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booboohome2003

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Messages posté(e)s par booboohome2003

  1. Oups... Je n'avais pas remarqué que tu parlais du sleb, désolé...

     

    Je crois me rappeler que le ville "obligeait" le promoteur à remplir le trou dans certains délais, sous peine de je ne sais plus quoi (le terrain ayant été acheté par un autre promoteur).

     

    C'est déjà une bonne nouvelle!

    Il faut se rappeller que dans le deal avec la Ville, il y avait quelques obligations de reconstruire un ou deux immeubles( les facades, je crois) du côté de St-Laurent; à cet effet, ils ont conservé et numéroté des pierres ( de facade) pour la reconstruction. Certaines auraient été conservées dans l'édifice et d'autres ailleurs....mais certains racontent qu'il n'y a pas eu la plus grande des diligences.....!!!
  2. Couillard pushed Quebec City project to Tories after firm lost Montreal bid

    DANIEL LEBLANC AND INGRID PERITZ

     

    With reports from Tu Thanh Ha in Toronto and Rhéal Seguin in Quebec City

     

    June 13, 2008

     

    OTTAWA AND MONTREAL -- The Kevlar Group was losing out on a major federal contract in Montreal in early 2007 at the same time as Julie Couillard started lobbying two senior Conservative officials in favour of another one of the company's projects in Quebec City, according to government records and sources.

     

    Kevlar wanted to spend up to $25-million to develop a large swath of land that belonged to Canada Post on the Montreal harbourfront. However, another Crown corporation, Canada Lands, used its right of first refusal and snagged the 60,000-square-metre property in a deal that was officially announced on May 2, 2007, a spokesman for Canada Lands confirmed.

     

    Kevlar was believed to be unhappy in Montreal when its postal-site bid was rejected, according to a real-estate consultant.

     

    "They [Kevlar] probably invested a lot of time, money and energy in their building proposal, which they thought was the best," said a source familiar with the project. "Then Canada Lands turned around and said, 'We'll develop the site.' "

     

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    Couillard pushed Quebec City project to Tories after firm lost Montreal bid

     

    About the same time, Kevlar was bidding on another federal project worth about $30-million for a building in Quebec City to house 750 bureaucrats.

     

    In the House yesterday, the Opposition expressed clear concerns that the company used Ms. Couillard to infiltrate the government in an attempt to ensure it would win that contract.

     

    Ms. Couillard was finishing her training as a real-estate agent at the time, and had obtained an affiliation with the firm's real-estate branch.

     

    In the spring of 2007, she started dating, in succession, two senior Conservative officials: Public Works adviser Bernard Côté and industry minister Maxime Bernier.

     

    According to senior federal officials, Ms. Couillard directly discussed Kevlar's bid in Quebec City with Mr. Bernier and Mr. Côté.

     

    Mr. Bernier has since resigned after classified documents were left in April at the home of Ms. Couillard, who had lived with two men with ties to the Hells Angels in the 1990s.

     

    Mr. Côté resigned this week after telling his superiors about Ms. Couillard's lobbying efforts and acknowledging he should have recused himself from the file to avoid the appearance of a conflict of interest.

     

    As The Globe and Mail reported yesterday, Kevlar co-chair Philippe Morin introduced Ms. Couillard and Mr. Bernier to one another in April in a restaurant in Montreal.

     

    A source added yesterday that Mr. Bernier and Mr. Morin might have known one another through their respective involvement in a group called the Young Presidents' Organization. Mr. Morin is the son of a well-known book publisher in Quebec.

     

    Kevlar officials refused repeated requests for comment yesterday, and did not expand on their previous statement that their link to Ms. Couillard was simply related to her real-estate licence.

     

    In the House of Commons, the Liberals accused Ms. Couillard of attempting to "infiltrate the Conservative government."

     

    "She tried to influence real-estate contracts at Public Works," said Montreal Liberal MP Marlene Jennings.

     

    According to news reports, Kevlar was founded by president René Bellerive in 1996, with Mr. Morin becoming a partner in 1999. The firm has acquired and built a number of commercial buildings and condominiums in Montreal and Quebec City, often with other financial partners.

     

    Kevlar and its owners have also donated thousands of dollars to federalist and separatist parties, in Ottawa and Quebec City, with the first recorded pledge to the Conservative Party, for $1,000, coming in the months after the Tories were elected to office.

     

    The government did not directly address the opposition's concerns in the House yesterday, except to say there has been no decision on the Quebec City project, on which Kevlar is one of about two dozen bidders.

     

    Conservative House Leader Peter Van Loan accused the opposition of wasting time by holding a parliamentary inquiry into the matter.

     

    "It is about finding sordid stories that can make for good news for those who are into gossip and that sort of stuff, but it is not about the important questions of public policy," he said.

     

    Regarding the Montreal project, Kevlar submitted an initial $25-million bid for the site in 2006. After several extensions to conduct due diligence, the firm submitted a lowered offer for the property on Feb. 28 of last year. Kevlar's deal fell through when Canada Lands matched its $18-million offer.

     

    "The company that bid on the site put in an offer, and we matched it," said Gordon McIvor, vice-president of Canada Lands.

  3. A l'attention du directeur de l'information:

     

    Quartier des spectacles - 2-22 Sainte-Catherine Entente entre la Ville de Montréal et la Société de développement Angus

    MONTREAL, le 11 juin /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal, M. Gérald

    Tremblay, est heureux d'annoncer que le comité exécutif a approuvé le projet

    d'entente convenu entre la Ville de Montréal et la Société de développement

    Angus (SDA) concernant le projet d'édifice situé à l'angle des rues

    Sainte-Catherine Est (2-22) et Saint-Laurent. Par cette entente, la Ville

    cédera le terrain à la SDA, par convention d'emphytéose pour une durée de 75

    ans, le terrain situé dans le Quartier des spectacles sur lequel la SDA

    s'engage à construire un immeuble de six étages, d'une valeur d'environ 15 M$.

