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Nameless_1

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Messages posté(e)s par Nameless_1

  1. Excellente analyse et observations UQAM+! :thumbsup: Ajoutes à ca une réfection du square Viger et ce coin du centre ville devient un lieu privilégié!

     

    Curieusement, le brutalisme du Palais de justice prend maintenant un peu plus de sens.

     

    La présence du CHUM équilibre sa masse imposante et les deux ensembles contribuent à structurer l'immense espace vide du champ-de-mars et de la tranchée Ville-Marie. Si on continuait à construire aux alentours dans des formes imposantes - par exemple par une nouvelle prolongation du Palais des Congrès, à l'ouest de cet espace vide, au-dessus de l'autoroute - il pourrait y avoir un jeu intéressant de formes modernes aux lignes épurées et de formes classiques plus travaillées, comme l'hôtel de ville et le vieux Palais de Justice.

     

    L'idéal serait alors de recouvrir ce qui reste d'autoroute par un parc. L'endroit deviendrait un des coeurs de la ville, d'où on verrait presque tout ce jeu de formes et de strates historiques. On peut rêver...

  2. Peu importe, il est facile de conserver l'enveloppe. Pour un architecte conscient du patrimoine du quartier, les façades sont certainement faciles à intégrer à un édifice en hauteur.

     

    Ce serait un bon compromis de conserver l'enveloppe, même s"il y aura contrainte au niveau des hauteurs de planchers qui seront probablement plus bas dans un édifice moderne. Une grande perte pour le quartier sur le plan patrimonial. La bonne nouvelle: l'école de remplacement accueillera plus d'élèves.
  3. Une étape de plus vers la démolition de l’école Saint-Gérard

     

    Par Laurence Houde-Roy Métro

     

     

    L’école Saint-Gérard, dans l’arrondissement de Villeray, a franchi une première étape pour ne plus faire partie de la liste des bâtiments d’intérêt patrimonial.

     

    Les élus du comité exécutif de la Ville de Montréal ont adopté le règlement visant son retrait, mercredi, avant la décision finale au conseil municipal.

     

    Ce changement permettra ainsi à l’arrondissement d’aller de l’avant avec son projet de démolition et de reconstruction de cette école au prise avec un problème de contamination fongique identifié en 2011.

     

    Les 400 élèves sont relocalisés depuis 2012 dans un autre établissement. «Je tiens à remercier la Ville qui, au-delà des règles urbanistiques, pense à la santé des enfants», a affirmé la mairesse de Villeray, Anie Samson, lors du comité exécutif, mercredi.

     

    Depuis la fermeture de l’école il y a deux ans, plusieurs scénarios ont été étudiés, allant de la réhabilitation à son remplacement complet. C’est maintenant ce dernier projet qui est privilégié afin de permettre la construction d’une structure aux capacités supérieures, accueillant 642 élèves plutôt que la capacité actuelle de 428.

     

    «Enfin, on va pouvoir clore cette mauvaise aventure», s’est exclamée Mme Samson, au comité exécutif.

     

    http://journalmetro.com/actualites/montreal/538099/une-etape-de-plus-vers-la-demolition-de-lecole-saint-gerard/

  4. La ville et les commerçants pourraient avoir une meilleure vision, plus focusée, un branding mieux défini afin d'offrir une destination shopping reconnue internationalement. Le Plateau s'est fait un nom à l'international, faudrait capitalisé là-dessus, un peu comme Soho l'a fait dans les années 90.

     

     

    J'aime cet idée Linberg; la plus constructif à date sur ce fil. Je reçois des touristes Français à tous les étés à la maison, et à mon grand désespoir, le quartier le plus en demande avec eux est le plateau.

  5. De toute façon, mettre tout nos œufs dans le même panier pourrait revenir nous hanté un jour.... Imaginez l'impacte d'une épidémie de C difficile au CHUM... De plus, nous devons arrêter de penser à court terme. Je suis convaincu que nous serons heureux d'avoir quelques lits supplémentaires dans dix ans. Et même à court terme, un hôpital supplémentaire contribuerait à désengorger le système; on préserve sa vocation à un bâtiment historique et on rentabilise investissement déjà fait dans cet hôpital.

  6. Hôpitaux de l’arrondissement de Mont-Royal

     

    L’Hôtel-Dieu n’a jamais été « excédentaire »!

