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la valeur patrimoniale de l'extérieur de l'édifice vieux de 200 ans
Ça m'étonnerait beaucoup que cet édifice ait plus de 100 ans, je pense 110 ans maximum.
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C'est nouveau! Bel effort de revalorisation, j'aime beaucoup.
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J'attendrais de voir le rendu final, avec les vitres. Les matériaux sont très beaux.
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Ah très beau, ça rajoute vraiment quelque chose au complexe.
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Merci pour l'info! Est-ce qu'on parle du stationnement en face d'HQ?
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Dans quel sens?? Le nouveau pont serait au même endroit(ou juste à côté) du pont actuel. La vue serait la même!
Je pensais à l'addition architecturale du pont sur le skyline!
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Wow, ce serait une entrée spectaculaire.
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Gentilly-2: Hydro-Québec va de l'avant
Mise en ligne 18/08/2008 10h24
ARGENT
Le réseau TVA a appris que la réfection de la centrale nucléaire Gentilly-2 sera annoncée mardi, à Bécancour.
Le coût des travaux se situerait entre 1,5G$ et 2G$. Ils débuteraient en mars 2011 et s'étendraient sur 18 mois.
Hydro-Québec a donc décidé d'entreprendre la rénovation de la centrale plutôt que de la fermer, comme le réclamaient une quarantaine de groupes environnementalistes.
La Fédération des travailleurs du Québec s'opposait à cette fermeture. Elle estimait qu'avec la crise dans les industries forestière et papetière, la région ne pouvait pas se permettre de perdre 800 emplois.
La centrale de Gentilly-2 est en opération depuis 1983. Les travaux permettront de prolonger sa durée de vie de 25 ans.
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J'ai entendu dire par une personne qui travaille pour le ritz qu'un des penthouse se serait vendu à 17 millions de $. Ça m'a semblait très exagéré pour le marché montréalais...
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C'est beau! Très belle photo, merci Gilbert.
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ça peut arriver, mais je trouve ça encore plus dommage que nous avons des centaines(si ce n'est pas des milliers) de médecins qui chauffent des taxis...surtout avec le manque de médecins au Québec.
ce ne sont pas des gens très diligents tout de même! L'immigration m'a averti au moins 3 fois sur ces problèmes, et ont parle de médecins là, des dilpomés universitaires... Hormis pour des réfugiés politiques, j'ai aussi du mal à comprendre pourquoi un médicin resterait à chauffer des taxis ici alors qu'il pourrait vivre très confortablement dans son pays d'origine.
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JE me demande quel est le pourcentage d'immigrants qui arrivent au Québec avec un diplôme universitaire (genre Médecin, Infirmière, avocat, notaire etc..) qui sont obligés de faire un autre boulot(chauffeur de Taxi, femme de ménage) rendu ici car leurs diplôme n'est pas reconnu au Québec? 10%? 15%? Est ce plus que ça?
Je dirais que c'est beaucoup moins que 10%. Je suis moi même un immigrant et je peux dire qu'on m'a plus qu'averti sur le problème de la reconnaissance des diplômes. Je n'arrive pas à croire qu'il y a des médecins qui arrivent ici sans savoir que leur diplôme ne soit pas reconnu, ce serait encore plus étonnant pour un avocat/notaire.
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Y a t il quelqu'un qui sait exactement ce que les Irlandais ont fait pour complètement tourner leur économie de bord et devenir prospère?
Principalement, ils ont baissé la fiscalité des entreprises pour avoir le taux le plus compétitif de toute l'UE (12,5 % versus 35 % en france par exemple), investi dans la formation et appliqué une rigueur budgétaire.
Il y a un bon article sur wikipedia
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J'ai vécu en france durant 20 ans et mon avis est que les français sont skizophrènes et adore s'autoflager mais sont d'une arrogance et d'un ethnocentrisme délirant quand vient le temps de se comparer à d'autres nation ou culture.
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Montréal sera une ville de premier ordre si les montréalais se perçoivent et agissent comme des citoyens de premier ordre, peu importe le système politique dans lequel ils seront.
