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Nameless_1

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Messages posté(e)s par Nameless_1

  1. J'ai un condo au Unity, coin St-Alexandre et de la Gauchetière ouest et le Peterson commence à être visible de St-Alexandre!

    Très heureux de voir que cette nouvelle tour aux courbes inhabituelles sera visible de cette rue!

     

    Génial, post pour dire rien d'autre que like :) (tu nous invites au next bbq party pour dire bonjour et faire de la photo) :D

  2. Je pense que cette discussion est «sortie de ses rails».

    Si une liaison est construite entre le c-v et l'aéroport, ce ne sera pas au moyen d'un prolongement de la branche ouest de la ligne orange.

     

     

    Bin non, c'est SLR all the way (link to Lionel Groulx et cartier des gares!)

  3. I totally agree! What is the obsession with heading to Laval? They already have access and isn't it more important to have a direct link to the airport? London, Paris, and even Vancouver have a direct metro link to the airport so why shouldn't we?

     

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  4. AGENCE QMI

    Mercredi, 10 février 2016 12:03

    MISE à JOUR Mercredi, 10 février 2016 12:03

     

    MONTRÉAL – La Ville de Montréal a annoncé qu’elle investira 168 millions $ dans la réfection de ses infrastructures de l’eau.

     

    Trois usines de l’ouest de l’île seront modernisées et un ouvrage de rétention d’eau de pluie, le bassin Leduc, sera construit, a annoncé Chantal Rouleau, responsable de l’eau et des infrastructures de l’eau au comité exécutif de la Ville de Montréal.

     

    «Ces investissements massifs sont nécessaires afin que Montréal puisse continuer de rencontrer les plus hauts standards en matière de qualité de l’eau potable et de gestion des eaux usées», a indiqué Mme Rouleau.

     

    Ainsi, des travaux de réfection seront réalisés aux usines de production d’eau de Lachine, de Dorval et de Pierrefonds, pour un total de 90,9 millions $. Ils ciblent les équipements et les systèmes de contrôle des usines, ainsi que l’ajout d’une chaîne de traitement.

     

    La construction du bassin Leduc, dans l’arrondissement de Saint-Laurent, vise quant à elle à réduire les épisodes de surverses. Il en coûtera 77,5 millions $. Cette structure souterraine emmagasinera temporairement les eaux usées lors de fortes pluies pour ensuite les rediriger vers la station d’épuration. Ce bassin aura une capacité de rétention de 65 000 mètres cubes d’eau, et contribuera à diminuer les refoulements et les déversements d’eaux non traitées vers la rivière des Prairies.

     

    http://www.journaldemontreal.com/2016/02/10/montreal-investit-168-millions-dans-ses-infrastructures-de-leau

  5. Est-il trop tard pour un High Line montréalais?

     

    01-high-line-mtl.jpg

     

    Elle a peut-être bien des défauts sur le plan urbanistique, mais on ne peut nier que l’autoroute Bonaventure offre des points de vue magnifiques sur le centre-ville de Montréal.

     

    Lorsqu’on y circule en voiture, les gratte-ciel apparaissent tour à tour sous nos yeux, tout comme l’enseigne de Farine Five Roses, le Silo no 5 et les grues de Griffintown.

     

    Le fait d’être surélevé sur ce monstre de béton permet de découvrir un paysage urbain formidable sur 360 degrés.

     

    Mais avec le démantèlement de l’autoroute au profit d’un boulevard urbain, tous ces points de vue disparaîtront à tout jamais. C’est pourquoi un groupe de citoyens des quartiers limitrophes tentent un ultime appel auprès de la Ville et du gouvernement du Québec pour sauvegarder une portion de l’autoroute Bonaventure. Non pas pour la circulation automobile, mais bien pour la réalisation d’un parc linéaire inspiré du High Line de New York.

     

    Ce concept de High Line avait été présenté en 2012 à l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) dans le cadre des réflexions sur l’avenir de l’axe Bonaventure. Le projet était soutenu par Héritage Montréal et la fondatrice du Centre canadien d’architecture, Phyllis Lambert.

     

    «C’est le patrimoine d’une époque, la façon dont on pensait la ville dans les années 1960, explique Caroline Andrieux, citoyenne à l’origine de ce projet et fondatrice de l’espace culturel de la Fonderie Darling. C’est peut-être difficile pour certains de voir de la beauté dans cette autoroute, mais on peut certainement l’humaniser sans tout détruire. C’est aussi ça, le développement durable.»

