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Flo

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Messages posté(e)s par Flo

  1. J'ai aussi vécu un an en Inde (et oui j'ai beaucoup glandouillé dans ma vie... plus exactement j'ai pas mal bourlingué 2 ans entre l'Inde du Nord et l'Australie) et je me disais que là-bas c'est peut-être la chaleur humide qui fait défaut... mais finalement ça crevait les yeux que la culture du sport en lui-même (omnipotence du hockey sur glace/tennis et du cricket pour l'un comme pour l'autre) en est pour quelque chose (un peu comme le football et le volley au Brésil, le reste frise le néant)

  2. C'est un peu la douche froide vu les commentaires sur ce fil. Je me rends compte que le Quebec est très à la ramasse niveau sport. Parlons pas de regarder des matches ou de les trouver barbant, mais rien que de pratiquer du Basket ou du soccer (encore un mot qui me fait grimacer) c'est un moment de détente ludique et festif. Ayant vécu un an en Australie, j'ai découvert que le climat fait toute la difference dans l'application d'une politique d'excellence sportive et le climat de Montreal vient confirmer cette règle... Là-bas, des centres de formation identifient les jeunes prodiges prometteurs et les encadrent au fil de leur développement académique. Cependant, je me dis qu'on peut quand même bien pratiquer du sport durant 6 mois et continuer son entraînement en salle pendant le reste de l'année. Après tout les pays scandinaves et les Russes cartonnent en handball, Basket, football (le vrai) et l'athlétisme... pourquoi pas le Quebec (hormis le hockey sur glace)... d'ailleurs y a-t-il un Ministère affecté aux sports au Quebec ?

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  3. Publié le 23 octobre 2015 à 00h00 | Mis à jour à 00h00

    par PIERRE-ANDRÉ NORMANDIN - La Presse

     

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    L'amphithéâtre aura une capacité de 65 000 places. Il sera conçu pour accueillir des «grands spectacles et festivals», été comme hiver.

    IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTREAL

     

    Montréal donne le feu vert au projet d'amphithéâtre naturel de 65 000 places au parc Jean-Drapeau dans le cadre d'un imposant legs de 70 millions de dollars pour le 375e anniversaire. Le projet ne sera toutefois pas prêt pour les festivités de 2017, mais seulement en 2019.

     

    Le maire Denis Coderre doit en faire l'annonce ce matin en conférence de presse, en compagnie du ministre Robert Poëti et de Danièle Henkel, présidente du conseil d'administration de la Société du parc Jean-Drapeau (SPJD). Ils annonceront que le projet de réaménagement de la portion ouest de l'île Sainte-Hélène pourra aller de l'avant.

     

    L'un des objectifs de ce projet est de «répondre aux exigences des grands événements». Pièce maîtresse de ce legs de 70,4 millions, le parterre où plusieurs spectacles et festivals sont organisés sera ainsi transformé en véritable amphithéâtre naturel.

     

    Cet espace aura une capacité de 65 000 places. Il sera conçu pour accueillir des «grands spectacles et festivals», été comme hiver. L'amélioration du recouvrement de sol devrait permettre de réduire la poussière dispersée lorsque d'importantes foules s'y rassemblent. À lui seul, ce volet coûtera 30 millions.

     

    Les esquisses montrées à La Presse permettent de constater que la scène sera orientée vers la Rive-Sud, tandis que les spectateurs regarderont les artistes se produire avec la silhouette urbaine de Montréal en arrière-plan. Rappelons que Saint-Lambert s'est fréquemment plaint du bruit provenant des événements présentés à cet endroit, comme Osheaga ou Heavy Mtl, s'adressant même aux tribunaux.

     

    Montréal et Québec se partagent la facture

    La transformation du parterre existant en véritable amphithéâtre naturel a fait gonfler la facture du projet de 55 millions à 70,4 millions. La Ville de Montréal, qui devait débourser 20 millions au départ, a décidé de porter à 35,4 millions sa contribution.

     

    Le reste du financement proviendra du ministère des Affaires municipales, qui a accepté de verser 35 millions. Québec a toutefois prévenu qu'il refuserait de payer tout dépassement, et donc que toute mauvaise surprise serait à la charge de la métropole.

