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  1. La CMM soulève des préoccupations sur le projet de SLR

     

    EXCLUSIF - Un document de travail de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) obtenu par Radio-Canada révèle que des questions préoccupantes restent sans réponses concernant le projet de Réseau électrique métropolitain (REM) de 5,5 milliards de dollars.

     

    Un texte de Julie MarceauTwitterCourriel

    http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2016/08/17/004-cmm-projet-slr-rem-inquietudes-montreal-caisse-depot.shtml

     

    Le document, rédigé par la Commission d'aménagement de la CMM avant le dépôt de l'étude d'impact, se questionne notamment sur les prévisions d'achalandage, l'impact du REM sur les réseaux d'autobus, de métro et de trains de banlieue.

     

    Les auteurs de l'évaluation s'interrogent aussi sur la répartition des coûts et des recettes tarifaires. Ils soulèvent également des questions sur les modalités d'achat d'infrastructures publiques, comme la ligne Deux-Montagnes ou le tunnel Mont-Royal.

     

    « C'est extrêmement important d'avoir ces réponses-là pour voir si c'est vraiment une amélioration pour les usagers et pour les futurs usagers potentiels. [...] Les études d'achalandage, malheureusement, elles n'ont pas été encore rendues publiques », souligne le président de Transport 2000, François Pepin.

     

    L'organisme a formulé au mois de mai une quarantaine de questions sur le projet. « Pour l'instant, elles restent toutes sans réponses [...] Même le ministère des Transports a énormément de questions », indique-t-il.

     

    Dans un avis déposé au Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE), le ministère des Transports conclut effectivement que « certains éléments apparaissent incomplets [...] » et qu'il est dans ce contexte « difficile d'établir que la solution proposée est la meilleure ».

     

    Le ministère ajoute que l'étude d'achalandage de Steer Davies Gleave de mars 2016 « devrait être rendue publique ».

     

    Exemples de questions posées par la CMM :

     

    Quel sera l'impact financier global pour les municipalités lié au financement des services métropolitains de transport en commun?

    Quel est l'impact sur l'achalandage du métro?

    Quel est l'impact du REM sur les réseaux d'autobus de la STM et des CIT?

    Sur les 150 000 passagers par jour attirés par le service de REM, quelle est la part des nouveaux usagers au transport en commun générée par le projet?

    Quelles seront les modalités de partage des recettes tarifaires et des déficits d'opération entre la future ARTM et la CDPQ Infra?

     

    La Caisse de dépôt rassurante

     

    Jean-Vincent Lacroix, le porte-parole de la CDPQ Infra, la filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec responsable du projet, estime que les questions de la CMM sont normales à cette étape du projet.

     

    C'est tout à fait légitime d'avoir des questions des municipalités. Notre objectif est de travailler en collaboration avec elles. On le sait, c'est un grand projet, on n'a pas vu de projet aussi important depuis 50 ans à Montréal [...] Il y a eu des questions et il va y en avoir d'autres, c'est normal, on va prendre le temps de rencontrer les municipalités comme on a fait tout l'été.

     

    Jean-Vincent Lacroix, le porte-parole de la CDPQ Infra

    Plus de 3000 pages d'avis, de consultations et de documents liés à l'étude d'impact de la CDPQ Infra ont été déposées en juillet au BAPE. Les audiences publiques débuteront le 29 août.

     

     

    Entrevue avec Jacques Roy, prof. titulaire spécialisé en gestion du transport et de la logistique, HEC Montréal

     

     

    Pas d'inquiétudes, estime la Ville de Montréal

     

    En réponse à une demande d'entrevue avec Richard Bergeron, la directrice des communications du cabinet du maire, Catherine Maurice, a indiqué à Radio-Canada qu'aucune entrevue ne serait accordée à ce sujet.

     

    « Les questions dont vous faites mention sont des questions pointues, pertinentes et nécessaires proposées dans un document de travail dans le but d'alimenter les discussions autour des trois orientations du PMAD, soit l'aménagement, le transport, l'environnement », a indiqué Mme Maurice.

     

    « Monsieur Richard Bergeron [...] n'a aucune inquiétude quant au projet du REM », écrit la directrice.

     

    La Ville de Montréal répète qu'il s'agit d'un projet d'envergure qui aura des conséquences importantes sur l'économie, l'aménagement et le transport dans la région métropolitaine.

     

    « Nous sommes pleinement satisfaits de la collaboration et des échanges constants que nous avons avec CDPQ-Infra », conclut Catherine Maurice.

     

    La Commission d'aménagement, qui a préparé le document de travail, est constituée de membres de la Ville de Montréal, dont Richard Bergeron, de représentants de Laval, de Longueuil ainsi que des maires de Sainte-Julie et de Saint-Eustache.

     

    Le document a été rédigé en vue d'une rencontre en août avec les représentants de la CDPQ Infra.

