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Né entre les rapides

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Messages posté(e)s par Né entre les rapides

  1. il y a une heure, Rocco a dit :

    Le dernier 200m en construction pour un méchant boutte. Profitez-en.

    Profiter de quoi?  -- Est-ce que le 200m a meilleur goût?

    Il n'y a pas que ça qu'il faudra surveiller.  La liste des enjeux  associés à l'urbanisme, à l'architecture, au tempo de l'industrie de la construction, la crise du logement, l'environnement, les projets de TEC lourd (dont la finalisation du REM 1.0, la progression du prolongement de la ligne bleue et une décision pour une alternative au défunt projet de REM de l'Est), les tentatives de maitrise de l'inflation et ses effets, l'immigration, l'économie en général etc. , cette liste dis-je est très longue, et la question du 200m passera presque  inaperçue. 

     

    il y a 24 minutes, Rocco a dit :

    Ce n'est pas une administration municipale quelle qu'elle soit qui dicte les projets mais bien l'économie mondiale. Et celle-ci s'en va direct dans le mur. Accrochez-vous.

    rollercoaster.jpg

    Vrai, mais l'épaisseur du mur n'est pas de la même épaisseur pour tout le monde, et c'est pourquoi j'ai commencé à me pencher sur l'après.  A plusieurs égards, il m'apparaît que le Canada y compris le Québec, de même que les USA, s'en sortiront bien mieux que d'autres; la relativité compte autant que l'absolu.  Dans le monde d'après-demain, certains avantages comparatifs existants ou prévisibles auront pris de l'importance.  Il restera à voit comment la future phase d'expansion se manifestera.  En particulier pour les sujets qui nous interpellent sur ce forum, je serai intéressé de découvrir comment le centre-ville de Montréal évoluera et la place qu'il occupera dans l'ensemble de la RMR et du Québec tout entier.    

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  2. Le 2021-09-29 à 00:48, SameGuy a dit :

    Oh the parc est caché.

     

    Il y a 3 heures, Brick a dit :

    Avec le Bass 4 derrière

    DSC_7099.JPG

     

    il y a 30 minutes, MIRCEA SILAGHI a dit :

    C est beau le parc !!!

     

     

    il y a 2 minutes, Brick a dit :

    Magnifique!

    Le parc loge présentement dans notre imagination.  Pour le voir maintenant, il suffit de fermer les yeux.😀

    p.s. Dans un message précédent, @Roccoa eu raison de souligner que la vue sera préservée.  C'est une leçon à retenir (si on ne le savait pas): il suffit d'un dégagement (l'absence d'obstacles verticaux sur une bonne distance)  pour apercevoir les proéminences (comme des tours comparativement élevées) qui s'élèvent au loin.  

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  3. Il y a 2 heures, Ti-Pierre a dit :

    Boulevard St-Laurent avril 1959 le monument National et maintenant

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    Dans plusieurs avant-après, on remarque l'évolution de la place prise dans le paysage urbain  par l'automobile et ce qui l'accompagne  -- stationnements, routes et rues: très peu avant 1920, visible jusqu'à l'après-guerre, en forte croissance depuis à partir des années 1950 avec surtout dans les années 1960-70 à Montréal une orgie de démolitions pour faire place à des stationnements en surface.  Plus récemment on observe un retour du balancier: 1) les terrains qui avaient servi de stationnement sont reconstruits, souvent avec immeubles de bien plus grande hauteur que ceux qui avaient été précédemment démolis; et 2) les rues sont rétrécies, pour accueillir des pistes cyclables, des trottoirs plus larges et des bandes de verdure.    