     

    16 juillet 2014 | Michel Bergeron, Claude C. Roy - Professeurs émérites, Université de Montréal | Montréal

     

    Le rapport du groupe d’experts, présidé par l’architecte Marie Lessard, sur l’avenir des bâtiments « excédentaires » de l’Hôtel-Dieu de Montréal et du Royal Victoria Hospital vient d’être discrètement déposé sur le site Web du Secrétariat à la région métropolitaine. Le rapport est très fouillé, minutieux et lumineux. Il rejette clairement tout projet de construction de condos sur les sites des deux hôpitaux et dresse, sur le plan financier, un tableau quasi apocalyptique des solutions proposées par divers intervenants. Il convient de souligner la franchise et le professionnalisme de ces experts.

     

     

    Dans le cas de l’Hôtel-Dieu de Montréal, le rapport est toutefois basé sur une fausse prémisse, à savoir que cet hôpital a été classé, de façon péremptoire, par l’Agence régionale de santé et des services sociaux de Montréal (ARSSSM), comme excédentaire et accepté comme tel par le gouvernement précédent, alors que l’Hôtel-Dieu ne l’est pas du tout si l’on considère le nombre toujours élevé de patients hospitalisés ou admis à l’urgence. Mais les experts n’avaient pas le mandat gouvernemental de modifier la question et, en particulier, de souligner que, avec l’entrée en service de deux nouveaux centres hospitaliers universitaires, la fermeture de l’Hôtel-Dieu accentuerait la crise des urgences à Montréal et provoquerait un allongement des listes d’attente dans les services hospitaliers. Cette situation chaotique est inscrite dans les prévisions mêmes du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), situation dont l’ARSSSM préfère ne pas tenir compte.

     

     

    Pour cette agence, aucun argument — qu’il soit patrimonial, universitaire ou géopolitique — ne tient. Cet argument ne semble pas davantage émouvoir Madame Hélène David, ministre de la Culture et députée d’Outremont, qui reste silencieuse depuis des mois. On n’a aucunement besoin de l’Hôtel-Dieu, aurait soutenu l’Agence devant les experts. Une insulte à notre intelligence alors qu’un document produit par l’agence en octobre dernier venait confirmer le manque de lits à Montréal. C’est surtout un affront à l’oeuvre des religieuses Hospitalières de Saint-Joseph et à la contribution de cette institution à l’histoire de Montréal. Cette agence aurait autorisé la vente de l’Hôtel-Dieu ainsi que du Royal Victoria, pour lequel l’Université McGill a montré son intérêt. Il faut rappeler que le MSSS a investi 50 millions tout récemment pour rénover les urgences et les blocs opératoires de l’Hôtel-Dieu. Nous faisons face à un gaspillage honteux. On fermerait tout cela et en même temps, on planifie le même type de rénovations à l’Hôpital général de Montréal, situé à quelques centaines de mètres de l’Hôtel-Dieu. Incohérence et injustice !

     

     

    Compte tenu de l’état actuel de notre système de santé, le Québec n’a pas la marge de manoeuvre financière nécessaire pour fermer l’Hôtel-Dieu sans compromettre davantage l’accessibilité aux soins de proximité. De plus, les citoyens de Montréal seront privés du seul hôpital francophone situé au pied du Mont-Royal, c’est-à-dire au centre-ville. À moins de vouloir affronter, à court terme, une nouvelle crise des urgences et des listes d’attente, le MSSS doit absolument maintenir l’Hôtel-Dieu comme hôpital de proximité, avec son urgence et 150 lits, pour les citoyens des quartiers environnants.

     

     

    http://www.ledevoir.com/politique/montreal/413481/hopitaux-de-l-arrondissement-de-mont-royal-l-hotel-dieu-n-a-jamais-ete-excedentaire

  7. Panzini est un architecte immobilier montréalais renommé (derrière entre autres le Quai des Éclusiers près du marché Atwater) qui semble cependant avoir la majorité de ses projets, pourtant excitants et bien dessinés, tomber à l'eau pour différentes raisons. Le dernier en liste est celui des condos Babylone, sur René-Lévesque, qui ne semble aller nulle part.

     

     

    Ok, merci. Vraiment dommage pou le Babylone, c'était un beau projet qui élargissait le centre ville vers l'ouest.

  8. Ils devraient faire comme avec le recouvrement de ville-marie et y aller morceau par morceau. Au lieu de considérer le prolongement comme un ensemble couteux et compliqué, ça serait plus simple de prolonger au moins juste d'une station jusqu'à Pie-IX, ou deux stations jusqu'à bois-franc.

     

    Si on avait décidé d'y aller modestement de construire juste une nouvelle station chaque année ou deux, on serait rendu bien plus loin que les millions gaspillés en études d'avant-projets qui n'aboutissent pas.

     

     

    Je crois que ça devait être le plan: Pie-IX d'abord, le reste ensuite. Nous n'en sommes même pas là, le tout semble encore une fois être remis aux calandres grec...

