MontréalMartin

il y a 7 minutes, 3dimensions a dit :

Et que dire du trou sur Notre-Dame dans le vieux, quelques pas à l'est de la basilique... D'aussi loin que mon adolescence, fin 80 début 90, il y a ce stationnement hideux.  Bref, malgré la construction soutenue, il y a encore beaucoup de terrains stratégiques.

Probablement celui-ci, juste à l'ouest de la basilique. 

On y fait une occupation urbaine qui est quand même agréable, en attendant la venue d'un investisseur. 

photo Geneviève Giguère 2016

Au sujet des courants architecturaux, j'ai appris à différencier aisément l'Art Nouveau de l'Art Déco qui lui a succédé en me souvenant que l'Art Déco a été créé volontairement à l'antithèse de l'Art Nouveau. Celui-ci se voulait tout en courbes, et très végétalisé (beaucoup de références à la nature, lianes, troncs etc.) alors qu'au contraire l'Art Déco arrive, plein de lignes droites et d'angles, et est fortement minéralisé. 

Que l'on me corrige si je m'égare. Y a-t-il d'autres synthèses du genre que vous pouvez ajouter ?  

Alors ? Pour les Appartements Riga ? C'est quel style d'après vous ? Y a-t-il un style ?

Ah c'est chanceux. Il y a une fiche sur l'immeuble dans le Répertoire d'Architecture Traditionnelle sur le Territoire de la Communauté Urbaine de Montréal, alias RATTCUM. 

Le volume sur les appartements paru en 1990. pp.76-79

En ce qui concerne les appartements Riga, puisque c'est ainsi que l'édifice s'appelle, il a été construit en 1914, en béton . C'est sa principale particularité. L'architecte est bien Godin en effet. En ce qui concerne le courant architectural qu'on peut attacher à cet immeuble, il faut un peu d'imagination pour en trouver vraiment un. 

Ici on a une vue sur la façade arrière. 

Photo 2006 Alexis Hamel

L'édicule de Guimard au square Victoria, ça c'est Art Nouveau ! 

D'abord installé à la station Étoile du Métropolitain de Paris en 1900, cet édicule a été offert par Paris à Montréal en 1967 pour son 325e anniversaire. 

Ouais, bon !? On met des quais flottants pour protéger les bateaux et la marina contre le fort courant Sainte-Marie juste là. Et c'est précisément à cet endroit que Projet Montréal veux qu'on aille se baigner ? 

il y a 39 minutes, vincethewipet a dit :

Je sais que plusieurs artistes de rue dans mon quartier sont heureux de voir leurs œuvres évoluer et considérant cette évolution comme une part importante de l'art, mais d'autres tiennent vraiment à garder leur travail intact. 

Je ne sais pas si ça inclus les tags par-dessus les autres tags, mais ça me fait penser au chirurgien qui aimerait bien lui aussi que son travail reste intact. 

Est-ce que quelqu'un aurait entendu parler des noms officiels qu'on va donner à ces nouveaux espaces ? 

L'esplanade Robert-Bourassa ?

Il y a 3 heures, zombywoof a dit :

Pas mauvais comme idée. Un peu comme ils le font pour le Manneken-pis à bruxelles, de temps à autre, on pourrais faire porter à cette sculpture une casquette qui souligne certains évènements.

ou comme à quelques coins de rues, il y a deux ans. 

Il y a 2 heures, MtlMan a dit :

La structure Delaney s'appuie très peu sur le stade lui-même. D'après ce que j'ai lu à ce sujet, c'est soutenu par des pylônes internes avec un poids minimal sur le frame du stade. Mais je ne suis pas ingénieur, je ne peux jurer.

En effet le poids du toit mobile est en partie soutenu par des câbles relié au mat, comme la toile actuelle. 

Il y a 2 heures, MtlMan a dit :

C'est sûr que des bungalows ou des maisons de ville, c'est pas idéal pour densifier une ville. S'il fallait juste faire ça, on construirait à l'horizontale jusqu'à faire disparaître tous els espaces verts du core urbain.