     

    La CMM évalue actuellement si le projet de REM correspond aux objectifs du Plan métropolitain d'aménagement et de développement (PMAD) du Grand Montréal.

     

    La Commission prévoit consulter les 82 municipalités du Grand Montréal avant de remettre son rapport final, dont l'adoption est prévue en décembre.

  2. http://ici.radio-canada.ca/tele/1001-VIES/2015/episodes/363754/autour-montgne?isAutoPlay=1

     

    SAMEDI 2 JUILLET 2016

     

    AUTOUR DE LA MONTAGNE

     

     

    Ce documentaire raconte la montée d’une organisation urbaine, au sein des flancs du mont Royal. Un tango se met en place autour de la montagne entre deux sociétés dominantes, mais bien distinctes. Côté sud, les anglophones de Montréal construisent l’Université McGill, côté nord, les francophones répliquent en construisant l’Université de Montréal. Si les anglophones bâtissent l’Hôpital général ainsi que le Royal Victoria, les francophones construisent à leur tour l’hôpital Sainte-Justine.

     

    Autour de la montagne, c’est aussi l’histoire d’une vision, et particulièrement celle de William Law Olmsted, premier grand urbaniste américain et bâtisseur du Central Park à New York. Au 19e siècle, les citoyens de Montréal réclament leur Central Park. Olmsted dessine ainsi le Parc du mont Royal, inauguré le 24 mai 1876.

     

    Le film témoigne d’un mont Royal non seulement considéré comme le poumon de la ville, mais surtout comme un espace culturel, en raison des institutions qui y seront fondées.

     

    À VOIR SUR ICI TOU.TV

     

     

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    super bon, merci!

  3. 924 M$ dans le transport collectif

     

    La Ville de Québec devra toutefois attendre pour son service rapide par bus

     

    CHARLES LECAVALIER

    Mardi, 5 juillet 2016 05:00

    MISE à JOUR Mardi, 5 juillet 2016 05:00

     

    Les agences de transport de la région de Montréal obtiendront des dizaines de millions du fédéral pour mettre à jour leurs infrastructures, alors que Québec devra attendre pour son service rapide par bus.

    Les premiers ministres Justin Trudeau et Philippe Couillard annonceront mardi la signature d’une entente de principe pour deux accords de financement concernant le transport collectif et le traitement des eaux usées.

    Pour accélérer l’usage des fonds, plusieurs projets ont d’ores et déjà été approuvés par Infrastructure Canada, qui gère les enveloppes.

     

    La Société de transport de Montréal (STM) obtient plus de 130 M$ pour la réfection du réseau du métro, ainsi que pour le prolongement de la durée de vie utile des voitures de type MR73 en attendant leur remplacement.

     

     

    Deuxième phase en 2019

     

    Le prolongement de la ligne bleue du métro de Montréal, le service rapide par bus à Québec et le train électrique de la Caisse de dépôt devront toutefois patienter puisqu’ils ne sont pas admissibles et devront attendre la deuxième phase, prévue en 2019.

    L’Agence métropolitaine de transport recevra quant à elle 20 M$ pour l’acquisition de nouvelles voitures de train de banlieue.

    Un montant de 500 M$ additionnel n’a toutefois pas encore eu l’autorisation du Conseil du Trésor du gouvernement Trudeau.

    Toutes les sommes à la disposition du Québec n’ont pas été dépensées. Près d’un milliard de dollars seront disponibles sur trois ans pour la réfection d’infrastructures de transport collectif.

    Traitement des eaux usées

    Les municipalités québécoises bénéficieront aussi de 364 M$ pour améliorer le traitement des eaux usées. Un peu moins de 50 % de ces millions n’ont toujours pas été attribués à des projets particuliers.

    Ces sommes ont été annoncées dans le budget Trudeau et un accord a été trouvé avec le gouvernement Couillard à la fin du mois de juin. Le Québec est la première province à signer une entente bilatérale de ce type.

    Ces ententes font partie intégrante de la première phase du programme libéral fédéral d’infrastructures, qui finance à 50 % les nouveaux projets, qui doivent toutefois être réalisés en moins de trois ans.

    INVESTISSEMENTS EN CHIFFRES

     

    20 M$ pour l’achat de nouvelles voitures de train de banlieue

    130 M$ pour la réfection du métro de Montréal et l’entretien de ses vieux wagons

    3 ans d’entente entre Québec et Ottawa:

    364 M$ pour le traitement des eaux usées

    924 M$ pour les transports collectifs

    La phase 1 du plan d’investissement du gouvernement fédéral prévoit des dépenses de 10 G$ dans les réseaux de transport en commun, les projets d’infrastructures vertes et les projets d’infrastructures sociales.

