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  1. Parc Jean-Drapeau: La disparition de bassins d’eau inquiète

     

    La disparation de bassins d’eau au profit d’une nouvelle allée centrale au parc Jean-Drapeau inquiète l’opposition officielle à la Ville de Montréal,

    qui déplore la destruction d’un milieu humide que le maire de Montréal, Denis Coderre, définit plutôt comme «un trou d’eau».

     

    PJD.jpg

     

    Vendredi dernier, le maire de Montréal a annoncé le projet de mise en valeur du parc Jean-Drapeau qui comprend un nouvel aménagement à la sortie du métro Jean-Drapeau dans le cadre des festivités du 375e anniversaire de Montréal, en 2017.

     

    Selon les plans de la Ville, le nouvel aménagement entre la sortie du métro Jean-Drapeau, l’œuvre de Calder, la Biosphère et l’Île-Notre-Dame, fera disparaître un canal d’eau, deux bassins et une fontaine.

     

    «On va faire disparaître un milieu humide qu’on dit vouloir remplacer comme lorsqu’on fait des coupes d’arbres et qu’on en plante ailleurs. Ce qu’il faut comprendre, c’est que cette notion de compensation n’existe pas pour un milieu humide», a déploré le chef de Projet Montréal, Luc Ferrandez.

     

    Le maire Coderre estime que l’opposition officielle répand des «faussetés», car dit-il les bassins du parc Jean-Drapeau ne sont pas des écosystèmes.

     

    «On parle d’un milieu humide qui a été créé par la main humaine. Imaginez-vous si on avait fait cette île-là avec les environnementalistes! On parle d’un trou qui a été rempli d’eau. On ne saccage pas de milieu humide», a-t-il assuré.

     

    Pour aller de l’avant avec son projet, Montréal devra tout de même obtenir une autorisation du ministère de l’Environnement du Québec en lui proposant un plan de compensation.

     

    Le projet, estimé à 70 M$, sera prêt qu’en 2019. Il comprend la construction d’un «amphithéatre naturel», qui permettra d’augmenter la capacité d’accueil de 45 000 à 65 000 spectateurs lors des festivals ainsi que l’aménagement d’une promenade riveraine le long du fleuve Saint-Laurent.

     

    http://www.journaldemontreal.com/2015/10/26/parc-jean-drapeau-la-disparition-de-bassins-deau-inquiete

  2. En attendant la ligne bleue

     

    Par Marc-André Carignan

     

    Le moins qu’on puisse dire à propos de la rue Jean-Talon Est, c’est qu’elle n’est vraiment pas l’artère commerciale la plus attrayante de Montréal.

     

    Pour y avoir travaillé dans une autre vie, je vous avoue que je ne m’ennuie pas tellement de son architecture commerciale et résidentielle disparate, de ses trottoirs ravagés par le temps et de ses arbres chétifs qu’on peut pratiquement compter sur les doigts d’une main.

     

    Et que dire de ses «mosaïques» d’asphalte et de pavé uni de trois ou quatre mètres de large, faisant grossièrement le lien entre le trottoir et les façades commerciales? Quelques restaurants y ont vu l’occasion d’aménager des terrasses, mais pour les autres, c’est un espace tristement oublié où pousse la mauvaise herbe.

     

    Cela dit, il faut reconnaître que l’artère s’en sort relativement bien sur le plan commercial, particulièrement à l’est de Viau. On y croise peu de locaux vacants, alors que les communautés culturelles (ghanéenne, arménienne, algérienne…) trouvent progressivement leur place dans cette zone longtemps dominée par la communauté italienne. La qualité de l’offre commerciale s’améliore également avec de nouveaux commerçants qui décident d’en faire leur terre d’accueil.

     

    Reste que cette artère névralgique de Saint-Léonard a mal vieilli et aurait besoin d’un peu d’amour. «Il faut ramener un sentiment de fierté sur la rue, avoue Sylvain Tardif, directeur de la Société de développement commercial (SDC) Jean-Talon Est. On a besoin de places publiques, de verdure, d’art public. On doit donner le goût aux résidants et aux commerçants de s’impliquer dans le quartier.»

