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Corbeau

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Messages posté(e)s par Corbeau

  1. Il y a 13 heures, Né entre les rapides a dit :

    Je me demandais si ce projet, pourtant promis il n'y a pas si longtemps par le bien-nommé parti municipal Projet-Montréal, était encore d'actualité. Pas au sens de "pertinent", mais au sens de quelque chose qui fait présentement l'objet d'études sérieuses.  Contexte: 1) le SRB Pie IX doit entrer en fonction d'ici la fin de l'année 2022; 2) le prolongement de la Ligne Bleue du métro jusqu'à Anjou est censé être complété en 2029 (pas avant); et 3) le projet de REM de l'Est est retardé, et la mouture qui pourrait être approuvée demeure inconnue.

    En comparaison, le projet de TEC (quel que soit son nom) dans l'axe Henri-Bourassa apparaît beaucoup plus modeste eu égard au coût, et sa construction devrait être sensiblement plus rapide.  S'il demeure pertinent, j'aimerais bien qu'on y consacre plus d'efforts dès maintenant -- pas quelque chose de relégué aux oubliettes ou gardé dans l'ombre jusqu'à une éventuelle résolution du dossier du REM de l'Est.       

    C'est peut-être ça. C'est un projet que tu peux implanter sans que le gouvernement peut te dire non.

  2. Il y a 8 heures, Né entre les rapides a dit :

    SRB Pie IX 2022.  Ligne bleue 2029.  Axe nord-sud du REM de l'Est 2040 (comme dans l'an quarante)

    Ce n'est qu'une boutade, mais rien n'est impossible.  Un délai de 22 ans peut sembler excessif, mais si on fait un exercice à rebours en prenant le cas de la ligne bleue, 2029-22=2007.  Or il avait été question du prolongement de cette ligne bien avant 2007.  La construction de l'axe nord-sud du REM de l'Est ne prendrait pas 22 ans, mais il faudrait qu'elle commence un jour pour avoir une chance d'être terminée à temps.  Les hésitations face au projet du REM de l'Est dans son ensemble ne laissent plus présager une décision d'ici la fin de l'année.  Après, ce sera 2023.  Ce n'est pas loin, mais le paysage pourrait bien avoir changé suffisamment pour que l'urgence d'agir ne soit pas ressentie de la même façon.  Le temps passe vite.  Les élections d'octobre 2026 pointeront à l'horizon. Surtout, des propositions  concurrentes sur d'autres axes auront eu le temps de rassembler des appuis importants.  

    Ce que j'ai décrit, c'est exactement ce qui s'est produit il y a plus de trente dans le cas du projet de prolongement de la ligne bleue.  C'est un scénario horrible, on peut protester, mais on ne peut pas nier l'histoire.  Tout ce qu'on peut faire présentement, c'est d'apporter des arguments voulant qu'elle ne puisse pas se reproduire.  Lesquels?

    C'est possible. Le nouveau gouvernement peut peut-être dire que le REM B coûte trop cher, parce qu'il recevra une subvention du gouvernement. Où ils vont renvoyer le projet à l'étude pour voir s'il faut considérer d'autres axes

  3. On a besoin d'un passionné du métro comme premier ministre, car à la fin, c'est Québec qui dicte.

    Ça va être quoi la réaction quand ce SRB ouvre et qu'il ne répond pas aux attentes ?

    Québec aurait dû penser à un SLR sur Pie-IX quand ils pensaient à SLR Champlain.

  4. il y a 39 minutes, Internist a dit :

    Le REM de l’Est n’était pas du tout envisagé lorsque le SRB a été imaginé et approuvé. En fait, le REM de l’Ouest et la Caisse n’étaient pas encore dans les cartons… Une fois le projet de SRB sur les rails, et considérant sa pénible gestation, personne n’a voulu le foutre en l’air pour un hypothétique projet de REM. Il était finalement en mouvement, et le train était passé avant que la Caisse ne puisse s’approprier cet axe. Si le SRB n’avait pas vu le jour, on peut supposer que la Caisse aurait probablement choisi cet axe plutôt que l’axe Lacordaire. Timing is everything.

    C'est toute la faute de Québec. Ils ne pensaient que"à économiser de l'argent. Pie-IX est trip achalandé, je me demande si un simple bus va répondre aux besoins. Un métro aurait peut-être été une meilleure idée.

  5. Il ne faut pas oublier qu'il aura des élections provinciales cette année. Avant de procéder à un projet, il faut savoir c'est quoi que le prochain gouvernement veut, car c'est Québec qui dicte c'est quoi qu'il faut construire.

    La ligne rose aurait peut-être pu être une bonne idée, mais Québec n'acceptera jamais ça.

  6. Il y a 5 heures, Né entre les rapides a dit :

    Quand est-ce qu'une promesse de prolonger le métro a fait gagner des élections?  Le 1 er octobre dernier, le PLQ et le PQ ont perdu des plumes à Montréal (sans parler du reste de la province).  Manifestement,  un vague appui au projet de la ligne rose a été éclipsé par d'autres considérations.  Par contre, la CAQ a probablement bénéficié, hors de Montréal, de sa position défavorable envers ce projet, parce que dans le subconscient, des investissements dans la ligne rose «montréalaise» impliqueraient des investissements moindres ailleurs, notamment dans les banlieues de Montréal.  Ça ne veut pas dire que la ligne rose serait une mauvaise chose en soi, mais seulement que ça n'a pas été électoralement payant d'y donner son appui, si timide eut-il été. 