     

    http://www.journaldemontreal.com/2016/07/05/924-m-dans-le-transport-collectif

  4. La STM forcée de retirer les trains AZUR

     

    AGENCE QMI

    Mardi, 21 juin 2016 15:47

    MISE à JOUR Mardi, 21 juin 2016 15:49

     

    MONTRÉAL – Quelques mois à peine après la mise en service des nouvelles voitures de métro AZUR, la Société de transport de Montréal (STM) a été forcée de retirer les trois premiers trains en circulation.

     

    TVA Nouvelles a appris que l’utilisation de ces trains a été suspendue en raison de boulons qui auraient cédé pour une raison encore inconnue.

     

    «Vendredi dernier, nous avons repéré une anomalie sur un boulon servant au montage des appareils de choc et de traction sur le troisième train reçu. Par mesure de prévention, nous avons retiré les trois trains du service afin de procéder à une nouvelle inspection», a expliqué la porte-parole de la STM, Amélie Régis.

     

    «Nous n’avons constaté aucun problème sur les deux premiers trains qui seront d’ailleurs remis en service à compter d'aujourd'hui», a-t-elle ajouté.

     

    La STM précise que le premier train mis en service a roulé 270 000 km jusqu’à maintenant. Quant au troisième train, des «ajustements» seront faits avant sa remise en service.

     

    http://www.journaldemontreal.com/2016/06/21/la-stm-forcee-de-retirer-les-trains-azur-1#cxrecs_s

  5. La ligne bleue est «le prolongement de la justice», dit le maire Denis Coderre

     

    Même si un prolongement de la ligne orange au nord de Côte-Vertu aiderait au déplacement de deux fois plus d'usagers que celui de la ligne bleue, le maire Coderre persiste et signe. C'est une question d'équité territoriale, l'est de Montréal doit avoir sa part du gâteau, malgré le fait que l'extension de cette ligne de métro coûtera près de 3 milliards de dollars.

     

    Des données dévoilées lundi par le Huffington Post Québec ont notamment révélé qu'un prolongement de la ligne orange semble plus urgent. Peu enclin à commenter les résultats du dossier, Denis Coderre a surtout répété vouloir aller de l'avant avec l'extension vers Anjou.

     

    Est-ce que la ligne bleue est une priorité politique? «C'est un prolongement qui est équitable, c'est le prolongement de la justice. Les gens de l'est ont aussi le droit d'avoir un système [de transport] adéquat», a répondu le maire de la métropole, lundi, en marge d'un conférence de presse où il a annoncé une future mission économique en Israël.

     

     

    Rappelons que la ligne bleue, contrairement à la ligne orange, n'a jamais atteint un point de surcapacité. À l'heure actuelle, seulement six voitures de métro sont utilisées alors qu'il serait possible d'élever le nombre à neuf. Le maire Coderre et les autres adhérents au prolongement de la ligne bleue font valoir que la mise en place du système rapide par bus sur le boulevard Pie-IX, dont la mise en service est constamment repoussée depuis près de 10 ans, permettra d'augmenter l'achalandage de cette ligne du métro.

     

    http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/06/20/metro-denis-coderre-veut-la-ligne-bleue-a-tout-prix_n_10575008.html

  6. J'ai une question idiote : la tour Deloitte est branchée au RÉSO (par le lien avec le Centre Bell et aussi la salle des pas perdus de la gare Windsor). Comme la tour des Canadiens 2 sera reliée à la tour Deloitte par une passerelle est-ce qu'on pourra comptabiliser ce nouvel édifice dans la liste de ceux qui font partie du RÉSO ?

     

    Oui, c'est ce qui est prévu.

  7. J'entends souvent ce genre de commentaire qui dit que certains Français auraient du mépris par rapport à notre accent. Moi je connais plusieurs Français et je n'ai jamais ressenti de mépris. En France, oui, parfois (rarement), mais les Français d'ici, non, pas vraiment.

     

     

    Je travail avec plusieurs nouveaux arrivants Français: des gens charmants et motivés. Jamais eu de problèmes avec eux, que des relations cordiales. Pourtant mon accent ne laisse aucune place au doute: je suis un «pure laine».

  8. Nouvelles études de circulation autour du Royalmount réclamées

     

    Le projet commercial est prévu à l’angle des très achalandées autoroutes 15 et 40.

     

    Le maire de la Ville de Mont-Royal a demandé au promoteur du controversé projet Royalmount de refaire ses devoirs avec ses études de congestion dans la «zone à problèmes» au carrefour des autoroutes Décarie et Métropolitaine, a appris Le Journal.

     

     

    Lors du dévoilement du méga centre commercial il y a un an, l’entreprise Carbonleo avait brandi une étude de circulation réalisée par l’entreprise WSP Global.

    L’étude avançait que le nombre de véhicules dans le secteur n’augmenterait «que» de 5 % sur les deux autoroutes.