    Dans un autre ordre d'idées, les photos d'archives des années de la mi-1950 à la mi-1960 sont les plus faciles pour moi quand il d'agit d'Identifier avec certitude l'année la plus hâtive (i.e. pas avant l'année x) où une photo a été prise: il suffit d'apercevoir, parmi les automobiles qui faisaient souvent partie du décor de cette époque, celle du modèle le plus récent figurant sur la photo, puisque les carrosseries* changeaient radicalement d'apparence à chaque année.  Aujourd'hui il y a globalement beaucoup plus de voitures en circulation, mais leur apparence est beaucoup moins distinctive d'une année à l'autre.  Dans tous les cas, surtout pour les photos plus récentes ou plus anciennes, merci d'indiquer l'année; la saison (été ou hiver ou entre-deux) est toujours plus facile à identifier, grâce à nos "quatre" saisons! 

    * Evidemment, on parle des voitures de marques américaines, qui prédominaient.

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  4. Il y a 1 heure, Rocco a dit :

    L'Îlot Rosemont se profile. (Et la tour brune de Radio-Can sans le fameux logo)

    20220923_233332.jpg

    Jolie photo, qui met en évidence la canopée (moitié inférieure de la photo) dans le centre-est de Montréal, pas si défavorisé après tout!

    Si on voulait 514 îlots, il en faudrait un en moyenne par 0,84 kilomètre carré.  Montréal en a déjà quelques-uns, mais ça en prendrait bien davantage.  Quels pourraient être les prochains?

    • Like 1
  5. il y a 35 minutes, Rocco a dit :

    Avez-vous déjà vu une autoroute aussi tortueuse?

    20220923_233156.jpg

    Ce n'est pas son principal problème, et il est temporaire, pas permanent.  Son principal problème actuel, c'est d'être une course à obstacles, avec des transferts de voies qui imposent des ralentissements importants.  Mais ce n'est encore rien en comparaison de la situation qui prévaudra à partir de novembre, pour longtemps, quand seulement 2+1 voies seront disponibles pour accommoder les déplacements dans les deux directions combinées. 

    Une route ou une autoroute peut être tortueuse sur son tracé général sans  comporter de courbes raides forçant des ralentissements.  Un bon exemple est l'autoroute ontarienne 417, d'Ottawa à la frontière québécoise: ça été fait délibérément (pas pour contourner des obstacles), mais pour briser la monotonie des longues lignes droites, dont l'A-20 entre Boucherville et Lévis est un exemple classique, avec son unique courbe conséquente à Drummondville.  A Montréal, l'A-15 entre l'échangeur Turcot et l'IDS a une forme en "S",  mais ça ne cause pas de problèmes.  L'autoroute des Laurentides elle aussi est tortueuse entre Saint-Sauveur et Sainte-Agathe, mais on ne voit même pas ça comme un défaut.  Idem pour un court segment de l'autoroute Robert-Bourassa (A-740 à Québec) entre le bas de Sainte-Foy et le boulevard Hamel.

    Je préfère onduler à bonne vitesse plutôt que d'entrer à pas de tortue dans un entonnoir.  Ta tortue est là!  Et sais-tu qu'une tortue luth se déplace à la vitesse de 35km/h, bien mieux qu'un véhicule à l'approche du tunnel Lafontaine aux heures de pointe qui s'allongent.

    • D'accord 1
  6. Il y a 5 heures, KOOL a dit :

    J'essaie encore de comprendre pourquoi un immense quartier tout neuf laisse en place des poteaux électriques d'un autre siècle ? O.oO.oO.o

    Une tentative d'explication:  parce que ce n'est pas encore totalement (loin de là) un quartier tout neuf.  Comme on sait, la construction des nouveaux immeubles dans GFT se fait à la pièce, par ci par là, au gré du lancement épisodique des projets de promoteurs différents, sur des parcelles appartenant à des propriétaires eux aussi différents, qui ne les cèdent pas en bloc mais au plus offrant du moment.

    Conséquence: les rues, trottoirs et infrastructures électriques ne peuvent pas raisonnablement être remplacés avant que tous (ou au minimum la plupart) des nouveaux immeubles projetés ne soient complétés.