     

    M. Tardif planche d’ailleurs en ce moment, en collaboration avec la ville-centre, sur un projet de revitalisation urbaine estimé à 3M$, qui s’étendrait de Viau à Langelier. Les objectifs: verdir Jean-Talon Est, favoriser la marche, voire le vélo, avec un design urbain adéquat et, surtout, attirer de nouvelles PME.

     

    «Il y a de la pauvreté dans le quartier, et la création d’emplois pour les nouveaux arrivants est une priorité, poursuit M. Tardif. Plusieurs d’entre eux sont diplômés, mais n’arrivent pas à travailler. […] On veut donc attirer de nouveaux commerces, mais aussi remplir nos bureaux avec des entreprises qui offrent des emplois de qualité.»

     

    Pour le directeur de la SDC, un milieu de vie plus attractif est incontournable à ce stade-ci pour réussir à attirer de nouveaux investisseurs. Il compte également sur l’arrivée tant espérée (mais pas encore confirmée) de la ligne bleue du métro.

     

    «Beaucoup de gens circuleront à pied pour se rendre aux stations de métro, notamment sur Jean-Talon, indique-t-il. Il faut préparer le quartier pour mieux desservir les futurs usagers. Il faut aussi penser à densifier le secteur pour y amener davantage de résidants. […] Il y a encore beaucoup de pain sur la planche.»

     

    La ville-centre et l’arrondissement Saint-Léonard organiseront des consultations publiques cet hiver afin d’inviter les résidents et les commerçants à participer au projet de revitalisation urbaine. Le début de travaux est prévu pour 2017.

     

    http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/853933/en-attendant-la-ligne-bleue/

  3. Le déménagement du CHUM pourrait être reporté

     

    Il y a peu de chances que les premiers patients du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) arrivent comme prévu à la fin d'août 2016 dans le nouvel établissement. La décision finale sera prise d'ici décembre, mais déjà, plusieurs employés du CHUM ont reçu des informations selon lesquelles les patients ne seront pas transférés avant octobre ou novembre 2016.

     

    Un texte de Anne-Louise Despatie

     

    « Ce n'est pas encore décidé, mais c'est probable », dit Irène Marcheterre, directrice des communications au CHUM.

    Ce report d'au moins deux mois dans le transfert des patients doit être envisagé parce que le CHUM s'était laissé seulement quatre mois pour la « période d'activation clinique ». Cette période consiste à préparer graduellement le personnel et les lieux avant l'arrivée des patients. En comparaison, le Centre universitaire de santé McGill s'était donné deux fois plus de temps pour cette transition, où l'on doit notamment installer l'équipement et former les employés dans leur nouveau lieu de travail.

     

    « Si on reporte le déménagement, c'est dans le souci d'assurer la sécurité des employés et la qualité des soins qui seront donnés dans notre nouvel hôpital. C'est la priorité », explique Mme Marcheterre.

     

    Le CHUM a décidé de recourir à la même entreprise spécialisée dans les déménagements d'hôpitaux qui a exécuté le transfert des patients du CUSM au printemps dernier, Health Care Relocations.

     

    Depuis quelques semaines, le CHUM a aussi un nouveau directeur général, Fabrice Brunet, qui cumule également la direction du CHU Sainte-Justine.

     

    M. Brunet a d'ailleurs avisé le ministre de la Santé Gaétan Barrette des « délais potentiels » dans le transfert des patients. Le ministre dit suivre de près la situation.

    Par ailleurs, la porte-parole du CHUM a confirmé qu'il y a du retard dans la construction du nouvel hôpital, mais croit toujours pouvoir prendre livraison du bâtiment comme prévu, dans six mois exactement.

     

    Le constructeur Collectif Santé Montréal dit tout mettre en oeuvre pour rattraper le retard. Quelque 2500 travailleurs sont à l'oeuvre présentement derrière les fenêtres du nouveau bâtiment pour qu'il soit livré le 22 avril 2016. On y trouvera les 700 chambres individuelles du nouveau CHUM. La construction qui est réalisée dans le cadre d'un partenariat public privé comporte une autre phase et tout retard risque d'avoir un effet domino. Juste à côté, l'Hôpital Saint-Luc doit être démoli pour faire place à un autre bâtiment, qui doit être terminé en 2020.

