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yarabundi

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Messages posté(e)s par yarabundi

  1. Le 2022-04-04 à 18:32, swansongtoo a dit :

    Ça aurait peut être été  plus esthétique si les deux promoteurs auraient pu travailler ensemble pour concevoir un projet unifier. 

    Ça aurait pu être beaucoup moins laid si l'Enticy avait eu au moins 40 étages. Il aurait passé d'insupportable à tolérable. 

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  2. Il y a 3 heures, Southwark a dit :

    The post-modern windows on this building doesn't blend in that well with its surroundings.

    Déjà si on se fie aux évocation, l'édifice n'avait aucune pretention à s'intégrer avec son environnement. Je ne vois pas comment les architectes auraient pu mettre des fenêtres d'un autre genre que celles qu'ils ont prévu !!

  3. Il y a 14 heures, Decel a dit :

    La première et la dernière

    Pour être plus précis il aurait fallu écrire «la troisième et la quatrième». L'édifice de la Place d'Armes est le deuxième siège social de la BN (alors connue sous le nom de Banque Nationale du Canada -la BNC) ce qui fait de l'édifice de la rue La Gauchetière le troisième siège social de la BN et celui qui est construction le quatrième. On ne peut pas présumer que ce sera le dernier. Rigueur !! Rigueur !! 

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  4. Il y a 11 heures, acpnc a dit :

    Il n'est pas sans me rappeler l'une de mes tours montréalaises préférées des Sixties... 

     

    Il y a 11 heures, acpnc a dit :

    C'est effectivement un édifice remarquable qui semble inaltéré par le temps.

     

    Il y a 11 heures, KOOL a dit :

    C'est toute la force du style international : lignes pures et beauté intemporelle. 

    Le Cartier n'a pas pris un ride !!

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  5. Montreal downtown landmark Loews Theatre toppled - famous movie house demolished

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     Montreal's once-majestic Loews Theatre has finally been emphatically and irreversibly erased from the downtown streetscape, as bulldozers did their magic on the vacant structure, as demonstrated in these recent photos by Marc-André Bernier

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    Mollie King

     Silent film stars Rita Jolivet and Mollie King  were on hand for the sold out opening of Loews on Monday night 19 November 1917. They also pleaded with the crowd to buy Victory Loans for the war effort. 

      Also on the menu was the silent film The Secret of the Storm Country, as well as Fatty Arbuckle in Coney Island, as well as six vaudeville acts, including George Rosener doing his dope fiend and Civil War veteran bits. Also featured were Pepperino and Perry's accordion and violin act, Hohson and Beatty, two attractive girls doing opera and dance act Six Stylish Steppers 

     The next month the Loews got a visit from a 98-pound girl named Resista who used 400 pounds of weight resistance to defy any man who tried to pick her up. 

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    Rita Jolivet

      Loews got movies with sound in 1927 and was renovated in 1949 and converted to a five-cinema multiplex in 1975.   

     It's last-ever movie show was likely Sunshine with Ralph Fiennes, who showed up for the screening as part of the Montreal Jewish Film Festival in December 1999.

      City councillor Gerry Weiner said that year that the Loews building would be demolished "over my dead body." and sought to have it turned into a concert hall or some other such thing. 

      Club Med World took it over for two years and in 2004 it was tranformed into the Mansfield Club gym, a gym that also closed. 

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    Upcoming condo project

     Brivia Group bought the property for $21 million in 2019 in order to build a $200-million 19-storey condo tower where Loews long stood. It was not a heritage site and developers were not required to save anything. 

     The new project comes complete with a rooftop pool, golf simulator, fitness center, teleworking and conference rooms, comercial space on ground floor and a wine bar.  

     The building will come with a 100 meters of outdoor heated sidewalks connecting it to nearby Dominion Square from Cathcart and Mansfield. 

      The 248 units will range in price from $350,000 to $1.5 million and will be ready for occupation in 2024.  It's unusual to have condos on St. Catherine Street but indoor parking will be accessible at Cathcart in the back. 

     Downtown condo towers might lack the historical appeal of a landmark theatre but they benefit the city by bringing in hefty municipal tax revenues and bringing commerce to centrally-located businesses.

       Alas there might be a decreased demand for condos as the city center has apparently become less desireable, as witnessed by Montreal's recent loss of 2.5% of its residents, while an unknown number more of Montreal have left the province or country since the Quebec government enacted draconian restrictions two years ago.  

     

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    Loews popcorn stand 1960s

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    https://coolopolis.blogspot.com/2022/02/montreal-downtown-landmark-loews.html?fbclid=IwAR3mj95A0JTOEWjsRB5xQGjrlO-pGqYEpHbtd5bv3nuXd1jZyg8NT0sAPew

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  6. RAPPORT DE L’ARTM SUR LE REM DE L’EST

    DOIT-ON TOMBER DES NUES ?

    GÉRARD BEAUDET URBANISTE ÉMÉRITE ET PROFESSEUR TITULAIRE, ÉCOLE D’URBANISME ET D’ARCHITECTURE DE PAYSAGE, UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL

     

    Les réactions outrées au rapport de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) de quelques défenseurs inconditionnels du REM de l’Est ont de quoi étonner.

    Comment peut-on insinuer que le rapport de l’ARTM est revanchard quand plusieurs des critiques formulées ont déjà été avancées par des experts en transport et des professionnels de l’aménagement, et ce, dans certains cas, dès le dévoilement du projet par CDPQ Infra ? Comment peut-on écarter d’un revers de main le problème insoluble, d’un point de vue urbanistique, du raccordement du tunnel et du tablier aérien au centre-ville de Montréal ?

