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chl94

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Messages posté(e)s par chl94

  1. Il y a 2 heures, Megafolie a dit :

    29 mars 

    (non, je ne suis pas dans le train aujourd’hui!) 😋

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    Au début j’étais pas certain de l’impact d’une aussi grosse structure, aussi haut à côté de lancien pont de train, mais avec ces photos je pense que le contraste du vieux et du nouveau va donner un coup d’œil vraiment intéressant! 

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  2.  

    Et un hauban de plus! Pas encore tendu, mais il est là. Ça l'avance! Et avec le beau temps et le printemps supposément hatif, on devrait observer pas mal de progrès dans les prochaines semaines :) 

    Capture d’écran, le 2019-03-14 à 17.17.04.png

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  3. Bien que les plans ont été revu et que le REM ne descend plus en tunnel à cet endroit, on parle un peu de l'ancien dépotoir dans cet article de 2017. 

    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1014758/rem-depotoir-dechets-dangereux-pointe-saint-charles

     

    EXCLUSIF – Le train léger du Réseau électrique métropolitain doit passer dans un tunnel qui sera aménagé en plein cœur d'un ancien dépotoir industriel à Pointe-Saint-Charles.

    Un texte d'Alexandre Touchette

    Pour atteindre le roc, une tranchée de près de 500 mètres de long devra être creusée dans ce lieu hautement contaminé par des hydrocarbures et des BPC – une contrainte qui soulève des questions sur la protection de l'environnement.

    Pendant une centaine d’années, à partir de 1866, un marais situé sur les berges du fleuve à Pointe-Saint-Charles a été utilisé comme dépotoir. Des tonnes de déchets domestiques et industriels ont été déversées dans ce secteur, qui s’étend entre les ponts Champlain et Victoria. Au fil des décennies, ce dépotoir a été remblayé au point de faire reculer les berges naturelles du fleuve de plus de 500 mètres jusqu’à l’emplacement actuel de l’autoroute Bonaventure. Le lieu, appelé autrefois Technoparc Montréal métropolitain, a été rebaptisé Parc d’entreprises de la Pointe-Saint-Charles, et plusieurs bâtiments commerciaux y ont été construits.

    Le tracé du REM prévoit qu’après avoir traversé le fleuve sur le nouveau pont Champlain, le train va suivre la rue Marc-Cantin et entrer sous terre près des studios Mel's. Pour permettre au tunnel de descendre progressivement jusqu’au roc, une tranchée de près de 500 mètres de long devra être creusée en plein cœur du dépotoir et de la nappe d’huiles toxiques qui flotte sur les eaux souterraines.

    Une étude réalisée pour le compte de la Ville de Montréal(Nouvelle fenêtre) a estimé que le lieu contient plus de 1,5 million de litres d’hydrocarbures pétroliers qui s’apparentent à du diesel ou à du mazout dégradé. Ces huiles sont fortement contaminées par des BPC qui ont été enfouis dans le dépotoir.

     

    Un tunnel vers l’inconnu

    Le président de la Société pour vaincre la pollution, Daniel Green, n’est pas foncièrement contre l’idée de faire passer le tunnel par ce secteur, mais il demande des garanties pour assurer que l’excavation de millions de mètres cubes de déchets et de terre hautement contaminée n’entraînera pas une pollution supplémentaire vers le fleuve. Il s’inquiète aussi des effets des vapeurs toxiques sur les travailleurs qui vont excaver le site.

     

    «On s’entend, il y a là des HAP, des Benzo(a)pyrènes, un cancérigène humain reconnu, et des BPC, une substance très toxique. Ce n’est pas du bonbon! C’est l’un des pires sites de déchets dangereux au pays, alors on ne peut pas improviser ou s’adapter au fur et à mesure

    - Daniel Green, président de la Société pour vaincre la pollution

     

    Le creusage d’un tunnel dans ce dépotoir va aussi perturber les efforts pour stopper l’écoulement des hydrocarbures toxiques vers le fleuve. Le projet Solution Bonaventure, financé à la hauteur de 100 millions de dollars par les trois ordres de gouvernement, prévoit la construction d’un mur de béton ancré dans le roc le long de l’autoroute Bonaventure pour isoler les contaminants des eaux du Saint-Laurent. Une vingtaine de stations de pompage doivent être installées sur le site pour capter les huiles qui migrent de la gare de triage du CN vers le fleuve. Selon Daniel Green, le creusage de la tranchée en plein cœur du dépotoir va forcer la Ville de Montréal à réévaluer son projet.

