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Vaillant

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Messages posté(e)s par Vaillant

  1. Cette discussion sur le patrimoine religieux ne me semble pas aller assez loin. Puisqu’il ne suffit pas d’être athée mais qu’il faut l’être férocement (à l’image des ennemis de la Raison), voici une honnête proposition qui ralliera la grande majorité des citoyens honnêtes (sans doute surtout les athées).

     

    Attendu que les religions déistes ont été les organisations criminelles les plus efficaces et les plus délétères de l’histoire humaine, il est urgent d’extirper la « croyance » de l’esprit humain. Pour ce faire, il est nécessaire de :

     

    1) Détruire systématiquement tout le patrimoine religieux bâti pour nettoyer l’espace public des erreurs du passé.

     

    2) Bruler tout livre, publication, article, œuvre d’art qui fait référence à la croyance au surnaturel.

     

    3) Créer des camps de rééducation pour les gens qui croient encore en des dieux, diables, et autres colifichets surnaturels. Leur faire passer un test de rationalité avant leur libération.

     

    4) Créer des camps d’extermination pour tous ceux (la grande majorité) qui échoueront le test (l’esprit humain étant tellement rébarbatif à la raison).

     

    N. B. : Les matériaux récupérés en 1) devront être réutilisés, le tout en accord avec une saine gestion écologique dans le cadre du développement durable.

     

    tu es malade? est tu déja aller dans une église? quand je vais dans une église pour moi c'est un moment de détente et de paix d'esprit et toi tu propose de détruire ca? tu es forcément maladement déranger!

  2. Junex a récupéré 42 barils de pétrole léger

    25 novembre 2009 | 10h50

     

     

     

    Argent

    La société québécoise Junex (JNX) est parvenue à récupérer 42 barils de pétrole léger à St-Augustin-de-Desmaures dans la région de Québec. L’or noir a été découvert alors que Junex réalisait une fracturation pour récolter du gaz naturel au puits Junex St-Augustin-de-Desmaures Un dans les shales d’Utica.

     

    Selon l’entreprise, il s’agit de la plus importante découverte de pétrole réalisée dans la Vallée-du-St-Laurent. «Il y a déjà eu des recherches mais jamais autant de pétrole n’a été trouvé», a expliqué Dave Pépin, vice-président des affaires corporatives chez Junex, précisant que la société pétrolière a été surprise de dénicher une quarantaine de barils.

     

    Les barils ont été livrés à la raffinerie d’Ultramar de Lévis où les 5 570 kg de pétrole seront raffinés. «C’est pas un pétrole lourd comme les sables bitumineux de l’Alberta mais ça ressemble au pétrole algérien», a précisé M. Pépin.

     

    Junex pourrait éventuellement choisir d’exploiter le gaz naturel et le pétrole pour tirer davantage de revenus de son puits des shales de l’Utica. «Il y a un défi technique à relever», a exprimé Dave Pépin, soulignant que Junex devra séparer le propane, le butane et le pétrole.

     

    Junex est l’une des seules compagnies énergétiques qui détient d’importants blocs de permis dans toutes les régions des Bases-terres du St-Laurent, incluant la rive nord. «Nous constatons pour la première fois que la rive nord, contrairement au cœur du bassin des Bases-terres, peut receler du pétrole léger», a exprimé par communiqué, Jean-Yves Lavoie, président de Junex.

     

    La société énergétique est par ailleurs heureuse du succès qu’elle a obtenu en réalisant la première fracturation au propane d’un Shale dans l’Est du pays. Au terme des procédures destinées à récupérer du gaz naturel, la composition du gaz amassé contenait encore 50% de propane.

  3. j'ai eu l'information que le projet est a 50% vendu. C'est pas un peu rapide??

     

     

     

     

    Merci de votre intérêt envers la communauté résidentielle de Pointe-Nord.

     

    Lancée en septembre dernier, la première phase de ZUNI condos + lofts a généré beaucoup d’intérêt et d’enthousiasme. En fait, nous avons déjà vendu plus de 50% des 163 condominiums.

     

    Nous sommes ravis de pouvoir encore vous offrir une variété d’appartements suffisamment large pour vous permettre de trouver celui qui correspondra parfaitement à votre style de vie et à votre budget.

