Aller au contenu
publicité

ERJ-Boy

Non-Membre
  • Compteur de contenus

    1 644
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par ERJ-Boy

  1. Je crois que la question était l'inverse, pourquoi ne pas faire dévier la ligne Mascouche sur la ligne du CP de St-Jérôme. Ça n'apporterait rien de plus (à part des arrêts à Parc, Vendôme et Lucien-L'Allier...) Dans le cas de la jonction du Home Dépot, la bretelle est du mauvais côté, ce qui veut dire que le train devrait traverser l'aiguillage, reculer puis retraverser.

     

    Et on a déjà reconstruit la jonction de l'est pour probablement une fortune...

     

    Le seul point que ça amène c'est que les usagers peuvent se rendre jusqu'au centre-ville sans correspondance... c'était la seule chose en fait.

  2. Je crois qu'à terme avec les projets structurants de la caisse et du TGF de ViaRail, c'est plausible que la gare Dorval, avec une bonne connection vers l'aéroport, pourrait devenir un noeud important! À terme il y a beaucoup d'opportunités pour Dorval. Il y a longtemps aussi qu'Air Canada supporte ce genre d'initiatives, pour toute sortes de raisons.

  3.  

    PwC fait l'acquisition du cabinet Lehoux Boivin, situé à Brossard. Une transaction qui concrétise la volonté de l'entreprise de s'étendre dans les régions québécoises et de se rapprocher des PME.

     

     

    «Ce n'est qu'un début dans la réalisation de notre plan stratégique, dit Nicolas Marcoux, associé directeur national, bureau de Montréal et grandes villes chez PwC. Nous étudions d'autres possibilités d'acquisition sur la Rive-Nord de Montréal, et même sur l'île.»

     

     

    En vigueur depuis le 1er août, la transaction accroît de 40 personnes les effectifs de PwC au Québec. Ils grimpent donc à 1 035, dont 790 à Montréal, 190 à Québec et 15 à Gatineau. Les deux cofondateurs du cabinet de Brossard, Mario Boivin et Gilles Lehoux, passeront chez PwC. Martin Fontaine et Louis-Alexandre Lehoux, fils du cofondateur du cabinet, y deviennent quant à eux associés. Les deux parties ont refusé de divulguer le montant de la transaction.

     

     

    Ce dernier qualifie de «coup de foudre d'affaires» la rencontre entre les deux cabinets. «Nous sommes très près de nos clients et très engagés envers la communauté locale, dit-il. PwC, qui a une forte clientèle parmi les grandes entreprises, souhaite justement se rapprocher des PME. Nous partageons la même vision et les mêmes objectifs.»

     

     

    Le nouvel associé de PwC croit que les clients de Lehoux Boivin bénéficieront grandement de ce ralliement à un géant des services financiers. «Ils auront le meilleur des deux mondes, juge-t-il. Ils continueront de bénéficier du même service de proximité, tout en ayant accès à des services très spécialisés et à un réseau international que nous ne pouvions leur offrir.»

     

     

    Le cabinet Lehoux Boivin a été fondé en 1998. Il présente un chiffre d'affaires annuel d'environ 4 millions de dollars, que PwC croit pouvoir faire doubler ou même tripler assez rapidement grâce à l'acquisition de nouveaux clients.

     

     

    «Ce cabinet multidisciplinaire de premier plan se spécialise dans les services offerts aux PME détenues par des propriétaires dirigeants, explique Nicolas Marcoux. En ce sens, cette acquisition constitue une preuve tangible de notre engagement envers les sociétés privées et les entrepreneurs québécois.»

     

     

    Depuis qu'il est revenu au Québec - il a été leader national, transactions, pour tout le Canada chez PwC, de 2012 à 2015, un poste situé à Toronto -, Nicolas Marcoux n'a cessé de marteler l'intention de PwC de s'implanter dans les régions du Québec et d'offrir ses services aux PME. Il parle même de «changer le visage de PwC au Québec». Choix de modèle d'entreprise au départ, bien sûr. Après tout, le nombre très élevé de PME dans la province rend ce marché attractif pour un cabinet qui compte déjà son lot de très grands clients.