    Les choses ne se passent pas comme si le territoire de GFT en entier avait été préalablement rasé (à l'exception des immeubles anciens qu'on voulait préserver), et que la séquence des travaux de reconstruction avait été savamment planifiée et orchestrée.   

    Pour fins de comparaison, je me plais à parler de la reconstruction du quartier Yaletown à Vancouver, une ville où je me rendais fréquemment à l'époque par affaires et où mes moments libres étaient largement consacrés à l'exploration urbaine.  Là-bas, j'ai appris qu'une bonne dose de planification avait été réalisée au préalable, et que des lignes directrices  assez précises avaient été promulguées.  Mais dans mes premières visites, j'étais néanmoins étonné d'observer la construction d'immeubles en hauteur tout juste à côté de masures.  Par contre, le résultat (presque) final, un peu plus tard, m'est apparu fort intéressant.  Je dois souligner que je n'ai pas souvenir d'y avoir vu à aucun moment la présence d'Infrastructures urbaines (rues etc.) aussi délabrées que celles qu'on voit encore à GFT.   

    • Like 2
  7. il y a 5 minutes, ToxiK a dit :

    Il n'y a peut-être pas tant de choses iconique à Montréal, mais on compense avec le nombre de choses coniques (et oranges)...

    :silly::eek2:

    J'adore.  Mais si on y avait pensé avant, on aurait apprécié la valeur des choses coniques et on se serait abstenu de les décrier.  Vite vite! que ta perspective soit diffusée partout en ville, tout le monde sera soudainement plus heureux.   

  8. Il y a 19 heures, Rocco a dit :

    Pas mal pour un "vieil" hôtel. Dire qu'ils ont transformé l'ancien Le Grand/Delta en résidence étudiante cheap, alors qu'ils auraient pu le revamper. Le tout à quelques pas de Griffintown et du quartier international. Ahurissant.

    Probablement parce qu'au moment où la transformation a été faite, la demande hotellière était faiblarde à Montréal. En rétrospective, ça semble avoir été un manque de vision.  Au mois la structure est encore utile et comble un autre besoin criant.    

    • D'accord 2
  9. Il y a 3 heures, acpnc a dit :

    À ses yeux, le « pacte vert » de 2 milliards demandé par les municipalités, auquel François Legault a fermé la porte avant de la rouvrir, est « la base ». « On ne peut pas juste se fier aux taxes foncières des gens. Si on augmentait de façon majeure les taxes de l’eau, les gens voudraient nous assassiner », évoque-t-elle, ajoutant qu’il est « logique », avec la hausse des revenus de taxation du gouvernement en raison de l’inflation, qu’une part de cet argent « revienne aux villes ».

    (ci-dessus un extrait de l'article dans LaPresse cité par acpnc)

    L'analyse des besoins et les pistes de solution envisagées (dans l'article complet) sont valides, mais à titre de contribuable je me demande quelle différence cela ferait si mes taxes foncières devaient passer de 5000$ à 6000$ (et c'est souvent  beaucoup plus pour la plupart des nouvelles constructions), plutôt que de voir mon impôt combiné (fédéral et provincial) sur le revenu passer de 50000$ à 51000$ ?  -- Dans les deux cas ma capacité de payer est interpellée.  Doit-on aussi considérer  l'autre critère, l'équité?  -- Je pense que oui, mais il faudrait voir comment.   

  10. Il y a 10 heures, mtlurb a dit :

    Pour @Rocco ça ;)

    Montréal Ramassez-vous ! Notre ville n’est pas votre dépotoir

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

    Les cônes orange sont légion à Montréal.

    Entrepreneurs, donneurs d’ordres dans l’espace public et responsables de chantiers, je vous lance un cri du cœur : RAMASSEZ-VOUS ! Ma ville, notre métropole, porte d’entrée au Québec et au Canada n’est pas un dépotoir.

