Aller au contenu
publicité

anjou

Membre
  • Compteur de contenus

    376
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par anjou

  1. il y a 52 minutes, ScarletCoral a dit :

    https://www.lapresse.ca/actualites/201911/04/01-5248378-montreal-aura-son-refettorio.php

    Montréal aura son Refettorio

    L’idée a été semée en 2016, au moment du passage de Massimo Bottura à Montréal.

    Publié le 05 novembre 2019 à 6h00
    MARIE-CLAUDE LORTIE
    LA PRESSE

    Le chef italien était alors ici pour parler, entre autres choses, de son projet devenu documentaire : le Refettorio Ambrosiano.

    Alors qu’il expliquait comment il avait monté cette table pour les démunis à Milan, où de grands chefs étoilés venaient cuisiner avec des ingrédients invendus voués aux poubelles, la question est apparue : pourquoi ne pas faire la même chose ici, à Montréal ? 

    Le maire de l’époque, Denis Coderre, l’avait entendue. Jean-François Archambault, de la Tablée des chefs, s’était emparé de l’idée.

    Trois ans plus tard, nonobstant le changement à la mairie, le projet est annoncé.

    Montréal aura son Refettorio.

    Il sera à l’église Saint-Georges, au centre-ville, près de là où la rue Peel croise l’avenue des Canadiens-de-Montréal.

    57042c46-ff83-11e9-82bb-0eda3a42da3c.jpg
    PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE
    Le Refettorio, qui devrait ouvrir ses portes à l’automne 2020, sera à l’église Saint-Georges, au centre-ville, près de là où la rue Peel croise l’avenue des Canadiens-de-Montréal.

     

    L’équipe de Valérie Plante donne son appui, tout comme une liste de commanditaires incluant la fondation d’Air Canada, Sobeys et la Banque Nationale, appelée à s’allonger. 

    Il y aura de la place pour 90 convives deux fois par jour, cinq jours par semaine, et une cuisine permettant de cuisiner des repas à distribuer en plus.

    Le surplus d’invendus le permet, assure Jean-François Archambault, fondateur de la Tablée des chefs, partenaire du projet, qui a annoncé la mise en marche du Refettorio lundi soir à son évènement de financement annuel, où se trouvaient près de 575 personnes.

    Aux yeux de Massimo Bottura, qui suit le projet montréalais depuis le début, il était temps que ça bouge.

    « Ce n’est plus le temps de parler ou de tourner en rond », a-t-il confié dans un court message texte. « On agit. »

    Lundi soir, le chef italien a diffusé une vidéo annonçant la nouvelle de la venue du Refettorio à Montréal, en indiquant que la Tablée était le partenaire idéal. Était sur place Jill Conklin, la responsable du développement stratégique de Food for Soul, l’organisme fondé par Massimo Bottura et sa femme, Lara Gilmore, pour chapeauter la multiplication des Refettorio dans le monde. Il y en a maintenant à Rio, à Londres, à Paris et, si tout se passe comme prévu, il y en aura deux aux États-Unis en 2020, à San Francisco et à Harlem. 

    853a8c3d-ff83-11e9-82bb-0eda3a42da3c.jpg
    PHOTO FOURNIE PAR MARIE-CLAUDE LORTIE
    Le Refettorio Gastromotiva de Rio

    Est-ce que Montréal arrivera en premier en Amérique du Nord en 2020 aussi ? « Impossible de le dire pour le moment », a répondu hier Mme Conklin, qui veille sur les trois projets. Chose certaine, le Refettorio de Montréal sera le premier au Canada. Chose certaine aussi, il poursuivra la mission d’aider l’inclusion sociale par la voie de la lutte contre le gaspillage alimentaire.

    Comme chaque fois, le projet inclura un élément artistique, a expliqué Jean-François Archambault, qui est déjà allé chercher l’appui du Musée d’art contemporain. Les salles à manger des réfectoires ne sont jamais banales, décorées d’œuvres d’art et de pièces de design. La beauté fait aussi partie des choses auxquelles les démunis ont droit, croit le chef Bottura.

