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Gbx

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Messages posté(e)s par Gbx

  1. Marty, you need to chill!

     

    I said morose, because even though Motreal had a very, very tight real estate market (between 2003 and 2007) no new buildings went up. The Vacancy rate downtown had fallen to historical lows(5 or 6% depending on who you read) and even that wasn't enough to get new towers going.

     

    Maybe this time it'll be different, but I wouldn't hold my breath if I were you!

     

    True, not only new constructions depend on the actual condition of the market but also on the expectation that the market will be even more tight in a 2-3 years horizon. This hasn't happened yet.

  2. Je me permet de commenter : il n'y a que les Américains pour trouver un petit côté européen au Vieux-Montréal. Si vous demandez à n'importe quel européen, il vous dira que Montréal a l'air d'une ville américaine -même dans notre quartier historique. Il faut dire qu'il y a une multitude d'architectes américains qui ont conçu des édifices dans le Vieux-Montréal : on pense à McKim, Mead & White (l'intérieur de la Banque de Montréal et l'édifice Royal Trust) ; York & Sawyer (qui ont plus tôt dans leurs carrières travaillé avec McKim, Mead & White) pour l'ancien siège social de la Banque Royale ; Georges B. Post pour l'ancienne Bourse (il a entre autre conçu la Bourse de New-York) ; Babb, Cock & Willard de New-York pour l'édifice de la New-York Life Insurance Co. ; l'édifice Aldred (Barrott & Blackader => ils ont aussi déjà travaillé avec McKim, Mead & White) ; et ça, ce sont les firmes d'architectes que je connais et dont les noms me sont venus à l'esprit sans faire d'effort.

     

     

    Oui mais tu parles de la rue St-Jacques surtout. En revanche le "vieux" vieux Montréal autour de la place Jacques Cartier (la Marie avec son style second empire) a quand même un look très européen.

  3. Je ne sais pas si on l'a déjà remarqué dans ce thread ma la plaza swatown vient de ravir au crystal de la montagne le titre de l'éclairage le plus quétaine de la ville wow. La façade était presque entiérement éclairée hier dans un style "arc en ciel" trèèès flashy.

  4. :( Bien beau tout ça, mais au coup estimé on a presqu'un nouveau stade et je me demande à quel point le gouvernement souhaite au passage favoriser ses amis en leur accordant un juteux contrats pour avoir quelques expos ou salons de plus par année.

     

    Comme en plus le concept ne sera pas vraiment transférable ailleurs, je doute que l'expertise ne soit utile en bout de ligne. Au même prix on aurait un centre de foire parfaitement adapté pour la fonction et idéalement situé en ville.

     

    Dépense inutile, non prioritaire et démesurée si on tient compte des intérêts à payer sur la facture totale. Assez c'est assez, nos taxes et impôts ont mieux à faire que de poursuivre un rêve inachevé qui risque de devenir un autre cauchemar.

     

    Je comprends avec ta dernière remarque que tu proposes de laisser le stade dans son état actuel, ce qui est peut être la solution qui fait "économiquement" le plus de sens. Je ne suis pas sûr de voir la continuité avec ton commentaire précédant (tu nous parler de génie créatif et sens de l'innovation) mais je rejoins les points de ta dernière remarque. Précision: le coût cité est une valeur actuelle donc comprends la valeur des intérêts sur la "dette" pondérés par la valeur de l'argent dans le temps. Que la dépense soit non prioritaire, ça tout le monde en a conscience, surtout le gouvernement. Il est clair qu'un investissement dans le stade n'est pas financièrement et politiquement rentable. Mais le laisser en l'état revient à le condamner car le toit actual va continuer à se détériorer et sa structure n'est pas faite (à ce que je sache) pour suppourter d'être un stade ouvert à l'année longue. En revanche on souligne souvent que le stade est un symbole de Montréal, alors de cette façon nous échappons-nous d'une certaine responsabilité collective d'entretenir cette "icône"? Je pose la question sans avoir la réponse.

  5. Tout est possible et notre imagination est la seule limite. Il est temps d'accueillir ce merveilleux monument et faire la paix avec son passé. Réaménageons plutôt ses abords pour les rendre plus conviviales et mieux intégrés au voisinage. C'est avec l'usage que nous découvrirons toute la polyvalence de cet immense espace, en changeant au préalable notre perception négative, qui freine nos ambitions et paralyse notre créativité.