     

    CSM regroupe deux entreprises européennes Laing O'Rourke et Obrascon Huarte Lain (OHL) comme maîtres d'oeuvre, qui ont fait appel à plusieurs sous-traitants. Elles comptent plus d'une centaine d'hôpitaux à leur actif dans le monde.

     

    http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2015/10/23/001-chum-pourrait-ouvrir-plus-tard-que-prevu.shtml

  4. La STM prépare le retrait des vieilles voitures de métro

     

    La Société de transport de Montréal (STM) prépare la deuxième vie des voitures MR-63.

     

    Un appel d’offres a été publié hier afin de trouver une entreprise qui sera responsable de «mettre en valeur» ces voitures qui roulent depuis près de 50 ans. Celle qui sera choisie devra être en mesure de prendre possession des voitures, de les transporter, de les démanteler et de gérer les matières résiduelles «de façon écoresponsable».

     

    «Les voitures MR-63 sont actuellement en service et seront graduellement remplacées au même rythme que la livraison des voitures de métro Azur, prévue à une cadence de un à deux trains par période de 30 jours, est-il écrit dans les documents de la STM. Un train MR-63 est constitué de trois voitures remorques et de six voitures motrices, pour un total de neuf voitures.»

     

     

    Le directeur général de la STM, Luc Tremblay, a indiqué lors de la dernière séance du conseil d’administration que la mise en service des nouvelles voitures Azur commencera au début de 2016. En août dernier, des tests ont été réalisés durant les périodes hors pointe pour analyser la performance de ces voitures fabriquées par le consortium Alstom-Bombardier. Aucun usager ne peut y entrer pour le moment.

     

    Un maximum de 333 voitures MR-63 sera recyclé. Des discussions ont été amorcées avec le musée ferroviaire de Saint-Constant, qui souhaite acquérir une voiture. La STM réfléchit aussi à la possibilité d’acquérir un train – soit neuf voitures – ou quelques voitures. Pour le reste, la STM lancera au mois de janvier un appel de projets.

     

    «Les gens pourront soumettre des projets, a indiqué la porte-parole de la STM, Amélie Régis. Il y aura des critères à respecter et il y aura un comité qui se penchera sur les projets. Les voitures qui ne feront pas l’objet d’un projet seront recyclées.»

     

    «[Les voitures MR-63] ont une valeur patrimoniale indéniable, a ajouté Mme Régis. On a déjà entendu dire que certaines personnes avaient des idées pour leur donner une seconde vie.»

     

    Les 336 voitures MR-63 ont été construites en 1963 par la Canadian Vickers. Elles sillonnent le réseau de Montréal depuis son inauguration, en 1966. Elles ont subi d’importantes rénovations dans les années 1990 et ont été réaménagées en 2010. À tous les millions de kilomètres parcourus, elles tombent en panne environ 3,7 fois, d’après des données de la STM datant de 2014, comparativement à 2,5 fois pour les voitures MR-73, qui ont été fabriquées par Bombardier et qui ont été mis en service entre 1976 et 1980.

     

    http://journalmetro.com/actualites/montreal/860807/la-stm-prepare-la-sortie-des-vieilles-voitures-de-metro/

  5. Trudeau a promis de ne pas faire payer les passages sur le nouveau pont Champlain.

     

    Les maires de la région montréalaise espèrent que Justin Trudeau tiendra sa promesse de ne pas imposer de péage sur le nouveau pont Champlain. Mais ce n’est pas gagné d’avance, avertit un expert.

     

    «Je me réjouis de l’arrivée de M. Trudeau, car ça va mettre fin au débat du péage ou non sur le nouveau pont [...] C’était une promesse claire et sans équivoque, alors je ne vois pas comment il ne la tiendrait pas», a indiqué le maire de Brossard et farouche opposant au péage, Paul Leduc.

