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Atze

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Messages posté(e)s par Atze

  1. Projet vraiment intéressant qu'on a pas beaucoup couvert. J'espère que je n'ai pas trop mélangé les phases dans mes descriptifs, je n'arrive plus à trouver le plan avec toutes les phases, sur le site de Prével, il n'y a que celles en construction:

     

    Phase VI:

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3839&g2_serialNumber=2

     

     

    Phase II (gauche) & Pase VI (droite):

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3854&g2_serialNumber=2

     

     

    Phase V:

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3845&g2_serialNumber=2

     

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3842&g2_serialNumber=2

     

     

    Phases II et V:

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3848&g2_serialNumber=2

     

     

    Phases II - I - IV(rouge):

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3851&g2_serialNumber=2

     

     

    Cour intérieure, phases I - II - III:

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3857&g2_serialNumber=2

     

     

    Cour intérieure, phase III - IV - I:

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3860&g2_serialNumber=2

     

     

    Phases I - IV (rouge):

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3863&g2_serialNumber=2

     

     

    Futur gym(le petit édifice entre les deux) et phase VI (le cube en verre à l'avant plan, je ne sais pas s'il fait parti du projet:

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3866&g2_serialNumber=2

     

     

    Phase III:

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=3869&g2_serialNumber=2

  2. En bref - L'architecte Arthur Erickson est mort

     

    La Presse canadienne

    Édition du vendredi 22 mai 2009

     

    Mots clés : Arthur Erickson, architecte, Décès, Culture, Canada (Pays)

     

    Vancouver -- L'architecte canadien de renommée internationale Arthur Erickson est mort à l'âge de 84 ans.

     

    M. Erickson, qui avait été choisi personnellement par l'ancien premier ministre Pierre Trudeau pour concevoir l'ambassade du Canada à Washington, est mort mercredi à Vancouver entouré de sa famille et d'amis venus de partout dans le monde, a précisé son neveu. Le travail d'architecte de M. Erickson a d'abord été acclamé à l'étranger pour sa conception de l'Université Simon-Fraser, en Colombie-Britannique, pour laquelle il a d'ailleurs été récompensé. Ses oeuvres se sont par la suite rapidement répandues à l'échelle mondiale. Outre ce projet, M. Erickson a également imaginé la California Plaza à Los Angeles, le Napp Laboratories à Cambridge, le Kuwait Oil Sector Complex, etc.

     

     

    http://www.ledevoir.com/2009/05/22/251533.html (22/5/2009 8H50)

  3. Montréal Art déco

     

    Jean-Christophe Laurence

    La Presse

    Publié le 20 mai 2009 à 07h44 | Mis à jour le 20 mai 2009 à 07h52

     

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    Le cinéma Snowdon, boulevard Décarie.

    Photo fournie par Art Déco Montréal

     

    Bien peu de gens le savent, mais Montréal compte parmi les plus importantes villes d'architecture Art déco de la planète. Le problème, c'est que ce patrimoine bâti est trop souvent négligé, quand il n'est pas carrément démoli, comme ce fut le cas l'an dernier du mythique Ben's Delicatessen.

     

    C'est un peu, beaucoup dans l'espoir de sensibiliser nos élus à cette richesse mal exploitée, que Sandra et Colin Cohen-Rose, fondateurs de l'organisme Art déco Montréal, ont décidé d'accueillir le 10e Congrès international d'Art déco le week-end prochain, avec des visiteurs venus d'aussi loin que la Nouvelle-Zélande.

     

     

    «Les gens ne réalisent pas l'importance de cet héritage, souligne Sandra Cohen-Rose, auteure du livre Northern Deco: Art Deco Architecture in Montreal. Au delà de sa valeur historique, c'est une richesse qui pourrait rapporter beaucoup d'argent au plan touristique. À New York, le bâtiment le plus populaire est encore le Chrysler Building. Ça en dit beaucoup sur l'attrait de ce style.»

     

    Selon Mme Rose, d'autres villes dans le monde exploitent déjà avec succès leur patrimoine Art déco. C'est le cas de South Beach en Floride, de Napier en Nouvelle-Zélande et de Saint-Quentin en France, qui l'ont mis au centre de leurs programmes touristiques.

     

    Avec des lieux aussi connus que le cabaret du Lion d'or, la Casa d'Italia, le Cinéma Empress, le théâtre Le Château, l'église Saint-Esprit, l'Université de Montréal ou le mythique 9e étage de chez Eaton, Montréal a tout ce qu'il faut pour jouer dans les mêmes ligues, croient M. et Mme Cohen-Rose. Mais encore faut-il que le politique s'en soucie, ajoutent-ils.