Ça ressemble à la ville de Québec cette description. 

Lorsque ces maisons ont été construites, ils étaient rares ceux qui voulaient habiter ce coin perdu de la ville. C'était à l'opposé de la tendance forte de l'époque, la banlieue. Et franchement, habiter sur le site d'une ancienne gare de triage pour les trains, fallait vraiment être mal pris pour vouloir rester là.  

Vue aérienne verticale 1969

il y a 50 minutes, Cmoimeme a dit :

Je n’en doute pas. Sauf qu’au début c’était sensé être 2 tours de 37 étages pour cette phase 2.

Est-ce que la deuxième tour de ce projet a été raillée de la liste, parce que celle-ci fera 53 étages. Je n’ai pas le temps de passer ma vie à chercher sur ce sujet, donc je demande.

Il n’y a rien de drôle à poser cette question. Poser des questions prévient l’ignorance! 

 

Au début (à gauche), c'est trois tours qui avaient été annoncées pour ce quadrilatère. 
Maintenant (à droite) c'est deux tours, plus hautes. 

Une autre photo d'archives, en 1958, pour apprécier les lieux. 

Ici, une vue vers le sud depuis la rue de la Gauchetière. 

Avant la construction de la Place Bonaventure. 

Ouais, ça le REM c'est loin d'être fait. J'ai hâte de voir les hauts cris qui vont être poussés quand la rue Ottawa sera éventrée pour la sortie du Rem et son ascension vers les rails du viaduc. 

il y a 1 minute, andre md a dit :

En profondeur surement pas un probleme.Juste a voir le metro en plein centre-ville avec les edifices qui ont des parking sous-terrains les egouts l'aqueduc et tout le reste. En dessous de l'echangeur rien de tout ca a part les pylones qui soutiennent l'autoroute.  Et construire de petit edicules ne doit pas etre si couteux. Le but est de desenclaver chaque quadrant de l'echangeur et aussi de diminuer l'usage du bus et favoriser la marche et le velo.

Cela aussi diminue les trajets des bus.

Au centre-ville, les lignes de métro ont été creusées sous les rues, et non pas sous les édifices. 

La ligne verte passe sous le boulevard de Maisonneuve, et la ligne orange sous Viger et de la Gauchetière. 

Il y a quelques édifices construits en partie au-dessus des lignes de métro, mais c'est très peu.

Radio-Canada ce matin, sur le prolongement de la ligne bleue.

Ça fait trrrrrrrrrrrrrrrès longtemps que l'option de laisser le stade sans toit est suggérée par Québec.

La Société du Parc Jean-Drapeau et la compagnie ArtPublix ont refusé à plusieurs reprise l'aide offerte par des connaisseurs d'expérience.
La Société du Parc Jean-Drapeau a décidé que ce serait plus facile d'annuler l'exposition. 

La Société du Parc Jean-Drapeau ne voudra pas répéter l'expérience.

La Société du Parc Jean-Drapeau se complaît dans son incompétence.  
 

Petit rappel du projet de 2014 ''Le 5e Quai''.

Et un article de La Presse sur ce projet 

Publié le 20 février 2015 à 08h00 | Mis à jour à 08h00
Vues sur le fleuve, en retrait du Vieux-Port

À l'est du Vieux-Montréal et du Vieux-Port, le 5e Quai s'élèvera tout près du fleuve Saint-Laurent. il sera construit à côté de l'ancien entrepôt frigorifique, devenu le complexe Héritage du Vieux-Port.
ILLUSTRATION FOURNIE PAR SID LEE ARCHITECTURE

La Presse
Samy Bitton, dans l'immobilier depuis une trentaine d'années à Montréal, a construit des complexes résidentiels ailleurs dans le monde (en Israël, en Allemagne et au Ghana).