    Comment peut-on avaliser une mise en concurrence des réseaux qui ne peut se justifier que par le modèle d’affaires de CDPQ Infra et un financement sur la base de passagers-kilomètres ? Comment peut-on s’accommoder d’une desserte qui laisse en plan plusieurs secteurs de l’Est, notamment le quartier Rivière-des-Prairies ? Comment peut-on être surpris par la réaction des gens qui découvrent l’horreur des caténaires, que les présentations préliminaires prenaient évidemment bien soin de dissimuler ? Comment peut-on justifier les conséquences fâcheuses du projet du REM sur les finances de la Société de transport de Montréal et, par conséquent, sur les services offerts ?

    Comment peut-on banaliser le fait qu’un investissement de 10 milliards n’engendre qu’un transfert modal extrêmement faible de l’auto au transport collectif ? Et comment peut-on imposer à la mairesse de Montréal de faire le boulot de l’ARTM – par ailleurs court-circuitée sciemment par le gouvernement −, au prétexte qu’elle a des réserves légitimes sur le projet ?

    Ce qui serait étonnant, c’est qu’au vu de ces données, on persiste à voir dans ce projet la seule solution aux problèmes de transport collectif dans l’Est montréalais. Qu’elle soit la seule proposée − par un porteur de projet qui est juge et partie et n’a de comptes à rendre qu’à lui-même − ne garantit pas qu’elle soit la meilleure.

    Qu’à cela ne tienne, certains persistent et signent. Et on n’hésite pas, au besoin, à tordre la réalité.

    On prétend notamment que le projet est une commande de l’ARTM, ce qui est erroné. Le projet du REM de l’Est a été élaboré à l’insu de l’ARTM, qui l’aborde comme une option parmi d’autres dans son plan stratégique de 2021. Un plan stratégique déposé, au demeurant, après l’annonce du REM de l’Est par CDPQ Infra. L’équipe responsable du projet de prolongement de la ligne bleue n’a par ailleurs été informée du projet de CDPQ Infra que quelques jours avant l’annonce du lancement du REM de l’Est, en décembre 2020.

    On affirme aussi que la gouvernance du projet est exemplaire, alors que la mairesse de Montréal soutient que les demandes de la Ville concernant une participation concrète aux travaux de CDPQ Infra ont été repoussées d’un revers de main et que, manifestement, comme il est rappelé plus haut, l’ARTM n’a jamais été véritablement mise dans le coup, si ce n’est pour rediriger à qui de droit les demandes de CDPQ Infra. Sans compter l’imposition d’ententes de confidentialité, outrageusement justifiée par le secret industriel, mais qui, en fait, inhibent tout débat public éclairé.

    Mais on n’en reste pas là. On prétend que le rapport de l’ARTM est biaisé, entre autres parce qu’il ne tient pas compte des retombées du REM de l’Est, en particulier en termes de développement immobilier.

    Sans insister sur le fait que de telles retombées ne sont jamais assurées, il importe de souligner que, jusqu’à nouvel ordre, le mode de transport privilégié n’a pas le monopole des effets structurants, tant s’en faut.

    Mais on fait, par ailleurs, peu de cas des impacts négatifs du mode retenu − un train léger aérien – sur les milieux d’accueil. Comment justifier ce « deux poids, deux mesures » ?

    On évoque également qu’il s’agit d’un des plus importants investissements en transport collectif de la planète. Comme si cela suffisait à garantir la pertinence et la qualité du projet et justifiait le refus d’un examen critique fondé sur une comparaison avec une alternative. Ça nous fera une belle jambe si les appréhensions qui se sont multipliées au cours des derniers mois se révèlent fondées et sont bien bétonnées. Quand on sait que de telles infrastructures sont inscrites dans le paysage pour plusieurs décennies − comme nous le rappelle l’autoroute Métropolitaine –, n’est-il pas plus raisonnable et prudent de ne pas confondre vitesse et précipitation et, surtout, de ne pas se laisser impressionner par de telles esbroufes, qui occultent généralement un manque d’arguments crédibles ? Il y a d’autres moyens plus socialement acceptables d’épater la galerie.

    https://plus.lapresse.ca/screens/9c294cf4-6177-45cb-96d5-009301fe0d3a__7C___0.html?utm_content=facebook&utm_source=lpp&utm_medium=referral&utm_campaign=internal share&fbclid=IwAR3Z1ZYREzOE3gaSqI8v6DwDc4UQXi32vtnZamNbKc-ACXBa6pnEx756K1U

     

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  7. Le 2022-01-29 à 16:45, Ti-Pierre a dit :

    Place Jacques-Cartier et Hötel de Ville en 1925

    Archives Nationales du Canada

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    Cette photo est antérieure à 1925. L'hôtel-de-ville a été incendié dans la nuit du 3 au 4 mars 1922. Comme il y a des feuilles dans les arbres, cette photo est antérieure à 1921. 

    Le 2022-01-31 à 15:01, Ti-Pierre a dit :

    La rue Ste-Catherine 1950 (Lesley Heales-Hahn)

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    Cette photo date au moins de 1956 et non pas 1950. La voiture à gauche sur la photo est une Chevrolet 1956.

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  8. il y a 1 minute, SameGuy a dit :

    Je me demande si les pouvoirs en place envisagent sérieusement le "sujet séparé pour les webcams,” si souvent suggéré.

    Ce serait un compromis acceptable. Les «ceuzes» qui ne peuvent se passer de publier ce genre de photos pourraient s'en donner à coeur-joie et les «ceuzes» que ça irritent pourraient tout simplement éviter ce fil de discussion.

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