  9. Une coalition demande le prolongement de la ligne bleue

     

    Christopher Nardi / Agence QMI

     

    Publié le: jeudi 03 juillet 2014, 9H04 | Mise à jour: jeudi 03 juillet 2014, 9H15

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    Une coalition déplore que le prolongement de la ligne bleue soit «encore» passé au deuxième plan, derrière des projets de transport en commun destinés à la Rive-Nord et la Rive-Sud.

     

    «On ne parle plus de la ligne bleue. De ces temps, on parle juste du pont Champlain comme si c’était la fin du monde. Avant ça, parlons un peu de l’est de Montréal», a déclaré le maire d’Anjou, Luis Miranda.

     

    Le prolongement de la ligne bleue fut proposé pour une première fois par le ministère des Transports en1979. Depuis, le projet a subi plusieurs délais et contrecoups, au point de demeurer à l’étape de l’étude dans le plus récent Plan québécois des infrastructures (2014-2024).

     

    Les multiples délais s’expliqueraient par le fait que le projet n’est pas assez attirant au niveau politique pour les politiciens de Québec, selon certains membres de la coalition, formée d’élus et de divers organismes.

     

    «Dans les années 1980, le métro devait aller à Anjou avant d’aller à Laval, toutes les études le démontraient. Pour des raisons politiques, on a décidé de l’envoyer à Laval, parce qu’au niveau politique, le 450 a une influence plus forte que nous, de résumer M. Miranda.

     

    Je ne veux pas qu’on passe encore en deuxième vitesse comme dans les années 1990.»

     

    Même son de cloche chez le conseiller et vice-président de la STM, Marvin Rotrand, qui ajoute que le prolongement de la ligne orange vers Laval est la seule nouvelle infrastructure de la STM qui a vu le jour depuis le début des années 1980.

     

    Pas avant 2022

     

    Le prolongement est également dans le plan stratégique 2020 de la Société de transport de Montréal (STM).Toutefois, en entrevue avec le journal 24 Heures, le président Philippe Schnobb a avoué que le projet ne se fera pas d’ici la fin de la décennie.

     

    Selon le vice-président de la STM, si Québec entreprenait le prolongement aujourd’hui, les nouvelles stations n’ouvriraient au public qu’en 2022 au plus tôt.

     

    «À ce rythme, c’est triste mais je ne pense pas que ce sera terminé avant 2025, martèle M. Rotrand. Nous voulons empêcher les politiciens d’oublier ce qui, historiquement, fut leur priorité pour Montréal»

     

    http://www.journaldemontreal.com/2014/07/03/une-coalition-demande-le-prolongement-de-la-ligne-bleue

  10. Est-ce du flafla ou du concret? L’avenir le dira!

     

     

    http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/05/13/montreal-et-paris-signent-un-accord-de-cooperation_n_5319680.html

     

    Le maire de Montréal Denis Coderre est en France, où il a rencontré mardi la nouvelle mairesse de Paris, Anne Hidalgo. Les deux Villes ont signé une entente pour favoriser l'accès des entreprises aux deux marchés.

     

    Ils comptent y arriver notamment en favorisant la « bilocalisation » des entreprises.

     

    Montréal et Paris promettent aussi des rapprochements dans le domaine du numérique, des transports en commun ou de l'aménagement urbain.

     

    La mairesse Hidalgo, qui recevait un maire étranger pour la première fois depuis son élection en avril, a parlé d'une longue amitié entre les deux villes.

     

    Après seulement 30 minutes de discussions, les deux maires se tutoyaient, ce qui n'est pas dans les moeurs françaises.

     

    « Moi, je suis intéressée par le modèle de Montréal sur les questions du traitement de la grande pauvreté dans nos rues, a déclaré Mme Hidalgo. Ce sont des sujets sur lesquels nous avons, à Paris, des défis à relever. Je souhaite aussi voir comment une ville comme Montréal avance sur ces sujets. »

     

    L'administration montréalaise aidera notamment Paris à recenser le nombre de sans-abri sur son territoire, a indiqué Denis Coderre.

     

    « On a conscience tous les deux, et on en a parlé, que l'avenir passe par les grandes métropoles. C'est un espace d'activités et de résolution de la plupart des défis de la planète », a estimé Mme Hidalgo.

     

    « Il faut que cet ordre de gouvernement ait les coudées franches, et il faut apprendre à travailler ensemble, a renchéri le maire de Montréal. Tout de go, c'est le but de ma mission en Europe. C'est de travailler notamment avec Anne, et ça va bien! »

     

    Après avoir visité ses homologues de Lyon et Paris, Denis Coderre terminera sa tournée européenne jeudi à Bruxelles.

     

    Avec des informations d'Anyck Béraud et Alexandra Szacka

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