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brubru

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Messages posté(e)s par brubru

  1. J'ai fais ça hier avec les infos des évaluations foncières.

     

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    La place de la mode est évaluer à 15 000 0000 $, le reste ils sont évalué a environ 7 millions.

     

    Un promoteur qui les achèteraient tous, pourrait faire tout un projet !

  2. Pas de quoi !

     

    Je me demande vraiment si c'est ubisoft qui ont demander de créer ça, j'ai poser la question sur le vidéo, pas de réponse.

     

    On a quoi, un dizaine de building de même ? ce rendu montre le potentiel qu'ils ont !

  3. Je ne connais pas bien ce secteur. Selon vous (les habitués de ce coin), ce projet de plage serait-il réalisable?

     

    Je crois qu'il faudrait commencé par mettre des bancs, mettre de l'éclairage, reverdir le tout, et créer une plage. Pour la plage, pourquoi il faudrait absolument du sable, je trouve ça assez kétaine de recréer cuba.J'étais descendu vers le fleuve et c'est très bouetteu.

  4. Nous avons connu la première canicule de l'été. Il y en aura d'autres cet été, comme au cours des étés qui suivront. Hélas, bon nombre de citoyens de l'agglomération en souffrent, contraints de passer la saison estivale dans les parcs de quartier ou sur les balcons.

     

    Il y a des piscines publiques, bien sûr, mais s'étendre sur le béton après un saut dans l'eau, ce n'est pas ce qui est le plus agréable. Il y a aussi quelques plages accueillantes, comme celle du parc-nature du Cap-Saint-Jacques ou du maire Doré au parc Jean-Drapeau. Mais en regard des besoins collectifs, elles ont la dimension d'un timbre! Pourtant, Montréal est entourée d'eau, comme peu de villes au pays. Pourquoi ne pourrait-elle pas être dotée d'une très grande plage, lieu de détente par excellence comme le sont, à New York, Orchard Beach et la plage de Coney Island?

     

    Ce besoin n'est pas fictif. Lors des élections municipales de 2009, dans le cadre d'un projet d'opinion intitulé «Rêver Montréal», le quotidien La Presse a demandé aux citoyens de suggérer des idées pour améliorer l'image de la ville et la qualité de vie. Le projet d'aménager une plage s'est classé au premier rang, de nombreuses personnes citant le cas de Paris en exemple. Sauf qu'à Montréal, on ne serait pas obligé de répandre des charges de sable sur des quais du port pour se donner l'illusion de la nature. Cette nature, nous la possédons en abondance, au même titre que Toronto avec ses magnifiques plages de Beaches Park et que Vancouver avec les siennes à English Bay et à Stanley Park.

     

    Le site pouvant accueillir un parc-plage existe au coeur même de cet archipel unique au pays, dans la seule partie du fleuve où l'eau est peu polluée, là où le Saint-Laurent est le plus impressionnant pour sa largeur, là où l'on peut jouir d'un panorama majestueux de l'île montréalaise, dominé par le mont Royal et ponctué par les gratte-ciel du centre-ville. Il s'agit du lieu créé par la longue digue érigée pour délimiter le canal de la Rive-Sud lors de l'aménagement de la voie maritime dans les années 1950. Permettant aux navires de longer le bassin de La Prairie, cette digue s'étend du parc Jean-Drapeau jusqu'à l'écluse de Côte-Sainte-Catherine, soit sur une distance de quelque 15 kilomètres. Des études réalisées en 1986 dans le cadre de l'étude de faisabilité du projet Archipel ont montré qu'un parc-plage était réalisable à cet endroit, moyennant certaines conditions.

     

    Un site unique

     

    On pourrait y aménager un grand et magnifique parc-plage identifiable à la métropole, baigné par les eaux et l'esprit du fleuve, tant pour le plaisir des jeunes, la détente des familles que le contentement des bons nageurs, des amateurs de kayak et de planche à voile. Un vaste parc-plage pouvant s'étendre sur plusieurs kilomètres, capable d'accueillir des milliers d'usagers en même temps et doté d'équipements ludiques créant une atmosphère de station balnéaire avec, en prime, le spectacle des grands navires transitant dans la voie maritime. Ce parc-plage serait relié à la station métro de l'île Sainte-Hélène par des navettes, et serait accessible aux cyclistes par l'estacade parallèle au pont Champlain.