     

    Elle soutient qu’en conservant au minimum une centaine de mètres, on pourrait verdir l’axe autoroutier avec une promenade plantée, où il serait possible de tenir des concerts en plein air, par exemple. Sous la structure, des kiosques de bouffe de rue ou un marché public, aménagés dans des conteneurs métalliques, animeraient l’espace pour les résidants et travailleurs du Vieux-Montréal et de Griffintown. Des projets d’art public pourraient également voir le jour et offrir un nouveau souffle à cette structure bétonnée.

     

    «L’axe pourrait devenir un milieu de vie plutôt qu’un axe de transit entouré de neuf voies de circulation, poursuit le complice de Mme Andrieux, Jérôme Glad, cofondateur de Pépinière & Co (Jardins Gamelin, Village-au-Pied-du-Courant, etc.). Au lieu de bâtir une place publique générique, le maintien d’une section de Bonaventure donnerait un caractère distinctif au site pour une Ville UNESCO de design comme Montréal!»

     

    Et pourquoi pas? Un peu plus de créativité dans un tel réaménagement du domaine public ne ferait certainement pas de tort. Mais le démantèlement a déjà débuté, et on peut se demander s’il est trop tard. «Il est minuit moins une, mais notre objectif n’est pas d’effacer les plans de Montréal et du MTQ, poursuit M. Glad. Au contraire : on colle à leur proposition en l’enrichissant avec une structure déjà en place.»

     

    Selon l’architecte de formation, il serait relativement simple de procéder à la conversion s’il y avait une volonté politique. L’état actuel de la structure ne l’inquiète pas non plus, car le simple fait d’éliminer la circulation véhiculaire allongeait sa durée de vie. «Si on ne réussit pas à garder l’autoroute, j’espère au moins qu’on pourra organiser un grand pique-nique urbain sur le dessus pour souligner son départ», conclut-il.

     

    http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/912818/est-il-trop-tard-pour-un-high-line-montrealais/

  6. Ajoutes notre climat à ca. Bien que les passerelles et les souterrains diminuent le traffic de surface, c'est un must ici.

     

     

    Je trouve étrange l'argument avancé par HM à savoir que Montréal a toujours (et devrait continuer à) privilégié le souterrain plutôt que les passerelles. Ultimement, d'un point de vue urbanistique une passerelle ou un souterrain ont à peu près les mêmes avantages et inconvénients, donc le même effet net: retirer du traffic de la rue pour le reporter vers un espace clos (et, souvent, privé ou semi-privé).

     

    Les raisons de préférer une passerelle a un souterrain ou l'inverse sont donc bien plus d'ordre technique (faisabilité) et, marginalement, esthétique (dans le cas où la passerelle bloquerait une vue, ce qu'ils soulignent avec raison), plutôt que de nature urbanistique. Au final, que l'on autorise l'un ou l'autre aménagement, l'attractivité et le traffic de la rue avoisinante s'en trouve diminué d'autant.

     

    Une fois de plus, je trouve que HM démontre malheureusement qu'ils sont bien plus dogmatiques que pragmatiques, un peu comme leur opposition quasi religieuse à dépasser la hauteur du mont royal, soit disant pour en protéger les vues (sans égard au fait que la limite actuelle permet tout aussi bien de cacher ce dernier).

     

    Tl;dr: once again Heritage Mtl push dogma with no basis in fact, little analysis, and few arguments. Their amateurism is par for the course in a city where amateurism has never prevented anyone from reaching various levels of office, elected or not, unfortunately. On a les lobbys qu'on mérite...

  7. Héritage Montréal dénonce la construction de passerelles aériennes entre de nouveaux édifices du centre-ville. L'organisme estime que cela va à l'encontre des politiques de la ville qui ont plutôt favorisé par le passé le développement du Montréal sous terrain.

     

    Un reportage de René Saint-Louis

     

     

    160125_4b4oy_tour-canadien-projet-montreal_sn635.jpg

     

    La construction de passerelles est interdite à Montréal en vertu de l'article 353 du règlement d'urbanisme. Mais, exceptionnellement, les élus peuvent les autoriser selon des règles précises (voir en fin d'article). Par exemple, elles ne doivent pas être attenantes à un bâtiment patrimonial.

     

    La décision des élus de l'arrondissement Ville-Marie d'autoriser la construction d'une passerelle à proximité de la Gare Windsor, édifice classé, déplaît donc à Héritage Montréal.