     

    «On va devoir revoir complètement le plan de décontamination du site, sinon on risque de faire des travaux pour rien parce que les toxiques pourraient ne pas se rendre aux pompes parce qu’on a ce tunnel de béton qui va affecter l’écoulement.»

     - Daniel Green, président de la Société pour vaincre la pollution

     

    Le professeur Alfred Jaouich, du département des Sciences de la terre et de l'atmosphère de l’UQAM est en faveur de la construction du REM, mais il estime que le projet doit être soigneusement planifié pour éviter des dérapages. Creuser un tunnel dans cette zone fortement contaminée soulève de nombreux défis qui rendent difficile l’évaluation précise des coûts, prévient-il.

    Capture d’écran, le 2019-03-05 à 11.54.46.pngRemblayage de la berge du fleuve au fil des ans. Photo : Ville de Montréal

    La perturbation du site risque d’accélérer la dispersion des contaminants dans les sols et des eaux souterraines et l’excavation de millions de mètres cubes de terre pourrait polluer les eaux de ruissellement qui s’écoulent en surface vers le fleuve. De plus, le transport des millions de mètres cubes de terre fortement contaminée par des BPC hautement toxiques risque aussi de disperser la pollution à l’extérieur du site.

    Selon le professeur Jaouich, le creusage de la tranchée et du tunnel va modifier l’hydrologie des nappes d’huiles contaminées, qui pourraient se faire un chemin jusqu’au roc à une centaine de mètres de profondeur.

     

    «Le roc en place n’est pas stable, c’est un roc qui peut être fissuré, un peu comme aux lagunes de Mercier, où l’infiltration peut se poursuivre avec des conséquences dramatiques.»

    - Alfred Jaouich, professeur au département des Sciences de la terre et de l'atmosphère de l’UQAM

     

    Trop tôt pour évaluer les coûts

    CPDQ Infra, maître d'oeuvre du projet, affirme être bien au fait du problème, mais précise qu’il est encore trop tôt pour déterminer comment les travaux seront effectués. Chaque consortium devra, dans le cadre de sa soumission, proposer une solution qui tient compte de cette contrainte particulière et des exigences environnementales.

    Le processus de conception-construction prévoit que les plans d’ingénierie seront conçus au fur et à mesure des travaux, une fois le contrat accordé et les travaux commencés. « Ça avait déjà été estimé au départ dans les coûts du projet, alors il n’y a pas de coûts supplémentaires, a indiqué le directeur des relations médias à CDPQ Infra, Jean-Vincent Lacroix. Toutes les exigences particulières sont transmises aux consortiums qui participent à l’appel d’offres présentement. » CDPQ Infra n'est toutefois pas en mesure de chiffrer les coûts associés au creusage d'une tranchée dans ce site toxique.

    La Ville de Montréal, qui est propriétaire des terrains où la tranchée sera creusée, « a pleinement connaissance des travaux à venir dans le Parc d’entreprises de la Pointe-Saint-Charles et travaille en collaboration avec la CDPQ Infra ». « Au regard des données actuelles, la Ville maintient ses engagements pour la réhabilitation du site », écrit-elle dans un courriel transmis à Radio-Canada.

     

    Des travaux de décontamination retardés

    En raison de l'arrivée du REM dans ce secteur, la Ville de Montréal a dû reporter de deux ans la construction des installations destinées à limiter les écoulements d'huiles et de BPC au fleuve. Le projet Solution Bonaventure prévoit l'aménagement d’un mur souterrain servant d’écran d'étanchéité, de 23 puits de pompage, ainsi qu’une usine de traitement pour récupérer les eaux souterraines et les hydrocarbures en phase flottante. Même si la conception des plans et devis était déjà en cours, on nous assure que les modifications au projet n'entraîneront pas de coûts supplémentaires.