    «Le péage du pont Champlain prend le bord et on est bien contents», a ajouté le maire de Montréal, Denis Coderre.

    Rappelons que M. Trudeau avait martelé tout au long de la campagne fédérale qu’il n’imposerait pas un péage sur le nouveau pont Champlain.

    «La situation est unique. Nous parlons de remplacer un pont et non d’ajouter une offre de service», avait expliqué le chef du Parti libéral lors de la campagne.

     

    Celui-ci avait ajouté qu’un péage uniquement sur le pont Champlain empirerait la congestion sur les quatre autres ponts et tunnels entre Montréal et la Rive-Sud.

     

    «L’ajout du péage aurait un impact considérable sur l’achalandage des autres ponts. La congestion résultante aura un impact économique non négligeable», avait souligné M. Trudeau le mois dernier.

     

    Conséquences majeures

     

    Or, Ottawa a déjà signé un contrat avec un consortium dirigé par SNC-Lavalin qui prévoyait un péage sur la nouvelle structure.

     

    Selon l’avocat Sébastien Laprise, la décision de retirer le péage du contrat entre Ottawa et le consortium Signature sur le Saint-Laurent pourrait avoir des conséquences importantes sur l’entente entre les deux organismes.

     

    «Si on retire le péage, on touche un aspect fondamental du contrat. Ce n’est pas une partie auxiliaire de l’entente, c’est sûrement un élément très important du cadre financier», explique le spécialiste en droit de l’approvisionnement et contrats publics.

    Dans certains cas, une mésentente assez importante entre Transports Canada et le consortium dirigé par SNC-Lavalin pourrait même mener à la résiliation du contrat.

     

    «Les conséquences pourraient être majeures, ça pourrait même aller jusqu’à la résiliation du contrat. Quand les partis se sont engagés dans le contrat, ça comportait un péage. D’en modifier la nature comme ça, ça touche à l’essence du partenariat», analyse l’avocat au cabinet Langlois Kronström Desjardins.

     

    Questionné à savoir si le consortium serait ouvert à renégocier la question du péage, la porte-parole de Signature sur le Saint-Laurent a dirigé Le Journal vers Transports Canada, qui n’a pas répondu à nos questions.

  6. Je ne mélange rien mon ami, je ne fais que reprendre l'esprit des textes de la Ville de Montréal sur l'historique de ces quartiers. Elle a d'ailleurs produits de petits bijoux de brochures dans les années 80, que je possède encore sur le sujet. Ayant toujours été un passionné de la métropole, j'ai aussi collectionné les découpures de journaux (scrap-books) sur tous les projets proposés à la Ville, réalisés ou non, depuis l'âge de 12 ans (donc plus de 50 ans). Pareil pour d'anciennes revues offertes par la mairie intitulées Montréal ( années 64 à 68) et bien d'autres documents originaux de journaux et brochures dont ceux produits par le COJO notamment, pour lequel j'ai travaillé 3 ans jusqu'à la fermeture des rapports finaux des Jeux Olympiques de Montréal 76.

     

    Pour ceux que cela intéresse, j'ai même le cahier spécial complet du journal Montréal-Matin sur l'ouverture d'Expo 67 daté du 27 avril 1967. Aussi l'édition du Montréal-Matin du 13 mai 1970 où on annonce officiellement le choix de Montréal pour les Olympiques de 76 avec cahier spécial au centre. Même une incongruité: l'édition complète du Journal de Montréal du lundi 27 mai 1968, dont la page frontispice indique par erreur lundi 28 mai. Des documents de collectionneurs et quelques autres dont j'ai pris plaisir à conserver , je pense à La Presse du 7 et du 8 mai 1945 qui annonce la fin des hostilités en Europe (tous ces papiers en excellent état).

     

    Remarques que je n'ai pas de mérite puisque je suis tombé dedans quand j'étais petit. Ceci explique peut-être un peu ma participation sur ce forum qui devient une sorte d'exutoire de ma longue passion. Quant à ces documents, je souhaite éventuellement m'en départir au service de quelqu'un qui en reconnaitra la valeur et qui saura mieux les archiver, pour son propre plaisir et connaissance, comme pour celle des autres.