     

    Le projet devait être réalisé pour le 375e de Montréal, mais une enquête de l'inspecteur général y a découvert des irrégularités qui ont mené à l'annulation de quatre contrats. Le nouvel échéancier prévoit que les travaux devraient débuter en 2016 pour se terminer en 2018. Les événements pourront être présentés de nouveau sur le site seulement à partir de 2019.

     

    Nouvel espace public

    Outre l'amphithéâtre, le projet vient en quelque sorte corriger les lacunes du précédent réaménagement du secteur ouest réalisé ironiquement comme legs du 350e anniversaire, en 1993. «Le besoin d'accueillir de grandes foules lors d'événements d'envergure est devenu une exigence incontournable du nouvel aménagement proposé», peut-on lire dans un document présenté aux élus de Montréal.

     

    Le chemin reliant l'édicule du métro Jean-Drapeau à la sculpture L'Homme de l'artiste Alexandre Calder, à la Biosphère et au pont Cosmos sera ainsi élargi pour devenir un espace public.

     

    L'élargissement pose plusieurs contraintes. Ainsi, Il faudra faire disparaître les deux bassins d'eau et la fontaine situés près de l'édicule du métro Jean-Drapeau. On justifie cette perte par le besoin d'améliorer la «circulation de milliers de personnes en peu de temps». L'espace public élargi permettra d'aménager du mobilier urbain et des jeux d'eaux.

     

    Le parc Jean-Drapeau devra également obtenir l'autorisation du ministère de l'Environnement pour faire disparaître le canal d'eau situé à cet endroit. Pour convaincre Québec d'accepter, Montréal proposera un «projet de compensation de milieux humides» ailleurs sur les îles du parc Jean-Drapeau ou sur l'île de Montréal.

     

    Autre contrainte imposée par l'élargissement de l'espace public, le nouvel aménagement forcera au passage le déplacement des puits de ventilation du métro.

     

    Le projet de réaménagement prévoit aussi la construction d'un nouveau bâtiment pour l'accueil, la restauration et la sécurité. Celui-ci viendra remplacer la billetterie actuellement en place.

     

    Le projet prévoit de plus l'aménagement d'une promenade riveraine pour offrir une vue sur le fleuve et la ville de Montréal. Enfin, la Place des Nations aménagée lors de l'Expo 67, sera nettoyée et sécurisée.

     

    Pour éviter que les nouveaux aménagements ne se détériorent rapidement, un budget récurrent de 4 % du coût de construction sera ajouté au budget de la SPJD.

  4. Les occasions manquées, la Maison de l’architecture du Québec en a fait un atelier tellement qu'il en a eu par le passé :

     

    Montréal jamais construit

    Voyage dans la tête d’architectes québécois

    22 octobre 2015 |Caroline Montpetit | Arts visuels

     

    Silo5.jpg

    Photo: Menkès Shooner Dagenais LeTourneux

    Dans le Vieux-Port de Montréal, le projet d’un vaste complexe comprenant une tour résidentielle et un musée aux côtés des silos n’a jamais vu le jour.

     

    Avant, après

     

    Aux côtés des maquettes et des photos des ouvrages architecturaux qui n’ont jamais été réalisés, l’exposition présente des photos des lieux tels qu’ils sont demeurés aujourd’hui. Alors qu’un vaste complexe proposait une tour résidentielle et un musée aux côtés des silos, dans le Vieux-Port de Montréal, on ne trouve aujourd’hui que des vestiges délabrés auxquels on n’a pas encore réussi à redonner vie.

     

    Article complet sur : Le Devoir

  5. Afin d'éviter justement ce genre de problème majeur, il faudra construire une canalisation parallèle tout le long du parcours actuel. C'est pour cela qu'il faut investir des milliards en infrastructures souterraines, afin de protéger notre environnement. Mais sans la contribution du fédéral ce n'est tout simplement pas possible parce que trop couteux.

     

    Après le Big Owe doit-on pressentir un Big Dig

  6. Flo j'ai pris la liberté de créer un lien dans la section technologie urbaine avec ce fil, car je crois que c'est une trouvaille extraordinaire qui ne doit pas passer inaperçue.