    "Le futur bâtiment qui sera occupé principalement par des entreprises à

    vocation culturelle logera, entres autres, la Vitrine culturelle de Montréal,

    un centre d'information et de réservation comme ceux que l'on trouve dans les

    grandes capitales culturelles, ce qui en fera l'immeuble phare du Quartier des

    spectacles", a déclaré M. Tremblay. "Le 2-22, par sa facture architecturale,

    ses occupants et les services qu'il offrira aux visiteurs et aux amateurs de

    spectacles deviendra un pôle majeur de ce grand projet urbain", a-t-il

    précisé.

    La SDA s'engage à louer au moins 75 % de la superficie locative du

    bâtiment à des entreprises à vocation culturelle, et ce, pour une durée

    minimale de 30 ans. En deçà de ce seuil de 75 % de location à des fins

    culturelles, une rente annuelle serait payable à la Ville. Au cours des

    prochains jours, ce projet d'entente sera soumis pour approbation au conseil

    municipal.

    Le projet d'édifice proposé, le 2-22 Sainte-Catherine, est issu d'une

    vaste consultation menée auprès de l'ensemble des partenaires concernés par la

    revitalisation de ce tronçon névralgique du boulevard Saint-Laurent au coeur

    du Quartier des spectacles. Une étroite collaboration a également été établie

    entre le Service du développement culturel, de la qualité du milieu de vie et

    de la diversité ethnoculturelle de la Ville de Montréal, l'arrondissement de

    Ville-Marie, de même que les acteurs locaux du secteur, dont les membres du

    Partenariat du Quartier des spectacles.

    Rappelons que le Quartier des spectacles figure parmi les grands projets

    que la Ville de Montréal entreprend afin de faire rayonner la culture et le

    patrimoine sur son territoire. La Ville entend ainsi renforcer les atouts qui

    lui permettent de s'imposer encore plus comme une métropole culturelle

    d'avant-garde, tout en préservant son patrimoine et en facilitant l'accès des

    citoyens aux services culturels.

     

     

     

    Renseignements: Jean-Jacques Bédard, Service des communications et des

    relations avec les citoyens, (514) 872-3393; Source: Renée Sauriol, Cabinet du

    maire et du comité exécutif, (514) 872-4894

  4. A l'attention du directeur de l'information et du responsable des affectations:

     

    Rives nouvelles - Un projet majeur pour attirer des familles à Montréal

    MONTREAL, le 11 juin /CNW Telbec/ - Le Maire de l'arrondissement de

    Ville-Marie, et Chef de l'Opposition officielle de la Ville de Montréal,

    Benoit Labonté, tiendra, aujourd'hui, une importante conférence de presse pour

    dévoiler le projet Rives Nouvelles.

    Le maire Labonté présentera la totalité de ce plan majeur d'aménagement

    de l'Est du centre-ville. Il rendra également public à cette occasion le

    Projet particulier d'urbanisme du Quartier de la santé.

     

    <<

     

    Date : Le mercredi 11 juin 2008

     

    Heure : 13 h 30

     

    Endroit : Bureau d'arrondissement de Ville-Marie

    Salle du conseil

    888 de Maisonneuve

    5e étage

    >>

     

     

     

    Renseignements: Jean-Yves Duthel, Directeur, Direction des affaires

    publiques et des relations avec les citoyens, Arrondissement de Ville-Marie,

    (514) 868-5189, (514) 298-6600

  5. A l'attention du directeur de l'information:

     

    Adoption de la version finale du Plan de transport - La Ville de Montréal enclenche les premières phases en vue de l'implantation d'un réseau de tramway au centre-ville

    MONTREAL, le 11 juin /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal,

    M. Gérald Tremblay, et le responsable de l'aménagement urbain et du transport

    collectif au comité exécutif de la Ville de Montréal, M. André Lavallée,

    annoncent l'adoption, par le comité exécutif, de la version finale du Plan de

    transport de la Ville de Montréal. Aussi, ils procèdent au lancement des

    analyses du réseau initial de tramway et de faisabilité de la première ligne.

    Il s'agit des deux premières étapes qui mèneront à l'implantation d'un réseau

    de tramway d'une longueur approximative de 20 kilomètres au centre de

    l'agglomération.

    "La congestion du réseau routier régional s'est accrue significativement

    ces dernières années. Elle engendre des pertes économiques évaluées à près de

    1 milliard de dollars annuellement. A ces pertes économiques on doit ajouter

    les problèmes de santé, tels le stress ainsi que l'asthme et les maladies

    respiratoires", a déclaré le maire Tremblay. "Audacieux et ambitieux, notre

    Plan de transport a justement pour objectif d'apporter des solutions à ces

    problèmes en faisant du transport collectif le moyen privilégié de déplacement

    des personnes dans la grande région de Montréal", a ajouté Gérald Tremblay.

    "L'implantation d'un réseau de tramway dans les rues de Montréal est une

    priorité pour notre Administration. C'est pourquoi nous enclenchons dès

    maintenant les premières étapes en vue de sa réalisation", a poursuivi le

    maire de Montréal.

    La première des trois lignes que comptera le réseau de tramway formera

    une boucle et permettra de desservir le centre des affaires, Griffintown, le

    Havre de Montréal, le Vieux-Montréal, le nouveau CHUM, l'UQAM, le Quartier des

    spectacles et le Quartier international, où se trouve la plus grande densité

    d'emplois et d'activités. L'estimation budgétaire pour la réalisation de la

    première ligne du tramway est de 260 M$.