     

    Bla bla bla, le pouvoir infini du cable. Il n'empêche qu'on n'a pas encore trouvé la solution technique adéquate pour un toit ouvrant. L'architecte a beau être fru et a raison de dire qu'il n'a pas conçu le stade pour un toit fixe, sa solution technique ne marche pas avec nos hivers point. La proposition de SNC n'est peut être pas la solution idéale, mais elle a l'avantage énorme de fonctionner (ou du moins a été validée 2 fois par des firmes indépendantes allemandes, et vous savez, the germans always make good stuff, right?? :) avec des tests en soufflerie).

  6. Petite précision: le projet est sur de la Roche et non sur Christophe Colomb. D'ailleurs il y a au moins deux autres petits projets de condos en finalisation/construction sur la même rue. Les appartements sont tous en location et déjà occupés à ma connaissance, construit par un propriétaire/développeur.

  7. Non, mais si la contestation politique est passible d'une main coupée ou encore de quelques années en prison, mieux vaut s'assoir, prendre des photos et apprécier le paysage ;)

     

    Lol, cela pourrait être une suggestion pour un nouveau réglement municipal: le NIMBYsm est passible d'une main coupée, kwik.

  8. J'ai été au nouveau resto chinois dans le Dix30, j'étais sûr que ça n'allait pas être bon puisque c'est en banlieue et loin de Montréal. Mais non! J'ai adoré!

     

    Je pense qu'il y a plus d'asiatiques à Brossard qu'à Montréal!

     

    Kanda correct pour le prix mais pour du suchi haut de gamme, il y a bien sûr le Jun I sur Laurier mais j'aime bien aussi Oishii sushi sur Bernard. Je cherche toujours en revanche une bonne place pour les fameux Ramen et les autres mets japonais malheureusement peu connus à Montréal (brochette Yakitori, grillade Yakiniku, Shabu Shabu etc...). Pour la cuisine chinoise, je suis pas vraiment amateur mais il y a une place de dumling connue dans NDG, faudrait que je retrouve l'adresse.

  9. Les paris sont ouverts;

    maintenant que la démolition est terminée, pendant combien d'années ça va rester vide et innocupé ce terrain ???

     

    Pas pour ce projet, je crois que ça va avancer très rapidement. Toute les oligations du consortium sont placées et portent déjà à intérêt. Maintenant tout est en place pour que la construction aille le plus vite possible.

  10. Aucun rapport...

     

    Pas si sûr, car il y a plus d'incertitude quand à la capacité d'un petit marché à absorder un projet par rapport à un projet de taille comparable dans un plus gros marché. Ça ne m'étonnerait donc pas qu'il les investisseurs soient plus prudents à lancer des nouveaux projets dans un petit marché et attendent donc des signes d'un marché nettement favaroble aux loueurs, ce qui est reflété entre autre par le taux d'innocupation des immeubles.

  11. Bisbille au Crystal

    Publié le 21 juillet 2010 à 06h22 | Mis à jour le 21 juillet 2010 à 06h34

     

     

    Photo François Roy, La Presse

    Le projet mixte de 27 étages Crystal de la Montagne, érigé en face du Centre Bell, a été lancé en grande pompe en 2005 et devait marquer un tournant dans l'immobilier haut de gamme de Montréal. L'histoire tourne au vinaigre.

    Maxime Bergeron et Stéphanie Grammond

     

    La Presse

    La bisbille frappe le prestigieux complexe immobilier le Crystal de la Montagne, qui est au coeur de poursuites croisées totalisant plusieurs millions de dollars.

     

    Le projet mixte de 27 étages, érigé en face du Centre Bell, a été lancé en grande pompe en 2005 et devait marquer un tournant dans l'immobilier haut de gamme de Montréal. Mais la construction a duré quatre ans et demi plutôt que deux, et l'immeuble a généré un important déficit même si presque tous les logements ont été vendus.

     

     

    Les deux promoteurs s'entredéchirent aujourd'hui en cour pour récupérer des millions de dollars qu'ils estiment chacun leur être dus. Il s'agit de l'homme d'affaires James Essaris - propriétaire de Stationnement métropolitain - et de Pierre Parent, président du groupe Parim inc. et de Resort One.

     

     

     

    La fiducie de M. Essaris a agi à titre de gestionnaire dans la construction du gratte-ciel, tandis que M. Parent s'est occupé du marketing et de la vente des 131 copropriétés hôtelières et 59 appartements de luxe.