Je suis d'une "école de pensée" qui ne croit pas beaucoup à ces histoires de perception. Les français se prennent pour des gens de premier ordre, ça n'a pas empêché le déclin économique de leur pays. Je reste convaincu que le retard économique relatif du Québec par rapport à l'Ontario pourrait se résoudre par un changement de la structure fiscale. Il y a plusieurs signes encourageant depuis quelques années qui montrent que les politiques prennent le problème de la productivité sérieusement (élimination de la taxe sur le capital, rehaussement des paliers d'imposition etc...) mais on est encore loin du compte.
Les irlandais étaient un des pays le plus pauvre de l'Europe il y a à peine 30 ans, ils sont aujourd'hui plus riches que les Suédois! Tout cela par un simple changement de la fiscalité des entreprises...
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J'ai entendu dire que de nombreux propriétaires se plaignaient de problèmes liés à la climatisation au solano. Il parait aussi que le sol en bois franc de nombreux appartements a tendance à gondoler sérieusement.
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Ça brasse sérieusement autour de Gentilly en ce moment!
Les affaires.com
Fermer ou non la centrale Gentilly-2 ?
Plusieurs forces s'opposent sur le sort de la centrale vieillissante.
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) estime qu’Hydro-Québec doit procéder à la réfection de la centrale nucléaire Gentilly-2 contrairement à ce que désirent certains groupes environnementaux.
Plusieurs entreprises en faveur de la réfection
Le président de la FTQ, Michel Arsenault, soutient que les régions de Trois-Rivières, Bécancour et le Québec dans son ensemble n'ont pas les moyens de se priver de la centrale.
Hydro-Québec affirme ne pas avoir encore pris sa décision concernant la réfection ou la fermeture de la centrale, mais qu’elle sera prise bientôt. Le porte-parole Marc-Brian Chamberland soutient que la société d’état n’a pas encore fait connaître de préférence pour l’une ou l’autre des deux options.
«Hydro-Québec procède à des études de sécurité et des études économiques pour voir quels sont les avantages et les inconvénients à conserver ou non la centrale et quels seraient les coûts», précise-t-il.
La FTQ soutient que «la fermeture aurait des conséquences bien réelles, pires encore que les risques appréhendés par ceux qui s'opposent au projet».
Le syndicat précise que la fermeture de la centrale fragiliserait la fiabilité de l’approvisionnement, le soutien au parc éolien québécois, la sécurité énergétique des grands centres vulnérables aux pannes et la santé des gens.
Il ajoute que 800 emplois directs et 1200 emplois en temps de réfection seraient perdus et qu’Hydro-Québec perdrait 150 millions de dollars en revenus.
Hydro-Québec soutient que tous les critères seront considérés dans sa réflexion, dont le rôle de la centrale dans le réseau, l’aspect technique de la réfection, le coût de production et le bilan d’exploitation de la centrale.
Opposition à la réfection
Selon le Mouvement vert de la Mauricie, dans une lettre ouverte publiée mardi dans Le Devoir, Gentilly-2 arrivera à la fin de sa vie en décembre 2010 et son réacteur produit environ 3% de l'électricité de la province.
Le mouvement dit que le coût de la reconstruction évalué à 1,5 milliard de dollars par Hydro-Québec pourrait augmenter en raison de nouvelles normes plus sévères. En se basant sur l’expérience nucléaire de l’Ontario, il ajoute que cet investissement ne permettrait d’allonger la vie de la centrale que de dix ans.
Le porte-parole d’Hydro-Québec soutient que «les durées de vie des centrales nucléaires sont d’environ une trentaine d’années et que la réfection pourrait «prolonger la vie de la centrale d’un délai similaire».
Le responsable de la campagne Énergie à Greenpeace, Shawn Patrick Stensil, croit que «la société doit considérer l'arrêt du réacteur comme une occasion d'investir dans des formes d'énergies moins polluantes et plus sécuritaires». «D'autant plus que la production de Gentilly-2 représente moins de 3% de l'énergie électrique produite au Québec», dit-il.