    Ultérieurement, la réalisation de deux autres lignes de tramways est

    prévue. Un circuit le long de l'avenue du Parc, entre la rue Jean-Talon et le

    centre-ville, et un circuit le long du chemin de la Côte-des-Neiges, entre la

    rue Jean-Talon et le centre-ville. L'estimation budgétaire totale pour les

    trois lignes du réseau de tramway est de 985 M$. Le réseau de tramway sera

    complémentaire au métro et au réseau piétonnier.

    Outre l'implantation d'une ligne de tramway au centre-ville, les grandes

    priorités que Montréal s'engage à mettre en oeuvre sont : le prolongement du

    métro vers l'est, puis vers l'ouest, la navette ferroviaire entre le

    centre-ville et l'aéroport, l'amélioration du service de train de banlieue de

    l'ouest de l'île, le train de l'Est, l'implantation rapide d'un vaste réseau

    de voies réservées pour les autobus et pour le covoiturage, le déploiement du

    réseau cyclable et finalement, la mise en oeuvre de la Charte du piéton et

    l'implantation de mesures permettant d'accroître la sécurité des déplacements.

    "La vaste consultation publique que nous avons tenue au cours de l'été

    2007 nous a permis de confirmer une large adhésion des citoyens et des leaders

    montréalais à la vision et aux moyens proposés par le Plan de transport. Grâce

    aux commentaires et aux suggestions reçus, de même qu'aux recommandations des

    commissions, nous avons depuis bonifié notre Plan", a déclaré M. Lavallée.

    "Ainsi, la version finale du Plan de transport est le reflet de ce que les

    Montréalais souhaitent pour eux et pour leurs enfants, soit : une ville qui va

    se réinventer en misant sur le développement durable, le développement des

    modes alternatifs à l'auto, de nouvelles infrastructures de transport

    collectif confortables et performantes, des aménagements urbains de la plus

    grande qualité et des quartiers où les familles peuvent vivre et se déplacer

    dans un environnement agréable et sécuritaire. Nous avons la ferme volonté de

    réaliser cet ambitieux chantier pour le bénéfice de la collectivité

    montréalaise", a conclu M. Lavallée.

     

    Le Plan de transport sera présenté pour adoption le 16 juin prochain au

    conseil municipal et le 19 juin au conseil d'agglomération.

     

    La version finale du Plan de transport peut être consultée en ligne à

    l'adresse ville.montreal.qc.ca

     

     

     

    Renseignements: François Goneau, Relations avec les médias, (514)

    868-5859; Source: Renée Sauriol, Cabinet du maire de Montréal et du comité

    exécutif, (514) 872-4894

  6. QUI DIT VRAI ????

    SUR LE FIL DE CET APRÈS-MIDI ( SOURCE CNW)

    VILLE DE MONTREAL - CABINET DU MAIRE ET DU COMITE EXECUTIF

     

     

    A l'attention du directeur de l'information:

     

    Le projet Rives-Nouvelles - Benoit Labonté improvise et recycle des projets déjà en cours

    MONTREAL, le 11 juin /CNW Telbec/ - M. Alan DeSousa, membre du comité

    exécutif de la Ville de Montréal, responsable du développement économique, du

    développement durable et de Montréal 2025, a déclaré qu'avec le projet "Rives

    Nouvelles", Benoit Labonté est en train de faire de la récupération de projets

    qui sont déjà en train de se réaliser.

    "Comme responsable politique du développement durable à la Ville de

    Montréal, je suis heureux de voir qu'au moins Monsieur Labonté souscrit au

    principe du recyclage, mais c'est dommage que ce soit les projets des autres

    qu'il recycle", a conclu Monsieur DeSousa.

    "Une partie de ce qu'il présente est déjà contenu dans la Vision 2025 du

    Havre de Montréal présentée en 2004 par la Société du Havre et qui fait partie

    intégrante du plan de match Montréal 2025 mis de l'avant par le maire de

    Montréal M. Gérald Tremblay depuis octobre 2005," a rappelé Monsieur DeSousa.

    "Le développement des berges est l'idée centrale de la Vision 2025 du

    Havre. Le titre de son introduction est : Ramener la ville vers son fleuve. Le

    recouvrement de l'autoroute Ville-Marie est l'un de ses premiers axes, qui

    figure à la 14e page du document rendu public en 2004. Il n'y a là rien de

    nouveau," d'ajouter le responsable du développement durable de la Ville de

    Montréal.

    "Monsieur Labonté est un peu en retard dans les nouvelles pour ce qui est

    du recouvrement de l'autoroute. La ministre des Transports a annoncé au début

    de mai la formation d'un comité conjoint avec la Ville de Montréal pour

    étudier la faisabilité technique et financière de différentes formules de

    recouvrement de l'autoroute Ville-Marie."

    "Par contre, la Vision 2025 ne prévoit pas le déplacement de la gare

    ferroviaire du Port, que le maire de l'arrondissement Ville-Marie veut

    expédier à l'est de la gare Hochelaga. Le Port de Montréal n'a pas inclus ce

    projet dans son Plan stratégique pour les 15 prochaines années. Cette idée

    radicale ne vient de nulle part. Est-ce que Monsieur Labonté a un problème à

    travailler avec des partenaires ?", a déclaré Monsieur DeSousa.

    "Notre administration favorise un leadership de collaboration. Ainsi, la

    création d'une instance comme la Société du Havre de Montréal rassemble les

    partenaires montréalais dans l'élaboration d'une vision d'avenir et une

    planification concertée du développement de ce secteur névralgique pour

    Montréal. La Société du Havre peut compter sur une représentation du Port de

    Montréal, mais aussi des compagnies de chemins de fer CN et CP, de même que

    des gouvernements du Canada et du Québec, grands propriétaires de terrains

    dans ce secteur", a déclaré Monsieur DeSousa.