     

     

    http://mtlurb.com/forums/showthread.php/23547-Quand-la-route-devient-centrale-photovolta%C3%AFque-une-premi%C3%A8re-mondiale-fran%C3%A7aise?p=236164#post236164

     

    et un autre lien qui vient de la même source avec une petite vidéo http://www.lesechos.fr/industrie-services/immobilier-btp/021398624191-colas-lance-la-route-photovoltaique-une-premiere-mondiale-1165007.php#

     

    Ca marche acpnc :thumbsup:

     

    Par ailleurs, niveau positionnement Colas précise que ce nouveau produit concurrence les fermes photovoltaïques puisque le groupe y a aligné sa politique de prix avec cet autre produit de substitution

    L'avantage concurrentiel tient manifestement du polymer hyper-résistant et de partenariats accrus avec les opérateurs de maintenance d'autoroute et les prestataires des services de voiries tels que JC Decaux qui a cartonné en partant de rien. N'oublions pas que ce produit appartient au groupe Bouygues un mastodonte qui durant les années 1970 a construit les grandes infrastructures des anciennes colonies françaises. Ils maîtrisent parfaitement la conquête de marchés internationaux. Tout comme la société Blue Solutions de Bolloré, je leur souhaite tout le succès qu'ils méritent dans leurs futures innovations

  7. Les avantages concurrentielles ne s'acquièrent pas uniquement par du dégraissage (de branches mortes, quelle que soit la hiérarchie) elles doivent aussi exiger la promotion et le recrutement de ressources humaines perspicaces et surtout moralement et intellectuellement intègres. Si SNC Lavalin poursuit sa lancée tout en recourant à ces vielles combines malhonnêtes, les concurrents n'auront pas de mal à la neutraliser sur le marché

  8. Source : Le Huffington Post Quebec

     

    RCQC | Par Radio-Canada.ca

    Publication: 08/10/2015 16:37 EDT Mis à jour: 09/10/2015 11:02 EDT

     

    Le gouvernement du Québec annoncera vendredi qu'il investira plus de 420 millions de dollars pour l'électrification des transports au cours des cinq prochaines années.

     

    Un texte de Martine Biron

     

    Le plan du gouvernement libéral de Philippe Couillard est moins ambitieux que ce qu'avait annoncé le gouvernement péquiste de Pauline Marois en 2013, qui prévoyait des investissements de 516 millions sur 3 ans, de 2014 à 2017.

     

    Sous le thème « Propulser le Québec par l'électricité », le plan libéral repose sur trois piliers : favoriser les transports électriques, développer la filière industrielle et créer un environnement favorable pour les automobilistes.

     

    Ainsi, Québec vise l'ajout de 100 000 nouveaux véhicules électriques et hybrides rechargeables sur les routes du Québec d'ici 5 ans.

     

    Pour encourager les automobilistes à opter pour ce type de véhicule, le ministère des Transports installera 785 bornes de recharge publiques sur le réseau, dont au moins une soixantaine de bornes de recharge rapide.

     

    Le gouvernement invitera aussi les employeurs à implanter des bornes sur les lieux de travail.

     

    Comme l'avait annoncé le gouvernement libéral de Jean Charest, le gouvernement Couillard maintient le rabais à l'achat d'un véhicule électrique jusqu'à concurrence de 8000 $ jusqu'à la fin de 2016.

     

    Québec entend par ces mesures faire en sorte qu'à partir de 2020, la consommation annuelle de carburant dans les transports aura diminué de 66 millions de litres. Il vise aussi, toujours à partir de 2020, une réduction annuelle des émissions de GES de 150 000 tonnes dans les transports.

     

    Le gouvernement prévoit que 5000 emplois seront créés dans l'industrie liée à l'électrification des transports alors qu'il prévoit des investissements privés de l'ordre de 500 millions.

     

    Québec donnera l'exemple

     

    Québec entend favoriser la recherche et le développement dans le secteur, et mettra sur pied des programmes conjoints entre l'entreprise et le secteur universitaire. Différents programmes de formation de la main-d'œuvre seront mis en place.

     

    Pour donner l'exemple, Québec s'engagera à électrifier le parc automobile gouvernemental et promet que d'ici 2020, 1000 véhicules seront électriques.

     

    Il s'engage aussi à créer un environnement propice aux automobilistes qui prendront le virage électrique en leur donnant, par loi, accès aux voies réservées.

     

    Ces automobilistes pourront aussi passer gratuitement aux ponts à péage des autoroutes 25 et 30, et sur les traverses payantes de la société des traversiers à partir du 1er janvier 2016.

     

    Le transport collectif ne sera pas en reste alors que le gouvernement précise que plusieurs grands projets qui nécessiteront des investissements de 5 milliards de dollars sont à l'étude.