Une quarantaine d'organisations ont envoyé une lettre à l'Assemblée nationale en fin de semaine, demandant au gouvernement qu'à défaut de fermer la centrale, il devrait au moins répondre aux recommandations du BAPE sur les déchets radioactifs et sur la validation des estimations pour la réfection.
Si une décision favorable à la réfection était prise, un des scénarios envisagé par Hydro-Québec est de commencer la remise à neuf en mars 2011. Les travaux s’étendraient sur 18 mois et la centrale serait en service en octobre 2012.
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Par contre, pour le centre-ville, plateau, etc je trouve que les grands bacs roulants sont trop «banlieue».
Pour le centre-ville, plateau etc je trouve que les sacs poubelles déchirés dans la rue aux pieds des arbres sont trop "tiers monde"
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Faut pas oublier que l'occupation ne se fera que dans quelques années, d'ici là les choses peuvent beaucoup évoluer. Ils peuvent se mettre à risque ou attendre d'avoir plus de visibilité sur le marché. Ça reste un bet à long terme!
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Geneve est une ville hyper connue et pourtant elle fait moins de 1 million d'habitant et accueille bien moin d'immigrants que Montréal. Florence, c'est à peu près la même chose et je pourrais t'en citer plein d'autre! Je ne crois pas que la réputation d'une ville soit correllée au nombre de ses immigrants (du moins pas seulement!).
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Un article intéressant sur la filière nucléaire au Québec sur http://www.visiondurable.com
Le Québec se prépare aux travaux de Gentilly-2
Même si l'Ontario domine, la présence du Québec n'est pas négligeable
par Charles-Albert Ramsay
SNC Lavallin et Velan aimeraient bien qu'Hydro-Québec choisisse de remettre Gentilly II à neuf. Le Québec se prépare aux travaux de Gentilly-2 Même si l'Ontario domine, la présence du Québec n'est pas négligeable. Si Hydro-Québec décide de remettre à neuf son réacteur nucléaire Gentilly-2, à Bécancour, plusieurs entreprises du Québec seront en lice pour décrocher d'importants contrats.
Des firmes comme SNC- Lavalin et Velan ont acquis une expertise dans l'énergie nucléaire, même si le Québec ne compte qu'un seul réacteur, mis en service en 1983. Il faut dire que l'Ontario domine la filière nucléaire au pays, avec sa vingtaine de réacteurs qui produisent 53 % de l'énergie consommée par la province voisine.
Fait intéressant, c'est un Québécois qui dirige la plus importante société ontarienne de l'industrie nucléaire, dont le siège est situé à Oakville. Patrick Lamarre préside SNC-Lavalin Nucléaire, filiale en propriété exclusive de la multinationale québécoise SNC- Lavalin, dirigée par son père, Jacques. Cette filiale est issue de la défunte société québécoise Canatom NPM, qui a assuré la construction de la plupart des réacteurs CANDU 6 d'Énergie atomique du Canada (EACL), une société d'État fédérale qui a la responsabilité de construire les centrales nucléaires de type CANDU.
Bien entendu, la réputation de SNC auprès de l'industrie nucléaire mondiale est intimement liée à EACL, indique M. Lamarre, joint au téléphone. SNC a construit " presque tous les CANDU dans le monde ", dit-il. Et puisqu'il s'agit de la seule technologie à avoir été déployée depuis 10 ans, SNC mise sur cette expérience récente pour mousser les ventes des réacteurs canadiens.
La construction de centrales CANDU à l'étranger a aussi permis aux sociétés québécoises de décrocher des contrats qui n'ont rien à voir avec la filière canadienne. En Afrique du Sud, SNC construit une centrale expérimentale à lit de boulets (pebble bed, en anglais), près du Cap. Et les autorités sud-africaines ont choisi les valves industrielles de Velan. L'entreprise familiale de Montréal fournit des valves à toutes sortes de centrales nucléaires, autant en France qu'aux États-Unis et au Canada.