     

    Si certains de ces édifices sont aujourd'hui protégés (Eaton's, le Château), la plupart ne bénéficient d'aucun statut, ce qui les rend encore vulnérables. Le cas de Ben's, détruit il y a peu, est encore frais dans les mémoires. Mais on pourrait aussi mentionner le théâtre York, le théâtre Snowdon, l'ancien Woolworth. l'ancien Kresge ou l'hôtel Laurentien, que Sandra et Colin ont vu disparaître, en tout ou en partie, pendant le dernier quart de siècle.

     

     

    Un Art déco typiquement canadien?

     

    Consacré à Paris en 1925, l'Art déco (pour Art décoratif) a connu son heure de gloire jusqu'au milieu des années 50.

     

    Fait intéressant, Montréal a adopté très tôt ce style architectural en vogue, parce que plusieurs architectes allaient étudier en France.

     

    C'est le cas d'Ernest Cormier, à qui l'on doit certains des plus prestigieux édifices du genre, à commencer par le pavillon central de l'Université de Montréal, son grand oeuvre, dont la construction dura plus de 12 ans.

     

    Autre fait intéressant: l'Art déco canadien avait aussi sa propre couleur, ou plutôt son absence de couleur!

     

    Moins flamboyants qu'en Floride et moins mégalo qu'à New York, les constructions montréalaises se caractérisent généralement par leurs dimensions modestes (l'édifice Aldred, sommet du genre, ne fait que 24 étages) et leur côté «pierreux» un peu gris.

     

    Ironiquement, ce sont nos églises qui ont été les plus excentriques. Les créations du moine français Dom Bellot, surnommé le «poète de la brique» sont, à ce chapitre, très impressionnantes, notamment l'abbaye Saint-Benoît-du-Lac avec ses mosaïques de briques colorées.

     

    «L'architecture Art déco reflète le contexte social et économique d'une certaine période, souligne Sandra Cohen-Rose. Les églises voyaient gros et cherchaient à se moderniser. On remarque aussi des bas-reliefs très éloquents sur les édifices publics, qui représentent souvent l'époque ou un certain folklore propre à l'histoire du Québec.»

     

    C'est pourquoi il est vital de préserver ces bâtiments, conclut-elle.

     

    «Ils sont attirants pour les visiteurs, mais aussi importants pour les générations futures qui voudront comprendre d'où l'on vient...»

     

     

    En savoir plus

     

    Dixième Congrès international d'Art déco, du 24 au 30 mai. Informations sur le programme:

     

    http://artdecomontreal.com/fr/

     

     

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    La maison Cormier, avenue des Pins.

    Photo fournie par Art Déco Montréal

     

     

    Montréal Art déco

    10 adresses

     

    1. Pavillon principal de l'Université de Montréal.

     

    2. Oratoire Saint-Joseph.

     

    3. Théâtre Snowdon.

     

    4. Cinéma Empress.

     

    5. Neuvième étage de chez Eaton

     

    6. Pavillon central du Jardin botanique

     

    7. Cabaret le Lion d'or (rue Ontario, angle Papineau)

     

    8. Théâtre Le Château (angle Saint-Denis et Bélanger)

     

    9. Casa d'Italia (angle Berri et Jean-Talon)

     

    10. Église Saint-Esprit (angle Rosemont et 8e Avenue)

  4. En image - Le quadrilatère, en mieux

     

    Le Devoir

    Édition du jeudi 21 mai 2009

     

    Mots clés : Architecture, Saint-Laurent, Monument-National, Montréal, Québec (province)

     

    ima_xy_210509.jpg

     

    Voici la nouvelle proposition architecturale, revue et corrigée, pour la construction d'un grand immeuble sur le quadrilatère du boulevard Saint-Laurent, au nord du Monument-National (MN). Les nouveaux plans ont été présentés hier soir pendant une séance de l'Office de consultation publique de Montréal.

     

    Les architectes (Paul Andreu + Ædifica) ont tenu compte des critiques des organismes comme le Conseil du patrimoine. La nouvelle esquisse montre un bâtiment ondulant, maintenant éloigné du MN et fortement positionné sur la rue Sainte-Catherine. Le passage sous l'immeuble entre le boulevard et la rue Clark est éliminé. La construction proposée totalisera environ 50 000 mètres carrés. Un basilaire abritera des commerces sur deux niveaux, derrière les façades historiques restaurées. En retrait de 9,5 mètres du boulevard, l'immeuble s'élèvera à une hauteur de 46 mètres. En plus de redonner vie à un secteur à l'abandon, la construction de quelque 160 millions permettra à Hydro-Québec de regrouper ses fonctionnaires éparpillées en ville. L'Office de consultation poursuit ses travaux ce soir, puis au cours des deux prochaines semaines.