Nom du projet: 5e Quai

En tout

Quatre-vingt-dix-neuf appartements en copropriété de divers types. Neuf maisons en rangée, comptant trois étages et un toit vert, seront les plus près du fleuve. À l'arrière, 85 condos haut de gamme et cinq luxueux appartements-terrasses seront aménagés dans un immeuble de neuf étages.Aperçu

Samy Bitton, dans l'immobilier depuis une trentaine d'années à Montréal, a construit des complexes résidentiels ailleurs dans le monde (en Israël, en Allemagne et au Ghana). Lorsque l'occasion d'acheter le terrain adjacent à l'Héritage du Vieux-Port s'est présentée, il a voulu profiter de la proximité du fleuve Saint-Laurent et créer un complexe dont l'architecture rappelle celle de villes portuaires ensoleillées comme Miami et Tel-Aviv. Il a fait appel à l'agence Sid Lee Architecture, et lui a confié le mandat de maximiser les vues sur l'eau. Par sa blancheur, qui lui donnera une allure joyeuse, et l'ajout de jardins, la nouvelle construction tranchera avec l'imposant édifice voisin.

«On se distingue à l'extérieur, mais on retrouvera la même beauté à l'intérieur, précise l'homme d'affaires. Ce sera un endroit de villégiature dans le coeur de Montréal.»

Le terrain présentait d'entrée de jeu un grand défi. Un stationnement intérieur de deux niveaux, en partie souterrain, occupe déjà les lieux, et sert aux copropriétaires de l'Héritage du Vieux-Port. Le 5e Quai se substitue, en effet, à la deuxième phase du luxueux complexe, qui était planifiée mais ne s'est jamais matérialisée.

«J'ai cherché à établir de bonnes relations avec les copropriétaires voisins, souligne M. Bitton. Ce qui était prévu aurait caché des vues sur l'eau. Il fallait en arriver à une entente pour que tous soient heureux. On a négocié et fait des échanges pendant trois ans.»

Le 5e Quai sera ainsi moins haut qu'initialement prévu pour que l'ancien entrepôt frigorifique domine encore le paysage. Les bâtiments seront par ailleurs disposés de façon à cacher moins la vue des copropriétaires voisins. Développement Bitton, de son côté, a négocié les droits aériens au-dessus du chemin privé qui borde le fleuve et qui appartient aux copropriétaires des deux phases. Une partie du futur complexe sera ainsi construite au-dessus du passage asphalté, qui sert aussi aux véhicules d'urgence et est emprunté régulièrement par les marcheurs et les coureurs.

«Il y a eu une bonne collaboration entre les deux parties, confirme Danielle Boucher, membre du conseil d'administration de l'Héritage du Vieux-Port. Il reste encore certaines choses à régler. Il faudra ensuite que ce soit accepté par les copropriétaires, qui auront le dernier mot.»

Selon les plans, les maisons en rangée devraient être construites au-dessus du stationnement intérieur existant. De multiples espaces verts, conçus par l'architecte paysagiste Claude Cormier, inviteront à la détente. Un vaste jardin s'étendra par exemple entre les maisons en rangée et l'immeuble de neuf étages, dont les deux premiers niveaux seront réservés au stationnement.

Une piscine extérieure chauffée et une terrasse, surélevées, seront aménagées à l'extrémité est du complexe, orientées vers le sud de façon à profiter de la vue sur l'eau et des rayons du soleil. De la salle d'entraînement, du spa et du sauna, les copropriétaires pourront aussi admirer le fleuve. Une salle de réception, quant à elle, donnera sur la piscine. Un service de conciergerie et un gardien de sécurité (présent jour et nuit) sont aussi prévus.

Pour qui?

Une clientèle aisée de tous les âges, composée en grande partie de professionnels qui travaillent un peu partout à Montréal et recherchent la tranquillité et la sécurité, tout en étant près du Vieux-Montréal et du Vieux-Port. Pour tous, la vue sur l'eau est importante.

Combien?