    Le responsable de Montréal 2025 a rappelé que pendant que le maire de

    l'arrondissement de Ville-Marie lance des idées à tous vents, il est en retard

    de trois ans et demi pour le dépôt de son chapitre du plan d'urbanisme. Ce

    document doit donner une vision d'ensemble aux projets de l'arrondissement et

    exprimer ses orientations d'aménagement pour tout son territoire. Le Programme

    particulier d'urbanisme (PPU) du Quartier de la santé, que Monsieur Labonté

    veut enfin rendre public dans l'après-midi, est attendu depuis deux ans. Il ne

    définit des orientations que pour le quartier environnant le CHUM. "Comment le

    maire de l'arrondissement qui est au centre de la ville peut-il présenter un

    tel projet pour le Port de Montréal sans concertation avec le principal

    partenaire et, en plus, sans vue d'ensemble de l'aménagement de son territoire

    ? Il est prêt à tout faire pour des raisons purement électoralistes comme il a

    déjà fait en novembre 2007, quand il a décidé de récupérer le projet du

    Quartier des Spectacles avant le dévoilement officiel de cette initiative

    majeure qui implique une série de partenaires du secteur public et privé" a

    conclu Monsieur DeSousa.

     

     

     

    Renseignements: Darren Becker, Attaché de presse, (514) 872-6412;

    Source: Cabinet du maire et du comité exécutif

  7. Est-ce que la Banque Laurentienne a "Downsized" son besion d`espace ?
    Non, il s'agissait d'établir une nouvelle succursale style/concept " Boutique" avec un aménagement très trendy. J'ai assisté à l'inauguration( coupe de ruban) la semaine dernière et on me disait que 30% de leurs succursales sont maintenant tranformées avec ce concept, coin café, bureau à aire ouverte, pas de comptoir traditionnel etc etc...... Quant à leur ancienne surcursale du côté-sud de Ste Catherine est( un magnifique édifice), son coin sud-ouest n'avait pas la faveur d'attraction des piétons et passants........il y a parfois des coins de rue non bénis par les dieux et c'était le cas. Ils auraient voulu acheter l'édifice, mais le tout s'est finalisé avec une location de 15 ans.
  8. Avant de remplir ce building de 40,000 pi.ca....il y a Place Dupuis qui a plein de locaux ( nos amis de Busac) et son voisin est le 1010 Amherst qui est en pleine réno et qui de l'espace à louer pas trop cher....qui a plus de 40,000 à combler.

    La Banque Laurentienne vient de quitter son immeuble pour louer dans l'ancien Renaud Bray et si quelque'un s'amusait à compter le nombre de pi.ca. vacants dans ce coin et surtout les $00.00 que tu peux recevoir en location....je ne suis pas sûr qu'un édifice de ce genre s'érigera sous peu, à moins d'un locataire qui veut être dans le Village et ou ( une blague) TQS qui déménagerait dans la Cité des ondes.........MMMM.....!

  9. Tu évites de le montrer parce-que tu ne l'aimes pas personnelement? Ne serait-ce pas une forme de censure? Pourquoi ne pas laisser aux touristes le soin de choisir s'ils l'aiment ou s'ils ne l'aiment pas?
    Toxik.....lorsque je visite une autre ville et dans mon job.....j'en visite pas mal.....je vais rarement voir un stade, à moins qu'on y présente un évènement, un salon/foire et ou un show.........! Quant à moi......on pourrait le démolir......et ca ne provoquerait pas une baisse dans notre nombre de touristes sur Montréal.

    Je crois qu'il faut se sentir fier que le NY Time nous consacrait dans la ten top list de destinations ( Québec et MLT) la semaine dernière......la bataille de la valeur de l'Euro enfin pourrait peut_être nous être bénéfique.

    Quant à Yarabundi......si j'étais un de tes clients.....j'espère ( comme touriste) que tu me dirigerais pas pour voir notre fameux stade ce n'est pas de la censure......c'est de l'intelligence.........il y a tellement mieux à montrer que ça.........par contre le Jardin Botanique, la Biosph.....une joute au stade Saputo..éventuellement la Planétorium....oui ....je vote oui.....mais pas ce foutu stade

  10. JEMB Realty Corporation est la Cie mère/soeur de Busac.

    On a entendu parler que SITQ/Caisse de dépot analyserait le dossier, vu leur expertise.

    Il y a quelques temps à la période des questions de lAssemblée Nationale, une question était demandé à la Ministre Forget...!

     

    QUE VOICI;

    Contrat entre l'UQAM et le

    promoteur immobilier Busac

     

    M. Sébastien Proulx

     

    M. Proulx: Oui, M. le Président. La ministre des Finances sait déjà que la Caisse de dépôt et de placement a une filiale dans le secteur immobilier qui s'appelle Cadim. Cette filiale-là a investi aux États-Unis, à travers une compagnie de prêts qui s'appelle CWCapital, M. le Président. En janvier 2006, la caisse, à travers Cadim, CWCapital, a prêté 150 millions de dollars à JEMB Realty, qui n'est nul autre que la compagnie soeur de Busac, pour un marché d'obligations américain, pour le financement de l'îlot Voyageur. Ce qui est très clair, pour faire une histoire courte, c'est qu'il existe des liens étroits entre la caisse et Busac.

     

    Alors, ma question à la ministre des Finances est fort simple, M. le Président: Il existe des liens étroits. Pourquoi y a-t-il immunité pour Busac alors que c'est les contribuables québécois qui paient actuellement pour le contrat?

     

    n (10 h 20) n

     

    Le Président: Mme la ministre des Finances.

