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  1. Ottawa investirait dans le prolongement du métro de Montréal

     

    Le dossier du prolongement du métro dans l’est de Montréal recevrait un «gros coup de pouce», alors que le gouvernement Trudeau s’apprêterait à investir une somme importante dans le projet dans son premier budget.

     

    Le député de Saint-Léonard–Saint-Michel, Nicola Di Iorio, est très optimiste «qu’une mesure financière soit annoncée dans le transport public qui servira à la construction des nouvelles stations de la ligne bleue».

     

    En entrevue exclusive à TC Media, M. Di Iorio a toutefois tenu à préciser qu’il ne pouvait officialiser l’information ou chiffrer l’investissement en raison du secret sur le budget qui sera présenté le mardi 22 mars.

     

    «J’ai travaillé avec les ministres de l’Infrastructure et des Finances afin de m’assurer que le développement du métro vers l’est de Montréal soit une priorité et que nous ayons les ressources nécessaires pour le réaliser», affirme M. Di Iorio.

     

    Selon l’élu, le gouvernement fédéral ne deviendrait pas un autre gestionnaire dans le projet. «Ce n’est pas très bon d’avoir trop de mains dans la pâte à pizza. Nous serons un partenaire essentiel qui permettra d’accélérer le processus», précise-t-il.

     

     

    Prochaines étapes

     

    En décembre, l’Agence métropolitaine de transport (AMT) avait remis un dossier d’opportunité présentant des études générales du projet, notamment de mise en œuvre et d’analyse de risques.

     

    Si le ministère des Transports du Québec autorise le projet, l’AMT pourra aller de l’avant avec d’autres études, cette fois plus détaillées menant à la création d’un projet d’affaires financé à hauteur de 1,07 M$ cette année.

     

    «Ce dossier peut prendre plusieurs mois à plus d’une année à confectionner. Nous sommes encore au processus général, avant l’élaboration des plans et devis», explique Fanny Clément St-Pierre, de l’AMT.

     

    Jusqu’à présent, 60 M$ ont été investis dans le dossier du prolongement de la ligne bleue.

     

     

    Stations projetées

     

    Le prolongement de la ligne bleue vers Anjou compterait cinq nouvelles stations à l’est du terminus Saint-Michel:

     

    Près du boulevard Pie-IX

    À proximité du boulevard Viau

    Près du boulevard Lacordaire

    Aux environs du boulevard Langelier

    Aux environs du boulevard les Galeries-d’Anjou

     

    http://journalmetro.com/local/villeray-st-michel-parc-extension/actualites-villeray-st-michel-parc-extension/932420/canada-investirait-dans-le-prolongement-du-metro-de-montreal/

  2. Azur roulera désormais pendant les heures de pointe

     

    Les clients de la STM impatients d'essayer le nouveau train Azur pendant l'heure de pointe pourront l'essayer dès 8h ce jeudi matin et jusqu'en soirée.

     

    Le nouveau train, encore en rodage, roulait jusqu'à présent uniquement entre le milieu de la matinée et le milieu de l'après-midi. Depuis lundi, il roule aussi en soirée.

     

    Le départ d'Azur a lieu à 8h jeudi à la station Crémazie en direction Côte-Vertu sur la ligne orange.

    Rappelons que l'unique train Azur disponible à la clientèle est actuellement en période de test jusqu'au 10 avril prochain. Depuis son lancement le 7 février dernier, il devra parcourir au moins 5000 km sans interruption de cinq minutes ou plus.

     

    S'il passe ce test, la STM donnera son feu vert au consortium Bombardier-Alstom pour la livraison des 51 autres trains. Ceux-ci devraient être livrés progressivement jusqu'en 2018. Il y a actuellement un autre train qui passe des qualifications sur les lignes verte, jaune et bleue. Il ne prend toutefois pas de passagers.

     

     

    Le sort des premiers trains MR-63 bientôt connu

     

    La STM devrait annoncer au cours du prochain mois ce qu'elle fera des trains qui seront retirés de la circulation, selon le président du conseil d'administration Philippe Schnobb.

     

    En effet, si 52 premiers trains Azur circuleront sur la ligne orange, ils viendront remplacer une partie des trains MR-73, acquis entre 1976 et 1995 qui y circulent actuellement. Certains des trains remplacés seront relocalisés sur la ligne verte, de laquelle on retirera 14 des premiers trains MR-63.

     

    Le premier train Azur a été livré à STM à la fin avril 2014. Depuis, il a été soumis à une série de tests techniques. Sa mise en service était prévue pour la mi-décembre 2015 après quelques reports de l’échéancier initial.