(système de domotique et électroménagers inclus, taxes en sus - une quarantaine d'appartements ont été réservés)

À partir de 335 000, 649 pi2 (1 chambre)
À partir de 529 110 $, 1076 pi2 (2 chambres)
À partir de 1,127 million, 2037 pi2 (maison en rangée de 3 chambres)
À partir de 1,244 million, appartement-terrasse de 1935 pi2 avec pièces centrales ouvertes sur une fenêtre de 20 pi de haut (3 chambres, mezzanine et 2 terrasses)
Stationnement (taxes en sus): 72 000$
Charges mensuelles de copropriété estimées par le promoteur: de 0,50 à 0,60$ le pied carré

Construction

En avril, la structure du stationnement devrait être renforcée pour pouvoir construire au-dessus. Les travaux en ce sens devraient débuter en août. Les copropriétaires pourraient commencer à emménager à l'automne 2016.

Dans le voisinage

Le Vieux-Port et le Vieux-Montréal, avec ses restaurants et ses boutiques, la plage urbaine située au pied de la tour de l'Horloge, ainsi que la marina. L'hiver, la trentaine de tentes du Village de pêche blanche sont dressées tout près. La patinoire du Vieux-Port se trouve aussi à proximité.

On aime

Les copropriétaires pourront profiter d'une vue splendide sur le fleuve et sur les feux d'artifice, l'été. Tout en étant collés sur le Vieux-Montréal, ils seront à l'écart, dans un secteur paisible.

On aime moins

Il faudra prendre la voiture pour effectuer la plupart de ses courses et faire son épicerie. Le complexe se trouve, par ailleurs, à la porte du Port de Montréal. Des trains de marchandises circulent (lentement) le long de la rue de la Commune.

En effet on ne peut pas construire sous la rue Jeanne-Mance. 
N'oubliez pas qu'il y a toute la tuyauterie des l'aspirateur à vidanges qui passe là ! 

En résumé, la société du Parc Jean-Drapeau met la faute sur ArtPublix. 
ArtPublix met la faute sur l'artiste réalisateur, Christian Barré. 

Christian Barré met la faute sur son chat qui a été malade sur son travail. 

Et le chat de Christian Barré met la faute sur le fait d'avoir inhaler de l'aire en provenance d'une canette contenant de l'air d'Expo67.

Ce bâtiment est beaucoup plus qu'un viaduc. La portion entre les rues Notre-Dame et Ottawa date du début des années 1930. Mais en raison de la crise économique l'installation des rails et l'utilisation de la voie ferrés avaient été retardées. 

Une photo de l'entre-deux, vers 1938-1943

Il y a 2 heures, IluvMTL a dit :

À une certaine époque  la Brasserie  Molson s'étendait  à  l'est de la rue Papineau,  jusqu'au pont Jacques-Cartier. Actuellement ce terrain est la propriété de la cie U-Haul. (Voir la section mauve dans les images.)

Il est à noter qu'il y a un réservé de parc sur  la pointe extrême est du terrain (un stationnement)  qui prend fin en octobre 2018. Il est important que la Ville exproprie le terrain avant cette date si nous voulons y attacher un usage public. 

Nous devrons connaître les intentions de l'administration Coderre lors du dévoilement du plan d'action sur la Stratégie centre-ville dans les prochaines semaines.

http://www.journaldemontreal.com/2017/07/05/13-choses-a-savoir-sur-ledifice-emblematique-de-la-brasserie-molson

À l'est de Papineau, (qui s'appelait rue Monarque au sud de Notre-Dame),  on retrouve les installations de la Canadian (puis Dominion) Rubber Company depuis au moins les années 1880.  

Et c'est toujours cette compagnie qu'on retrouve sur ce plan de 1947-1949. 

Il y a eu des esquisses les montrant rouvertes, l'an passé. 

Parmi ces édifices, il y a une façade qui a peut-être certaines chances d'être conservée. 
Au 71-73 Saint-Antoine ouest on retrouve la maison de Louis Rubenstein. 

Photo vers 1900, générosité de Hillel Beckerimg. 

Une photo de Louis Rubenstein, archives La Presse

M.Rubenstein en 1893 et quelques unes des médailles qu'il a remporté lors de compétitions de patinage. 