     

    Mme Monique Jérôme-Forget

     

    Mme Jérôme-Forget: M. le Président, c'est très connu que la caisse est impliquée dans le secteur immobilier ici, en Europe, en Asie, et c'est très, très connu. Alors, je ne comprends pas la question du leader de l'opposition parce que c'est quelque chose qui est très répandu, c'est un volet très important des investissements de la caisse. Alors, vous comprendrez, M. le Président, qu'il me pose une question sur un volet... Qu'il aille poser la question à la Caisse de dépôt.

  11. Le dossier a été finalement réglé, mais il ne sont pas à leur premier dossier exotique; mais le dossier a été réglé.....on pourrait penser que des dossiers + $$$$ en attente auront fait débloqué les choses. Cet article du Journal de Montréal en 2006 est très éloquent de leur feuille de route. Combien encore va nous couter cette compagnie privée?????

    Tour du Stade

    Rien ne va plus

    Jean Maurice Duddin

    Le Journal de Montréal

    12/07/2006 07h31

     

     

    Rien ne va plus dans l'aménagement du mât du Stade olympique. Après cinq ans d'attente et huit des 20 M$ des deniers publics dépensés pour aménager deux étages de la tour, Busac réclame 10,5 M$ pour poursuivre les travaux. Québec refuse de payer ce supplément de 50 %.

     

     

    C'est dans le contexte de cette impasse que la ministre du Tourisme, Françoise Gauthier, a convoqué cette semaine les autorités de la Régie des installations olympiques (RIO) pour trouver une solution, a-t-elle confié hier au Journal de Montréal.

     

     

    «Les gens de la RIO convoquent les dirigeants de Busac qui ne se pointent même plus aux rencontres. Il n'y a rien qui bouge. Je veux savoir comment on va faire avancer ça. Le statu quo actuel est inacceptable», a commenté la ministre.

     

     

    Elle est d'autant plus exaspérée par l'impasse actuelle que le gouvernement a catégoriquement refusé de donner 10,5 M$ de l'argent des contribuables à Busac pour qu'il construise un mur-rideau à la base du mât plutôt que des hublots donnant sur l'intérieur du Stade.

     

     

    «Depuis ce refus, il ne se passe plus rien», déplore la ministre.

     

     

    Cinq ans

     

     

    C'est en mai 2001 que le gouvernement a remis 20 M$ à Busac pour les travaux de modification du mât tout en lui signant un bail emphytéotique de 99 ans.

     

     

    Sur les 20 M$ remis par Québec à Busac il y a cinq ans, 8 M$ ont été dépensés. Le mode de roulement du funiculaire a été changé pour qu'il soit moins bruyant au coût de 2,5 M$. Le reste a servi à modifier la structure de la tour, installer les cages des ascenseurs et couler deux planchers de béton dans le mât.

     

     

    Depuis, rien. Pas de travaux. Pas de locataires. Pas de revenus. Selon le bail, Québec devait toucher 1 M$ de revenus par an à compter de la cinquième année de location. Ça fait cinq ans et les travaux ne sont pas plus avancés qu'il y a trois ans.

     

     

    La ministre ne sait même pas comment elle pourrait récupérer les 12 millions restants dans le compte de banque de Busac qui appartiennent aux Québécois.

     

     

    Mme Gauthier, une avocate de formation, ne comprend pas comment le gouvernement «précédent» a pu signer un bail emphytéotique de 99 ans avec Busac, en lui refilant en plus 20 M$, sans autres exigences.

     

     

    «Je n'aurais jamais signé une telle entente», s'insurge la ministre Gauthier. Elle est d'autant plus déçue que le bail ne semble offrir aucune option au gouvernement. Le locataire aurait tous les avantages.

     

     

    Busac est une filiale du géant américain JEMB Realty, de New York.

     

     

    La location de la tour

     

    Contrat : 28 mai 2001

    Projet : 12 étages transformés en tour à bureaux

    Bail de 99 ans

     

    Engagement financier :

     

     

    - Québec : 20 millions

    - Busac : 25,4 millions

     

     

    Échéancier originel : septembre 2002

     

     

    Loyer à la RIO : 1 million par an dès 2006, pour 94 ans.*

  12. DANS Le Devoir Fabien Deglise

    Édition du samedi 18 et du dimanche 19 mars 2006

     

    UN EXTRAIT CONCERNANT LA Tour Olympique.

     

     

     

    En effet, le mat loué à Busac en 2000 afin d'y créer des espaces à bureaux ne semble toujours rien donner, même si ses premiers occupants devaient s'y pointer le nez en septembre... 2002. Avec en prime 20 millions offerts à Busac par Québec pour mener à bien ce projet.

     

    Trois ans plus tard, rien ne va plus entre l'entrepreneur et la RIO. Les travaux ont été arrêtés, histoire de régler un «imbroglio» à propos d'une fenestration.

     

    C'est que, selon les termes de l'entente, Busac se devait, dit la RIO, de changer les fenêtres du mat pour un «mur rideau» -- un mur de verre --, afin de rendre le bâtiment conforme pour accueillir ses premiers occupants. Chose dont se défend l'entreprise, une filiale de l'américain Jem Realty, qui juge plutôt que cette rénovation relève du propriétaire des lieux, soit le gouvernement du Québec.

     

    À ce jour, huit millions ont été dépensés par Busac pour la construction de deux dalles de béton. À cela s'ajoutent 2,5 millions investis pour insonoriser la dorsale de la tour afin d'éviter que le bruit du funiculaire, se rendant au sommet du bâtiment, ne se répande dans la structure.

     

    Malgré l'arrêt des travaux, les espaces à bureaux sont toutefois mis en location sur le site Web de Busac pour 24,44 $ le pied carré, taxes comprises. «Ah oui! C'est bon signe, dit M. Lépine. Cela veut peut-être dire que nous sommes sur le point d'arriver à une entente.»