     

    http://www.journaldemontreal.com/2016/03/02/azur-roulera-desormais-pendant-les-heures-de-pointe

  3. Quel beau manque de planification!

     

     

    Train de l’est: un édicule à la gare Sauvé seulement en 2017

     

    Par Amine Esseghir, TC Media

     

     

    Les usagers du train de l’est qui descendent à Sauvé, devront attendre 2017 pour pouvoir bénéficier d’une gare conforme aux normes. Alors qu’elle devait être prête au début de cette année, l’Agence métropolitaine de transport (AMT) espère que l’appel d’offres pour sa réalisation sera lancé ce printemps.

     

    «On a dû trouver un nouvel emplacement parce que l’ancien concept ne fonctionnait plus», a indiqué la porte-parole de l’AMT, Fanie Clément Saint-Pierre. La présence d’un énorme collecteur d’égout au site initial a fait suspendre la construction en 2012. Ce problème a retardé de sept mois l’arrêt du train à Sauvé après la mise en service de la ligne en partance de Mascouche. Le nouvel édicule doit être construit en hauteur et nécessite l’édification d’un mur de soutènement.

     

     

    Accès

     

    Le début des travaux serait prévu pour l’automne. Un ascenseur serait construit pour assurer l’accès aux personnes à mobilité réduite. En ce moment, on parvient au quai par des escaliers provisoires. Pour Geneviève, une des passagères du train rencontrées sur le quai, les deux volets de marches sont suffisantes. «Mais c’est vrai que pour les gens en fauteuil roulant, ce n’est pas très commode», convient-elle.

     

     

    Le Regroupement des activistes pour l’inclusion au Québec (RAPLIQ), qui milite pour le respect des droits des personnes qui vivent avec un handicap, a intenté en avril 2015 un recours collectif contre l’AMT, la Société de transport de Montréal (STM), la Ville de Montréal et le ministère des Transports pour mettre un terme à ce qu’il considère de la discrimination.

     

    «Il n’y a que quatre gares sur 13 de la ligne du train de l’est qui sont accessibles aux personnes à mobilité réduite», s’indigne la présidente, Linda Gauthier.

    L’AMT prévoit la réalisation d’ici la fin mars d’une rampe d’accès rétractable temporaire en attendant la construction de l’édicule. Toutefois, même si la gare devient accessible universellement, Mme Gauthier déplore que la station de métro Sauvé, tout à côté, ne soit pas adaptée aux personnes en fauteuil roulant. Le transfert intermodal ne sera donc pas possible, les usagers handicapés devant se rendre à la gare centrale pour espérer prendre le métro.

     

    http://journalmetro.com/local/ahuntsic-cartierville/actualites/925192/train-de-lest-un-edicule-a-la-gare-sauve-seulement-en-2017/

  4. Un bon texte de MB-C auquel j'adhère:

     

     

    Le DIX30 ou l’architecture jetable

     

    Mathieu Bock-Coté

    Mardi, 1 mars 2016 05:00

     

    À première vue, la nouvelle semble banale**. Samedi, on apprenait que le DIX30, le quartier commercial à Brossard**, sera en partie rasé.

    Après 10 ans, l’heure serait venue d’un grand réaménagement. Il y a probablement d’excellentes raisons commerciales d’agir ainsi.

    Mais cherchons un instant à voir les choses autrement, en remettant en question ce que le journaliste Jean-Philippe Pleau appelle «l’architecture jetable».

    C’est notre rapport à la civilisation qui se pose. Sans rêver d’un bon vieux temps imaginaire, on peut reconnaître qu’autrefois on construisait avec le souci de la durée.

     

     

    L’éphémère

     

    Ce qu’on construisait, on voulait que ça s’inscrive dans le temps.

    L’architecture devait, du moins dans ses manifestations ambitieuses, traverser les générations.

    Qu’est-ce qui est si charmant dans un village québécois? L’église, évidemment.

    Sa simple présence nous rappelle une chose fondamentale: comme l’écrit le philosophe Alain Finkielkraut, nous naissons dans un monde qui nous précède et qui nous survivra.

    Les vieilles pierres nous invitent à la modestie: nous ne sommes que de passage sur cette Terre et nous avons pour mission d’améliorer le monde qu’on nous a transmis, de l’embellir.

     

     

    Table rase

     

    Mais le capitalisme contemporain a un autre fantasme: pouvoir faire table rase de tout quand il veut.

    Tout reprendre à zéro selon son bon vouloir. Ne pas se sentir engagé par le passé. Ne pas être lié par la tradition.