    Le designer Jean-Pierre Viau a aussi manifesté son appui pour le projet, assure M. Archambault. Celui-ci aimerait pouvoir utiliser le bois des milliers de frênes qui devront être coupés. L’organisme MU a aussi été appelé à l’aide pour une grande œuvre murale. 

    Les salles à manger mises en place aident toutes sortes de populations, que ce soit des personnes en situation d’itinérance, des gens âgés isolés ayant peu de revenus ou des enfants issus de milieux où les repas à la maison ne sont pas garantis.

    Les Refettorio se distinguent aussi par la participation de chefs professionnels qui viennent donner le ton au projet, à la cuisine.

    Quand le projet a d’abord été lancé à Milan, des chefs aussi renommés que René Redzepi et Alain Ducasse sont venus cuisiner pour les démunis. 

    c379b5d0-ff83-11e9-82bb-0eda3a42da3c.jpg
    PHOTO FOURNIE PAR MARIE-CLAUDE LORTIE
    Le Refettorio de Milan

    À Montréal, Jean-François Archambault assure que David McMillan et Fred Morin ont signalé leur enthousiasme face au projet, tout comme Patrice Demers, Marc-André Jetté, Stefano Faita ou Marie-Fleur St-Pierre. John Winter Russell, du restaurant Candide, coordonnera le tout.

    Croisée hier au lancement de son livre, Dyan Solomon, d’Olive & gourmando, a aussi fait part de son intérêt à contribuer à un tel projet. 

    Le Refettorio, qui devrait ouvrir à l’automne 2020, peut en outre compter sur l’appui d’autres chefs canadiens, comme Jeremy Charles, de Terre-Neuve, David Hawksworth, de Vancouver, et Grant van Gameren, de Toronto. 

    Mais tous ceux qui souhaitent aider pourront le faire puisque le bénévolat est encouragé, tant pour la cuisine que pour le service. 

    Le programme en cuisine des Refettorio comprend aussi un volet de formation. En plus des prestigieux chefs invités, des professeurs de cuisine utilisent cette plateforme pour aider à la formation de futurs chefs souvent issus de milieux difficiles. 

    Nathalie Goulet, élue de Projet Montréal qui porte les dossiers liés à l’itinérance, était à l’évènement de la Tablée lundi soir et a salué l’arrive du Refettorio dans la métropole. Cela cadre tout à fait avec la volonté de la Ville de lutter contre le gaspillage et d’aller vers une réalité sans déchets, a-t-elle indiqué. Elle a parlé du « leadership visionnaire » de la Tablée à cet égard.

    Il faut dire que l’organisme fondé par Jean-François Archambault redistribue aux jeunes en difficulté des invendus alimentaires provenant d’hôtels de Montréal depuis 2002 et a depuis multiplié ses champs d’action, notamment grâce à des programmes de formation culinaire destinés aux jeunes issus de milieux difficiles. 

    Où s’approvisionnera le Refettorio Montréal ? Chez les épiciers. Sobeys a donné son appui au projet. Chez les transformateurs, Saputo fait partie des supporteurs de la Tablée. Chez les producteurs, petits et grands.

    « On a besoin de la passion de tous », a lancé hier Massimo Bottura à la foule dans sa vidéo. « S’il vous plaît, venez nous aider. Cuisiner est un acte d’amour. »

    Ça me semble intéressant. Je comprends que c'est un restaurant,, mais c'est quoi exactement qui rend cette arrivée à Montréal si spéciale? 

  2. Il y a 7 heures, IluvMTL a dit :

    https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/le-15-18/segments/chronique/139225/richard-bergeron-design-urbain-scandinave

    Que sont devenues les enseignes iconiques à Montréal?