    Capture d’écran, le 2019-03-05 à 11.55.01.pngL'ancien dépotoir de Pointe St-Charles contaminé Photo : Radio-Canada / Pascal Robidas

    Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE), de son côté, n’a pas été en mesure de commenter cette problématique dans son rapport sur le REM parce que les travaux d’ingénierie de cette section du tracé n’avaient pas encore été réalisés. Les commissaires n’avaient donc pas suffisamment de détails pour se prononcer, mais ils tiennent pour acquis que les travaux de décontamination seront réalisés dans le respect des normes en vigueur.

     

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  4. 16:23 4 mars 2019

    Par : Vanessa HébertMétro

    Accessibilité universelle: début des travaux à la station Place-des-Arts

    2018-06-29-jpg-004-HR.jpgPhoto: Courtoisie

    Des travaux de réfection de la station de métro Place-des-Arts commenceront la semaine prochaine afin de la rendre universellement accessible grâce à l’ajout de trois ascenseurs. L’édicule de Bleury Nord sera alors fermé jusqu’à l’automne 2021.

    En même temps que ce chantier de la Société de transport de Montréal, un promoteur mènera, sur le même site, des travaux dans le cadre d’un projet immobilier. L’édicule de la rue Bleury sera intégré à celui-ci, ce qui force sa fermeture.

    La station Place-des-Arts s’ajoutera aux 14 stations qui sont déjà accessibles. En plus de l’ajout d’ascenseurs, les travaux consisteront également à l’agrandissement et la réfection de l’édicule et la rénovation de la dalle structurale de l’édicule et des escaliers fixes.

    Les autres édicules de la station Place-des-Arts (Jeanne-Mance, Président-Kennedy et Bleury Sud) seront toujours ouverts pendant les travaux.

    À l’heure actuelle, des travaux d’accessibilité sont en cours dans les stations Jean-Drapeau, Jean-Talon, Viau, Mont-Royal, Berri-UQAM et Vendôme.

    La STM prévoit amorcer l’implantation d’ascenseurs aux stations Angrignon, Jolicoeur, Préfontaine et Villa-Maria au courant de 2019.

    https://journalmetro.com/actualites/montreal/2213570/accessibilite-universelle-debut-des-travaux-a-la-station-place-des-arts/

  5. il y a 57 minutes, IluvMTL a dit :

    Selon le promo la grande pyramide va être à l'est de la petite.  J'imagine qu'ils vont enlever au moins une rangée d'arbres dans le stationnement. 

    D'après-moi, celle qu'on voit sur la photo c'est la plus grande des deux, et la petite va être construite juste derrière. Je doute qu'ils se mettent a couper des arbres pour quelque chose qui va être là pendant quoi, 1-2 mois? Reste que l'angle de la photo rend l'interprétation un peu difficile.

  6. Fermeture d’un important chantier jugé trop dangereux

    TVA Nouvelles 

    | Publié le 22 février 2019 à 16:17 - Mis à jour à 16:31

    La CNESST a pris la décision de fermer un chantier jugé trop dangereux pour les travailleurs.

    Un important chantier de construction de l’arrondissement Outremont, à Montréal, a été forcé de fermer en raison de risques importants pour la santé et la sécurité de travailleurs.

    La Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) a dû intervenir au 1420, boulevard Mont-Royal. Malgré des avertissements répétés, le maître d’œuvre et les employeurs n’ont pas apporté les mesures nécessaires.

    L’inhalation de poussière de silice cristalline et d’amiante a été signalée, de même que l’effondrement d’un échafaudage et la chute de travailleurs y œuvrant. Il y avait également une problématique liée à l’interaction des piétons et des véhicules circulant à l’intérieur du bâtiment.

    «La CNESST a exigé la fermeture du chantier de construction, le 20 février, dans le but d’assurer la santé et la sécurité des travailleurs sur ce chantier. Ce lieu de travail ne pourra être ouvert de nouveau avant qu’un inspecteur de la CNESST ne l’ait autorisé», peut-on apprendre via communiqué.