" Les six derniers projets de CANDU ont respecté les échéances et les budgets. C'est notre recette gagnante. "
L'industrie québécoise profite bien des succès de l'ontarienne SNC-Lavalin Nucléaire, insiste-t-il. Par exemple, les ingénieurs du bureau de Montréal ont grandement contribué aux travaux de remise à neuf de la centrale Wolsong 1, en Corée du Sud.
Et si l'industrie de l'énergie nucléaire vit la renaissance tant attendue, M. Lamarre espère bien ramener dans ce domaine plusieurs ingénieurs qui avaient délaissé le secteur pendant les années de vaches maigres.
D'autant plus que c'est Hydro-Québec qui est responsable des travaux annuels d'entretien de la centrale. Et si elle opte pour une remise à neuf, la société d'État devra déléguer beaucoup de travail.
Autres entreprises intéressées
Parmi les autres entreprises intéressées par le chantier de Gentilly-2, notons L-3 Mapps, un fabricant de systèmes électroniques de Saint-Laurent. Il s'agit d'une ancienne division de la montréalaise CAE, vendue à la société américaine L-3 Communications Holdings.
L-3 a fabriqué des simulateurs pour les réacteurs CANDU en Roumanie et en Corée du Sud, parallèlement aux travaux de remise à neuf de leurs réacteurs. L-3 s'attend à offrir ses services pour la remise à neuf de l'ordinateur central, ainsi que du simulateur de la salle de contrôle.
Le Québec compte aussi deux sociétés spécialisées dans la tuyauterie pour les raffineries et les centrales nucléaires. Il s'agit de Thorburn Equipment, de Pointe-Claire, et de Ezeflow, de Granby.
Holocene Solutions, de Beaconsfield, fabrique des palettes et des barils en aluminium pour l'entreposage des déchets radioactifs qui trouvent leur place dans les centrales nucléaires du pays.
Et dans l'avenir, le nucléaire pourrait intéresser le Groupe Laperrière & Verreault, de Trois-Rivières. Sa filiale de traitement de l'eau y voit un potentiel intéressant puisque les centrales nucléaires ont besoin de beaucoup d'eau pour refroidir les circuits de vapeur.
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La réfection de Gentilly-2 pourrait coûter 2 G$
14 août 2008 - 07h01
Le Soleil
Pierre Couture
Rappelons que dans ses scénarios les plus à jour, Hydro-Québec prévoit commencer la remise à neuf de Gentilly-2 en mars 2011.
Les travaux de réfection de la centrale nucléaire Gentilly-2 pourraient finalement coûter plus de 2 G$ à Hydro-Québec.
«C'est un minimum», a soutenu hier au Soleil le porte-parole du mouvement Greenpeace, Shawn-Patrick Stencil.
Pour l'heure, Hydro-Québec estime que les coûts de réfection de la centrale nucléaire de 675 mégawatts (MW) devraient tourner autour de 1,5 G$. En 2002, Hydro-Québec avait pourtant estimé les coûts à 845 M$.
Or, selon Greenpeace, la société d'État aurait sous-estimé jusqu'à maintenant les améliorations à apporter à Gentilly-2 pour satisfaire les nouvelles normes internationales en matière de sécurité nucléaire.
Récemment, la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) a mis à jour ses normes pour exploiter une centrale nucléaire au pays. Les anciennes règles dataient des années 1980.
Hydro-Québec n'a d'ailleurs toujours pas commencé le processus d'évaluation intégrée de la sûreté exigé par la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) pour l'octroi du permis de réfection. «Cette évaluation exige une comparaison de Gentilly-2 aux centrales modernes et des mesures correctives à apporter pour en prolonger sa vie utile», a fait valoir M. Stencil.
Greenpeace déplore que les membres du conseil d'administration d'Hydro-Québec, qui doivent se réunir ces jours-ci pour décider du sort de Gentilly-2, n'aient toujours pas entre les mains toutes les données pour prendre une décision éclairée.
«Partout sur la planète, les coûts de réfection des réacteurs nucléaires sont à la hausse. Les prix des matériaux et de la main-d'oeuvre ont explosé. Je ne crois pas que la situation au Québec soit bien différente», a ajouté le porte-parole de Greenpeace.