    Publié à 15h00

    Yves Lalumière Président-directeur général de Tourisme Montréal

    Le nombre de chantiers à Montréal confirme la vitalité économique de notre métropole. Il est donc parfaitement compréhensible de voir les panneaux de signalisation indiquer les détours et les cônes orange annoncer la présence de chantiers. Ils ont pour mission capitale d’assurer la sécurité des ouvriers et de la population. C’est donc avec enthousiasme que je m’associe à cette vague de renouveau visant à entretenir, à moderniser, voire à reconstruire notre métropole.

    Là où je me dissocie toutefois, c’est lorsque je constate, une fois les chantiers terminés, des régiments de cônes abandonnés et des armées de panneaux de signalisation qui, à défaut d’être utiles, jonchent nos trottoirs, gênant ainsi la circulation des passants.

    Cette pratique négligente doit cesser !

    La Ville de Montréal gère près de 25 % des chantiers de la métropole et fait beaucoup d’efforts pour assurer la fluidité des déplacements, la qualité des chantiers et la responsabilisation des donneurs d’ouvrage. Malgré tout, les délinquants sont pléthores et leur laisser-aller constitue à mes yeux un véritable affront à notre ville, à son administration, à ses citoyens et aux visiteurs qui affluent des quatre coins du monde.

    Les entrepreneurs privés, en partie responsables des chantiers, doivent fournir leur part. 

    Le domaine public ne peut servir de lieu d’entreposage pour les bollards, les cônes, les panneaux, ou même les barrières entre deux chantiers. Cette pratique touche lourdement la circulation des piétons, cyclistes et automobilistes.

    Ces négligences inadmissibles n’agissent pas seulement comme une pollution visuelle, ils défigurent littéralement notre centre-ville. Ainsi, à défaut de pouvoir profiter librement des charmes de notre ville, concitoyens et visiteurs sont contraints à une expérience dégradante qui consiste à se méfier constamment des obstacles encombrant leur route, et ce, pratiquement à chaque coin de rue.

    Ce n’est pas tout. Une autre réalité mérite d’être remise en question.

    Sécuriser convenablement les chantiers de notre métropole est évidemment non négociable, mais serait-ce trop vous demander, chers fonctionnaires du ministère des Transports du Québec, que d’imaginer une proposition différente de celle créant sur nos boulevards urbains des corridors de cônes orange ? Vous avez la responsabilité d’établir les règles pour assurer la sécurité des chantiers, mais ces règles devraient être adaptées aux milieux urbains denses comme Montréal, ville UNESCO de design.

    Au Québec, nous sommes reconnus internationalement pour notre créativité. Ainsi, je suis convaincu que vous saurez nous faire profiter de solutions innovantes pour un meilleur encadrement de nos chantiers qui assurera tant la sécurité des travailleurs que le respect de notre paysage urbain.

    Chers entrepreneurs, donneurs d’ordres dans l’espace public et responsables de chantiers, chez Tourisme Montréal, nous travaillons d’arrache-pied pour attirer les visiteurs et faire rayonner la métropole, partout dans le monde. Vous travaillez dur, vous aussi, à réparer, à construire et à améliorer notre ville qui attire chaque année des millions de touristes. La ville de Montréal est belle lorsqu’on collabore ; marchons dans la même direction.

    Je vous le demande humblement, mais fermement : s’il vous plaît, ramassez-vous !

