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Mondo_Grosso

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Messages posté(e)s par Mondo_Grosso

  1. 1 hour ago, Djentmaster001 said:

     

    saw a sneak peek on Instagram, some murals will be made for the bar. There's one of Tim Raines and another of Serge Savard (I believe) with the Stanley cup next to it. 

    Could you give us the name of the instagram page, or a screenshot? Thanks you

  2. http://montrealgazette.com/entertainment/music/calling-in-the-roadies-steves-music-store-in-montreal-forced-to-relocate

    Calling in the roadies: Steve's Music Store in Montreal forced to relocate

    Published on: June 21, 2017 | Last Updated: June 21, 2017 6:13 PM EDT
    Flashback to 2005: Micheal Kirman left, "Mr. Steve" (Kirman), Dave Gantz and Sheldon Sazant at Steve's Music Store on St. Antoine St. in Montreal.

    Flashback to 2005: Micheal Kirman left, "Mr. Steve" (Kirman), Dave Gantz and Sheldon Sazant at Steve's Music Store on St. Antoine St. in Montreal. TYREL FEATHERSTONE / MONTREAL GAZETTE

    Steve’s Music Store is moving. After more than 50 years at its original St. Antoine St. location, the landmark Montreal instrument shop will be packing up this summer and reopening on Ste-Catherine St. E.

    “We’re moving because we’re forced to, not because we want to,” said store manager Sheldon Sazant, who began working at Steve’s in 1978.

    He was talking on speakerphone from the office of company president Michael Kirman, son of the titular Steve.

    “I’ve spent my life here as an employee and I’ve loved doing so every minute,” Sazant continued. “Michael was basically born in the store. But when you have no choice and the government sends you papers for expropriation, you either fold or you roll up your sleeves and continue.”

    The property on which Steve’s is located was sold to a condo developer almost five years ago, Kirman explained. But after a period of limbo, they have received notice that the land will be used for the expansion of the neighbouring Palais des congrès.

    No eviction date has been set, but Kirman and Sazant preferred to take matters into their own hands. They will be moving the bulk of operations to the new location by the end of the summer while retaining some facets of the business in the old digs for now. Needless to say, there’s a lot to coordinate.

    “There’s no other store in the world that has developed the way Steve’s has developed and expanded over the years,” Sazant said, referring to the current location’s maze-like layout and multiple access points. “We have nine storefronts to open and close every day, and two alarms.”

    It’s hard to say goodbye to a place with so much history, the pair admitted. Salzant rattled off names of Quebec musicians (“Céline Dion, Simple Plan, Michel Rivard, Offenbach, Harmonium, Paul Piché … Michel Pagliaro was in here today”) and international movie stars (“Richard Gere, Johnny Depp, Benjamin Bratt, Nicolas Cage, Bruce Willis, Wesley Snipes, Carol King, ZZ Top, Green Day, people from KISS”) who have passed through and returned over the years.

    Expansion has led to outposts in Greenfield Park, Dollard-des-Ormeaux, Ottawa and Toronto, but the original Steve’s location retains a gritty mystique all its own.

    “Before it was a music store, it was a drum shop,” Kirman explained, “and in the ’30s and 40s, my grandfathers had a pawn shop here. My dad started this business when he was 18; he passed a couple years ago, so a lot of his experience is still in the building. That part is going to be very emotional for all of us. We’re trying to get the spirit of this building into the new business. It’s like losing my father again, in a certain sense. But we’re looking forward to the challenge.”

    --------------------------------------------------------------------------------------------------  rt review: Red Hot Chili Peppers hone their balancing act

    http://plus.lapresse.ca/screens/8366ab6e-ace3-40bd-94ff-608b5f7b8de2|_0.html

    CHEZ STEVE

    YVES BOISVERTLA PRESSE

    Ce n’était pas encore Steve’s Music et la rue s’appelait Craig. Le tramway passait ici, devant une enfilade de pawnshops tenus par des familles d’immigrants juifs d’Europe de l’Est. On en comptait une bonne trentaine dans les années 20. On pouvait trouver de tout pour pas cher, des chemises, des vestes, de la vaisselle, une tente…

    Ce que Diego voulait, c’était un accordéon. Il avait 8 ans, il débarquait d’Italie avec son père, et il était fou de musique, et il l’a trouvé ici.