Voici un article de La Presse en 2009 avec une brève biographie de Rubenstein. 

Pour beaucoup plus d'informations, il y a plein de documents sur le web. 

Louis Rubenstein Grand Montréalais 
Publié le 12 avril 2009 à 09h41 | Mis à jour le 12 avril 2009 à 09h44

La Presse
Des milliers de gens passent devant chaque jour. Certains s'arrêtent pour boire à cette fontaine publique particulière. De style Art déco, elle ressemble un peu à une pierre tombale et, dans un sens, c'en est une.

PHOTO: ARCHIVES LA PRESSE

Des milliers de gens passent devant chaque jour, mais bien peu remarquent l'inscription dans la pierre: Rubenstein. Et la plaque de l'autre côté: Louis Rubenstein, 1862-1931, conseiller municipal, champion mondial de patinage artistique...

Le modeste monument se trouve à l'angle de l'avenue du Parc et de l'avenue du Mont-Royal, sur le coin sud-est. Il s'agit du seul monument érigé en l'honneur d'un Juif à Montréal, selon mon collègue John Kalbfleisch, de The Gazette, qui connaît bien le sujet (M. Kalbfleisch en connaît beaucoup plus, en tout cas, que les cinq fonctionnaires municipaux qui ont joué au ping-pong avec moi pendant quelques jours...).

Louis Rubenstein, donc, fils d'immigrants polonais qui ont fait fortune dans l'industrie du vêtement, un domaine que les dynamiques Juifs de Montréal ont dominé et dominent toujours. Nous ne devons pas oublier l'énorme contribution des Juifs dans le développement de notre ville.

Mais le jeune Louis était athlétique et sportif. Champion patineur de Montréal, puis du Canada, puis des États-Unis, il s'est rendu en Russie tsariste, en 1890, pour y disputer le championnat du monde.

À son arrivée, les autorités russes ont confisqué son passeport, l'ont confiné à son hôtel et lui ont fait savoir qu'il ne pourrait participer à la compétition parce qu'il était juif, un point c'est tout. Ce n'était pas une bonne idée d'être juif en Russie à cette époque, nous dit M. Kalbfleisch. Pas seulement à cette époque, pourrait-on ajouter...

Louis Rubenstein, qui a avoué plus tard avoir pensé à la Sibérie, a donc contacté l'ambassade d'Angleterre - le Canada n'avait pas d'ambassade en Russie à l'époque - et les Brits sont venus à sa rescousse. Sous la pression de l'ambassadeur anglais, Sir Robert Morier, les Russes ont remis son passeport au Montréalais et, toujours sous pression, l'ont autorisé à participer à la compétition de Saint-Pétersbourg.

Rubenstein a tellement dominé, même contre les patineurs russes, que les juges n'ont eu d'autre choix que de lui accorder la médaille d'or. Mais, quelques jours plus tard, on lui a appris qu'un patineur russe avait déposé une réclamation et qu'il n'était plus le champion. Retour des Brits. Les Russes ont finalement cédé: Louis Rubenstein a de nouveau été couronné champion du monde et on lui a recommandé de quitter la Russie le plus tôt possible.

Les archives de The Gazette nous apprennent qu'il a été accueilli par une foule en délire à sa descente du train, à Montréal, en mars 1890. Il avait 28 ans.

Louis Rubenstein a ensuite été conseiller municipal du district Saint-Louis, où se trouve son monument. Il a occupé le poste jusqu'à sa mort, en 1931.

Il est toujours demeuré un sportif passionné. Il a fondé et dirigé plusieurs associations et fédérations sportives, dont celles du cyclisme et des quilles, un sport qui allait devenir très populaire à Montréal et dans lequel il excellait. Et il a toujours travaillé dans l'entreprise familiale.

Alors si vous entrez au parc Jeanne-Mance par le coin du Parc et Mont-Royal, vous êtes accueilli par un petit monument, de l'eau à boire et par Louis Rubenstein, un grand Montréalais.

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