     

    De nombreux condos et lofts magnifiques demeurent encore disponibles. Ainsi, nos unités de 1 chambre variant de 590 à 790 pieds carrés sont offertes entre $197,000 et $275,000 et nos unités de 2 chambres de 930 à 1160 pieds carrés sont disponibles de $309,000 à $490,000.

     

    Bien sûr, les prix ci-haut incluent la TPS, TVQ, un espace de stationnement intérieur, un casier grillagé, les électroménagers (réfrigérateur, cuisinière, lave-vaisselle, laveuse/sécheuse), la climatisation et les planchers de bois. La date de livraison est prévue pour l’été 2011

     

    Sachant reconnaître les projets immobiliers qui se démarquent, les médias ont abondamment couvert le lancement de POINTE NORD, mettant l’emphase sur l’aspect piétonnier, les parcs riverains, le côté écologique LEED ND décerné aux quartiers verts, bref un lieu de vie incomparable, offrant un excellent rapport qualité/prix et un bon investissement à long terme.

  4. Garou et ses associés rêvent d'une salle de 5000 sièges

    9 novembre 2009 | 14h23

     

    Argent a appris que le chanteur Garou et ses partenaires d’affaires sont prêts à lancer une nouvelle salle de spectacles dans la métropole lorsqu’ils auront complété la vente du Medley. Le trio d’investisseurs aimerait construire une salle de 4 000 à 5 000 sièges pour concurrencer le Théâtre du Centre Bell et attirer des productions internationales.

     

    «Montréal a besoin d’une salle multifonctionnelle de 5 000 places», a expliqué Paul Matte, copropriétaire du Medley, soulignant qu’il plongera dans l’aventure si le gouvernement investit dans le projet. «Je vois pas pourquoi Québec investirait pas», a ajouté l’homme d’affaires, précisant que le gouvernement a avancé une centaine de millions pour la construction de l’Adresse symphonique, future salle de l’Orchestre symphonique de Montréal. Selon Paul Matte, la construction d’une salle de 5 000 sièges pourrait nécessiter un investissement d’environ 20 M$.

     

    La direction du Medley a annoncé vendredi dernier qu’elle va fermer la salle de la rue St-Denis le 31 décembre prochain. «Il n’y a pas assez d’événements pour occuper les salles de 500 à 1 200 sièges», a exprimé Paul Matte, soulignant que les rénovations réalisées à l’Olympia et au Théâtre Telus ont plombé la performance du Medley.

     

    L’ancien Vieux Munich accueille 150 à 180 événements par année, ce qui est insuffisant pour assurer sa rentabilité. La désuétude de l’immeuble centenaire a aussi poussé Garou et ses partenaires à renoncer au Medley car la modernisation des installations auraient coûté près d’une dizaine de millions de dollars.

     

    La disparition de l’amphithéâtre de la LNI attriste Jacques K. Primeau, vice-président du Partenariat du Quartier des spectacles. «C’est jamais une bonne nouvelle de voir une salle fermer», a-t-il commenté, déplorant que les salles privées ne soient pas à l’abri de la spéculation foncière.

     

    Les propriétaires du Medley poursuivent d’ailleurs des discussions avec un promoteur immobilier qui veut construire des condos sur le site de la salle de spectacle. La propriété situé au coin de la rue St-Denis et du Boulevard René-Lévesque est évaluée à un peu plus de 2 M$. La valeur marchande de l’immeuble est peu élevée, seulement 325 000$ mais le terrain de 20 000 pieds carrés est évalué à 1,69 M$.

     

    «Je suis pas convaincu que le Medley était de trop», a conclu M. Primeau, en se demandant si tous les locataires de la salle, dont la LNI, vont parvenir à se trouver une nouvelle scène

  5. Le potentiel en hydrocarbures du bassin Madeleine confirmé

    9 novembre 2009 | 11h13

     

    LA PRESSE CANADIENNE

     

    Une nouvelle étude de la Commission géologique du Canada confirme le potentiel en hydrocarbures du bassin Madeleine, dans le golfe du Saint-Laurent.