    « Dans les années 60, quand j’ai voulu faire un band, les gars m’ont dit que c’est pas avec un accordéon que j’allais pogner… »

    Diego Insalaco est devenu claviériste, un des meilleurs en ville. Il a joué dans tous les bars et toutes les salles. Il a appris le français en province pour causer aux filles. Il a appris la bonne façon de jouer avec les musiciens noirs de Montréal, une école de rigueur et de style, me dit-il.

    Les tramways ont été remisés, on voit parfois les rails dans le quartier quand l’asphalte pèle au printemps. La rue s’appelle maintenant Saint-Antoine. 

    Et il ne reste de cette époque qu’une petite rangée de bâtiments chambranlants, comme oubliés en bordure de l’autoroute Ville-Marie, cette plaie urbaine jamais refermée.

    Il reste aussi une chanson de Leonard Cohen, Let’s Sing Another Song, Boys. On y voit la fille d’un propriétaire de pawnshop tenter de séduire un client avec une clarinette ou un micro « qu’un pauvre chanteur comme moi avait dû lui laisser ».

    Cohen a acheté à 15 ans dans un de ces comptoirs sa première guitare, en 1949.

    Il est revenu chez Steve’s il y a 10 ans acheter un clavier avec synthétiseur, et c’est Diego qui le lui a vendu.

    « C’est un truc qui fait des accompagnements, ça aide à composer… C’était plus un poète, tu sais, alors il trouvait des airs et ensuite il appelait des vrais bons musiciens », dit le vendeur-musicien avec compassion.

    ***

    C’est au milieu de ces bâtiments fantomatiques que trône Steve’s, rendez-vous mythique des musiciens depuis 50 ans.

    Le magasin déménagera à la fin de l’été rue Sainte-Catherine.

    Ce sera encore le même magasin, les mêmes guitares, les mêmes vendeurs-musiciens experts, le même mur de photos de célébrités… Mais on quittera ce bâtiment impossible qui en fait le charme.

    Les planchers sont croches et font des drôles de bruits, les fenêtres sont sales, les ordinateurs datent des années 80… Dans l’arrière-boutique, les acariens sont morts étouffés dans la poussière.

    Je dis l’arrière-boutique, mais il faudrait parler au pluriel. Steve’s est une enfilade de boutiques agglomérées au fil des ans et des expansions. À l’étage, on trouve des restes des anciens logements, des frigos des années 50, des portes murées, des traces d’incendies du dernier siècle et demi, des escaliers qui ne mènent plus nulle part… Puis, soudainement, une zone d’entreposage et des bureaux d’administration.

    Il faudrait un égyptologue pour trouver son chemin ici.

    ***

    Le père de Steve Kirman, un homme qu’on n’a vu qu’en complet toute sa vie, avait son comptoir de prêt sur gage, rue Craig. Il destinait ses deux fils à un statut social plus prestigieux. Le frère de Steve a fait un doctorat en économie à Cornell et est devenu professeur d’université à McMaster. Steve préférait les voitures de course aux bibliothèques, et c’est sous la férule du père qu’il a ouvert son tout petit magasin en 1965, à 19 ans.

    « C’était un pawnshop, mais il s’est rendu compte rapidement qu’il vendait surtout des instruments de musique, des guitares en particulier, c’étaient les années des Beatles et de la British Invasion, tout le monde voulait être musicien », dit Sheldon Sazant, gérant, qui arpente le magasin depuis 1978.

    « C’était une job d’été pendant que j’étudiais en microbiologie, mais après mon bac, Steve m’a offert de rester… »

    Et quand on entrait ici, souvent, on y restait toute sa vie.