    PUBLIÉ LE MARDI 22 OCTOBRE 2019

    17 h 18 Écouter Urbanisme avec Richard Bergeron : Les enseignes iconiques de Montréal 8 min 16 s

    L'emblématique enseigne de l'usine Farine Five Roses fait partie du paysage montréalais depuis 1948.   Photo : Radio-Canada / Charles Contant

    « La peur de faire vulgaire, c'est ce qui hante les designers aujourd'hui, et c'est là que je leur réponds : "Décoincez-vous!" » Le chroniqueur urbain Richard Bergeron a l'impression que, depuis l'arrivée du design scandinave et du courant Bauhaus, on n'ose plus les enseignes voyantes à Montréal, comme on pouvait le faire dans les années 50.

    Le chroniqueur se demande ce qui distingue les artères commerciales des autres rues sans ces enseignes lumineuses. Il pense notamment aux rues Sainte-Catherine et Saint-Hubert qui, à son avis,n'ont jamais été plus belles que dans les années 50.

    Photo d'archives de la rue Sainte-Catherine, à Montréal.   Photo : Les films Perception

    Richard Bergeron montre du doigt le design scandinave et le courant artistique Bauhaus, en vogue depuis plusieurs années : On a appris aux designers urbains qu'il fallait exprimer de la retenue, de la rigueur, qu'il fallait que ça ait de la classe. Implicitement, on a dit que l’ostentation d’une autre époque était vulgaire.

    C’est beau, le Bauhaus, c’est beau, le design scandinave, mais c’est un peu froid.

     Richard Bergeron, chroniqueur urbain

    Richard Bergeron aimerait que les promoteurs et les designers fassent preuve d'un peu moins de retenue sur les grandes artères commerciales de Montréal. Il ne dénombre plus que cinq enseignes iconiques au centre-ville : l'enseigne de l'usine Five Roses, l'enseigne d'Archambault, le logo illuminé d'Hydro-Québec, la pinte de lait géante et l'horloge de Moslon.

    Le 15-18@le1518

    "La peur de faire vulgaire : c’est ce qui hante les designers aujourd’hui. Et je leur réponds : décoincez-vous!"@R_Bergeron a l'impression que, depuis l'arrivée du design scandinave, on n'ose plus les enseignes voyantes iconiques à #Mtl.

    En voyez-vous au centre-ville?

    13:02 - 23 oct. 2019

    Richard Bergeron pour la mairie! 

  3. il y a 17 minutes, Gio22 a dit :

    I completely agree with vincethewipet. As bronfman mentioned his intentions is to build a stadium of 32 000-34 000. Granted there will be interior parking in the stadium for players and personnel within the team, he did say he wants a small parking lot. So if the parking lot is 1% of the total stadium capacity (taking an avergae of 33000) that is still 330 parking spots for fans only!! Will it fill up fast? Yes Im sure it would but lets remember, the MLB is not like the NFL, NHL or NBA. There are 81 HOME games in the MLB schedule. Games will be paid during the afternoon on weekdays, therefore there will not always be a sellout crowd at the stadium, sometimes there might only be 10,000 people at the stadium. Hence we should not worry about if the parking lot is small. Also just like the bell center, there will be merchants who will turn their land into a parking lot, and not to mention that there is public parking at nearly every high-rise building in Griffintown. Yes you are on the lowest level and its expensive but none the less there still is parking. 

    I do hope this project will see the light of day. Bronfman seems to working very hard into doing everything the way the city wants and is trying to incorporate as much as possible from opposing groups into the project. As he stated there will be a stadium, a public park, shops, condos, office buildings, and SOCIAL HOUSING!!! Bronfman wants to add a sport-etude for baseball, I would not be surprised with all the development he is planning that a school will be added, and I'm sure hell also include plans for a community center. To have social housing on the entire redevelopment is simply stupid!!! This is a billion dollar investment, Bronfman has done his homework. He has meet with mayor Plante, met with various groups to make sure the project will include what they believe is important for the area. I really hope it will see the light of day and extremely excited about the potential return of the expos. 

    This project is amazing. Not only is it bringing a new team, but it's also reinventing a whole neighbourhood. 

  4. il y a 15 minutes, FrancSoisD a dit :

    En effet! Et bien qu'il se spécialise en architecture-paysagiste et en design, il a aussi conçu d'audacieux immeubles et ensembles immobiliers.