    Qu'en pensez-vous? Exprimez votre opinion

    https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2022-09-21/montreal/ramassez-vous-notre-ville-n-est-pas-votre-depotoir.php

    Je veux bien que les entrepreneurs '"se ramassent" quand un projet/contrat est terminé, mais il y a un autre problème au moins sinon plus important: il y a clairement un nombre important de chantiers en cours à Montréal, mais trop souvent les travaux avancent beaucoup plus lentement que ce à quoi on devrait s'attendre.  Un chantier est amorcé, puis les travaux sont interrompus, puis reprennent un peu plus tard, etc.  Dans d'autres cas, un projet avance un petit bout à la fois, alors qu'il pourrait être scindé en plusieurs parties (si possible avec le même entrepreneur), et les travaux se poursuivraient simultanément sur tous les segments, au lieu de travailler d'abord sur le premier, puis le deuxième, etc. jusqu'au dernier.  Un contrat complété beaucoup plus rapidement permettrait à l'entrepreneur de passer à autre chose.   Mais si le contrat pour le projet entier est confié à un trop petit entrepreneur (peu d'employés et d'équipements), c'est inévitable que les délais soient très longs.  Multipliez par cent ou par mille, et vous avec une ville encombrée en permanence.  En deux mots, adressés aux donneurs d'ordre (villes, province et autres): exigez des délais plus courts: les petits ne pourront pas soumissionner, à moins qu'ils ne se regroupent;  et les grands acquerront des équipements plus performants..  Le travail "au pic et à la pelle" c'est révolu.  Les tits contrats pour faire plaisir à tout le monde c'est fini aussi.     

    Au lieu d'être impressionné par le (grand) nombre de chantiers en cours, je le serais par le nombre de chantiers terminés dans des délais normaux. Trop de mini chantiers à la fois ne m'apparaît pas comme un signe de vitalité, mais d'éparpillement des efforts.  On s'active partout, mais les résultats tardent.  Une vieille expression encore en usage  parle de la personne qui "court comme un poulet (ou une poule) sans tête", c'est-à-dire dans toutes les directions sans objectif précis.  Ne faites pas semblant de bouger quand vous n'avez pas les moyens de vous rendre à bon port; restez immobiles, jusqu'au moment où vous serez véritablement  prêts à partir. Ça fera moins de poussière, moins de cônes oranges et moins de voies publiques (trottoirs et rues) "temporairement" bloquées ou inutilisables

    • D'accord 1
  11. il y a 42 minutes, mtlurb a dit :

    Très peu d’emplois au centre de données. Mais beaucoup d’emplois en satellite. 
     

    Avoir un centre de données dans ta localité crée beaucoup d’opportunités d’affaires et en ricochet des emplois. 

    C'est très concevable, mais y a-t-il déjà des effets concrets à Lévis avec la première phase, ou faudra t-il attendre encore un peu?

  12. il y a 12 minutes, Normand Hamel a dit :

    Par contre ce sont des emplois de qualité et très bien rémunérés.

    Tant que nous sommes en surplus ces ventes d'électricité rapportent de l'argent au gouvernement et cela servira à terme au remboursement de la dette. En attendant cet argent fructifie dans le Fonds des générations.

    Historiquement cela a toujours été le cas. À l'époque le projet de la Baie James avait coûté extrêmement cher à cause de l'inflation et aujourd'hui cette électricité est considérée comme une aubaine et vendue avec de fortes marges. Par exemple dans le contrat avec New York il est prévu que le tarif augmentera dans le temps, et sur 20 ans cela devrait rapporter plus de 30 milliards de dollars au Québec.

    Ce qu'il faut comprendre c'est que en même temps que les coûts augmentent les tarifs augmentent eux aussi. Ce qui fait que l'on pourrait construire un barrage aujourd'hui à disons 10$ le MW et le vendre à plus de 30$ le MW dans quelques années.

    Hydro-Québec dispose d'équipes d'experts qui font de savants calculs qui leur permettent de faire sur le long terme des projections coûts/bénéfices de différents projets. Ils sont d'ailleurs parmi les meilleurs au monde dans cet exercice. Ils disposent entre autres du plus gros parquet d'échanges à court terme en Amérique du Nord avec une équipe de plus de 50 personnes qui scrutent quotidiennement en direct l'évolution des marchés de l'énergie.

    Troisième point: tu me rassures.