     

    Il s'agit de projets comme le système de transport collectif sur le nouveau pont Champlain et le train de l'Ouest de Montréal.

     

    Le PLQ se traîne les pieds, dit le PQ

     

    À 24 heures de l'annonce du gouvernement, le Parti québécois a accusé le gouvernement Couillard de prendre son temps dans ce dossier.

     

    « On a l'impression que le gouvernement libéral a le pied sur le brake », a affirmé la députée Martine Ouellet.

     

    En compagnie du chef du parti Pierre Karl Péladeau, elle a réclamé du gouvernement qu'il s'engage à présenter un projet de loi « zéro émission » pour augmenter de façon significative l'offre de véhicules électriques sur le marché automobile québécois.

     

    « Une telle législation ferait en sorte de rendre les véhicules hybrides branchables et électriques plus accessibles pour les Québécois », ajoute Mme Ouellet.

     

    **************************************************************************************************

     

    Cette présentation du ministre traduit une bonne exploitation du réseau de M. Robert Poëti pour négocier les péages, l'utilisation des voies réservées, subventionner l'achat de voitures électriques, etc., mais cela traduit aussi une médiocre maîtrise des dossiers de transport en commun abandonnés à moult études qui prennent de plus en plus l'aspect d'une impasse.

     

    En réalité le parti libéral a mis en fonction un superministre de l'automobile et pour ce qui est des autres formes de transport, il s'en occupera s'il a du temps libre (ce qui explique en partie le constat du PQ). Qu'on ne s'y méprenne pas, c'est du beau boulot qu'il a fait pour les voitures électriques, mais pour le reste c'est zéro de pointé... à présent qu'il a fait une petite partie du boulot, il faudrait remanier ce ministère en nommant qqn de plus compétent sur l'ensemble des modes de transport.

     

    Il ne s'agit pas simplement de couper dans les recettes d'hydrocarbures ou de réduire l'émission de CO2 (ce qui sont des objectifs certes louables), il s'agit de changer les comportements, d'endiguer les maladies respiratoires (particules fines, NOx, etc.), développer les infrastructures par des grands travaux ferroviaires, innover sur le stockage de l'énergie, la transmission elle-même (sans fil, superconduction), remplacer les produits de substitution (tgv, magvac, cargo tram vs avions, voitures, trucks, etc.), offrir une tarification compétitive... il faudrait qqn qui soit à la fois un industriel, un homme d'affaires et un scientifique pas un politique qui patine tellement qu'il ferait une belle affaire chez les Habs

  9. Le prochain appel d’offre concernera la construction ou le design en soi ? A mon avis, il aurait fallu lancer un concours afin de réadapter la structure de manière artistique, du genre : installer des sculptures sur les toits ou des structures en verre ou en bois avec de jeux de lumières. Visiblement, en gros, ils ont détruit tous les pergolas avec toiture et préservé ceux sans toitures afin de décourager l’itinérance et la fréquentation des lieux par des camés. Pis c’est cher payé le pataugeoire à $ 28 M

  10. En tant qu'empêcheur de tourner en rond je me sens comme obligé de dire que la minéralité propre à la Défense est son seul attrait. Cet amas de béton et de verre gracieusement posé sur une dalle rugueuse s'avère unique en Europe... et contraste largement des skyline telles que l'on voit à Liverpool, Milan, Londres, Rotterdam, voire Frankfurt où la mixité sociale prend le dessus sur la jungle urbaine aussi sauvage soit-elle. C'est comme cela que je l'aime La Défense : qq nuances entre le gris et le bleu, froid, glauque, fluide glacial... CBD where we crunch the numbers, où l'on parle de ROI, de part de marché et où ça ne rigole pas... cela m'est apparu comme une évidence surtout vu l'aspect singulière de l'arche ce mastodonte à la fois creux et cubique exposant ses marches saccadées et abruptes aux périls des passants... et paradoxalement un sentiment de tristesse m'emplit face aux projets de résidence universitaire, de logements sociaux, de crêches et de stade qui viennent animer cette ténébreuse ambiance

  11. Une société qui se spécialiserait dans la rénovation (nettoyage au laser, double vitrage...) de ces immeubles ferait fortune. Ce genre d'immeubles stratégiquement placés concurrenceraient les tours niveau prix et l'architecture classique convient à certains secteurs (assurances, ONG, téléphonie, administration publique...)

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