     

    Grâce à son site très particulier, ce parc-plage fournirait l'occasion de réaliser un aménagement inédit, emballant, capable de donner à Montréal un projet qui la signale à l'attention du monde. À son échelle, la ville de Québec nous en fournit un excellent exemple avec sa promenade Samuel-De Champlain. Si Québec a réussi à se démarquer en donnant ainsi accès au Saint-Laurent à ses citoyens, pourquoi Montréal ne serait-elle pas capable d'en faire autant?

     

    Projet idéal

     

    Le défi de respecter les écosystèmes du fleuve en minimisant les remblayages pourrait fournir des pistes d'exploration d'un concept d'aménagement inédit. Il ne s'agirait pas d'aménager là une longue plage linéaire de plusieurs kilomètres à l'image de celle de Coney Island à New York, mais pour retenir le sable en place, une succession de plages de dimensions moyennes, insérées en demi-lune entre des remblais de roches comme on en trouve dans les Antilles. Ces remblais pourraient donner accès à des quais flottants sur lesquels seraient installés les abris pour la location d'équipements et autres services. Signalé symboliquement par une succession de grands mâts, ce parc-plage métropolitain se marierait bien à la Voie maritime. Un tel aménagement, combinant originalité, utilité et convivialité, symbole contemporain de la réalité métropolitaine, serait ainsi le projet idéal sans être trop coûteux pour célébrer le 375e anniversaire de Montréal en 2017.

     

    Le Grand Montréal, de concert avec le gouvernement fédéral, est capable de mettre de l'avant un tel concept innovateur et réaliser un parc-plage mettant en valeur l'environnement et contribuant d'une façon significative à la qualité de vie des citadins. Pour le prix de quelques billets de métro, les familles pourraient tirer profit de la canicule et des vacances au lieu de suffoquer dans leur logement. Tout ce qu'il faut, c'est du leadership, de la détermination et des créateurs de lieux de rêve.

     

    http://www.ledevoir.com/politique/montreal/292562/un-parc-plage-metropolitain

     

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    http://membres.multimania.fr/repentignyvelo/hpbimg/voie%20maritime1.gif

     

    Êtes-vous déjà allez sur cette digue ?

     

    J'y suis allé, en vélo, c'est vrai que le potentiel est immense ! C'est l'une des plus belle vue qu'on a, dommage que 95% (estimation) des gens ne connaissent pas cette place.

  5. Ça me semble un peu pas mal "songé", comme projet, en effet.

     

    Un resto c'est un resto : pas besoin de réinventer la roue à coup de consultants avec un doctorat en animation urbaine...

     

    J'ai l'impression qu'on risque d'aboutir à un "centre d'interprétation de la salade de luzerne équitable", avec des néo-clowns-concepts pour animer notre expérience alimentaire...

     

    C'est pour cela que je suis contre. Quand je vais au parc Lafontaine, c'est pour relaxer, profiter du calme, je ne veux pas avoir un resto avec 200 places sur les terrasses. Je suis pour la réouverture, mais je suis totalement contre leur concept qui rejoint quelques personnes. J'ai la forte impression que ça se deviendra un resto BCBG,avec salade à 15 $, et thé à 5 $ la tasse. L'OSBL qui a été choisi rentre dans ce genre de resto, allez voir la liste de prix de groupe, le genre de petit dej, bagel et jus d'orange è 10 $ et souper à 20$ que la majorité des gens ne se paye pas. Ok éliminez le hot-dogs et frites, mais offrez votre bouffe au même prix qu'eux. Moi je ne veux pas voir resto là, seulement un petit casse-croûte.

  6. Après avoir passé des années dans un état de quasi-abandon, le chalet du parc La Fontaine connaîtra cet été une nouvelle vie en devenant un chalet-restaurant.

