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Messages posté(e)s par Rotax

  1. il y a 21 minutes, Nameless_1 a dit :

     

    [...]

    Selon le quotidien montréalais, Siemens construirait le matériel roulant en Californie, tandis que Bombardier l'aurait fait à son usine de La Pocatière, au Québec.

    [...]

     

    Bombardier pourrait assembler les voitures à La Pocatière, mais pas les locomotives. Bombardier n'a plus la capacité de produire des locomotives en Amérique du Nord (à moins de rouvrir un chaîne d'assemblage pour seulement 32 locos), depuis la fermeture de l'usine MLW (après la production des locomotives LRC) et plus récemment en 2002, la fermeture de l'usine de Barre, VT alors que la production des locomotives HHP-8 et Acela Express a pris fin.

    Les ALP-46 de New Jersey Transit et les ALP-45DP ont été assemblées à Kassel en Allemagne, puis importées.

  2. il y a 17 minutes, felixinx a dit :

    Je pensais que ce que VIA Rail recherchais était justement du Bimode en prévision d'une futur électrification du corridor...

     

    il y a 2 minutes, Davidbourque a dit :

    Sur Wikipedia Anglais, ils semble dire que la Charger pourrais être produite en bi-mode. Cependant je me demande si sans intérêt réel, on acheterais des locomotive bi-mode qui serait désuette avant l'électrificication des voies de via rail...

    Bah, le jour où VIA aura électrifié le Corridor, ils pourront toujours commander des Siemens Sprinter, et envoyer les Charger sur les autres lignes pour remplacer les F40PH.

    usa-acs64-large.jpg

  3. Siemens a une longueur d'avance : ils produisent pour le marché nord-américain  déjà la locomotive Charger ainsi que des voitures pour Amtrak et Brightline (assemblage en Californie). Un produit qui existe déjà, qui a été testé et dont les problèmes de démarrage sont probablement déjà en voie d'être résolus.

    Bombardier aurait eu besoin de développer une nouvelle locomotive, probablement basée sur l'ALP-45DP, et qui aurait été fabriquée en Allemagne et en Pologne - Bombardier n'a pas de produit 100% diesel pour le marché nord-américain. Seules les voitures auraient pu être assemblées en Amérique du Nord.

    RM-Feb-p97a.jpg

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  4. il y a 4 minutes, YUL a dit :

    Durant la pointe du matin, serait-ce une idée catastrophique que les trains de la ligne bleu n'arrête pas à Jean-Talon - et force ces usagers à se rendre au C-V via l'ouest de la ligne orange?

    Oui, parce que ça empêcherait aussi les transferts de la ligne Orange vers la ligne Bleue. Tous ceux qui doivent donc emprunter la branche Est de la ligne Orange pour ensuite aller sur la ligne Bleue (avec destination finale le campus de l'UdeM, par exemple) se retrouveraient alors lésés.

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  5. il y a 16 minutes, danny12345 a dit :

    ca serait difficile puisque c'est une track du CP.  De plus presque tous les passages a niveau sont simples donc il faudrait faire beaucoup d'ouvrage d'art pour doubler, voir tripler les voies en viaducs pour maintenir CP et avoir 2x REM

    En fait c'est une voie du CN, pas du CP :)

    Lignes CP : Vaudreuil, Saint-Jérôme, Candiac (Bref, toutes les lignes passant par Lucien-L'Allier). Rappel : la gare Windsor était la gare terminale du CP

    Lignes CN : Deux-Montagnes, Mont-Saint-Hilaire et Mascouche (Bref, toutes les lignes passant par la Gare Centrale, gare terminale du CN).

  6. Voir ici : 

    https://mtlurb.com/index.php?/topic/15297-train-de-banlieue-a-st-jean-sur-richelieu/

    Projet abandonné parce que le service de bus existant est plus rapide, plus fréquent et plus fiable.

     

    Pour offrir un service de train concurrentiel vers Saint-Jean, il faudrait :

    - Doubler la voie entre Candiac et Saint-Jean afin d'assurer une fréquence de service intéressante + service en contre-pointe
    - Rénover la voie existante pour permettre une vitesse maximale de 100 m/h (160 km/h)
    - Construire un garage à Saint-Jean + gares (perso je mettrais 4 gares : une à Iberville, une dans le centre-ville de Saint-Jean, une dans le secteur industriel, puis une à Saint-Philippe de La Prairie)
    - Tant qu'à faire, rénover les gares existantes, pour qu'elles aient toutes au moins 2 quais de 300 m.