    Ce bâtiment bâti en 1924 est classé dans le patrimoine culture à caractère religieux. Cet ancien couvent doit être converti en 200 condos de luxe. Environ 160 travailleurs étaient actifs sur ce chantier.

    «La CNESST ne peut pas fermer un chantier du jour au lendemain. On donne des avis, des avertissements», a expliqué Simon Lévesque, responsable de la santé et de la sécurité du travail à la FTQ Construction.

    Le promoteur du projet n’était pas disponible pour répondre aux questions de TVA Nouvelles.

    https://www.tvanouvelles.ca/2019/02/22/fermeture-dun-important-chantier-juge-trop-dangereux

     

     

  7. il y a 6 minutes, acpnc a dit :

    Dans le texte: Le concept proposé par NEUF permettra de signaler la présence de FASKEN à l’échelle de la tour et la ville avec une ouverture reliant 5 étages avec un nouvel escalier sculptural, rappelant un pli de papier et déployé comme lien vertical point focal des nouveaux aménagements.

    Impressionnant comme rénovation, je n'aurais jamais cru qu'on oserait ouvrir des planchers dans une tour à bureaux pour ensuite les relier par un escalier. Ce qui évite bien sûr de devoir prendre l'ascenseur central pour passer d'un étage à un autre.

    On peu imaginer que suite à des travaux de cette ampleur (qui seraient cependant réversibles ultérieurement en refermant les planchers)  que l'entreprise compte demeurer encore longtemps dans l'édifice.

    Ils ont la même chose chez Stikeman dans la tour CIBC. Je sais pas par contre si ça l'a été conçu comme ça dès le départ. 

  8. il y a 41 minutes, ymenard a dit :

    Il y a un amphithéâtre naturel de 65000 personnes au Parc Jean-Drapeau qui ouvrira... cet été.   Avec une vue de beaucoup supérieure au futur stade.

    L’amphithéâtre du parc Jean-Drapeau sera excellent pour les festivals et autres spectacles 100% admission général (premier arriver premier servi). Ça ne convient pas à tous. Un show au stade aurait une capacité de 40-45 000 personne, avec la majorité assise (places réservées). Beaucoup plus intéressant pour un artiste d’y présenter son spectacle. 

  9. il y a 8 minutes, crosbyshow a dit :

    1- il y aura 2 stations ...pour moi c'est clair si il y a un stade.   Bronfman a claridge et va clairement developpper des condos, logements près du stade. Un tout nouveau quartier verra le jour et la caisse sera donc très intéressé.  D'ailleurs je ne serais pas surpris de voir la caisse investir dans le projet d'une quelconque manière.

     

    2 l'accès est phénoménal à plusieurs points de vue.  14 minutes à pied du centre Bell ( je l'ai fait l'été dernier d'un pas très molo).

     

    Ce sera une marche agréable également du nouveau Boul. Robert Bourassa.

     

    En voiture...on pourra quitter rapidement avec victoria et Champlain tout près ainsi que le nouveau Turcot et l'autoroute e Ville-Marie en direction Est sous le centre-ville.

     

    Ce site est parfait à tout point de vue.

     

    un fan de New York , Boston ou Toronto utilisant l'avion pourra utiliser le rem de l'aéroport en 22 minutes et ce ....sans transfert...

     

    comme je lai déjà écrit....j'imagine une passerelle majestueuse au dessus du bassin Peel reliant Griffintown au stade avec une immense fontaine au milieu de tout ça.

     

    ce coin deviendra donc un point névralgique de la ville et dans le futur, un immense parc pourrait être crée reliant le stade et le fleuve st Laurent si le tout est possible.

     

    Et d'un point de vue baseball, on pourra peut-être voir des circuits dans le bassin avec des gens en bateau essayants d'attraper la balle.......sans oublier le skyline et le pont Jacques cartier et five rose à partir des estrades 

     

    Je seconde, je suis tout énervé. Ce secteur a tellement de potentiel, et ce projet là va lui donner le coup de pousse nécessaire à sa transformation.

    Je me demande seulement ce qui va arriver avec Loto-Québec et sa parcelle de terrain, qui est quand même essentiel à ses activités d'exploitations du Casino de Montréal. 

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