     

     

    http://www.ledevoir.com/2009/05/21/251349.html (21/5/2009 9H09)

  5. Me semble que ça fait loin pour un tunnel non??

     

    Dans les deux cas, quelques dizaines de mètres... pour relier le métro Champs-de-Mars au Centre de recherche via l'ancien édifice Vidéotron, il n'y a que la rue Souligny (qui est en fait la bretelle de sortie de la 720) à traverser, mais c'est probablement un peu complexe parce qu'en dessous de la bretelle de sortie il y a l'autoroute, mais il y a surement un peu d'espace parce que le métro passe entre les deux dans ce coin la. Pour le relier à l'UQAM, il faut relier le coin sud ouest de l'intersection René-Lévesque / St-Denis au coin nord est (pavillon de l'Éducation de l'UQAM). Selon moi, dans les deux cas, c'est moins de tunnel à bâtir qu'il n'en manque pour relier le métro Berri-UQAM à la future station d'autobus de l'ilot voyageur.

  6.  

    Pour ce qui est du tunnel reliant le CHUM à la station Berri-UQUAM je crois que ça vas bien prendre un autre 10 ans d'études bidon questions de bien garnir les poches des amis du ... !

     

     

    Je crois qu'il serait plus facile de le relier au métro Champs-de-Mars, le centre de recherche sera vraiment très près. Et si on peut relié le tout à l'Berri-UQAM, via l'UQAM encore mieux ! Ça serait bien, les deux universités francophones de Montréal relié par un tunnel !

  7. Modifications techniques au projet du CHUM - Une consultation publique peu courue

     

    Le Devoir

    Lisa-Marie Gervais

    Édition du mercredi 20 mai 2009

     

    Mots clés : Conseil régional de l'environnement, Consultation publique, CHUM, Gouvernement, Hôpital, Montréal, Québec (province)

     

    Peu de vagues, mais surtout peu de gens. L'assemblée publique de consultation qui se tenait hier autour du décret visant à apporter des modifications techniques au projet du CHUM n'aura pas soulevé les passions. N'empêche, ils ont été une vingtaine à répondre à l'appel du ministère de la Santé et des Services sociaux pour venir poser des questions et faire part de leurs commentaires sur ce projet de modification d'un règlement de la Ville de Montréal. Au menu: l'augmentation du nombre des places de stationnement à 2052, la hauteur des bâtiments à 85 mètres au lieu de 80 mètres, la possible démolition de certains bâtiments et l'intégration du clocher de l'église Saint-Sauveur à l'hôpital.

     

    Publié en douce dans la Gazette officielle le samedi 25 avril dernier, le projet de décret, qui modifie à sept endroits le règlement de la Ville, devait légalement faire l'objet d'une consultation publique. Question de prendre le pouls de la population, a soutenu une porte-parole du ministère de la Santé.

     

    Or, si elles feront partie d'un rapport soumis au conseil des ministres, les interventions des citoyens et des représentants des divers organismes présents à la consultation ne sont recueillies qu'à titre informatif. C'est le conseil des ministres qui approuvera la version finale du décret à une date encore indéterminée, a-t-on indiqué au ministère.

     

    Au cours de la consultation d'hier, c'est la question du stationnement qui a suscité le plus d'intérêt. Un représentant du Conseil régional de l'environnement (CRE) de Montréal a affirmé qu'offrir des places de stationnement incitera les gens à prendre la voiture plutôt que le transport en commun, ce qui causera des problèmes environnementaux et de santé publique. Rappelant que le transport public continuera d'être favorisé, Sylvain Villiard, le directeur général adjoint du CHUM centre-ville, a souligné que toutes les études démontrent que les besoins en stationnement sont de 2580 places, «ce qui respecte les normes de la Ville». En comptant les places disponibles sur rue, le stationnement du complexe devra contenir 2052 places, ce qui constitue néanmoins une augmentation de près de 1000 places.

     

    Pour Richard Bergeron, chef de Projet Montréal et candidat à la mairie, le calcul a été bâclé et ne reflète pas la réalité. Quant à l'assemblée, elle est «bidon», a jugé M. Bergeron, qui a récemment écrit une lettre au premier ministre Jean Charest pour demander le retour des consultations publiques et la fin du mode PPP. «Ça ressemble à la consultation publique qu'il y a eu sur l'autoroute Notre-Dame. La décision est déjà prise», a-t-il déclaré.