     

    « Il y a une question de qualité d'aménagement, parce que des passerelles au-dessus des rues, c'est vraiment une chose qui est contraire au modèle montréalais d'aménagement, soutient le porte-parole de l'organisme, Dinu Bumbaru. On a développé la ville souterraine à Montréal. »

    « On va créer des précédents et finir comme les villes de l'Ouest (Saint Paul au Minnesota ou l'Alberta) où les centres-villes sont encombrés de passerelles qui empêchent le ciel d'être public finalement. C'est un très mauvais précédent qui n'est pas recevable. »

    — Le porte-parole d'Héritage Montréal, Dinu Bumbaru

     

    Cette passerelle qui enjambera la rue Saint-Antoine reliera une tour résidentielle de 37 étages, la Tour des Canadiens 2, au centre Bell.

     

    Ces dernières années, des dérogations ont aussi été accordées pour construire des passerelles au nouveau Centre hospitalier de l'Université de Montréal, à l'École de Technologie supérieure, et à la Caisse de dépôt et placement du Québec.

     

    Le professeur à l'école d'urbanisme de l'Université de Montréal, Gérard Beaudet, s'inquiète de cette tendance. « On ne semble pas avoir une vision globale, dit-il. Pour l'instant, les choses se font à la pièce. Quand on regarde l'expérience de certaines villes de l'Ouest canadien et de plusieurs villes des États-Unis, on peut penser que ce n'est pas le meilleur choix d'un point de l'urbanisme. On a l'impression actuellement que ce sont les promoteurs qui sont aux commandes et que la ville improvise. »

     

    Il s'inquiète aussi du milieu de vie pour les piétons dans ce secteur du centre-ville en plein développement. « Il ne faut pas justifier des passerelles parce que le quartier n'est pas fréquentable pour les piétons à l'heure actuelle », souligne-t-il.

     

    L'Office de consultation publique de Montréal et le Conseil du patrimoine de la ville et le Comité Jacques-Viger s'opposent aussi à la construction de passerelles aériennes.

     

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    Critères pour permettre une dérogation et autoriser la construction d'une passerelle :

     

    Une passerelle devra relier deux bâtiments d'un ensemble détenu par un même propriétaire;

     

    La portion de rue où se trouve la passerelle ne devra pas présenter de perspectives visuelles intéressantes vers un repère bâti ou naturel important, tels le massif du centre-ville, le Mont-Royal ou un bâtiment d'intérêt patrimonial. La perspective devra idéalement présenter un champ visuel fermé;

     

    Interdire la construction d'une passerelle sur les axes structurants jouant un rôle dans la perception de Montréal et offrant notamment des vues sur les grandes composantes de son paysage urbain (rues d'ambiance, rues commerciales, axes commémoratifs et historiques, liens stratégiques à valoriser, grands axes et parcours d'accès au Centre), par exemple la rue Notre-Dame Ouest et la rue Peel.

     

     

    Exigences :

     

    Une passerelle ne devra pas être attenante à un bâtiment identifié comme ayant un intérêt patrimonial ou architectural;

     

    Une passerelle devra uniquement être localisée aux étages supérieurs d'un bâtiment à partir du 3e étage. Ceci permettra de limiter les impacts sur le paysage urbain des rues, ainsi que de maximiser les conditions d'ensoleillement du domaine public;

     

    Une passerelle devra avoir une hauteur limitée à un maximum correspondant à la hauteur de l'étage desservi (maximum un étage);

     

    La partie du rez-de-chaussée d'un bâtiment qui est localisée sous une passerelle devra comporter des activités génératrices d'animation.

     

    http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/01/27/pour-ou-contre-la-construction-de-passerelles-a-montreal_n_9087188.html

  8. Dans LP+ de ce matin :

     

    YUL, phase 2

     

    Le 18 février, le Groupe Brivia et Tianco lanceront officiellement la deuxième phase du YUL, en construction boulevard René-Lévesque Ouest, à l’intersection de la rue Mackay. Rareté au centre-ville de Montréal, cette phase comportera 17 maisons en rangée surmontées de mezzanines et de terrasses privées. Elles longeront l'avenue Overdale, en harmonie avec les bâtiments de l'autre côté de la rue. Les propriétaires auront accès au jardin, aux piscines et aux autres espaces communs du luxueux complexe.

     

     

    Excellente nouvelle. Nous aurons deux pairs de tours jumelle dans quelques années!