    On ne construit plus rien pour l’avenir. L’homme se croit tout puissant. Il veut faire et défaire le monde à sa guise.

    C’est le culte de l’éphémère, du jetable et du friable.

    On fait sortir de terre un quartier artificiel et on le rase en partie 10 ans plus tard. Plus tôt que tard, il n’en restera plus rien.

    Rien de tout cela n’est tragique, probablement. Mais c’est pourtant le signe d’un monde déraciné, moins beau et surtout moins humain qu’on le croit.

     

    http://www.journaldemontreal.com/2016/03/01/le-dix30-ou-larchitecture-jetable

  5. Réinventer le funiculaire de la tour du Stade olympique

     

    RCQC | Par Radio-Canada.ca

    Publication: 29/02/2016 07:21 EST Mis à jour: 29/02/2016 07:22 EST

     

    La Régie des installations olympiques (RIO) s'apprête à moderniser le funiculaire de la tour du Stade olympique de Montréal, espérant ainsi doubler le nombre de touristes qui visitent l'endroit chaque année.

     

    Un texte de Jean-Philippe Robillard

     

    La direction du Parc olympique souhaite que la tour du stade devienne un incontournable pour les touristes. Le but de la cure de rajeunissement est de faire oublier l'âge derrière les lieux. Alors que la tour célèbre 40 ans d'existence, le funiculaire, lui, cumule une trentaine d'années et un million de voyages.

     

    La RIO a récemment lancé un appel d'offres pour tenter de trouver la firme qui concevra le futur funiculaire. Le président de la RIO, Michel Labrecque, affirme que le nouveau funiculaire va intégrer des technologiques de pointe afin d'agrémenter l'expérience des visiteurs.

     

    « Le funiculaire, ça doit devenir une expérience différente lorsqu'on monte et lorsqu'on descend. On est capable avec les technologies modernes de donner une valeur ajoutée, soit par l'infographie projetée, soit par la narration », soutient-il.

     

    Par exemple, l'ajoute de nouvelles technologies pourrait servir à raconter aux visiteurs l'histoire de Montréal ou des peuples autochtones.

     

    « Il faut renouveler l'expérience. Il faut améliorer le wow que les gens retiennent. »

    — Michel Labrecque, président de la RIO

     

    L'appel d'offres souligne notamment que « plusieurs exemples de funiculaires [...] témoignent d'ingéniosité et d'une grande créativité pour offrir une expérience utilisateur qui s'éloigne de la simple ascension », dont le SkyCar du stade Moses Mabhida en Afrique du Sud, avec son cube vitré, et le funiculaire du mont San Pedro à La Corogne, en Espagne.

     

     

    S'inspirer de Toronto

     

    La RIO pourrait également s'inspirer de Toronto pour rendre plus attrayante la tour et le Stade olympique, par exemple en ajoutant de la fenestration. « Et est-ce qu'on peut faire des sorties sur le toit ? Quand on regarde la tour du CN, à Toronto, il y a des sorties à l'extérieur. Alors, est-ce qu'on fait une série aventureuse ? Est-ce qu'on fait une sortie expérientielle ? » se questionne M. Labrecque.

     

    À Toronto, la tour du CN a augmenté ses revenus de 10 % l'an passé notamment après avoir installé en 2011 des harnais qui permettent aux visiteurs de se suspendre près du vide.

     

    Une fois les travaux terminés, la RIO espère pour sa part doubler la fréquentation de l'observatoire de la tour du Stade sur une période de cinq ans. Les travaux vont coûter plusieurs millions de dollars.

     

    http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/02/29/reinventer-le-funiculaire-de-la-tour-du-stade-olympique_n_9346800.html

     

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    J'ajouterais que lors de ma visite au Stratosphere de Las Vegas l'année dernière, nous pouvions voir des gens se jeter en bas en bungee pendant notre repas :openmouth: . Pas quelque chose que j’essayerais, mais pour quelqu'un qui aime ca... Le Skyjump:

     

    skyjump-las-vegasfull.jpg

  6. Radio-Canada ne peut renier son passé

     

    Convertir la tour hexagonale en petit hôtel, bâtir des centaines de logements, créer des places publiques animées… Voilà à quoi pourrait ressembler le redéveloppement du site de Radio-Canada.

     

    Ce scénario, surnommé le Quartier des médias, n’est pas une lubie ni un projet universitaire. Au contraire : c’est une proposition étoffée issue d’un consortium d’architectes, d’architectes paysagistes, d’entrepreneurs et de financiers, élaborée à la demande de la Société Radio-Canada (SRC) pour combler différents besoins.