     

    Pour revenir au sujet de ce fil, c'est bien modestement que j'exprime mon opinion, mais avec preuve à l'appui. Toujours dans le but de mieux faire connaitre la ville et transmettre un peu plus de cette fierté d'être né et avoir vécu dans un endroit exceptionnel, qui n'a pas fini de nous étonner par son dynamisme et sa résilience.

     

     

    Putain Obélix, je suis soufflé!

     

    :ohmygod::applause::thumbsup::mtlurb::thumbsup::applause:

     

     

    Tenez-vous le pour dit, cela vaut pour vous tous ;) !

  7. Exclusif - Vide depuis sa construction, le mât du stade aura finalement des locataires. Le Mouvement Desjardins a signé une entente avec la Régie des installations olympiques (RIO) pour y aménager un centre de gestion des opérations de cartes bancaires.

     

    Un texte de Davide Gentile

     

    Selon nos informations, entre 1300 et 1800 employés pourraient éventuellement occuper les énormes espaces situés dans la tour. L'entente, d'une durée de 15 ans, serait d'une valeur de 37 millions de dollars, renouvelable pour 15 ans de plus.

     

    Des sources indiquent à Radio-Canada « qu'entre quatre et six étages » seraient occupés par le Mouvement Desjardins. L'investissement total de Desjardins serait cependant bien supérieur à 37 millions, puisque la coopérative devra assumer tous les coûts d'aménagement.

     

    Il semble notamment que les fenêtres de la tour doivent être changées. En ce moment, les étages sont vides. Tout le travail de construction des bureaux reste à faire, et l'installation du matériel pour faire fonctionner le centre se ferait à partir de zéro.

     

    Avantages indéniables

     

    Le stade présenterait des avantages indéniables pour Desjardins. D'abord, la majorité des employés déplacés travaillent déjà dans l'est de la métropole. Le déménagement ne dévitaliserait donc pas cette partie de Montréal.

     

    Et le stade comporte aussi des avantages au niveau de la sécurité, comme un approvisionnement autonome d'énergie, ce qui est une donnée importante pour la stabilité des installations informatiques.

     

    Le gouvernement et la RIO négocient depuis des mois avec Desjardins. Des sources indiquent que l'entente devait être annoncée mercredi par Monique Leroux, PDG de Desjardins, lors d'une allocution devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

     

    L'entente n'a toutefois pas encore été présentée au conseil des ministres. Des sources gouvernementales indiquent qu'elle sera entérinée par le conseil des ministres fin octobre.

     

    Pour la RIO il s'agit d'une première bonne nouvelle depuis longtemps. Les revenus qu'elle rapportera sont non négligeables, mais c'est surtout l'arrivée de centaines de salariés au stade qui va s'avérer positive. L'occupation des énormes stationnements va augmenter, ce qui pourrait aussi engendrer des revenus. Et les commerces du quartier pourront profiter d'une nouvelle clientèle, plus stable que les touristes, plutôt rares entre novembre et avril.

     

    Le stade : tout un défi

     

    La RIO cherche depuis toujours à louer les grands espaces du mât. En 2001, l'entreprise BUSAC avait lancé un projet de 44 millions en ce sens, dont 20 millions en subventions de Québec. On prévoyait alors convertir le mat en complexe de bureaux. Le projet n'a jamais vu le jour et a finalement été abandonné en 2008.

     

    La RIO est toutefois toujours devant un grand défi, celui de convaincre le gouvernement d'investir pour remplacer le toit actuel.

     

    Dans le contexte budgétaire actuel, ce dernier ne semble pas pressé de débourser les quelque 200 millions de dollars nécessaires. La ministre du Tourisme, Dominique Viens, mentionnait d'ailleurs en mars qu'elle cherchait à préciser la vocation du stade avant de prendre une décision dans le cas du toit.

     

    http://ici.radio-canada.ca/nouvelles...lympique.shtml

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