  9. Le problème en ce moment c'est que les gens se stationnent dans l'entrée de la rue Buchan. Vu que c'est devenu une rue à 2 sens, pas assez large pour quelconque stationnement, une voiture dans le chemin bloque un sens au complet. Aujourd'hui avec la neige était impossible dy passer.

    Et il n'y a toujours aucune signalisation ou interdiction de stationner, que ce sois une pancarte ou la peinture jaune sur le trottoir.

     

    Il y a til un numéro pour la ville que je peux appeler pour en faire la demande etc?

     

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    Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce

    Bureau Accès Montréal

    5160, boulevard Décarie, rez-de-chaussée

    Montréal (Québec) H3X 2H9

    Téléphone : 311

    Courriel : cdnndg@ville.montreal.qc.ca

    Heures d'accueil

    Lundi à vendredi : de 8 h 30 à 17 h

  10. Ottawa ne financera pas un stade de baseball à Montréal

     

    Si un nouveau stade doit être construit à Montréal, il devra l’être sans l’aide d’Ottawa, puisque le fédéral ne financera pas les projets d’infrastructure pour les équipes sportives professionnelles.

     

    «Nous avons d'autres priorités, soit d'investir dans les infrastructures critiques pour nos communautés, et nous allons nous concentrer sur ce type d'infrastructures», a indiqué à La Presse le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités Amarjeet Sohi.

     

    Pas d’argent de Québec non plus

     

    La construction d’un nouveau stade dans l’éventualité où les Expos reviendraient à Montréal risque d’être ardue. Philippe Couillard a déjà annoncé, en mai dernier, qu’il n’entendait pas financer un tel projet.

     

    http://www.journaldemontreal.com/2015/12/16/ottawa-ne-financera-pas-un-stade-a-montreal

  11. Du luxe sur le pont Champlain

     

    Des matériaux de 4 à 5 fois plus chers, mais qui dureront plus longtemps, selon Infrastructure Canada

     

    Ottawa est prêt à payer jusqu’à 60 M$ de plus et à importer des matériaux de l’étranger afin que le futur pont Champlain dure plus longtemps, a appris Le Journal.

     

    L’armature du tablier ainsi que plusieurs autres parties du nouveau pont seront construites en acier inoxydable.

     

    Or, ce matériau est «quatre à cinq fois» plus onéreux que l’acier galvanisé qui est généralement employé pour ce type de construction, a confirmé Infrastructure Canada.

     

    Plus cher

    Au total, environ 15 000 tonnes d’acier inoxydable seront utilisées pour la construction du futur pont.

     

    http://www.journaldemontreal.com/2015/12/15/du-luxe-sur-le-pont-champlain

  12. Amphithéâtre du parc Jean-Drapeau : Projet Montréal exige la suspension du projet

     

    Projet Montréal demande la suspension du projet d’amphithéâtre au parc Jean-Drapeau alors qu’il accuse la Ville de donner un cadeau à Evenko, principal promoteur d’événements du site.

     

    Le chef de l’opposition, Luc Ferrandez, ne mâche pas ses mots, les legs annoncés pour le 375e de Montréal, en 2017, sont «une catastrophe».

     

    «On veut minéraliser toute la partie ouest pour construire un auditorium destiné à un seul promoteur. On va construire l'amphithéâtre Evenko, on leur fait un cadeau», a-t-il déploré.

     

    M. Ferrandez a rappelé que jusqu'à tout récemment, le budget pour les legs pour 2017 priorisait l'aménagement d'une promenade riveraine.

     

    «Le budget pour cette promenade est passé de 22M$ à 6 M$, alors que celui pour l'amphithéâtre a tout simplement explosé», a souligné le chef de Projet Montréal.

     

    Il demande à l’administration du maire Denis Coderre de mettre le projet sur la glace étant donné qu'on a déjà annoncé qu'ils ne seront pas livrés à temps pour les festivités de 2017.

     

    Il veut qu'une consultation soit menée pour établir un plan pour le développement du parc Jean-Drapeau.

     

    Une motion à cet effet sera déposée lors de la séance du conseil du 14 décembre.

     

    Le projet de legs présenté par l'administration Coderre s'élève à 70 M$, sera prêt qu’en 2019. La construction de «amphithéâtre naturel» coûtera 30 M$. Ce nouveau parterre permettra d’augmenter la capacité d’accueil de 45 000 à 65 000 spectateurs lors des festivals.

     

    http://www.journaldemontreal.com/2015/12/14/amphitheatre-du-jean-drapeau---projet-montreal-exige-la-suspension-du-projet

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