     

    Le premier : rationaliser ses installations dans un nouvel édifice vitré, au coin de René-Lévesque et de Wolfe, avec des espaces de bureaux et des locaux de production de plus petite envergure. Le second : faire disparaître d’immenses stationnements à ciel ouvert afin de donner de la valeur au site et de créer un véritable milieu de vie.

     

    Mais après deux années de travail avec le consortium, la SRC a décidé, l’automne dernier, de mettre ce projet sur la glace, du moins pour l’instant, préférant envisager d’autres options, dont le déménagement de ses activités ailleurs au centre-ville. Les images de ce «Quartier des médias» n’ont donc pas encore été dévoilées publiquement, ce qui aurait pourtant dû être le cas afin de susciter un débat public sur l’avenir de cette portion du centre-ville.

     

    «Abandonner ce site [et déménager], ça serait condamner ce secteur est de la ville à un déclin certain pour au moins deux décennies, affirmait l’architecte Claude Provencher, membre du consortium, dans une lettre ouverte publiée mardi dernier. Radio-Canada doit prendre la mesure de ses décisions du passé et assumer un leadership dans la revitalisation de ce quartier. Ce qu’elle n’a jamais fait.»

     

    Entre vous et moi, difficile de ne pas partager ce constat. Radio-Canada n’a effectivement plus le choix d’assumer son rôle afin d’assurer un avenir décent à son quartier, après avoir expulsé plus de 1 200 résidants sous l’ère Drapeau au nom de la modernité. Quarante ans plus tard, la tour est toujours tristement isolée de son voisinage et n’aura apporté que très peu de valeur au boulevard René-Lévesque sur le plan commercial, malgré ses milliers d’employés. En levant le nez sur son quartier, la SRC ne ferait que transférer le fardeau d’une série de mauvaises décisions urbanistiques aux futures générations.

     

    Il faut donner espoir que dans un horizon de 15 ans, on puisse réaliser ce qu’on a réussi à faire avec le Quartier international, soit un quartier vivant et attrayant. Si on crée un plan d’ensemble intelligent pour le site de Radio-Canada, ça donnera immédiatement une plus-value au quartier. Ça aura des impacts sur la gare Viger, sur le square Viger, sur le CHUM. C’est utopique de penser qu’une vocation monofonctionnelle, comme celle qu’on connaît actuellement, puisse relancer adéquatement le site.

     

    Reste à voir maintenant si l’appel sera entendu par les dirigeants de Radio-Canada. Ira-t-on jusqu’à jeter à la poubelle les milliers de dollars investis jusqu’à maintenant pour élaborer ce «Quartier des médias»? Chose certaine, le terrain de la SRC pourra difficilement prendre de la valeur [et de l’intérêt] aux yeux des Montréalais si on n’y ajoute pas une touche d’amour et une vision.

     

    http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/922252/radio-canada-ne-peut-renier-son-passe/

  7. La caverne de Saint-Léonard deviendrait le «Centre de la Terre»

     

    La caverne de Saint-Léonard pourrait devenir un site d’attraction scientifique et éducatif, dans la même veine que le Biodôme et le Planétarium, selon la Société de spéléologie du Québec qui compte faire de ce site le «Centre de la Terre».

     

    «Alors que le Planétarium permet d’en apprendre davantage sur l’espace […] le « Centre d’interprétation de la Terre » aura comme mission d’expliquer aux visiteurs la formation des calcaires ordoviciens des basses-terres du Saint-Laurent et les mouvements de glaciers», explique le dossier de projet consulté par TC Media.

     

    Formé il y a 10 000 ans, le site caverneux qui se trouve en plein cœur de la métropole est géré par la Société de spéléologie du Québec. Chaque année, 1500 à 2500 visiteurs explorent cette caverne longue de 35m. C’est ce succès que l’organisme souhaite utiliser comme rampe de lancement pour mettre en place un projet d’envergure.

     

    «Au cours des dernières années, nous n’avons pas réussi à répondre à la demande. Nous voudrions faire quelque chose de plus gros pour mettre en valeur la grande histoire géologique du site», indique François Gélinas, directeur général de l’organisme.

     

     

    La vision

     

    Le nouveau centre d’interprétation serait ouvert à l’année et offrirait des salles présentant des expositions permanentes et temporaires.

     

    Actuellement, le site n’est accessible que du mois de mai au mois d’août, en raison de la main-d’œuvre, qui est composée de guides étudiants, et des conditions météorologiques.

     

    La neige et le froid ne permettent pas d’ouvrir la caverne par temps froid. De nouveaux aménagements, dont une salle étanche et l’agrandissement du pavillon du parc Pie-XII, devraient être réalisés pour permettre d’ouvrir plus de six mois par année.