    « Ma femme est drummer, au fait. »

    En entrant, on aperçoit un mur des célébrités. De Michel Rivard à Sting à Céline Dion. Il n’y a pas assez de place. Tiens, une photo délavée de Pierre Elliott Trudeau avec Robert Charlebois, et Sheldon, moustachu et magnifique afro sur la tête, entre les deux.

    « Charlebois était un client et Trudeau était venu acheter un clavier pour un de ses enfants, ils étaient ensemble par hasard, j’ai fait prendre la photo », dit le gérant.

    Des cymbales livrées 10 minutes avant un spectacle, un vendeur qui est invité à jouer de la batterie pour un « sound check » avec Bruce Springsteen, un employé qui donne un « lift » jusqu’à son hôtel à Robert Downey Junior parce qu’il pleut, mais sans savoir qui c’est, seulement pour être aimable (Steve faisait ça souvent)… 

    L’endroit bruisse encore des anecdotes entourant le passage de ceux qui ont fait la musique des 50 dernières années. Et de ceux qui veulent les imiter.

    « Billy Gibbons de ZZ Top est venu ici une fois, il cherchait un petit câble pour relier au micro depuis des mois, notre gars lui a trouvé ça dans l’entrepôt. Il était tellement content, le lendemain une limousine blanche s’est stationnée devant le magasin et il a signé des photos pendant trois heures. »

    Daniel Bélanger, Daniel Boucher, Half Moon Run, Paul Piché, Gerry Boulet et Offenbach, Harmonium… La liste de ceux qui ne sont pas venus ici serait moins longue à dresser.

    « Les temps sont durs pour les musiciens, les revenus ne sont plus ce qu’ils étaient. Je ne vous dirai pas qui, mais j’ai vu un musicien me demander si j’avais une job pour lui… Ça m’a fendu le cœur. Ce qu’on voit beaucoup depuis quelques années, c’est des professionnels qui ont enfin les moyens d’acheter la guitare ou le clavier de leurs rêves, et qui ont le temps d’en jouer », dit Sheldon.

    « Il y a eu des gens de partout qui se sont retrouvés ici, pour travailler ou pour jouer, des Jamaïcains, des Chinois, des juifs anglophones, des francophones, des Italiens, des Haïtiens… C’est tout Montréal à travers la musique », dit Diego.

    ***

    Bien des choses ont changé depuis l’ouverture, et pas seulement les possibilités qu’offre l’informatique.

    « Il y avait un esprit unique au Québec dans les années 60, 70, les gens vivaient sans se soucier du lendemain, quelque chose de festif dans la mentalité », dit Sheldon.

    Tard le soir, quand la rue Craig/Saint-Antoine était déserte et la police pas trop près, on pouvait voir Steve faire des courses de voiture, quand il ne festoyait pas dans les Laurentides. Il est mort en 2012, laissant ses magasins (dont ceux d’Ottawa et de Toronto) à son fils Michael.

    Les murs ici craquent pour le passant, mais ils parlent pour des générations de musiciens. 

    Bientôt, peut-être, tout sera rasé. Un avis d’expropriation a été envoyé. Il avait été question de condos. Il est maintenant question d’agrandissement du Palais des congrès. Héritage Montréal voudrait qu’on préserve ces vestiges. Je ne voudrais pas être le rénovateur de ce capharnaüm architectural. Mais Montréal aura perdu de son âme quand on aura jeté à terre ces bâtisses de briques et de pierres, qui remontent à 1870, d’après Michael Kirman.

    C’est un autre repère affectif de la ville qui s’en ira.

    « Imagine qu’on déménage Schwartz… » dit Diego. C’est pas qu’une question de smoked meat, quoi.

    Pourquoi les employés restent mille ans ici, Sheldon ? Il sourit.