  13. Il y a 1 heure, Normand Hamel a dit :

    Au total, huit phases sont prévues à Lévis, ce qui devrait permettre la création d’au moins 200 emplois. Le dirigeant de QScale n’a pas nommé de clients, mais en coulisses, les choses avancent. 

    (ci-dessus un court extrait de l'article complet)

    C'est donc assez peu d'emplois au total.  Quels sont les autres avantages pour le Québec?  Et quelles sont les implications pour le bilan énergétique du Québec?  Je note que le coût marginal de l'augmentation (e.g. avec de nouvelles centrales) de la capacité de production d'électricité est sensiblement supérieur au coût moyen dérivé de l'ensemble des installations existantes.    

  14. Il y a 19 heures, daniel_88 a dit :

    On peut encore lire sur facebook:

    Il n'y aura qu'un, 1 Square Phillips. Découvrez la tour résidentielle la plus haute à Montréal!,

    Comme quoi il faut être prêt à toute éventualité lorsqu'on achète une unité de condo, de nos jours, à preuve cette phase 2 🙂

     

    Moi ce qui suscite le plus mon interrogation dans ce type de prétention (la plus haute tour) qui s'adresse présumément aux acheteurs potentiels, c'est que ce ne seront pas tous les futurs occupants qui pourront profiter des vues exceptionnelles à partir des étages supérieurs.  Si je me vante d'habiter dans la plus haute tour de xyz, bien discernable à l'horizon, j'impressionne la galerie, jusqu'au moment où je précise "au 15e étage".  Ah bon.  

    Le 1, Square Phillips aura incontestablement un impact sur le skyline.  Il peut (ou pas) contribuer à améliorer l'apparence de ce secteur de la ville, de près (i.e. à partir du Square Phillips proprement dit) et de plus loin.  Mais est-ce un avantage suffisant pour ceux qui occuperont les étages résidentiels inférieurs?   Le prix pourra être à l'avenant (plus bas), mais alors ce seront les avantages associés au site (la proximité de nombreux attraits) qui primeront.  Le marketing doit être plus différencié, ne pas mettre exclusivement l'emphase sur la hauteur.  

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  15. il y a une heure, KOOL a dit :

    Puisqu'on parle Big Mac, c'est le meilleur index/richesse au monde : https://www.worldatlas.com/articles/the-world-s-most-expensive-countries-measured-by-the-big-mac-index.html

    ... au moins à Genève et Lausanne on peut commander une Feldschlösschen avec son burger. :cool:

    Pour revenir au 1050, il risque de devenir le baromètre de la reprise de la construction de tours à condos' du centre-ville... ce n'est malheureusement pas pour demain matin. 😢 

     

    Je vais commencer par la fin et probablement le plus important, i.e. concernant le 1050: je devine (parce que je n'en sais pas plus) que les ventes sont au ralenti.  Est-ce le cas?  Autrement, quels autres indices propres à ce projet?

     Pour le Big Mac, son rôle de meilleur index/richesse au monde est bien connu, mais je trouve ça malheureux.  Quant à la Feldschlösschen, brassée en Argovie, un canton suisse germanophone, j'étais curieux de voir s'il y avait une relation avec une brasserie et une bière du même nom*, établie à Dresde en Allemagne.  Il appert que non, leurs histoires respectives sont (semblent) distinctes, sauf que la danoise Carlsberg avait fait séparément l'acquisition de l'une et l'autre (elle s'est subséquemment départie de l'allemande mais conserve la suisse).  Je trouve que c'est super de pouvoir prendre une bière avec un hamburger dans un établissement McDonald; les Suisses seraient donc moins puritains que l'on croit!   En tout cas, prendre une bière au Centre Bell avant d'aller ingurgiter un Big Mac de l'autre côté de la rue, c'est le monde à l'envers, on boit quoi pour le faire passer?   -- Sauf que c'est peut-être intentionnel: après avoir consommé trop de bière hors de prix au Centre Bell, on va se dessouler chez McDonald 😆.

