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  1. Ruelles vertes La nature reprend sa place Agence QMI Emmanuel Delacour 31/05/2012 19h35 MONTRÉAL – De petits trésors se cachent dans les ruelles du Plateau-Mont-Royal. Une agence de visites guidées à Montréal entreprend de dévoiler ces joyaux verdoyants méconnus. Lors des fins de semaine de juin, Ivan Drouin fera découvrir aux curieux quelques ruelles verdies par la Ville de Montréal et par ses citoyens. «C'est une exploration qui commence avec l'histoire urbaine de la métropole. J'explique aux gens comment l'aménagement des jardins et des ruelles a évolué depuis les maisons coloniales françaises, les manoirs anglais, et les habitations de l'époque industrielle», étale M. Drouin. À partir de ce petit retour en arrière les explorateurs des allées apprennent comment au fil du temps, la ruelle, qui était utilisée par divers services tels que les livreurs de charbon et les vendeurs de guenilles, perdra sa vocation pratique. Délaissée par les travailleurs, la ruelle a été quelque peu désertée au cours des années. Effet boule de neige Toutefois, depuis les années 1970 quelques citoyens ont décidé de faire tomber les palissades de leur cour arrière pour que la flore n'y soit plus restreinte, mais qu'elle s'étende à la ruelle. Ainsi, c'est un mouvement communautaire a pris naissance et a fait boule de neige dans les quartiers. «Quand les gens voient une belle ruelle verte, l'envie leur prend d'embellir à leur tour l'espace public. Bien évidemment, il faut des personnes précurseurs, prêtes à engendrer le mouvement, car c'est beaucoup de travail», explique M. Drouin. C'est en effet à la sueur de leur front que de simples citoyens entreprennent de transformer leur allée. Pour que l'arrondissement s'implique, il faut souvent que deux propriétaires proposent le projet en passant par leur écoquartier. L'arrondissement demande parfois un accord signé de 60 % jusqu'à 90 % des propriétaires des bâtiments de la ruelle concernée. «Il faut un plan d'aménagement, un échéancier, une coupe du béton. Le processus prend deux années au minimum. Et une fois que tout cela est fait, ce n'est pas fini, il faut qu'un comité de ruelle s'occupe de son entretien», souligne M. Drouin. Les réseaux sociaux ont toutefois facilité le processus, puisqu'un simple clic sur Facebook permet désormais aux membres de ces regroupements de savoir quand se feront la prochaine semaison ou les grandes périodes d'arrosage. C'est avec des essais et des erreurs que ceux-ci ont parfois transformé leur allée bétonnée en véritable chemin à faire rougir de jalousie les vallons irlandais. Meilleure qualité de vie Au-delà de l'aspect esthétique, ces ruelles aménagées semblent améliorer la qualité de vie des résidents. «Quand elles sont propres et verdies, les automobilistes sont moins tentés à passer dans les ruelles, ce qui diminue la circulation et le bruit. De plus, il y a moins de criminalité, moins de gens qui consomment de la drogue le soir, parce qu'ils constatent que les résidents surveillent et tiennent à leur petit passage», affirme M. Drouin. Plus d'information sur les visites des ruelles vertes du Plateau-Mont-Royal est disponible sur le site tourskaleidoscope.com.