     

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  7. il y a 44 minutes, mk.ndrsn a dit :

    Questions...

    Avec l'implantation du REM menant au retrait net de 2 stations et près de 8 km du tracé de la ligne Mascouche, est ce que le RTM serait en mesure;

    (a) d'augmenter le nombre de stations entre le boulevard Saint-Jean-Baptiste et le boulevard de l'Acadie?

    ou/et

    (b) d'augmenter la fréquence des trains entre le boulevard Saint-Jean-Baptiste et le boulevard de l'Acadie?

    et si c'est bien possible, quelle serait la probabilité que le RTM applique cette bonification du service?

    a) Probablement, oui, avec les investissements nécessaires

    b) Pas dans l'état actuel de la voie. Même avec un trajet plus court ou plus de trains, ce qui est limitant pour les augmentations de service ce sont les tronçons avec voies simples. Bon, il y a plusieurs endroits où il serai aisé de doubler la voie, surtout dans l'est de l'île. Cependant, pour la portion sur talus entre Acadie et Pie-IX, ce sera plus complexe. Je ne sais même pas si l'emprise est assez large pour ajouter une 2e voie sur toute la longueur. Dans tout les cas, ça prendra des investissements majeurs sur ce tronçon si on veut avoir un service qui a de l'allure, simplement à cause de la géométrie de l'emprise. 

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  8. il y a une heure, danny12345 a dit :

    Les rames sur la ligne jaune sont des MR73 donc pas encore modifiées.  J'estime qu'elles devront être remplacer d'ici 10 ans.

    Oui je sais qu'historiquement on a toujours considéré qu'un métro pneumatique ne pouvait fonctionner en extérieur.  Mais on est en 2018 là, vous croyez que cette restrictions tient toujours?  Bombardier ne saurait développer une 'MPM18', basée sur la MPM10 mais incorporant des modifications pour fonctionner en extérieur?  Les rails et le parcourt bétonnés ou roulent les pneus ne pourraient être adaptés (chauffés?) pour être en extérieur?  On pourrait pas mettre des pneus d'hiver au métro le 1er décembre? :)

    Les sections extérieures de la ligne de métro M2 à Lausanne ont des piste de roulement chauffantes.

  9. il y a 5 minutes, danny12345 a dit :

    Je lance une nouvelle sous-discussion.  Comme le train de l'est (TDE) ne pourra plus utiliser le tunnel, la CDPQ a prévu un terminus à une nouvelle station 'A40' pour transborder TDE vers REM et vice-versa.  Puisque le TDE circule sur les tracks du CP, pourquoi ne pas simplement détourner le TDE sur le CP, faire le tour de la montagne et arriver à Lucien-Lallier?  Je comprends que ça rallongerait leur parcours mais ça éviterait une station intermodale *A40), la réservation de trains REM pour les passagers du TDE, et le transfert de ces passagers.  Est-ce une option que fut évaluée?

    Non, la ligne Mascouche circule sur les rails du CN. Faire le tour de la montagne par les voies du CN est significativement plus long (les trains Montréal-Senneterre et Montréal-Jonquière le font, mais c'est moins grave parce que le trajet est déjà ultra long).

    Pour envoyer les trains de la ligne Mascouche sur les voies du CP, il faudrait construire une connexion à la hauteur de la gare Chabanel. Cependant, les immeubles existants rendent la chose très difficile.

     

  10. Le 2018-10-22 à 21:10, champdemars a dit :

    Est-ce qu'ils vont bétonner le sol en remplacement de la roche qu'il y a actuellement?