     

     

    Dans une poursuite déposée le 9 juillet au palais de justice de Montréal, Pierre Parent, très connu dans le secteur québécois de l'immobilier, affirme avoir rempli sa partie du mandat «avec brio».

     

     

    Il dit avoir réussi à vendre la presque totalité des logements, ce qui a permis de récolter des revenus de plus de 80 millions de dollars.

     

     

    Or, allègue-t-il, son partenaire James Essaris «refuse de signer les chèques» pour ses services rendus. M. Parent et sa société R.O. Canada réclament le versement de 1,78 million en commissions impayées.

     

     

    Dans une demande d'injonction distincte, Pierre Parent demande aussi la moitié des 11 appartements invendus dans le Crystal, ce qui équivaut à 3,38 millions. Selon la poursuite, le contrat entre les deux hommes stipule que les logements restants seraient partagés entre les promoteurs au plus tard huit mois après la fin des travaux, lesquels ont été achevés en avril 2009.

     

     

    Autre son de cloche

     

     

    De son côté, James Essaris soutient que Pierre Parent lui doit près de 5 millions de dollars.

     

     

    M. Essaris, qui possède plus de 24 000 places de stationnement, était propriétaire du terrain sur lequel le Crystal a été bâti. Sa valeur avait été évaluée à 6 millions au lancement du projet, dit-il, et il cherche maintenant à récupérer son apport en capital ainsi que les intérêts engagés auprès de M. Parent. Il a d'ailleurs déposé une poursuite contre son partenaire l'hiver dernier.

     

     

    «S'il paie mes 5 millions de dollars, cela ne me dérange pas de lui donner son argent», a dit M. Essaris hier pendant un entretien téléphonique.

     

     

    L'homme d'affaires estime que son partenaire a été «malhonnête» dans toute cette affaire. Il affirme que Pierre Parent a vendu et ensuite «revendu» certains logements, ce qui lui a permis d'empocher des commissions auxquelles il n'aurait pas eu droit.

     

     

    Pierre Parent se défend de toute malversation. «Toutes les commissions que j'ai touchées, ce sont des commissions qui étaient documentées avec des contrats, avec chacune des personnes de qui j'ai touché ces commissions-là», a-t-il lancé à La Presse Affaires en réponse aux accusations de son partenaire.

     

     

    En définitive, malgré la vente de la majorité des logements, le projet a perdu environ 5 millions de dollars, soutient M. Parent. Il attribue principalement ce déficit aux retards de construction. James Essaris dit pour sa part avoir perdu 13 millions.

     

     

    Acheteur coincé

     

     

    Par ailleurs, Le Crystal de la Montagne S.E.C. est poursuivie par une société à numéro de Laval. Il s'agit d'un acheteur qui a signé un contrat préliminaire pour l'achat d'une unité de copropriété hôtelière, en septembre dernier. Il a versé un dépôt de 73 490$.

     

     

    Mais il n'a jamais réussi à obtenir de financement. Toutes les institutions financières et plusieurs courtiers immobiliers lui ont dit qu'ils ne finançaient plus le projet, allègue-t-il dans sa requête présentée en Cour supérieure, le 11 juin.

     

     

    Incapable de conclure la transaction, l'acheteur veut récupérer son dépôt que le Crystal refuse de lui rendre, soutient-il. Il a été impossible d'obtenir les commentaires de l'avocat du Crystal qui est à l'extérieur du pays.

     

     

    Il est vrai que les copropriétés hôtelières sont beaucoup plus difficiles à financer qu'auparavant. «Il y a plusieurs prêteurs qui ne touchent pas à ça», dit Denis Doucet, directeur régional du courtier hypothécaire Multi-Prêts.

     

     

    Comme avec les copropriétés indivises, les prêteurs ont peur d'être coincés dans un panier de crabes, avec un promoteur qui s'occupe de la location et un groupe de copropriétaires qui ont tous leur mot à dire. Personne ne peut agir librement sans le consentement des autres. «Quand il y a plusieurs maîtres à bord, c'est difficile de savoir qui tient le gouvernail», dit M. Doucet.

     

     

    Néanmoins, il y a encore des institutions qui financent les copropriétés hôtelières, dans la mesure où l'acheteur a un bon dossier de crédit et une capacité de remboursement suffisante. Les demandes de financement pour le Crystal ne sont pas systématiquement refusées, a pu confirmer La Presse Affaires.

