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MontréalMartin

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Messages posté(e)s par MontréalMartin

  1. Une photo de la construction de l'édifice Rodier en 1890. 

    1890ph 5388437759_82f7e533ab_o.jpg

     

    Et une photo de 1900, avec l'édifice Rodier dans toute sa splendeur d'origine. 

     

    1890ph 5388437759_82f7e533ab_o.jpg

    1900v. rodier.jpg

    Désolé pour les double des photos, mais depuis la nouvelle configuration du site j'ai ben de la misère avec le fonctionnement pour insérer des photos au bon endroit dans le texte. 

     

    • Like 2
  2. Il y a 10 heures, FrancSoisD a dit :

    Le promoteur semble avoir le souci d'une belle finition sur les victoriennes à l'avant, ce qui est un très bon signe pour l'ensemble du projet!

    Si l'État subventionnait les artisans de la construction autant que les artistes, on aurait beaucoup plus de trucs du genre en ville. C'est pas les édifices à rénover qui manquent. 

  3. Les plans de 2010 pour le réaménagement de la Place du Canada prévoyait en effet l'élimination du lien direct vers l'avenue des Canadiens. Mais je crois qu'ils ont dû modifier les plans en raison du tunnel du métro qui passe juste sous cette rue.

    2010.01web pr_plan - Copie.jpg

    1965.07.21 8006227890_3e911017dc_b.jpg

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  4. Il y a 9 heures, IluvMTL a dit :

    http://m.ledevoir.com/article-503502

    Les promesses de renaissance du Centre-Sud

    Jeanne Corriveau Le Devoir

     
    Avec le déménagement à venir de Molson et le réaménagement de l’immense site de Radio-Canada, le quartier Centre-Sud se prépare à une vaste requalification urbaine dans les années, voire les décennies, à venir. Montréal y voit même l’occasion de discuter avec Québec de l’enfouissement de l’autoroute Ville-Marie vers l’est, jusqu’à l’avenue Papineau.

    Lorsque son administration a donné le feu vert à la construction de la Maison de Radio-Canada sur le boulevard Dorchester dans les années 1960, l’ex-maire Jean Drapeau rêvait d’un centre-ville canadien-français dans l’est de Montréal. Ce centre-ville n’a jamais émergé, et c’est plutôt un quartier morcelé par des voies routières qui a été laissé en héritage.

    )))

     

    Hum ! Le centre-ville de l'est dont rêvait Drapeau n'était surtout pas où se situe la tour de Radio-Canada, au contraire. Drapeau ne voulait pas que Radio-Canada s'installe si loin. Il aurait de beaucoup préféré que l'institution s'installe sur les terrains des Habitations Jeanne-Mance. 
    Le centre-ville de l'est de Drapeau s'est bien construit ( Place des Arts, Complexe Desjardins, etc.) et il est même en train de s'amalgamer à celui de l'ouest. 
    Peut-être pour ça que cet article le localise faussement à Papineau.

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  5. http://www.journaldemontreal.com/2017/05/02/un-nouveau-restaurant-ouvre-ses-portes-dans-un-ancien-club-prive-datant-de-1880

    Un nouveau restaurant ouvre ses portes dans un manoir datant de 1880
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     Un nouveau restaurant ouvre ses portes dans un manoir datant de 1880
    PHOTO COURTOISIE / CINDY LA
    VANESSA DE MONTIGNY
    Mardi, 2 mai 2017 09:53
    MISE à JOUR Mardi, 2 mai 2017 10:06
    La construction de la maison Mount Stephen, en plein centre-ville de Montréal, rue Drummond, a débuté en 1880 et s’est terminée en 1883. La résidence, qui était à l’époque celle de George Stephen, 1er baron Mount Stephen, et de son épouse Annie Charlotte Kane, s’inscrivait à 600 000 $. Une somme considérable pour l’époque.
    De 1927 à 2011, la maison bourgeoise a accueilli le Club Mount Stephen, un gentlemen’s club réservé à l’élite locale et internationale.
    Depuis 2012, l’idée d’en faire un hôtel fait son chemin. Le projet nécessite la construction d'une annexe plus moderne à l’arrière de l’établissement qui compte 90 chambres. La partie historique du manoir a quant à elle été recyclée en un restaurant, le Bar George.