    J'ajouterais à votre liste: le square Dorchester (et sa nouvelle partie nord) puis la place du Canada, la place d'Youville, l'église St-James (celle sur Ste-Cath O. entre City councillors et St-Alexandre)... :)

    Je suis rassuré! Il fait de très belles choses. 

    • Like 1
  5. Il y a 1 heure, ScarletCoral a dit :

    Radio-Canada vient d'annoncer aux nouvelles de la radio la mort de Roger Taillibert, à Paris 

    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1329502/deces-architecte-roger-taillibert-stade-olympique-montreal

    Décès de l’architecte Roger Taillibert

    roger-taillibert-architecte.jpg
    L'architecte français Roger Taillibert assistait au lancement, le 6 juin 2016, d'une exposition sur les Jeux olympiques de 1976 à Montréal.
    PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / GRAHAM HUGHES

     

    Radio-Canada

    11 h 58 | Mis à jour à 12 h 00

    L’architecte du stade olympique de Montréal, le Français Roger Taillibert, est décédé à Paris. Il avait 93 ans.

    Roger Taillibert a étudié l'art égyptien à l'École du Louvre et à l'École nationale supérieure des Beaux arts de Paris avant de devenir un spécialiste de constructions destinées au sport.

    Il disait avoir privilégié les courbes dans ses bâtiments afin de susciter des émotions.

    Si le monument apporte de l'émotion, il y a immédiatement une présence permanente du monument parmi les hommes.

    - Roger Taillibert, architecte, au sujet des qualités d'un bâtiment

    Outre le stade conçu pour les Jeux olympiques de 1976 et devenu un édifice emblématique de Montréal, il a aussi réalisé le parc des Princes de Paris et la piscine de Deauville. Il a également signé un bâtiment pour un groupe pharmaceutique à Toulouse de même que des tours au Qatar.

    Roger Taillibert a toujours défendu bec et ongles la conception du stade olympique, fortement critiquée au fil du temps.

    C’est un stade exceptionnel au point de vue de la construction. C’est reconnu dans le monde entier, soulignait-il encore en février dernier.

    Le stade a été conçu par Roger Taillibert pour accueillir les Jeux olympiques, mais aussi les Expos de Montréal. Il avait imaginé un stade doté d'une immense tour de béton avec un toit rétractable. C'est aussi lui qui a conçu le vélodrome et la piscine olympique, qui y sont adjacents.

    Il a été choisi par le maire Jean Drapeau, sans appel d'offres, pour concevoir les installations en vue des Jeux de 1976. C'était la première fois de l'histoire des Jeux modernes qu'un pays hôte avait recours aux services d'un architecte étranger.

    « Nous avons été assez réalistes, au cours des 10 dernières années que nous avons été à l'administration municipale, pour ne pas lancer la Ville dans une aventure, avait expliqué M. Drapeau à l'époque. Et la construction du grand stade, ce ne sera pas non plus une aventure. Nous avons résolu pas mal de problèmes ensemble, bien celui-là va être résolu aussi d'une façon logique, économique et réaliste. »

    Le bâtiment, de forme ellipsoïdale, est une grande masse de béton, avec un toit rétractable attaché par des câbles suspendus à une structure, qui, du haut de ses 165 mètres, est devenue la plus haute tour inclinée au monde.

    M. Taillibert a toujours souligné qu'il ne modifierait pas beaucoup son projet s'il avait eu à le refaire.

    Son contrat terminé, il a gardé un lien avec le Québec : une maison à Saint-Sauveur, dans les Laurentides.

    Plus de détails à venir

     

    R.E.P

     

  6. Il y a 1 heure, Matt a dit :

    c est parce que que le projet n a pas abouti que c est une "fake Rumor"! L information etait peut etre vraie a l'epoque et que cela ait ete annulé... ca arrive assez souvent pour 1001 raisons dans ce donaine.

    Il est possible que leur entré à Montréal ait été retardé aussi. 

×
×
  • Créer...