joint par TVA Nouvelles à l'issu du tête-à-tête, M. Taillibert a laissé savoir que l'avenir du Stade olympique de Montréal passe par l'organisation d'événements sportifs à grande échelle.

«Il faut du sport pour les jeunes dans ce complexe, peut-être des coupes du monde aussi. Et pourquoi pas des Jeux olympiques comme ça s'est fait ailleurs», souhaite l'homme de 86 ans.

Selon lui, Montréal fait piètre figure dans la reconversion de ses installations olympiques. «Les Chinois les utilisent, les Australiens le font bien, et à Rome c'est pareil. Quoi vous dire! Les Grecs ont raté et on a fait comme eux», laisse-t-il tomber.

Le père du Stade fustige le plan d'urbanisme de la Ville de Montréal dont les orientations n'auraient jamais contribué à la valorisation des installations. «C'est un quartier où l'urbanisme n'a jamais été réfléchi. Il faut la repenser».

Il avoue toutefois ne pas s'être penché en profondeur sur l'avenir de «son» Stade.

Le toit fixe, une hérésie

M. Taillibert soutient qu'il est aujourd'hui inconcevable de munir le Stade d'un toit fixe. La vocation sportive du bâtiment impose retour aux plans originaux, qui comprennent l'installation d'un toit mobile en kevlar, croit-il.

Pour l'architecte, le concept d'un toit fixe dénature l'esprit architectural d'origine du Stade. «Aujourd'hui, ce serait comme enlever une phrase dans un poème de Gilles Vigneault et la remplacer par une autre», pense-t-il.

«Ce Stade devrait fonctionner normalement. Il a été conçu selon une vision réelle et il faut éviter de le passer en morceaux», conclut celui qui revendique jalousement la paternité du Stade olympique."

Un retour des olympiques à Montréal? Pourquoi pas