     

    Le géologue Denis Lavoie, qui a dirigé une étude rendue publique au début octobre, note que le potentiel gazier du secteur des Îles-de-la Madeleine est nettement supérieur au potentiel pétrolier.

     

    Pour Gastem (GMR), qui détient un permis d'exploration gazière aux Iles, valide jusqu'en 2018, il s'agit d'une excellente nouvelle.

     

    Le directeur des relations avec les investisseurs, David Vincent, note que ces données de la Commission géologique sont plus positives que celles détenues par la société.

     

    Gastem, une société de prospection gazière de Montréal, concentre actuellement ses recherches dans les basses terres du Saint-Laurent et dans l'État de New York.

  6. Le mercredi 18 novembre 2009

    au 1212, rue Saint-Hubert

    Montréal (Québec)

    Présentations : 18 h et 19 h

     

    Nous vous invitons cordialement à venir

    découvrir ou redécouvrir les superbes

    condos du projet POM.

     

    Au menu, Jazz, Tapas et Crianza!

    Ceux et celles qui ont su exprimer leur

    créativité et leur talent dans la conception de ce

    projet POM vous accueilleront avec fierté.

    Joignez-vous à notre équipe et venez constater

    l'avancement des travaux

    de construction... et, surtout,

    laissez-vous séduire par les charmes et les

    attraits de la vie au centre-ville.

     

    RSVP, avant le mardi 10 novembre.

    Par téléphone : 514 844-4110 ou par courriel : info@habiterpom.com.

    Prière de nous indiquer si vous souhaitez participer à la présentation de 18 h ou à celle de 19 h.

     

    Michèle Veilleux-Poulin

  7. :( C'est un peu là aussi le problème, il y a plus de planchers de bureaux qui se construisent actuellement à l'extérieur du centre-ville et rien de concret en ville même. La crise n'explique pas tout, il y a des choix et des conditions à créer pour attirer les affaires au centre de Montréal qui manque cruellement de leadership.

     

    Où sont les "lucides" qui donnent des leçons aux autres mais qu'on ne voit pas quand on en a besoin?

     

    mais pourtant Montréal International fait un bon travail en ce sens

  8. 28 octobre 2009 07:48

     

    Chambre des communes - À la défense du français

     

    La Chambre des communes adopte à l'unanimité une motion du NPD selon laquelle le Québec a le droit d'obliger ses immigrants à apprendre le français. L'initiative du député Thomas Mulcair fait suite à une récente décision de la Cour suprême.

     

     

    La Chambre des communes a adopté à l'unanimité, mercredi, la motion déposée par le Nouveau Parti démocratique en appui à la politique linguistique québécoise. La motion n'a cependant qu'une portée symbolique et n'a pas force de loi.

     

    Le chef adjoint parlementaire du NPD, Thomas Mulcair, a profité de la journée d'opposition de son parti pour déposer une motion qui reconnaît au Québec le droit d'obliger ses immigrants à apprendre le français.

     

    L'initiative du lieutenant de Jack Layton pour le Québec fait suite à la récente décision de la Cour suprême qui invalide des articles de la loi 104 interdisant le stratagème utilisé par certains parents pour envoyer leurs enfants à l'école anglaise.

     

    « Je me réjouis de voir le droit du Québec à protéger le français être reconnu par la Chambre des communes », a déclaré, à l'issue du vote, Thomas Mulcair, qui a déjà été député libéral à l'Assemblée nationale. « Après la brèche ouverte par la Cour suprême la semaine dernière, il était important d'appuyer rapidement et fermement le gouvernement du Québec dans sa démarche ».

     

    Auparavant, il avait indiqué que la motion visait « à donner un poids supplémentaire au gouvernement du Québec, au Parlement du Québec, à l'Assemblée nationale, lorsqu'il aura statué là-dessus. Parce qu'on veut donner un contenu réel à la reconnaissance du Québec comme nation, en précisant que la reconnaissance du Québec comme nation comporte le droit pour le Québec de diriger les immigrants vers l'école française. »

     

    Si l'appui du Bloc québécois était acquis, conservateurs et libéraux ont approuvé le libellé de la motion néo-démocrate avec un enthousiasme modéré. À l'intar de plusieurs députés conservateurs et libéraux, la députée libérale de Brossard-La Prairie, Alexandra Mendes, avait dit de cette motion qu'elle allait confirmer un « état de fait ».