    Le journaldemontreal.com a eu la chance de s’entretenir avec celui qui tient les rênes des cuisines, le réputé chef Anthony Walsh, et son acolyte Kevin Ramasawmy, avant que l’endroit n’ouvre ses portes officiellement.
     Un nouveau restaurant ouvre ses portes dans un manoir datant de 1880
    PHOTO PAR CINDY LA
    L’idée derrière le Bar George...
    «Nous avions envie de rendre l’endroit accessible, que les gens soient à l’aise. Vous n’avez pas besoin d’être membre, contrairement aux années précédentes, où le club était réservé à l’élite», explique Kevin Ramasawmy.
    «Nous allons utiliser toute la richesse que le terroir québécois peut offrir en rendant hommage à l’histoire de l’endroit et aux origines britanniques de George Stephen. C’est un héritage qui devrait être célébré», ajoute Anthony Walsh.
    La cuisine d’avant-garde inspirée des îles britanniques présentera des classiques revisités, comme les œufs au four à l’écossaise (9 $), le poisson fumé et crumpet (16 $) et le pâté à la joue de veau et aux rognons (35 $).
    Derrière le bar, on retrouve les mixologues Maxime Boivin et Drahos Chytry, qui ont créé des cocktails inspirés du décor montréalais et du vécu de l’endroit, comme le Golden Square Mile Sour (13 $) et le Boulevardier du Baron (14 $). La carte des vins, quant à elle, n’est pas épeurante. Elle inclut beaucoup de vins abordables et de mousseux, ainsi que quelques bouteilles de champagne.
    Il y aura également une gamme de (très) bons whiskies, de gins, de xérès et de portos.
    Comme c’est le restaurant de l’hôtel Mount Stephen, les déjeuners, les dîners, les soupers, les hors-d’œuvre de fin de soirée et les brunchs du week-end seront servis.
     Un nouveau restaurant ouvre ses portes dans un manoir datant de 1880
    PHOTO PAR CINDY LA
    De grosses pointures en cuisine
    Comme la cuisine est en service sept jours sur sept, la brigade compte une vingtaine de membres.
    «Oliver & Bonacini ne serait pas ce que c’est si nous ne prenions pas soin de nos employés. Nous voulons leur donner l’opportunité de grandir avec nous», mentionne Anthony Walsh.
    Originaire de Montréal, Anthony a passé les 20 dernières années à la barre des restaurants de la chaîne O&B comme Canoe, l’Auberge du Pommier ou le Leña. Il se passionne pour la cuisine depuis l'enfance, lorsque sa mère lui a appris à cuisiner. Il a reçu des critiques plus qu’élogieuses tout au long de sa carrière, a été nommé chef cuisinier de l’année par le magazine Foodservice & Hospitality et personnalité influente par le magazine Toronto Life.
    Kevin Ramasawmy est quant à lui originaire de l’île Maurice et est le fils d'un directeur d’hôtel. Il a donc grandi dans le domaine de l’hôtellerie et de la cuisine. Il a autrefois été chef aux restaurants réputés Maison Boulud et Daniel.
     Un nouveau restaurant ouvre ses portes dans un manoir datant de 1880
    PHOTO PAR CINDY LA
    Un air britannique en plein cœur de Montréal
    Metaphore Design est à l’origine de la réinvention de l’espace pour que le charme nostalgique de la demeure se marie parfaitement à un décor un peu plus moderne.
    Nous n’avons aucune difficulté à nous imaginer le mode de vie et l’opulence de l’élite d’autrefois en observant les hauts plafonds, les boiseries détaillées et le foyer imposant, tous des éléments du bâtiment original.
    Le Bar George propose également quatre salles à manger nichées à l’étage, dans les anciens appartements du manoir. Si vous désirez y organiser un événement d’envergure, l’hôtel dispose également de plusieurs salles de bal, de salles de conférence et d’espaces extérieurs pouvant accueillir jusqu’à 500 personnes.
    Pour en savoir plus sur le restaurant Bar George, consultez sa page Facebook et son site web.
     