Dans une lettre envoyée au premier ministre Jean Charest, une coalition regroupant une cinquantaine de groupes environnementaux du Québec, dont Greenpeace et la fondation David-Suzuki, affirme qu'Hydro-Québec n'a pas bien calculé les risques de dépassement de coûts associés aux nouvelles normes ainsi qu'aux délais plus longs que prévu pour les travaux de réfection de Gentilly-2.
Motus et bouche cousue
Chez Hydro-Québec, on confirme qu'une décision sera bientôt prise quant à l'avenir de Gentilly-2. «Les membres du conseil d'administration doivent se pencher prochainement sur la question», a fait savoir hier Marc-Brian Chamberland.
Hydro-Québec dit surtout suivre avec intérêt les travaux de remise à neuf en cours à la centrale de Pointe-Lepreau, au Nouveau-Brunswick. Cette centrale de 635 MW se veut identique à celle de Gentilly-2.
Une équipe de six travailleurs d'Hydro-Québec est d'ailleurs sur place, à Pointe Lepreau, pour observer l'évolution de la réfection.
Les travaux menés au Nouveau-Brunswick par Énergie atomique du Canada (EACL) devraient coûter 1,5 G$ aux contribuables, soit plus du double du devis initial. Ce qui devrait permettre de prolonger la durée de vie de la centrale de 25 ans.
Fredericton s'est notamment protégé en signant une entente avec EACL, qui refilera à cette société d'État fédérale et au gouvernement fédéral la responsabilité de couvrir les excédents de coûts.
Hydro-Québec soutient toutefois ne pas avoir négocié de conditions similaires avec EACL.
Déjà en retard
Au Nouveau-Brunswick, des documents obtenus par Greenpeace démontrent d'ailleurs que les travaux de réfection de la centrale Pointe-Lepreau accusent déjà un retard après seulement quatre mois.
Signe que tout ne tourne pas rond à Pointe Lepreau, EACL a procédé récemment au changement de son chef de projet associé à cette réfection.
Quoi qu'il en soit, cette progression des coûts ne devrait pas surprendre les membres du C.A. d'Hydro-Québec. Une étude commandée par la société d'État il y a quelques années à la firme américaine Hagler Bailly Consultings, dont Le Soleil a obtenu copie, faisait alors état de coûts qui pourraient atteindre les 2,3 G$ dans le cas de la réfection de Gentilly-2.
Rappelons que dans ses scénarios les plus à jour, Hydro-Québec prévoit commencer la remise à neuf de Gentilly-2 en mars 2011. Les travaux devraient s'étirer sur 18 mois. La centrale nucléaire devrait être de nouveau en service en octobre 2012.
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Il faudrait commencer par reconnaître les diplômes universitaire de ces immigrants.
Je n'ai jamais compris ce problème puisqu'il ne concerne qu'un nombre très restreint de professions telles que les C.A., les architectes, les médecins et les infirmières, les notaires, les avocats... Pour les autres 99 % des immigrants qui ne font pas partie de ces catégories, ce qui compte c'est la perception des employeurs et non des reconnaissances officielles!
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Je peux vous dire qu'en France en tous cas, on sait à peine que Toronto est au Canada. Je pense même que pas mal de Français pense que Montréal est la capitale politique et économique du pays. On n'entend jamais, mais alors jamais parler de Toronto si ce n'est un petit article sur le festival du film bien caché dans la section culturelle (donc que personne ne lit).
Quand je vivais en Asie, il me semblait que les gens connaissait quand même assez bien Montréal, en tous cas certainement pas moins que Toronto. La F1, les J.O., le cirque du soleil etc, c'est quand même un tremplin médiatiquement important. Il me semblait même que Vancouver était plus "connue" que Toronto, qui traine quand même une image de ville américaine sans saveur ou peu différenciée en tous cas (ce qui n'est pas mon opinion sur la ville!). Bref, je rejoins Malek et Québécois!!
Quartier chinois (terrain Accurso)
dans Propositions
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Merci booboohome, je comprends que quelqu'un a une idée derrière la tête...