  13. Scandale financier de l'îlot Voyageur - L'UQAM s'endette, Busac s'enrichit Kathleen Lévesque

    Édition du samedi 07 et du dimanche 08 juin 2008

    Mots clés : îlot Voyageur, Busac, uqAM, Déficit budgétaire, Université, Montréal, Québec (province)

     

    Depuis un an, l'université tente de défaire des liens contractuels

     

     

    Photo: Mata Hari

    L'aventure immobilière du Complexe des sciences et de l'îlot Voyageur laisse à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) un endettement qui atteindra un demi-milliard de dollars en 2012. Mauvaise gestion, manque de transparence et irrespect des instances décisionnelles ont marqué ce dossier, a conclu cette semaine le vérificateur général du Québec. Le noeud du problème fut l'îlot Voyageur, dont le développement a été confié au promoteur immobilier, Busac, qui devait en retirer une rémunération totale de 90 millions.

     

    L'entente entre Busac et l'UQAM, bien que fort complexe, se résume facilement. Comme le souligne le vérificateur général, la plupart des risques incombaient à l'université et plus le projet de l'îlot Voyageur coûtait cher, plus il devenait rentable pour Busac.

     

    Le vérificateur souligne toutefois que «Busac n'a jamais forcé la main de l'UQAM» puisque celle-ci était conseillée par des avocats du cabinet Lapointe Rosenstein ainsi que par les comptables de Samson Bélair/Deloitte & Touche. Chose certaine, entre mars et mai 2005, la rémunération prévue de Busac est passée de 57,3 millions à 90 millions, suivant l'explosion des coûts de l'îlot Voyageur.

     

    La firme Busac entre en scène dans le dossier de l'UQAM en juillet 2004. L'entreprise détenait alors une option d'achat sur les terrains convoités par l'université pour le développement de son campus. Busac refusait de céder son option d'achat et l'UQAM n'a jamais envisagé de procéder à une expropriation, une option légale qu'elle aurait pourtant pu exercer. Sans faire d'appel d'offres public et sans analyser d'autres voies à emprunter, l'UQAM s'est plongée dans un partenariat avec Busac. «Une telle façon de faire ne correspond pas à une saine pratique de gestion favorisant la meilleure utilisation possible des fonds publics», écrit le vérificateur.

     

    Les transactions pour l'acquisition des terrains illustrent cette affirmation. L'UQAM a financé Busac pour acheter des terrains qui lui seront revendus, explique-t-il. Ni le conseil d'administration de l'UQAM ni celui du réseau de l'Université du Québec n'en ont été informés.

     

    Ainsi, au printemps 2005, Busac achète les terrains pour 23,6 millions avec le cautionnement de l'UQAM qui paie également les intérêts sur l'emprunt de Busac. Puis, l'université rachète les terrains pour 33,7 millions, l'écart représentant une rémunération de 10,1 millions à Busac, ce qui couvre les risques assumés par l'entreprise (obtention de permis, corrections cadastrales, par exemple).

     

    De plus, Busac devait percevoir 6 % des frais de développement (18,2 millions) et 15 % en honoraires (34,2 millions) sur le coût total du projet, qui comprenait déjà sa rémunération de 10,1 millions. En clair, Busac recevait des commissions sur sa propre rémunération.

     

    Les honoraires de 34,2 millions étaient payables à Busac à titre d'agent de location de la tour de bureaux qui devait s'élever à l'îlot Voyageur. Il suffisait pour cela que Busac fasse «des efforts raisonnables» pour trouver des locataires, souligne le vérificateur.

     

    Quant aux terrains achetés par l'UQAM en 2006 pour développer les stationnements et les résidences étudiantes, le vérificateur note que l'université n'en devenait propriétaire qu'à la toute fin de la construction. Or les résidences étudiantes se limitent actuellement à une structure de béton, et pour les stationnements, il manque toujours une guérite à l'entrée.

     

    La rémunération de Busac ne s'arrête pas là. S'ajoutent des intérêts annuels de 6 % payables sur les «honoraires de mise en place» pour un total de 2,5 millions. Busac devait également empocher un remboursement de 25 millions en TVQ et TPS. Or ces taxes étaient déjà comprises dans le coût des immeubles en emphytéose, augmentant d'autant «les paiements de location de l'UQAM».

     

    L'UQAM a signé l'entente avec Busac en mars 2005. Depuis un an, des négociations sont entamées pour tenter de défaire ces liens contractuels.

     

    Busac est une filiale de l'entreprise américaine JEMB Reality, spécialiste de l'immobilier à New York. Installée depuis 10 ans au Québec, Busac a participé à plusieurs projets importants. Le dernier en date concerne la construction en PPP de la salle de concert de l'Orchestre symphonique de Montréal, projet pour lequel Busac fait partie d'un des deux consortiums sur la ligne de départ. La firme y est entre autres associée aux architectes Ædifica inc., qui travaillent au projet de l'îlot Voyageur.

  14. Un article de La Presse en décembre 2007 Décembre 2007, La Presse

     

    Denis Lessard

     

    La Presse

     

    Ce n'est pas la première fois que Robert Charest, le frère aîné du premier ministre Jean Charest, se retrouve au centre d'une controverse. Robert Charest qui a servi d'intermédiaire entre M. Schreiber et la campagne de son frère en 1993, avait fait les manchettes il y a cinq ans quand il travaillait pour la Société immobilière du Canada.

    Une enquête interne de la société fédérale, réalisée par Samson Bélair, avait conclu que Robert Charest avait été rétribué pour des services qui n'avaient pas été rendus, et qu'il s'était fait rembourser des dépenses fictives.