    Bar George / Hôtel Le Mount Stephen
    1440, rue Drummond, Montréal
    Ouverture officielle: le 2 mai 2017

  6. À l'exception de la lingerie, tous les projets d'agrandissement présentés sur les plans de 1990 ont été réalisés et ont connu le succès. Le resto Le Club Sandwich n'a pas désempli pendant plus de 15 ans. La rallonge au club la Track fut un succès énorme, avec sa passerelle, sa piste de danse remplie et ses cages à danseurs. Le cabaret a fonctionné lentement, mais connaissait quand même des soirées fort achalandées. L'hôtel aussi était bien fréquenté. Les terrasses à l'arrière, avec l'ancien terrain de la ruelle ont déjà été bondés de monde. Même le nouvel ajout suite à l'incendie de l'édifice au coin d'Alexandre-de-Sève a connu plusieurs été de terrasses remplies. 
    Ce qui a influencé le déclin à mon avis c'est d'abord la faible qualité des travaux de rénovation sur des bâtiments très ancien (la beauté n'a pas duré), et surtout le changement majeur des habitudes de la clientèle après les années sida et l'arrivée des nouvelles technologies de communication. La ''cruise'' est sortie des bars pour se retrouver sur les écrans d'ordi. 

  7. Quand je vous disait que le journaliste était en dehors de la track avec son bar ''La Piste''. 
    Le Complexe Bourbon était à l'origine appelé Complexe La Track car c'est autour de ce bar que s'est développé les autres commerces, comme le restaurant ''Le Club Sandwich'', puis l'Hôtel Bourbon, etc. 
    À La Track, au jour de l'an 1991, les clients recevaient un document pour annoncer les divers agrandissements à venir. 

    Voici de quoi il s'agit : 


     

    1990.12_La_Track_p.1.jpg

    1990.12_La_Track_p.2.jpg

    1990.12_La_Track_p.3.jpg

    1990.12_La_Track_p.4.jpg

    • Like 3
  8. Je ne trouve pas ce débat "Homogénéité" vs "Diversité" vraiment constructif. Une homogénéité banale vaut-elle mieux que de la diversité décousue? Je pense que l'on doit avant tout prioriser la qualité. Qualité des matériaux et du design. Le reste, peu importe que ce soit homogène ou diversifié, on sera gagnant. Je penche même plus pour la diversité que la stricte homogénéité. Ce sont les contrastes qui dynamisent un portrait de ville. Et son exploration active. Des immeubles baroques tous pareils, aussi beaux soient-ils, finissent par créer une monotonie du regard qui en vient à souhaiter autre chose. Les disparités, à condition d'être placées sous le signe de la qualité de chaque élément, me semblent plus souhaitable pour une ville comme Montréal qui ne pourra pas se démarquer autrement.

     

    Voilà ! Je seconde entièrement. C'est bien dit et très à-propos dans le cas de Montréal. Merci !

  9. Je trouve moi aussi ce nouveau bâtiment fort réussi.

    La fenestration est prioritaire.

    L'uniformité de ses façades soulage un peu de la diversité architecturale du reste du quadrilatère.

     

    Je commence aussi à trouver que la rue de Bleury a de plus en plus de gueule,. Avec tous les projets actuels, cette rue qui était pleine de grands trous il n'y a pas si longtemps sera très agréable à parcourir, de Saint-Antoine à Sherbrooke.

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