     

     

    Il reste que le marché de la revente de copropriétés hôtelières est morose. «En ce moment, ça ne se vend pas très bien. La récession n'a pas aidé et il n'y a pas eu de Grand Prix l'an dernier. D'autres hôtels ont ouvert leurs portes au centre-ville», résume Louise Latreille, un des agents qui ont vendu les unités du Crystal à l'origine.

     

     

    De plus, les acheteurs potentiels de copropriétés hôtelières surveillent de près les changements apportés à l'hôtel Saint-Sulpice, dans le Vieux-Montréal. Cet hôtel était dirigé depuis huit ans par Resort One, comme le Crystal. Mais à la fin de son mandat, en février dernier, les 108 copropriétaires ont repris la gestion de l'établissement.

  12. Eh ben, il parait que Orange a un bureau à Montréal... pour du B2B et un laboratoire de développement logicie:

     

    IT&Labs Canada

    75, Queen St - suite 2800, Montreal, Quebec, Canada H3C 2N6

     

    Ils sont aussi à la place Mercantile sur McGill Collège, peut être un bureau de représentation pour les clients corpo.

  13. De rien. Il fallait bien se mettre de quoi sous la dent, si petit soit-il, en cette période de calme ou rien ne se passe.

     

    Euh... il y a rarement eu autant de projets à Montréal. Tu as qu'à voir dans le quartier Rosemont, les condos poussent de partout.

  14. Une ville qui s'assûmerait entièrement et qui ne souffrirait pas d'un complexe d'infériorité vis-à-vis d'une autre n'aurait pas besoin de se sentir obligée de diminuer sa concurrente. Ainsi, même si je crois que Toronto ne possède aucun attrait nécéssaire pour en faire un destination touristique essentielle je n'ai jamais découragé un touriste d'y aller. Beaucoup de ceux à qui je fais découvrir Montréal y sont allé avant d'arriver dans notre ville ou iront la visiter après Montréal. Ceux qui y sont déjà passer n'en garde que très rarement un souvenir indélibile. Du point de vue d'un touriste il n'y a rien d'intéressant à regarder une enfilade de gratte-ciel génériques. Je me sens même et souvent obligé de me faire l'avocat du diable et de prendre la défense de Toronto (cette mal-aimée des touristes) afin que ceux qui l'ont visité en garde un plus agréable souvenir. La plupart du temps j'échoue : il n'y a pas grand chose à faire pour rétablir l'image de Toronto auprès de ceux qui ne l'ont pas aimé (la majorité). S'il n'y avait pas la proximité des chutes Niagara, Toronto ne ferait même pas partie des circuits touristiques.

     

    Il est possible que Toronto soit une ville agréable pour les Torontois (bien que personnellement j'en doute) mais elle n'offre que très peu d'attrait pour les visiteurs et ça les Torontois en sont certainement conscients.

     

    Je suis surpris tout de même. Est-ce en majorité des Européens?

     

    Avant d'y être allé pour affaires, je suis allé visité Toronto en "touriste" il y a 2 ans et j'ai trouvé ça bien plaisant, surtout la ballade en vélo dans les îles. La vue sur le "downtown" y est à couper le souffle. Toronto regorge aussi de quartiers colorés et vivants dès que l'on sort du centre ville et on y mange fort bien (je pense au distillery disctrict mais aussi à des coins comme "the annex"). Certains des édifices sont tout de même spectaculaire (1 king street ou l'immeuble de la bourse, le siège de scotia) et les musées sont intéressants (ROM, Bata shoe museum, AGO). Certes Toronto n'est pas une grande destination touristique mais reste tout de même un "must see" dans la région.

  15. Excellente nouvelle! J'espère que même si le CHUM n'est même pas proche de commencer, que le CUSm ira de l'avant sans être obligé d'attendre après le maudit CHUM!

     

    This is good for Shriners and good for Montreal!

     

    La bonne nouvelle c'est que le CUSM n'a plus à attendre qui que ce soit, c'est maintenant SNC qui est mettre d'oeuvre du projet.

  16. Pacific vient de vendre ce building ( le 1070); je crois comprendre que le Mosaique fait parti de cette meme vente à un groupe de Toronto

     

    Une grande affiche pour la promotion des condos a d'ailleurs été récemment installée sur le coté de l'édifice.

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