     

     

    Mais cet objectif peut aussi se confondre avec certains intérêts stratégiques de l'économie québécoise, croit Nicolas Marcoux. «On déplore régulièrement que des sièges sociaux quittent le Québec par voie d'acquisitions, note-t-il. Chez PwC, nous croyons que nous pouvons aider les entreprises d'ici à grandir et à devenir elles-mêmes acheteuses et consolidatrices. Grâce à nos services spécialisés, à notre expertise et à notre réseau international, nous souhaitons contribuer à créer les futurs CGI, Couche-Tard et autres WSP québécois.»

     

     

    Soutenir les entrepreneurs

     

     

    C'est par l'internationalisation que les entreprises québécoises deviendront de futures CGI. Or, les PME québécoises manquent de ressources pour se lancer à l'international. En 2012, une étude de Développement économique Canada pour les régions du Québec démontrait que l'un des principaux obstacles à l'internationalisation de nos PME était le manque de connaissances des marchés étrangers, de leurs lois et règlements et des occasions d'acquisitions qu'on peut y trouver.

     

     

    En ce sens, la présence de services professionnels et financiers de haute qualité en région est devenue incontournable. Même si elles n'arrivent pas encore assez à s'installer à l'étranger, peu de PME de nos jours n'ont pas de volet international dans leurs opérations. Plusieurs importent de l'Asie, exportent aux États-Unis ou ratifient des ententes commerciales avec des partenaires étrangers, notamment. Cela fait du réseau international de PwC un atout important pour ces entreprises.

     

     

    Mais en plus de cela, c'est aussi un certain isolement des entrepreneurs qu'il faut briser, selon Nicolas Marcoux. «Les entrepreneurs se sentent souvent seuls face aux importantes décisions qu'ils ont à prendre, déplore-t-il. Ils se heurtent à des dilemmes. Est-ce le moment de faire une acquisition ? De vendre ? De préparer le transfert de l'entreprise ? Ils ont besoin de conseils spécialisés et d'accès à des données de haute qualité concernant la dynamique d'affaires dans leur créneau ici et à l'étranger, de manière à faire des choix stratégiques judicieux.»

  4. Je suis optimiste :P mais pas naif. Ce sont des décisions sur le long terme de construire de nouvelles tours à bureau.

     

    Par contre, petit bémol. La tour Deloitte est superbe, mais il y a plusieurs défauts un peu dérangeants... La plomberie n'est pas super, l'isolation aussi (on entend tout ce qui se passe partout), certains finis sont déjà maganés, etc.

     

    Pour la tour Manuvie, il y a une rumeur d'un gros locataire qui pourrait y emménager (4-5 étages environ).

  5. Ce qui me dérange des habitations Jeanne-Mance, c'est que c'est majoritairement des édifices à deux étages avec parking... C'est ridicule une aussi basse densité dans un coin aussi dense. Je ne suis pas du tout contre l'ilot de verdure et les terrains de sport. C'est une excellente idée et ça humanise le quartier. Ce que je propose, c'est simplement de remplacer les petits immeubles par des immeubles plus hauts, toujours en logement social. Ça permet de loger plus de monde de façon abordable, de densifier le quartier et de le désenclaver.

  6. honnêtement moi aussi... Il faut pas oublier qu'ultimement peu importe le prix c'est mieux pour la population d'avoir un réseau de transport en commun fiable et rapide que de sauver de la taxe qui n'existe pas en ce moment... La captation foncière est un concept intéressant quand même, surtout s'il est entre les mains d'un investisseur institutionnel qui au final redonne à sa population.

  7. Je suis d'accord!!! C'est le bloc qui servira de lien entre le quartier des spectacles et toute son effervescence, et ce bout de la rue Sainte-Catherine qui est en pleine transformation. Honnêtement d'ici 5 ans ce coin du centre-ville sera méconnaissable. Ce que j'aimerais vraiment voir par contre, c'est les habitations Jeanne-Mance renouvelées en plus dense et en plus inclusif vis-a-vis la ville. Ce serait un exemple remarquable de logement sociaux insérés dans le tissu urbain, très dense et agréable pour notre belle ville!

×
×
  • Créer...