     

    Le représentant de Michael Ignatieff au Québec, Marc Garneau, a renchéri lors des débats en disant que « les députés appuieront massivement l'initiative du NPD », mais que « ce n'est certainement pas parce que son adoption est nécessaire ici pour que le Québec prenne ses propres décisions ».

     

    « On doit parler plutôt de cette obligation d'aider les nouveaux arrivants partout au pays, dans n'importe quel coin du Canada, d'apprendre un [sic] de nos langues officielles », a pour sa part déclaré le ministre de l'Immigration et du Multiculturalisme, Jason Kenney.

     

    Plusieurs observateurs estimaient que la motion du NPD visait avant tout à obliger les deux autres partis pancanadiens à prendre position dans le débat linguistique québécois, relancé par le récent jugement du plus haut tribunal du pays.

     

    Retour sur la décision de la Cour suprême

     

    La Cour suprême du Canada a invalidé, jeudi dernier, des dispositions de la loi 104 visant à restreindre l'accès à l'école anglaise, que le gouvernement du Québec avait adoptées en 2002 pour colmater une brèche dans la loi 101.

     

    Ces dispositions visaient à empêcher des parents du Québec d'envoyer leurs enfants dans une école anglaise privée non subventionnée pendant une courte période de temps, afin d'acquérir le droit de les envoyer dans des écoles anglaises subventionnées par la suite. Ce stratagème a essentiellement été utilisé par des allophones.

     

    Dans un jugement unanime, le plus haut tribunal du pays a estimé que le gouvernement du Québec avait contrevenu à la Charte canadienne des droits et libertés en préconisant une solution sans nuance pour faire respecter un « choix politique valide ». L'approche législative choisie, a jugé la Cour suprême, ne répondait pas au critère d'atteinte minimale à un droit.

     

    Sa décision a cependant créé des remous à l'Assemblée nationale. Québec a un an pour se conformer à la décision.

     

    Manifestation contre la décision de la Cour suprême

     

    À Montréal, environ 75 personnes ont manifesté mercredi leur désaccord contre la décision de la Cour suprême du Canada d'invalider la loi 104. L'auteur Yves Beauchemin et le président de l'Union des écrivains, Bruno Roy, étaient présents.

     

    Les protestataires ont occupé le bureau de l'avocat Brent Tyler, dans le Vieux-Montréal, avant d'être invités à quitter les lieux par les policiers. Ils ont ensuite bruyamment manifesté à l'extérieur de ces bureaux. Ancien président d'Alliance Québec, Brent Tyler a piloté de nombreuses contestations de la loi 101 devant les tribunaux, dont celle sur la loi 104.

     

    La manifestation était organisée par le Réseau de résistance du Québécois. La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal y a apporté son soutien.

     

    Radio-Canada.ca avec Presse canadienne

  9. Le produit intérieur brut réel aux prix de base par industrie au Québec, juillet 2009

     

    l'instistut de la statistique du Québec

     

    L’économie progresse de 0,1 % en juillet

     

    Québec, le 26 octobre 2009 – Le produit intérieur brut (PIB) progresse de 0,1 % en juillet (stable au Canada), après avoir reculé de 0,4 % en mai et haussé de 0,7 % en juin (au Canada : – 0,4 % en mai et 0,1 % en juin). C’est la deuxième hausse depuis janvier 2009, la dernière remontant à octobre 2008. Le cumul des sept premiers mois de 2009 glisse de 1,5 % au Québec, alors que le pourcentage correspondant au Canada est de – 3,5 %. En 2008, la progression est de 1,2 % au Québec et de 0,6 % au Canada.

     

    La croissance économique est attribuable aux industries productrices de services

     

    La production des industries productrices de biens fléchit de 0,2 % en juillet. Cette décroissance fait suite également à celle de 1,2 % en mai et à une montée de 1,1 % en juin. L’industrie la plus touchée est celle de l’extraction minière, pétrolière et gazière qui touche un creux de 12,4 %. L’industrie de l’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse ainsi que celle des services publics réduisent leur production mensuelle respectivement de 2,2 % et de 2,1 %. Les deux seules industries de biens dont la production augmente sont la fabrication (0,7 %) et la construction (0,2 %).