  2. Forzani et Sports Experts s'éloignent-il du Québec? Publié le 22 mai 2009 à 06h22 | Mis à jour à 06h23 Sophie CousineauLa Presse (Montréal) Le Québec se trouve au coeur de la lutte de pouvoir qui se joue entre le détaillant albertain Groupe Forzani et le fonds d'investissement new-yorkais Crescendo Partners. Cette lutte sera déterminante pour l'avenir du franchiseur des Sports Experts. Après avoir accumulé en catimini 5,1% des actions en circulation de Forzani, Crescendo réclame la nomination de deux administrateurs au conseil cette entreprise de Calgary, dont le titre se languit en Bourse depuis quelques années. Mais pour faire place à ces dirigeants américains, Crescendo souhaite éjecter du conseil d'administration le seul représentant du Québec. Il s'agit d'Henri Drouin, ancien président du conseil d'administration du grand quincailler Rona. «Dans mon esprit, c'est impensable qu'on veuille retirer du conseil notre représentant du Québec. C'est là où se trouve 30% de notre business au Canada», dit Robert «Bob» Sartor, chef de la direction de Forzani, en entrevue téléphonique avec La Presse. Bob Sartor a grandi au Québec, étudié à McGill et à Concordia, mais ce comptable a quitté la province il y a 12 ans. Au Québec, Forzani est connu par l'entremise des bannières Sports Experts, Atmosphere et Intersport. Sports Experts est le joyau de la couronne, avec des ventes au pied carré de 40% supérieures à celles de Sport Chek, l'une des grandes bannières de Forzani au Canada anglais avec Athletes World et Coast Mountain Sports. La majorité des magasins Sports Experts se trouvent toujours au Québec, soit quelque 170 magasins sur 225, les autres étant situés en Ontario et en Alberta. Ancien propriétaire-exploitant d'une quincaillerie Rona transformée en centre de rénovation à Amos et d'une épicerie à Barraute, dans son Abitibi natale, Henri Drouin est un commerçant de carrière. Il n'est pas le seul à connaître l'industrie du détail au conseil de Forzani, où siège aussi Paul Walters, l'ancien président de Sears Canada. «Mais c'est notre expert pour tout ce qui touche les relations avec les franchisés», note Bob Sartor. Au conseil d'administration du quincailler Rona de 1976 à 2002, dont 21 années à titre de président, Henri Drouin était l'un de ceux qui ont négocié avec succès l'ouverture des magasins Rona de grande surface avec les petits détaillants franchisés qui craignaient de se faire concurrencer par leur propre entreprise. Joint à sa résidence de Prévost, dans les Laurentides, Henri Drouin prend la chose avec philosophie. «J'imagine qu'il leur fallait tasser quelqu'un pour faire la place à leurs candidats», dit ce retraité de 67 ans qui siège aussi aux conseils de Cactus Commerce et de Novabrik, deux PME. Même si Crescendo est établie à New York, la firme est très active au Canada depuis une quinzaine d'années. Les règles du jeu donnent le champ libre aux investisseurs activistes, a expliqué son grand patron, Eric Rosenfeld, lors d'une conférence récemment tenue à Montréal. «Au Canada, a-t-il dit, la démocratie d'entreprise règne!» Eric Rosenfeld a investi dans une vingtaine d'entreprises, parmi lesquelles Spar Aerospace, Ad Opt Technologies et BCE Emergis. Rares sont celles qui sont restées intactes après l'arrivée des représentants de Crescendo au conseil. La majorité ont fait l'objet d'une vente ou ont été complètement transformées par la cession d'activités significatives. Dans la mesure où Crescendo a ouvert son jeu au sujet de Forzani, la firme n'entend pas démanteler le détaillant ou mettre en vente ses bannières, du moins à court terme. Mais Eric Rosenfeld aimerait accélérer la mise en oeuvre du plan d'affaires de l'entreprise, raconte Bob Sartor. Forzani prévoit que son chiffre d'affaires, de près de 1,6 milliard de dollars, atteindra 2,6 milliards de dollars d'ici cinq ans. Le détaillant entend aussi doubler son profit d'exploitation (BAIIA) au cours de cette période, pour qu'il se situe entre 190 et 200 millions de dollars en 2014. Pour ce faire, Forzani compte croître tout unifiant et simplifiant ses trop nombreuses bannières axées sur le sport ou le plein air. Forzani ne compterait plus que neuf enseignes différentes comparativement à 16 actuellement. «Crescendo voudrait faire cela en trois ans au lieu de cinq, mais c'est impossible à moins de claquer une fortune pour casser les baux», dit Bob Sartor, en rappelant que Forzani a institué un dividende et a racheté des actions depuis deux ans. Outre Henri Drouin, Crescendo souhaite aussi éjecter du conseil de Forzani Donald Gass, ancien associé du cabinet comptable Deloitte&Touche. Ce sont les actionnaires qui auront le dernier mot dans cette bataille de procurations. Ils choisiront le prochain conseil de Forzani lors de l'assemblée annuelle qui se tiendra le 10 juin. courriel Pour joindre notre chroniqueuse: sophie.cousineau@lapresse.ca
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