    « Parce qu’on vend de l’émotion, on vend du rêve, on vend de la joie. Voilà. »

    • Like 2
  3. 2 hours ago, FrancSoisD said:

     

    Désolé d'être si direct et de réveiller un vieux fil (électrique?!), @Rocco, mais je crois que c'est davantage toi que Griffintown toi qui manque d'amour! (Pour détester tant de projets avec tant d'insistance et de hargne!)

    T'sé, je ne souhaite nullement te dire quoi que ce soit méchamment, croyant dur comme fer que touTEs devraient avoir droit à l'amour et te trouvant même souvent tordant dans tes commentaires... Mais sérieusement et objectivement, y'a parsonne qui bashe autant que toi sur ce forum... et je me demande même si ça n'a pas une p'tite ou moyenne influence négative sur d'autres! :confused:

    Ne faisant un tour dans la "sous-section hybride" Griffintown du forum qu'à l'occaze, j'ai l'impression que depuis quelques mois presque touTEs les membres fréquentant cette sous-section en remettent une couche, à divers degrés, dont le plus "doux" serait de répéter que les immeubles du coin et/ou le quartier de Griffintown sont "ordinaires"! Calvinse, si on pensait comme toi que Brickfields, Exalto, Hexagone 2, LSV , Murray 1-2-3 ou Yoo sont 'ardinaires" au possible, basherrons-nous alors sans cesse d'autres projets ailleurs tels: 21e Arrondissement, Children's / Est-West, Evolo X, Four seasons, Humanity, Icône 1-2, Laurent & Clark, Le Canal, Le Drummond, Montfort, Myriade, O'Nessy, ONF, Solano, Stanbrooke, TdC2, TOM, Union sur le parc, etc...?

    J'ose d'ailleurs espérer que vous savez touTEs que Griffintown est le berceau de l'industrialisation du Canada! L'un des 2 ou 3 plus anciens quartiers de Montréal après le Vieux-Mtl ! Et qui dit "industriel" dit évolution plus erratique (lire: rebondissante) au fil du temps qu'un quartier résidentiel, universitaire ou d'affaires, et donc potentiellement négligé et délabré pendant des décennies.

    @Rocco, t'as certes raison quand tu dis que "cette petite rue manque d'amour", voyant les entrepôits, les stationnements en terre et garnotte avec flaques d'eau, les fils et le trottoir défoncé, mais à mon humble avis t'as pas vraiment raison si tu inclus les Murray 1-2-3 et la coop Griffin dans ce manque d'amour! (Ça pourrait certes être mieux, toujours, mais ça ne mérite pas qu'on bashe virtuellement ni leur habitantEs actuelLEs ni futurEs!)

    Bien sûr, que je trouve certains projets peu élégants, voire drabes et parfois hideux de par leur manque d'intégration, tant à Griffintown qu'ailleurs. Toutefois je trouve que le niveau est mieux à date ici que dans le faubourg St-Laurent, les abords du pont Jacques-Cartier ou le Triangle!

    Et est-ce que ça me donne envie d'aller basher au quotidien ces quartiers? Pas le moins du monde (j'en ai plein les bras avec Marriott AC pis le Smith, haha!)

    Trève de chialage sur les chialeux, je suis agréablement surpris de cette coop eccentrique. (Et certes pas de la coop Les Bassins du havre, dont les volumes et couleurs me font penser à un gros immeuble industriel, se situant entre le Library Bldg. de Concordia et le Nordelec!)

    Et j'aime bien Arbora et ses touches de bois, District Griffin sur le parc qui me fait sentir comme si j'assistais à un coucher de soleil perpétuel, LSV, ses touches de couleurs, Murray, Yoo et ses balcons de verre quasi-invisibles au bas puis reflétant de plus en plus le ciel vers sa cime... Griffintown me dépayse et me fait un peu rêver; comme d'autres ici j'y vois un immense potentiel de quartier dense ET à l'échelle relativement humaine!

    Pour en revenir à toi, @Rocco, tu me fais rire lorsque tu te plains à la fois des immeubles gris et beige drabes de divers promoteurs, puis que dès qu'un promoteur a l'audance -- d'ENFIN! -- oser ajouter une touche somme toute discrète de couleurS... bang! t'as encore le piton du chialeux collé!