    Ça, on ne le sait pas encore, mais ce n'est pas obligatoire. Le lit de roches sur lequel les traverses et les rails sont déposés s'appelle le ballast. Ça sert à absorber les vibrations transmises par les véhicules ferroviaires sur les traverses, assurer le drainage de la voie et maintenir la voie en place. Il existe des réseaux de métro où les voies (et même les voies en tunnel) ont du ballast.

    https://en.wikipedia.org/wiki/Track_ballast

    Les voies sans ballast (bétonnées) sont plus chères, mais requièrent moins de maintenance. Wikipedia en anglais a des articles intéressants sur le sujet.

    https://en.wikipedia.org/wiki/Ballastless_track

     

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  11. il y a 23 minutes, p_xavier a dit :

    $ pour $, la vile aurait dû investir dans ce prolongement au lieu des 300 autobus IMO et des garages requis.

    Comte tenu des coupes dans les réseau de Bus et l'absence d'achat de nouveaux bus pendant l'époque de Coderre, je crois au contraire qu'un réinvestissement majeur dans le réseau de bus était primordial. La majorité des lignes de bus ont perdu considérablement d'achalandage au cours des dernières années à cause de ça. Me semble qu'on a vu un article de The Gazette avec statistiques à l'appui il y a environ 2 semaines de ça. Des lignes comme la 139 Pie-IX ou la 12 Sauvé ont perdu plus de 25% d'achalandage depuis 2011... c'est vraiment catastrophique pour des axes aussi achalandés, et encore plus dans le cas où ce sont des secteurs non desservis par le métro qui sont affectés.

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  12. Il y a 1 heure, J.S a dit :

    I know Canadian Pacific is tough on level crossings, but I'm pretty sure Exo owns that segment of track. The metro station should generate demand, and for cyclists there's also the advantage of not having to share the road with cars.

    Non, la subdivision Westmount (de Lucien-L'Allier à Montréal-Ouest) appartient au CP.

    Voici les sections qui appartient au RTM :

    - Ligne Vaudreuil, subdivision M&O (entre Vaudreuil et Rigaud)
    - Ligne Saint-Jérôme, subdivision Saint-Jérôme entre la gare Blainville et la gare Saint-Jérôme
    - Ligne Mascouche, subdivision Mascouche entre les gares Repentigny et Mascouche

    L'infrastructure de la ligne Deux-Montagnes appartient à CDPQ Infra, évidemment.

  13. Laval est rendue avec 4 stations (Cartier, Concorde, Montmorency et Carrefour) et 40 vélos en libre service et à assistance électrique Bewegen, fabriqué à Saint-Georges.

    Citation

    COMMUNIQUÉS ET AVIS

    40 VÉLOS À ASSISTANCE ÉLECTRIQUE EN LIBRE-SERVICE À LAVAL

    12 JUILLET 2018

    Un nouveau projet à l’essai de vélos à assistance électrique en libre-service sur le territoire de Laval a été inauguré aujourd’hui. En effet, la Société de transport de Laval (STL) et l’entreprise beauceronneBewegen ont annoncé la mise en place de Bewegen Laval. Ces deux sociétés québécoises unissent leurs forces pour la réalisation de cette initiative en vigueur dès aujourd’hui sur quatre points d’accès du réseau de la STL : la station intermodale de la Concorde et les terminus Cartier, Montmorency et Le Carrefour. Avec ces 40 vélos disponibles, Laval devient la première ville dans la grande région métropolitaine à faire l’essai d’un aussi important parc de vélos électriques sur son territoire.

    C’est la compagnie québécoise Bewegen, leader novateur dans l’industrie du design de vélo et de la conception de vélos en libre-service, dont le concept a été implanté dans plus de 20 villes d’Europe et des États-Unis, qui est derrière ce projet. Bewegen assurera d’ailleurs le fonctionnement et l’entretien des vélos.

    Ce projet est rendu possible grâce au financement des gouvernements du Canada et du Québec dans le cadre du Fonds pour l’infrastructure de transport en commun.

    Trois façons d’utiliser Bewegen

    L’utilisation des vélos Bewegen est simple : tous les citoyens de 18 ans et plus peuvent devenir membres en s’abonnant à différents forfaits en ligne au laval.bewegen.com. Ils recevront une carte magnétique qui servira à débarrer les vélos lors de l’utilisation. Il est également possible de se procurer un abonnement et d’utiliser les vélos de manière occasionnelle directement à la borne interactive à l’une des quatre stations participantes. Finalement, l’application mobile Bewegen Laval permet aussi d’utiliser le service de vélo-partage. À noter que le port du casque de vélo est obligatoire.