     

    Selon le rapport de Samson Bélair, M. Charest n'avait vendu que deux terrains pour la SIC, pour 6000$ de commissions, mais il avait obtenu 187 000$ d'honoraires et de remboursement de dépenses, des revenus injustifiables selon la firme de comptables. Début 2002, Radio-Canada avait rapporté que l'apport de M. Charest à la SIC faisait même l'objet de blagues à l'interne: «Il se présentait au bureau toutes les deux semaines, pour cinq minutes pour venir chercher son chèque.»

     

     

     

    Ami de Michel Couillard

     

     

     

    Robert Charest était arrivé à la SIC à l'époque où Michel Couillard en était le vice-président. M. Couillard, qui avait été congédié de la SIC en décembre 1999, avait plaidé coupable à des accusations d'abus de confiance en décembre 2001. M. Couillard, décrit par plusieurs vétérans conservateurs comme «un ami de Robert Charest», avait été suspendu puis congédié de la SIC dans le cadre d'une enquête de la GRC sur l'administration de l'ancienne base militaire de Saint-Hubert.

     

    M. Couillard avait plaidé coupable à des accusations d'abus de confiance - on l'avait blâmé pour avoir accepté qu'une écurie de Bromont efface une partie de la facture pour la pension du cheval de sa fille. M. Couillard avait diffusé une lettre manuscrite après son plaidoyer de culpabilité, qui laissait entendre que c'est le cabinet du ministre Alfonso Gagliano qui faisait pression pour que l'on conserve Robert Charest comme employé. Mais son patron, le président de la SIC, Erhard Buccholz, avait déclaré ne jamais avoir vu cette missive. Cette lettre visait surtout une longue liste d'amis politiques du ministre Gagliano, que M. Couillard aurait été forcé d'embaucher à la Société immobilière du Canada.

     

    M. Couillard n'a pas répondu aux appels faits chez Busac, le promoteur immobilier qu'il dirige aujourd'hui.

     

     

     

    Campagne Charest

     

     

     

    Interrogé par La Presse hier en fin de journée, le premier ministre Jean Charest disait ne pas se souvenir que M. Couillard ait contribué à sa campagne de 1993, mais plusieurs membres de sa garde rapprochée à l'époque ont reconnu que M. Couillard était un acteur important pour le PC Fund au Québec sous Brian Mulroney. M. Couillard par la suite avait beaucoup travaillé au financement de la campagne Charest en 1993.

     

    On retrouve aujourd'hui M. Couillard à la tête de Busac, le promoteur immobilier associé à l'Université du Québec à Montréal dans la coûteuse aventure de l'îlot Voyageur - un contrat extrêmement favorable à Busac, a-t-on constaté. Busac fait aussi partie des firmes qui se sont montrées intéressées aux partenariats public-privé lancés par Québec - pour la réalisation de la salle de l'Orchestre symphonique de Montréal par exemple, en janvier dernier.

     

    En 2005, Michel Couillard y allait d'une contribution maximale au Parti libéral du Québec, soit 3000$, tandis que son vice-président au développement des affaires, Michael Seaman, y allait d'une contribution de 2000$.

     

    Robert Charest, qui habite la rue Upper Belmont à Westmount, n'a pas davantage répondu aux appels de La Presse.

     

    Dans les cercles libéraux, on explique que Jean Charest n'a jamais poussé pour que son frère joue un rôle d'avant-plan au PC ou au PLQ. Bien que les relations soient bonnes entre les deux frères, le premier ministre, sans l'exprimer verbalement, n'a jamais été favorable à ce que son frère participe de trop près aux activités du PLQ. Mais encore récemment Robert Charest est venu à la période des questions à l'Assemblée nationale.

  15. On peut lire ce rapport à propos de la gestion interne de l'université; mais ce sera beaucoup plus intéressant de lire à propos des liens contractuels avec le promoteur privé....Bus....ac et des liens de ces derniers avec certains personnages publiques.

    P.S. M Couillard de Bus...ac ne serait pas parent avec Julie du même nom, ouf/LOL !

  16. Mauvaise nouvelle... en comparant la photo et le rendu, je crois que le Simpson aura 12 etages en fin de compte. 1 de moins que sur le rendu :(
    Lepine bought the lot in 2004 and initially approached the city in December 2004 for permission to build a 13-storey, 40-unit luxury condominium building. That plan was rejected. So were his three other modifications until the last one - the 12-storey, 36-unit building - was approved.
  17. | Le 02 Juin 2008

    LM Sauvé restaurera l'hôtel de ville de Montréal, sous vos yeux!

     

    La corporation de maçonnerie canadienne L.M. Sauvé et la société Madigan Communications ont décidé d'unir leurs forces dans la réalisation des travaux de réfection des toitures de cuivre de l'édifice abritant l'hôtel de ville de Montréal, situé au 275, Notre-Dame Est. Les travaux d'une valeur de 10,670,121 $ vont commencer sur la façade Nord du siège de la démocratie publique montréalaise et doivent s'échelonner sur une période maximale de trois (3) ans.

     

    Le remplacement des imposantes toitures de cuivre de l'hôtel de ville de la métropole était rendu nécessaire, après plus de 80 ans de vie utile, et se justifie, aux yeux de l'administration municipale, par la grande valeur

    patrimoniale de l'édifice situé au coeur de l'arrondissement historique du

    Vieux-Montréal. La réparation des toitures, des combles, du campanile au

    sommet du pavillon central et tous les travaux de maçonnerie seront effectués

    dans le plus grand respect des éléments d'origine et en parfaite harmonie avec

    l'architecture monumentale victorienne du centre nerveux de l'administration.

     

    "C'est à la fois un honneur, un défi et une grande responsabilité pour nous de

    mettre à la disposition du siège de la démocratie municipale notre expertise

    en matière de réhabilitation du patrimoine et de concepts d'affichage dans le

    but de faire de ces travaux de restauration un franc succès et de redonner

    tout le lustre à ce joyau du patrimoine architectural montréalais et de notre

    histoire collective", de déclarer Paul Sauvé, Président et chef de la

    direction de L.M. Sauvé.