    * Je peux rarement me passer d'un appel de note en astérisque, c'est une vraie manie. 1) En creusant un peu,  on peut imaginer avoir fait une "découverte" : le nom (qui se traduit approximativement par " Petit château dans les champs")  est assez représentatif des paysages de l'Argovie, et peut s'appliquer aussi  au territoire entre Dresde en remontant l'Elbe vers la frontière tchèque: on arrive dans la "Suisse saxonne"  (Sächsische Schweiz), un nom évocateur de romantisme, quoi de mieux pour un nom de bière!  2) Je note aussi que l'épellation suisse prend les deux "s", tandis que l'allemande a encore recours à l'Eszett, l'équivalent de "ss", bien que son usage se raréfie, tout comme le recours au tréma sur le a, le o et le u pour modifier les sons; de plus en plus, on fait ae, oe et ue.  Je n'ai pas l'Eszett sur mon clavier français/anglais; ça ressemble au bêta minuscule.  3) Sirotez votre dernière bière en lisant ce texte, ce sera moins pénible!

     

    • Thanks 1
  16. Il y a 5 heures, Rocco a dit :

    Barrage hydro-électrique près de la Costa del Sol en Espagne. Ça va donner des frissons de joie à François Legault.

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    Méchant!  Il ne pas se réjouir des malheurs de son prochain.  Ça pourrait lui (nous) arriver aussi (la sécheresse) et alors nous serions dans de beaux draps, car nous dépendons bien plus de l'hydroélectricité.

  17. Il y a 1 heure, KOOL a dit :

    Pourquoi pas un trio Big Mac à 10 dollars après avoir payé une petite bière en fût le même prix au Centre Bell ? 

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    Génial!  J'adore ce type de réplique.  Si je montrais ce graphique à mon martien, il conclurait que la ville représentée par le sigle CH est la plus riche de toutes, puis ça lui donnerait une idée: calculer la corrélation entre les prix relatifs affichés et le revenu net per capita en PPA.  Je lui dirais qu'il devrait s'attendre à une surprise.   🤣

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  18. Il y a 3 heures, Rocco a dit :

    Ce qui est criminel c'est d'avoir attendu 30 ans avant de redévelopper ce lot qui était auparavant un STATIONNEMENT ÉTAGÉ EN BÉTON. 

    30 ans en terrain vague c'est 30 fois trop en effet.  Mais si le propriétaire de ce stationnement étagé en béton, ou bien le premier acquéreur du site avant ou après la démolition n'a pas reconstruit tout de suite, c'est sans doute parce qu'il y a eu des complications.  Lesquelles et à qui la faute? 

  19. il y a 8 minutes, Monsieur_MA a dit :

    J'arrive de Paris. J'ai constaté que le métro est rendu propre et rénové partout où je suis passé.
    Des rames sont maintenant automatisées avec des portes palières.
    C'est vrai que les olympiques qui auront lieu prochainement ont peut-être servi de motivation pour le grand ménage.

    Quel événement pourrait-on avoir comme motivation ici pour le grand ménage du nôtre?

    Peut-être un nouveau maire en 2025!  D'ici là on ramasse nos sous.  Je sais que la STM est distincte, mais en pratique...

    Ou bien, si on est plus pressé, et qu'on réussit à obtenir des fonds supplémentaires du nouveau gouvernement du Québec: préparer la célébration du 300 ième anniversaire du Plan de Montréal de 1723.

    • Haha 1
  20. Il y a 2 heures, Rocco a dit :

    Ce livre sera-t-il disponible à la Grande Bibliothèque?

    Ça prendrait plus d'un exemplaire, sinon la liste d'attente sera longue.  Eventuellement on devrait passer à la numérisation, quitte à imposer des frais (moindres que le prix du livre-papier quand même).  L'auteur serait rémunéré correctement pour son œuvre.  La diffusion serait plus grande et plus rapide.  

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