    Citations

    « Notre gouvernement est fier d’appuyer des projets qui favorisent la création de collectivités durables. En investissant dans ce projet pilote de vélos électriques, le gouvernement du Canada appuie des initiatives innovatrices pour améliorer la mobilité des résidents et réduire les émissions de gaz à effet de serre », souligne le secrétaire parlementaire du ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, M. Marc Miller.

    « Le gouvernement du Québec est heureux de s’associer à cette réalisation de la STL. Avec ce système de vélos électriques en libre-service, la STL contribue non seulement à propager l’innovation en matière de transport, une première de cette ampleur dans la grande région de Montréal, mais elle se dote d’une infrastructure efficace, rapide, sans émission de gaz à effet de serre et à la fine pointe de la technologie. Je suis fier d’annoncer que trois des quatre stations à l’essai, soit les stations de la Concorde, Cartier et Montmorency, seront chez nous, à Laval-des-Rapides », indique M. Saul Polo, député de Laval-des-Rapides, au nom du ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports, M. André Fortin.

    « Ce projet s’inscrit dans la volonté de la STL d’encourager la mobilité active tout en proposant des habitudes de mobilité novatrices en symbiose avec le développement urbain et les milieux de vie », affirme David De Cotis, président du conseil d’administration de la STL. « Nous sommes particulièrement fiers de contribuer à ce projet avec Bewegen, qui vient bonifier notre offre de service en transport collectif pour la communauté lavalloise, tout en poursuivant nos objectifs d’électrification de notre réseau », conclut M. De Cotis.

    « Bewegen est fière de déployer notre premier système d’envergure chez nous, au Québec. C’est un projet qui a une valeur sentimentale pour nous. Bewegen Laval aura un impact positif sur les saines habitudes de vie des Lavallois. En effet, les vélos à assistance électrique permettent à plus de gens d’utiliser ce transport actif, peu importe leur niveau de forme physique et leur âge. Avec ce projet, nous souhaitons démontrer que notre système est un atout pour les villes québécoises », mentionne Alain Ayotte, co-fondateur et président de Bewegen.

    « L’implantation de vélos électriques en libre-service s’inscrit pleinement dans notre volonté de développer et bonifier le réseau de pistes cyclables à Laval. Avec cet ajout, les Lavallois obtiennent une offre concurrentielle et à la fine pointe de la technologie pour faciliter leurs déplacements », affirme Marc Demers, maire de Laval.

    À propos de la Société de transport de Laval

    La Société de transport de Laval (STL) développe et exploite un réseau intégré d’autobus, de transport scolaire, de taxis collectifs et de transport adapté qui, dans l’ensemble, réalise plus de 20 millions de déplacements par année. Le réseau régulier d’autobus de la STL compte 45 lignes, quelque 2 700 arrêts et couvre plus de 1 400 kilomètres sur le territoire de Laval. La STL figure parmi les sociétés de transport les plus innovantes en Amérique du Nord, grâce à des projets comme le premier autobus de 40 pieds 100 % électrique à rouler au Canada, depuis 2013, et à son Système d’information aux voyageurs (SIV), qui fournit à ses clients, depuis 2010, l’horaire en temps réel des prochains passages de ses autobus. En 2017, la STL a lancé son programme Engagement qualité STL, une garantie de service à la clientèle unique au Canada, et a également été la première société de transport au Canada à accepter le paiement par carte de crédit à bord de ses autobus. www.stl.laval.qc.ca

    À propos de Bewegen

    Technologies Bewegen, entreprise québécoise, s'illustre comme leader mondial dans l'univers du vélo en libre-service depuis 2014. Technologies Bewegen est une entreprise émergente qui contribue à l'innovation de la nouvelle génération d'un système de vélo en libre-service à assistance électrique, entièrement conçu et construit à Saint-Georges de Beauce. La technologie innovatrice de Bewegen a donné lieu à des réalisations importantes dans l'industrie. Bewegen compte sur une flotte de vélos en libre-service – Pedelec - dans plus de 20 villes mondialement.

    Pour consulter le communiqué de presse, cliquez ici.

    https://www.stl.laval.qc.ca/fr/a-propos-de-la-stl/communiques-et-avis/articles/?news_id=320

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