     

    L’arrondissement Plateau-Mont-Royal a lancé vendredi un appel de projet pour l’animation et l’exploitation d’une aire de restauration dans ce bâtiment qui n’a jamais trouvé sa véritable vocation depuis sa construction dans les années 1950. L’annonce en sera faite en conférence de presse lundi.

    Contrairement au chalet-restaurant du lac aux Castors, qui est géré par une entreprise privée, celui du parc La Fontaine sera exploité par un organisme à but non lucratif (OBNL), «dont la mission est de promouvoir, de populariser ou de sauvegarder une ou plusieurs dimensions de la culture, des arts, de l’histoire, du patrimoine ou de la réalité humaine et sociale des quartiers environnants», peut-on lire dans l’appel de projet consulté par RueFrontenac.com.

    «Le bâtiment est un magnifique ouvrage qui n’a malheureusement jamais été vraiment exploité. On veut ainsi exploiter le site [le parc] au profit des citoyens et non pas un commerce pour des fins de rentabilité», explique le maire de l’arrondissement, Luc Ferrandez.

     

    Les Amis du parc La Fontaine espèrent voir le bâtiment restauré en fonction des besoins d’aujourd’hui, mais en s’assurant d’en garder l’aspect patrimonial et architectural typique des années 1950. Photo Chantal Poirier

    L’arrondissement souhaite ouvrir le chalet-restaurant dès la fin du mois de juin. Mais cela pourrait aller à la fin de l’été, voire au mois de septembre, selon l’ampleur des travaux qui doivent y être faits pour rendre les lieux fonctionnels.

    «Le but est d’ouvrir l’endroit cet été à tout prix. Au pire, le minimum sera fait et on profitera de la saison morte pour compléter le tout», dit le politicien élu pour une première fois le 1er novembre dernier sous la bannière de Projet Montréal.

    Problèmes physiques et juridiques

    D’ici la réouverture tant attendue du chalet, des travaux devront être réalisés pour colmater de possibles problèmes principalement liés à l’eau et l’électricité.

    Les toilettes, la cuisine et ses équipements devront être rénovés. On souhaite aussi aménager la terrasse et la munir de mobilité pour les usagers du parc.

    Des problèmes juridiques devront aussi être abordés puisque l’entretien des lieux relève des cols bleus, ce qui entre en conflit avec le souhait de voir un OBNL gérer l’endroit.

    L’OBNL choisi aura un mandat d’animation, de divertissement, d’information et de sensibilisation du public en accord avec sa propre vocation. Il devra créer cette animation dans le respect de la qualité du milieu de vie du quartier environnant et occuper de manière significative le site, c’est-à-dire le bâtiment et ses alentours.

    Des Amis bien contents

    Cette annonce réjouit Les Amis du parc La Fontaine, qui militent depuis quelques années déjà pour la création d’un café culturel dans ce parc situé au cœur du Plateau. L’association avait d’ailleurs interpellé à ce sujet les candidats des élections municipales de l’automne dernier, les priant de confier la gestion de ce café à un OBNL plutôt qu’à une entreprise privée si le projet devait voir le jour.

    «Ça correspond exactement à ce que l’on souhaitait. C’était incroyablement indécent que ce bâtiment n’ait pas été mieux exploité et qu’il soit pratiquement fermé depuis deux ans », affirme le président de l’association, Claude Gagnon.

    «Il est grand temps de favoriser le mise en valeur des lieux, tant au niveau culturel et social qu’historique et patrimonial», ajoute-t-il.

    Afin de financer ses activités et d’en accroître l’offre et la portée, l’organisme choisi devra par lui-même, ou en partenariat avec un autre OBNL, exploiter un service de restauration – avec permis d’alcool – dans le respect de la vocation première du chalet-restaurant.

    Cela pourrait occasionner des investissement de 500 000$ à 600 000$, selon le maire Ferrandez. Il souhaite voir les profits être investis dans l’aménagement intérieur et extérieur du chalet et dans des activités gratuites telles que des conférences, des spectacles et des expositions.

    Claude Gagnon espère voir le bâtiment restauré en fonction des besoins d’aujourd’hui, mais en s’assurant d’en garder l’aspect patrimonial et architectural typique des années 1950.

