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  1. Les promoteurs du projet Rabaska pour l'établissement d'un port méthanier à Lévis ont finalement conclu un accord avec Gazprom pour un approvisionnement en gaz naturel à partir de 2014. Pour en lire plus...
  2. Le vice-président de Gazprom, le plus grand fournisseur russe de gaz naturel, rencontrera mardi à Québec les promoteurs des terminaux méthaniers. Pour en lire plus...
  3. Controverse au Québec sur de futurs ports méthaniers LE MONDE | 01.10.07 | 15h14 • Mis à jour le 01.10.07 | 15h14 MONTRÉAL (CANADA) CORRESPONDANCE es opposants à trois projets de ports méthaniers au Québec réclament un moratoire sur leur développement, en attendant une révision de la stratégie énergétique de la province. Alors qu'il faut réduire les gaz à effet de serre et "s'affranchir de notre dépendance aux énergies fossiles", ces projets auraient pour effet de la prolonger, estime Daniel Breton, porte-parole du groupe Québec-Kyoto. Deux des trois projets sont bien avancés. Le terminal d'Energie Cacouna, au bord du fleuve Saint-Laurent (200 km en aval de Québec), avec TransCanada Pipelines et Petro-Canada pour promoteurs, a déjà l'accord du gouvernement provincial. Il pourra accueillir, dès 2012, des méthaniers transportant au moins 145 000 m3 de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance de Russie et du Moyen-Orient. Ce GNL sera ensuite gazéifié pour alimenter le marché nord-américain via des gazoducs. Le sort du deuxième terminal est en train de se jouer, avec décision du gouvernement attendue pour les tout prochains jours. Le projet Rabaska vise à construire un terminal méthanier à Lévis - 10 km en aval de Québec - avec Gaz Métro, Gaz de France et Enbridge pour promoteurs. Il compte alimenter dès 2010 les marchés québécois et ontarien. Depuis des mois, promoteurs et opposants s'affrontent sur ce projet qui a néanmoins obtenu cet été le feu vert du Bureau d'audiences publiques en environnement du Québec. Les groupes environnementaux et une partie de la population maintiennent la pression sur Québec, estimant que le projet est trop risqué pour l'environnement et non justifié économiquement. Ils critiquent surtout l'implantation d'une installation à hauts risques dans une zone patrimoniale, non loin d'une ville du patrimoine mondial de l'Unesco, et face à l'île d'Orléans, berceau de la Nouvelle-France. "C'est comme si vous le mettiez devant le Mont Saint-Michel", clame Gaston Cadrin, président du Groupe d'initiatives et de recherches appliquées au milieu. Sans compter, ajoute-t-il, que le fleuve est une voie difficile pour la navigation etqu' "en cas d'échouage, de collision ou de sabotage, le méthanier deviendrait une bombe". Le projet est "beaucoup trop risqué pour la population et les écosystèmes", résume l'ancien ministre québécois de l'environnement Thomas Mulcair, devenu député néo-démocrate à Ottawa. Pour la sécurité des personnes, l'emplacement du port et des réservoirs de GNL pose aussi un problème, avec la proximité d'une soixantaine d'habitations et d'une école. Mathieu Castonguay, directeur général de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique, rappelle que Rabaska générera, selon les chiffres officiels, 12,8 millions de tonnes de gaz à effet de serre durant le cycle de vie du gaz, soit l'équivalent des émissions de 3,5 millions d'automobiles. Ces émissions seront aussi à la hausse car, en Alberta, la production de pétrole à partir des sables bitumineux, une industrie gourmande en énergie, augmentera grâce à une disponibilité accrue de gaz. Les promoteurs de Rabaska arguent que le terminal permettra au Québec de diversifier ses sources d'approvisionnement, alors que ses opposants jugent qu'il n'en tirera que plus d'insécurité. M. Breton souligne que la région passera d'une source d'approvisionnement fiable (l'Ouest canadien) à des sources qui le sont moins à ses yeux, comme la Russie, l'Algérie ou le Qatar. Claude Martel, directeur du Sierra Club-Québec, qualifie ces projets de "marché de dupes" pour le Québec : les voisins américains auront du gaz mais pas l'inconvénient des ports méthaniers. "Tout ce qu'on va faire, note-t-il, c'est ouvrir une valve entre pays producteurs et clients, en nous laissant gérer les risques." Anne Pélouas Article paru dans l'édition du 02.10.07.
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