     

    Le CHUM a des amis

     

    La consultation publique sur le décret a permis les démonstrations d'enthousiasme à l'égard du projet du CHUM. Peu de temps avant l'assemblée, des associations, des tables de concertation, des membres de la société civile et résidants du centre-ville ont formé le Collectif des amis du CHUM pour appuyer le projet comme facteur de revitalisation du pôle Est du centre-ville de Montréal. «Ça va contribuer à consolider la trame commerciale et ça va faciliter le développement résidentiel. On veut que des gens viennent habiter le centre-ville. [...] Ce serait un facteur d'apaisement de la circulation», a indiqué Rosario Demers, le président de la coalition.

     

     

    http://www.ledevoir.com/2009/05/20/251234.html (20/5/2009 8H32)

  8. L'Adresse symphonique et la Promenade des festivals - Un autre chantier culturel s'ouvre

     

    Le Devoir

    Stéphane Baillargeon

    Édition du mercredi 20 mai 2009

     

    Mots clés : Adresse symphonique, Promenade des festivals, Chantiers culturels, Construction, Culture, Montréal

     

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    À la Place des festivals, qui sera achevée aux quatre cinquièmes à la mi-juin, se grefferont en 2010 la place de l'Adresse symphonique et la Promenade des festivals, dont on vient de lancer les travaux. Visite de chantier.

     

    Les travaux achèvent sur la Place des festivals, et un autre grand chantier vient d'ouvrir à l'est et au nord de la Place des arts (PdA) pour y aménager la place de l'Adresse symphonique et la Promenade des festivals. Ces deux nouveaux espaces publics montréalais seront inaugurés en juin 2010. À terme, d'ici l'été 2012, le coeur du Quartier des spectacles aura été entièrement reconfiguré, y compris la rue Sainte-Catherine.

     

    L'ensemble aura alors coûté 120 millions aux trois ordres de gouvernement, en plus des sommes à consacrer à l'aménagement d'un stationnement souterrain et d'une patinoire à l'intersection des rues Clark et Sainte-Catherine, un ajout récent aux plans initiaux. Le Quartier des spectacles est un projet prioritaire du maire Gérald Tremblay. Ce programme particulier d'urbanisme adopté en mars 2007 touche 1,5 million de mètres carrés étendus sur un vaste secteur du centre-ville.

     

    «Nous travaillons autour de trois grands C: le contenant, le contour et le contenu», expliquait hier Réal Lestage, de la firme Daoust Lestage, en charge de la mutation urbaine, lors d'une rencontre de presse sur les projets autour de la Place des arts. «Le leitmotiv dans ce secteur concerne l'ancrage des festivals qui ont squatté l'espace public depuis une trentaine d'années. Le grand projet d'aménagement vise à garantir la disponibilité d'espaces pour les grands rassemblements. Comme urbanistes, nous voulons aussi qu'en dehors des festivals, ces espaces redeviennent de véritables places publiques.»

     

    Au total, les différents plateaux scéniques urbains occuperont 64 000 mètres carrés. La phase 2, lancée au début du mois, nécessite la reconfiguration du boulevard de Maisonneuve pour joindre deux espaces verts triangulaires (les places Fred-Barry et Albert-Duquesne) et ainsi former la place de l'Adresse symphonique, en partie minéralisée. La Promenade des festivals, au nord de la Place des arts, sera créée en récupérant des espaces bétonnés et en réduisant le boulevard de Maisonneuve, comme l'avenue du Président-Kennedy.

     

    Cette voie piétonnière va lier les deux nouvelles grandes places, de chacun des côtés de la PdA. En 2011, la rue Sainte-Catherine sera à son tour réaménagée pour boucler la boucle par le sud.

     

    La Place des festivals, capable d'accueillir 25 000 personnes, constitue le noeud de l'aménagement. Les quatre cinquièmes des travaux amorcés il y a deux ans seront terminés comme prévu le 15 juin. Des «vitrines» accueilleront des services alimentaires tout en masquant la colonnade aveugle du Musée d'art contemporain le long de la rue Jeanne-Mance. Quatre lampadaires géants (déjà amicalement surnommés les «brosses à dents») fourniront l'éclairage sans gêner la vision des spectateurs.

     

    Les 235 jets d'eau modulables de la fontaine -- «un archétype de la place publique», note M. Lestage -- fonctionneront à compter de septembre. L'an prochain, il restera à aménager certains équipements (les bancs publics, par exemple) puis à installer au centre du dispositif une oeuvre d'art publique sélectionnée dans le cadre d'un concours international.

     

    http://www.ledevoir.com/2009/05/20/251174.html (20/5/2009 8H27)

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