     

    La progression mensuelle de l’économie résulte de la croissance de 0,2 % de la production des industries productrices de services. La production de ces industries a fait du surplace au mois de mai et a haussé de 0,5 % en juin. Plus en détail, ce sont les industries du commerce de gros (1,6 %), de l’information et de la culture (1,4 %) et de la finance et les assurances, les services immobiliers et de location à bail et de gestion de sociétés et d’entreprises (0,3 %) qui sont à la source de la croissance des industries productrices de services. Malgré ces augmentations, un peu plus de la moitié des industries productrices de services, soit 7 parmi 13, indiquent encore des faiblesses dans leur production.

     

    La production cumulée pour l’ensemble de l’économie se replie de 1,5 %

     

    Le produit intérieur brut en valeur cumulée fléchit de 1,5 % en comparaison aux mêmes mois de l’année précédente, en raison du glissement de 5,9 % de la production des industries productrices de biens. Celle des industries productrices de services monte à peine de 0,5 %.

  10. Centre-ville Incendie majeur sur Saint-Laurent

    Mise à jour le mardi 20 octobre 2009 à 20 h 44

     

     

    Un important feu fait rage sur le boulevard Saint-Laurent, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René-Lévesque.

     

    Le feu s'est déclaré dans l'entretoit d'un édifice de trois étages, abandonné et en très mauvais état, situé au 1240, Saint-Laurent.

     

    Une cinquième alerte a été sonnée et une centaine de pompiers sont sur les lieux.

    091020feu_st-laurent_6.jpg

  11. Entrepreneuriat

    La Saskatchewan et le Québec plus dynamiques

    Mise à jour le mardi 20 octobre 2009 à 8 h 50

     

     

    Les villes du Québec et de la Saskatchewan seraient les plus attrayantes pour les entreprises canadiennes.

     

    La Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI) a comparé une centaine de villes du pays pour leurs politiques de réglementation et de taxation. La concentration d'entrepreneurs dans une région, la présence d'entreprises de démarrage et le succès des PME ont aussi été analysés.

     

    En se fiant à ces facteurs, Saskatoon est la ville canadienne la plus dynamique pour l'entrepreneuriat. Grande Prairie, en Alberta, se retrouve en deuxième position. Joliette, au Québec, se classe troisième.

     

    Des dix premières villes au palmarès, cinq sont de la Saskatchewan. Selon la FCEI, cette province est celle qui a le mieux géré le ralentissement économique.

     

    Dans l'ensemble du classement, 20 villes québécoises sont répertoriées. Québec se positionne au 37e rang. La communauté urbaine de Montréal arrive en 40e position.

     

    Plusieurs villes plus petites comme Alma (6e), Victoriaville (7e), Val-d'Or (9e) ou Rouyn-Noranda (11e) seraient plus attrayantes pour les entreprises. Ces agglomérations dominent les autres grâce à leur taux de taxation, qui est moins élevé que celui observé dans les grandes villes.

     

    Sièges sociaux

     

    Par ailleurs, la ville de Montréal continue de perdre du terrain en ce qui concerne les sièges sociaux.

     

    Selon le palmarès de l'Institut Fraser, la métropole accueillait le siège social de 92 grandes entreprises en 2000. En 2008, il n'en restait plus que 76.

     

    Ainsi, pour la première fois l'an dernier, Calgary a dépassé Montréal, avec l'ajout de 29 sièges sociaux en moins de 10 ans.

     

    Toronto connaît aussi une érosion de ses sièges sociaux, mais domine toujours le palmarès avec 176 sièges sociaux sur son territoire.

     

    Toronto, Calgary, Montréal et Vancouver abritent à elles seules les trois quarts des 500 plus grands sièges sociaux du Canada.

     

    Pour une ville, la perte d'un siège social signifie nécessairement une perte de revenus. Les bureaux administratifs d'une grande entreprise génèrent des milliers d'emplois en plus de représenter des contrats à des fournisseurs locaux.

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