    «Le chalet doit devenir un lieu communautaire, convivial et rassembleur. Si sa réussite est grande, ça pourrait devenir un exemple pour les autres parcs, car il y en a beaucoup à Montréal qui sont sous-utilisés», conclut M. Gagnon.

    http://ruefrontenac.com/nouvelles-generales/societe/21855-parc-la-fontaine-restaurant

     

    L’organisme Cité Historia exploitera et animera le chalet-restaurant du parc Lafontaine. L’organisme exploite déjà depuis environ 20 ans le Bistro des Moulins et anime le site historique de Sault-au-Récollet au parc de l’Île-de-la-Visitation. L’organisme et l’arrondissement travaillent présentement à développer le concept et à définir les besoins nécessaires quant aux installations. L’ouverture du chalet suivra la réalisation des travaux d’aménagement de cet automne.

    http://www.leplateau.com/Actualites/2010-07-06/article-1502659/-Le-chalet-restaurant-du-parc-Lafontaine-reprendra-vie/1

     

    Les menus: Le café culturel offrirait, bien sûr, du café équitable, mais aussi des menus santé, sandwiches, salades, quiches, etc. On pourrait aussi y déguster des pâtisseries et des crèmes glacées. La possibilité d’y servir de l’alcool est encore à l’étude. Les fournisseurs seraient de préférence choisis dans l’arrondissement, et on pourrait leur proposer une approche originale de partenariat,

    tout à fait conforme à l’esprit du quartier. En échange d’une visibilité du café dans leurs boutiques,

    on pourrait les faire connaître aux clients du café par l’intermédiaire d’une affiche « si vous aimez nos produits…» ou d’un moyen semblable. Un échange de bons procédés, en quelque sorte.

     

    Qui n’a pas rêvé, au cours d’une promenade dans le parc, d’un lieu accueillant et chaleureux pour y prendre un bon cappuccino ou déguster

    une crème glacée ? Cela pourrait devenir possible !

    Le bâtiment érigé au centre du parc, avec sa salle centrale et ses deux ailes latérales, pourrait abriter un café unique en son genre. La salle intérieure, actuellement sous utilisée, serait réaménagée, tandis que l’esplanade asphaltée située en avant serait transformée en une vaste terrasse ensoleillée, les deux ailes du bâtiments abritant pour leur part de grandes

    terrasses ombragées. Ainsi, l’endroit qui n’est actuellement qu’un simple lieu de passage pour ceux qui ont une petite fringale deviendrait un espace invitant où il fait bon se poser pour prendre un bon café ou un repas léger tout en contemplant

    les splendeurs du parc à proximité de l’eau.

     

    Mais la vocation du café ne serait pas uniquement axée sur la consommation de boissons et de nourriture. Nous avons pensé en faire un lieu d’animation culturelle, où artistes et jeunes créateurs pourraient se retrouver et donner libre cours à leur talent dans des mini prestations données au cours de la journée ou en soirée. L’endroit serait ainsi complémentaire

    au théâtre de la Verdure qui rejoint, d’année en année, un public de plus en plus vaste. Tandis que celui-ci est un lieu de diffusion de la culture, le café de Lafontaine

    serait, lui, un lieu incubateur de talents, que les artistes pourraient utiliser au cours de leur processus de création. On pourrait y assister, par exemple, à des soirées poésie, des ateliers de théâtre intervention, de la peinture en direct, des spectacles de musique ou, même, des mini prestations de danse. Des expos photos pourraient aussi y être organisées. On n’oublierait pas les tout petits, qui pourraient

    participer, le matin, à des ateliers de peinture ou de bricolage.

     

    http://www.danielturp.org/amisduparclafontaine/pdf/APL-Le-cafe-de-Lafontaine.pdf?PHPSESSID=f9af6277c016930a7d2fca4983af48ad Page 8

     

    Liste des prix du Bistro des Moulin (Cité Historia)

    http://www.citehistoria.qc.ca/reservationsdegroupebistro2010.pdf

     

    Bagel au saumon fumé 12,99$

    au fromage à la crème, oignon et câpres, servi avec salade de fruits, avec café.

    On veut vraiment donner le restaurant à eux ? et il servira la population ?

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