     

    Même si sa municipalité a donné l’aval au projet de 1,8 G$, le maire de la Ville de Mont-Royal (VMR), Philippe Roy, a tout de même sourcillé devant l’apparence «vite-faite» de l’étude.

     

    Il dit donc que l’administration de la ville-centre et lui ont demandé à Carbonleo de pousser l’étude encore plus loin avec un deuxième rapport à ses frais.

     

    «C’est un super projet, mais certaines personnes trouvaient que le premier rapport avait besoin d’être plus poussé, donc autant Montréal que VMR avons demandé une nouvelle étude plus approfondie de l’impact sur le trafic du Royalmount», affirme M. Roy en entrevue avec Le Journal.

     

    «C’est déjà une zone à problèmes, donc il faut s’assurer que l’arrivée du Royalmount ne complique pas encore plus la mobilité dans cette zone», continue le maire au sujet du projet qui comptera plus de pieds carrés que le Dix30, à Brossard.

     

     

    Scepticisme

     

    L’échangeur Décarie est un secteur névralgique du réseau autoroutier montréalais qui est déjà considéré comme saturé par le passage de près de 300 000 véhicules quotidiennement.

     

    Ainsi, même si Carbonleo ajoute une voie à la voie de desserte de l’autoroute Métropolitaine où devrait se situer l’entrée principale du complexe, le chroniqueur à la circulation Pierre Olivier doute sérieusement du fait que le bordel pourrait être évité pour les automobilistes.

     

    «Il est présentement 14 h, et l’autoroute Décarie Nord est déjà bloquée sur plusieurs kilomètres, tandis qu’en heure de pointe, Décarie Sud est toujours bloqué sur toute la longueur. Tout le secteur est déjà saturé», soupire le chroniqueur chez Radio Circulation 730.

     

    Pour sa part, le maire de VMR est conscient que sa municipalité, la Ville de Montréal et le ministère des Transports du Québec (MTQ) auront des travaux à faire pour accueillir le complexe.

     

    «Les premiers résultats qui sont sortis laissent croire que tout devrait bien aller, mais nous sommes toujours à l’étape d’analyse et tout le monde discute avec le promoteur pour voir quels sont les aménagements nécessaires pour préparer la zone», indique M. Roy.

     

    Au moment d’écrire ces lignes, le porte-parole de Carbonleo n’avait pas rappelé Le Journal.

     

    http://www.journaldemontreal.com/2016/05/27/nouvelles-etudes-de-circulation-autour-du-royalmount-reclamees

  9. Un corridor pour train de 136 millions construit pour rien sous Turcot?

     

    Un corridor réservé pour le passage de trains de passagers sous le futur échangeur Turcot ne servira vraisemblablement à rien au fil des prochaines années. Une dépense estimée à 136 millions de dollars, selon des documents obtenus par Radio-Canada.

     

     

    Le ministère des Transports du Québec avait voulu être prévoyant dans sa conception du futur échangeur Turcot. Il avait donc prévu un passage, sous la structure, pour une éventuelle navette ferroviaire entre le centre-ville de Montréal et l'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau. Nécessairement, prévoir un tel passage entraînait des coûts supplémentaires.

     

    Le 22 avril dernier, la Caisse de dépôt et placement du Québec a toutefois fait savoir qu'elle n'entendait pas faire passer de trains à cet endroit pour se rendre à l'aéroport. Sa justification? Il faut que le futur Réseau électrique métropolitain soit prêt pour une mise en service en 2020-2021. Il fallait donc trouver une autre solution puisque les travaux de Turcot ne seront achevés qu'en 2020.

     

    « L'annonce du projet de SLR ne change rien à la pertinence de maintenir un corridor disponible pour le futur », indique la porte-parole du MTQ, Sarah Bensadoun, « Les différentes infrastructures passant au-dessus du corridor ferroviaire sont construites avec des ouvertures qui permettraient l'ajout de voies ferrées supplémentaires », poursuit-elle.

     

    Pour le moment, aucun autre projet de transport en commun ne semble être dans les cartons pour passer sous Turcot au fil des prochaines années. La Caisse de dépôt a annoncé la semaine dernière qu'elle envisageait trois différents tracés pour se rendre à l'aéroport, mais aucun ne passe sous l'échangeur Turcot.

     

    Le MTQ précise qu'il est impossible d'estimer le montant exact de ce corridor réservé aux trains sous Turcot. Les documents obtenus par Radio-Canada montrent clairement qu'au moment d'être incluse dans le projet, cette dépense était évaluée à 136 millions par le ministère des Transports du Québec. Elle faisait partie d'une série de mesures visant à encourager le transport en commun.

     

    http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2016/05/27/001-turcot-corridor-passagers-sous-echangeurs-136-millions.shtml

     

     

    Ca pourrait faire une belle piste cyclable par contre. :stirthepot:

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