     

    Le concept d'affichage, mis au point par Madigan pour L.M. Sauvé, propose

    d'habiller de manière très élégante les façades des bâtiments en rénovation à

    l'aide de magnifiques affiches géantes, tout en faisant disparaître du paysage

    les affreux filets verts de sécurité traditionnels dressés aux abords des

    chantiers de rénovation.

     

     

     

     

    Les toiles de recouvrement de Madigan, solidement fixées aux échafaudages tubulaires de L.M. Sauvé, permettent non seulement aux ouvriers d'exécuter leur travail en toute quiétude et aux piétons de circuler en sécurité, mais, en plus, elles offrent un coup d'oeil saisissant en éliminant la pollution visuelle et en contribuant à l'embellissement du paysage urbain. Au plan visuel, les Montréalais et les visiteurs n'auront pas à souffrir de ces rénovations, même qu'il y a fort à parier que ces travaux de restauration, aussi importants soient-ils, vont passer presque totalement inaperçus. "Par cette décision, Montréal donne le ton et fait son entrée par la grande porte au sein du très sélect club des métropoles du monde qui pensent à la fois à la restauration du patrimoine

    architectural et à l'esthétisme. Pensez à Time Square à New York, Paris,

    Prague et Beijing ! Imaginez maintenant toutes les applications possibles d'un

    concept aussi novateur que celui-là. Montréal vient d'accorder un vote de

    confiance en faveur de l'innovation et l'embellissement urbain et ça c'est une

    très bonne nouvelle pour tous les Montréalais et pour tous les visiteurs"", a

    précisé Jean Claude Henri, Président et chef de la direction de Madigan.

     

    Reconnue à travers le Canada pour ses impressionnants travaux de maçonnerie effectués à l'église unie Saint-James, à la cathédrale Christ

    Church, aux sièges sociaux de Bell Canada et Quebecor, aux magasins

    Archambault Musique et à La Baie à Montréal, Toronto et Vancouver, L. M. Sauvé cherchait un autre moyen d'innover et de se distinguer de la concurrence. "Des filets de sécurité pour recouvrir des échafaudages, tout le monde peut en installer, mais des filets qui épousent parfaitement le visage de l'édifice en rénovation, qui deviennent tout d'un coup d'immenses supports visuels publics et qui se transforment, dans certains cas, en véritables petits chefs-d'oeuvre artistiques, ça personne d'autres peut offrir une telle visibilité. C'est là où l'alliance stratégique avec Madigan revêt tout son sens", de conclure

    Messieurs Sauvé et Henri.

     

    En terminant, rappelons que les enseignes colossales de Madigan, dont

    certaines comme celle accrochée à la façade du magasin La Baie de Montréal

    l'hiver dernier, atteignent 20,000 pieds carrés et constituent les plus

    spectaculaires panneaux publicitaires statiques au coeurs des centres-villes

    de toute l'industrie de l'affichage extérieur au Canada.

  18. | Le 02 Juin 2008

    Les commerçants du centre-ville pourront ouvrir jusqu'à 21h00 samedi et dimanche pour le Grand Prix de Formule Un

     

    Exceptionnellement, les commerçants du centre-ville de Montréal seront autorisés à ouvrir leurs portes jusqu'à 21h00 samedi et dimanche, 7 et 8 juin 2008, à l'occasion du week-end du Grand Prix du Canada.

     

    Tous les commerçants du centre-ville situés à l'intérieur du périmètre des rues Atwater, Saint-Antoine, Saint-Urbain et Sherbrooke sont visés par cette autorisation. En fait, ce périmètre correspond au territoire de la SDC

    Destination centre-ville et c'est dans cette zone que se retrouve la grande

    majorité des plus importants hôtels de Montréal qui accueillent les touristes

    lors du Grand Prix.

    Source ( Le Pied Carré, 2 juin 2008)

     

    Le Ministère du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation acquiesce ainsi à une demande qui avait été présentée par Destination centre-ville. Rappelons que la Loi sur les heures et les jours d'admission dans les établissements commerciaux permet au Ministère d'autoriser l'ouverture de certains commerces dans un territoire donné lorsque des circonstances particulières sont invoquées ou lors d'événements spéciaux.

     

    Le week-end annuel du Grand prix du Canada est considéré comme étant le plus important en matière de retombées économiques pour de très nombreuses

    places d'affaires situées au centre-ville. Durant ce week-end, les commerces

    doivent normalement fermer leurs portes à 17h00 le samedi et le dimanche.

    Selon André Poulin, directeur général de Destination centre-ville, "Les

    commerçants se voyaient ainsi très souvent contraints de fermer leurs portes à

    un moment où les commerces sont généralement encore bondés de consommateurs et de touristes, se privant ainsi de revenus considérables. L'autorisation d'ouvrir jusqu'à 21h00 samedi et dimanche permettra de pallier à ce problème et de maximiser les retombées économiques reliées au week-end du Grand Prix du Canada."

  19. Le CARRÉ MÉTRO-URBAIN, une tour à bureaux de prestige, avec une superficie de 90 000 pieds carrés, se dressera sur le côté Nord du Boulevard Crémazie, entre les rues Clark et St-Urbain. Cet édifice certifié LEED accueillera ses premiers occupants à l’automne 2009;

     

    il comptera 8 étages, un garage souterrain avec 167 places de stationnement, deux ascenseurs, des finitions de grande qualité, des options d’identification corporative, un toit en terrasse et des points de vue spectaculaires.

    Source; Le Pied Carré, le 2 juin, 2008

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