     

    «Il nous faut un sas afin d’éviter que des chocs thermiques cassent la roche de la grotte. De plus, avec l’agrandissement du pavillon, nous pourrions y déménager et y faire de l’animation», explique M. Gélinas.

     

    D’autres cavernes qui demeurent inexploitées pour le moment à Saint-Léonard pourraient également être aménagées, dont celle de la rue du Saguenay.

     

    «C’est une deuxième étape. La caverne Saguenay est située dans un secteur résidentiel, et nous voudrions sonder les voisins pour nous assurer de ne pas les déranger lors de nos visites», souligne le directeur général.

     

    Le coût de la construction de cette structure n’est pas encore connu. Toutefois, l’organisme estime qu’il faudrait environ 250 000$ pour mettre en place les expositions et acheter de l’équipement. Ce montant n’inclut pas les travaux au pavillon ni la construction du sas.

     

     

    Les premiers pas

     

    Afin de réaliser son projet, la société souhaite y aller graduellement. Dès cet été, elle doublera son nombre de visites, passant de trois à six visites par jour. M. Gélinas espère atteindre les 30 000 visiteurs si le site est accessible à l’année.

     

    L’organisme devrait rencontrer l’arrondissement de Saint-Léonard, notamment pour la question des travaux au pavillon, au cours des prochaines semaines. De plus, il compte également commencer les démarches pour trouver du financement.

     

    «Si tout va bien, je nous donne cinq ans pour réaliser le projet», dit M. Gélinas.

     

    TC Media a tenté de joindre l’arrondissement de Saint-Léonard, mais sans succès.

     

    http://journalmetro.com/local/saint-leonard/actualites/919667/la-caverne-de-saint-leonard-deviendrait-le-centre-de-la-terre/

  8. La CSN ne veut pas que Radio-Canada vende son siège social

    20 février 2016 15h52 |La Presse canadienne | Médias

     

    Le Syndicat des communications de Radio-Canada (SCRC) demande l’intervention du gouvernement fédéral afin qu’il ordonne à la haute direction de la société d’État de mettre de côté son plan de vendre son siège social dans l’est de Montréal.

     

    Le syndicat, qui, outre les journalistes, regroupe aussi les techniciens et employés de bureau au Québec et à Moncton, se dit « étonné » d’apprendre que le siège social a officiellement été mis en vente.

     

    Pour le syndicat, affilé à la Confédération des syndicats nationaux, cette annonce n’a rien de rassurant pour les employés alors que les négociations pour conclure une nouvelle convention collective unifiée commenceront dans quelques semaines.

     

    La présidente du SCRC, Johanne Hémond, dit trouver tout à fait « incompréhensible » de voir la haute direction s’« acharner » à vouloir vendre un patrimoine appartenant à tous les Canadiens alors que le nouveau gouvernement a promis de réinjecter de l’argent frais dans les coffres de RC/CBC lors du prochain budget, dans quelques semaines.

     

    Vendredi, le média La Presse révélait que les acheteurs potentiels devaient se manifester avant la mi-mars s’ils désiraient acheter la haute tour et les terrains adjacents, évalués par la ville à 104 millions.

     

    Or, la première rencontre de nouveau syndicat unifié avec la haute direction de Radio-Canada est prévue le 15 mars, question de s’entendre sur un échéancier pour les négociations.

     

     

    Aide fédérale ?

     

    Même si le gouvernement libéral semble plus ouvert que l’ex-gouvernement conservateur au rayonnement de Radio-Canada/CBC, Mme Hémond estime qu’il faut demeurer prudent car, dit-elle, la haute direction maintient sa volonté de poursuivre l’application de son Plan 20/20 prévoyant notamment la fin de la production des émissions dramatiques et de variété à l’interne. À son avis, cela provoque une grande inquiétude pour les artisans de la société.

     

    Toutefois, signe peut-être encourageant, tout en respectant l’indépendance de Radio-Canada, la ministre du Patrimoine canadien, Mélanie Joly, a plaidé, dans une entrevue au Devoir pour que la haute direction consulte les employés, les syndicats et les acteurs du monde politique montréalais afin de prendre « une bonne décision » dans ce dossier.

     

    Le syndicat rappelle ne pas être contre le virage numérique entrepris par la société mais il estime qu’il manque cruellement de vision dans le Plan 20/20 du président Hubert T. Lacroix dont le mandat prendra fin dans un an.

     

    http://www.ledevoir.com/societe/medias/463570/la-csn-ne-veut-pas-que-radio-canada-vende-son-siege-social-a-montreal

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