    End of rant. + Food for tought! :x

    Avant même de devenir membre sur MtlUrb, la première chose que j'ai appris, c'est que Rocco s'en fou de ce que les gens pensent de ses commentaires. Tu perdes ton temps à lui répondre, laissez-le partager son opinion en paix.

    Oui, je sais qu'ils peuvent être dépressivement négatifs et incohérents, mais laisse faire.

    • Like 2
  4. 1 hour ago, GDS said:

    Dreamforce has 170,000 delegates, that is seperate from the seminars that anybody can buy tickets for. They are members, resellers and agents, but either way that is not the point.

     

    The point is that 37,000 is the highest number of int'l delegates for members of the ICCA in North America. Since almost no convention center in the USA is a member, we have no idea how well that number really stacks up.

    Member venues in USA

    Honolulu, HI, U.S.A.
    Las Vegas, NV, U.S.A.
     
    Chicago, IL, U.S.A.
     
    No McCormick Center, no Las Vegas Convention Center, no Orange County Convention Center, nothing in New York, nothing in California.
     
    We are number 1 on a list that is not serious at all.

    The ICCA is not perfect, but it is still worth something. There are only 3 conventions centers larger than Boston convention center that are not registered with the ICCA, so it's not like a massive amount of big players are missing. It's pessimistic of you to focus only on the none members and to completely ignore the great cities and convention centers that are included that Montreal did beat. I will do the exercise just for sake of efficiency and curiosity, but lets keep in mind the definition of delegates per the ICCA and that the award given to Montreal was for most international conventions, not highest attendance.

    Convention center: number of international conventions

    Palais des congrès de Montréal: 76 

    McCormick Center (largest in USA): 54

    Las Vegace Convention Center: 49

    Orange County Convention Center (Second largest): 230 but they don't separate conventions from other small events

    NYC Jacob K. Javits Convention Center (largest in New York): 177 but again no distiction between international conventions and other events.

    Stats are hard to come by for the large centers not covered by the ICCA, but there's a very high chance that Montreal gets more international conventions than any of them.

     

  5. 1 hour ago, GDS said:

    No, ,you don't understand. It is comparing int'l delegates for member convention centers only. Since there are only 5 members in the USA, the statistic is meaningless. Since McCormick Center in Chicago is not a member, comparing Montreal to Chicago is a falsehood. This doesn't even cover that American  attendees are considered int'l in Canada. What cities care about is that non local people attend and book flights, hotels, eat in restaurants etc.

    Its not that I think Palais des Congres is doing a bad job, its that we are not the most popular North American destination for int'l visitors. Like I mentioned, Dreamforce has 170,000 attendees. They don't break it out, but I would surmise ~30% are international. That one event would have more than Montreal in one year. Just think of other major event that probably attract large int'l numbers - CES, Detroit Auto Show, SEMA,

    No, you are the one misunderstanding my friend. The 37,000 the article talks about is not total attendance at the Palais de Congres or total international attendance, it is only "business travelers and delegates". This is not defined as anyone who is an international attendee, they mean individuals who represent governments, NGOs, research groups, business associations, etc.

    The attendees at Dreamforce do not fit this definition, and the presenters are almost all local. Any normal Joe can buy a ticket to attend, and even if he is coming from Germany it does not make him a delegate. For example, the Montreal International Auto Show draws 200,000 visitors annually, most are just locals and some from the United States, but they don't count as business representatives or delegates.

    As indicated in this annual report, the Palais des Congres de Montreal sees nearly 850,000 attendees, but only 37,000 are considered delegates/business representatives. It's also important to not that the award is for the most international conventions, not the most attendees.

    This report published by McCormik place says that they held 54 conventions last year, PdCMTL had 76. The report even goes as far as to say that they aren't getting enough international visitors and that it is killing the hotels nearby.

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