     

    Est-ce que tu définis «en région» comme étant tout ce qui se trouve à l'extérieur de l'Île de Montréal?  Où situes-tu les banlieues de Montréal?  Je suis certain que pour les gens de Québec, Gatineau, Sherbrooke, Saguenay, Trois-Rivières, Rimouski, Rouyn, etc., des villes de banlieues comme Laval et Longueuil,  Boisbriand et Boucherville, c'est aussi Montréal.  Les électeurs de Chomedey (une circonscription de Laval) votent avec autant de ferveur pour le PLQ que ceux de l'ouest de l'Île de Montréal.  En fait, il existe une bien meilleure façon de caractériser les «bases électorales» de chacun des partis politiques à l'heure actuelle au Québec.

    Pour terminer sur cette question de l'appui politique au projet de la ligne rose, je voudrais remarquer que ce ne sont pas tous les Montréalais (de la ville proprement dite) qui y étaient nécessairement favorables: c'est seulement le projet d'un parti politique municipal qui y  a remporté les dernières élections contre le parti de Denis Coderre (le maire sortant), et de plus il m'apparaît douteux que c'est cette proposition qui a fait pencher la balance (d'assez peu) à cette occasion: il y avait bien d'autres facteurs.  Au final, je souhaite que la ligne rose soit appuyée par le gouvernement du Québec (une condition essentielle) lorsqu'il sera démontré que cela constitue la meilleure option.  On n'en n'est pas encore là.  Madame Plante a semé une graine: laissons-la mûrir.

    Régions, c'est loin de Montréal, donc ça exclut les banlieues.

  7. Je ne sais pas qui doit payer pour ça, mais c'est simple, quand un train fréquent passe proche de maisons ou d'emplois, on peut mettre un mur anti-bruit. VMR peut bien payer pour ça, non ?

    Concernant la ligne DM, je ne sais pas quelles mesures d'atténuments ils doivent mettre. C'est difficile remplacer un train dû à se vitesse commerciale élevée. 

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  8. il y a 1 minute, nephersir7 a dit :

    Le but est justement de permettre d'aller de la pointe de l'île jusqu'à la ligne verte (métro radisson) 

    Mais sur le dessin, ça se rend aussi au centre-ville. Les gens de l'est vont descendre au métro Radisson et prendre la ligne verte s'ils veulent se rendre au c-v.

  9. il y a une heure, JB667 a dit :

    Ce tunnel a été construit à l’époque ou la STM (anciennement BTM) utilisait l’argent des prolongements pour faire les tunnels ce qui forçait le gouvernement provincial à financer le reste de la construction , c’est à dire les stations et la finition . Un moratoire sur les prolongements fut imposé dans les années 80 , si ma mémoire ne fait pas défaut .

    J'ai lu que le BTM a utiliser la ruse pour la construction de la Ligne bleue, ils ont vu un moratum venir et ont donc commencer a construire. Sinon, la ligne bleue ne serait même pas là et on aurait encore eu une université sans métro.

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  10. Citation

    Nouvelle convention collective entre la STM et le Syndicat des chauffeurs, opérateurs et employés des services connexes

     
     
     
    Nouvelle
    12 octobre 2018

    Les membres du Syndicat des chauffeurs de bus, des opérateurs de métro et des employés des services connexes se prononcent à hauteur de 82 % en faveur d'une nouvelle convention collective.

     
     
     

    La Société de transport de Montréal se réjouit de l’adoption en assemblée générale hier soir d’une nouvelle convention collective de sept ans par les membres du Syndicat des chauffeurs de bus, des opérateurs de métro et des employés des services connexes. C’est à 82 % que les membres ont approuvé cette entente qui devait aussi être ratifiée par le conseil d’administration de la STM, ce qui a été fait ce matin.

    « Nous sommes satisfaits de cette entente historique, elle nous permettra de poursuivre le virage vers l’excellence de l’expérience client amorcé en 2016 et qui constitue la base de notre plan stratégique 2025 », a indiqué M. Luc Tremblay, directeur général de la STM.


    Les clauses de la convention permettront à la STM d’avoir une plus grande flexibilité dans l’organisation du travail, favorisant ainsi une livraison du service fiable et performante au plus grand bénéfice des clients.

    Cette entente, conclue à la suite de 63 rencontres de négociation efficaces et respectueuses, permet de lier jusqu’au début de 2025 la STM à ce groupe d’environ 4500 employés, ce qui représente 45 % des effectifs de l’entreprise.

    Ce groupe d’employés est le deuxième à ratifier une entente, après celui des employés de bureau en mars dernier. Le groupe des professionnels, quant à lui, devra se prononcer sur une entente de principe dans les prochaines semaines en assemblée générale. Enfin, la médiation se poursuit avec le syndicat des employés d’entretien.

     

    http://www.stm.info/fr/presse/nouvelles/2018/nouvelle-convention-collective-entre-la-stm-et-le-syndicat-des-chauffeurs--operateurs-et-employes-des-services-connexes

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