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steve_36

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Messages posté(e)s par steve_36

  1. À noter que dans ce quartier il n'y a pas que le IGA, PA ou Adonis mais aussi un grand marché chinois dans le Faubourg Sainte-Catherine, 1 petite épicerie Coréenne-Japonaise, 2 épiceries-boucheries Moyen-Orientale, un Bulk and Barn etc. Donc à défaut d'ouvrir un autre supermarché, je serais plus en faveur d'y retrouver une multitude de petits établissements spécialisés comme une fruiterie, une boulangerie, une fromagerie etc.

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  2. Je trouve intéressant ce projet. Ce n'est pas un bloc carré de 20étages avec des balcons de tous les cotés mais plutôt un immeuble avec une hauteur de 7 étages max, ce qui est idéal selon moi, hors du centre-ville (J'aime ce qui est de 6 à 10 étages). Mais surtout, j'apprécie les différentes hauteurs, les jeux de formes multiples qui donnent l'impression de plusieurs projets collés les uns aux autres alors que dans les fait, ce n'est qu'un seul projet.

  3. Il y a 9 heures, mtt a dit :

    Je suis en désaccord. J'habite le village et il y a énormément de famille et de services pour celles-ci. 

    Beaucoup d'épiceries,  de pharmacies, un CLSC, beaucoup de petit parcs, près du parc Lafontaine, plusieurs écoles à proximité...

    C'est vrai que la localisation de l'îlot voyageur s'y prête peut-être moins bien mais c'est faux de dire que le village n'est pas un bon quartier pour les familles.

    Ah, peut-être que je me trompe au sujet du Village, c'est possible. Mais pour moi le Village c'est entre St-André et Le pont, et entre De Maisonneuve et René-Lévesque. Je sais qu'au nord de De Maisonneuve c'est plus agréable pour les familles mais c'est plutôt un autre quartier selon moi. Car en été, sur Sainte-Catherine, il est très rare de voir des petits enfants jouer dans la rue piétonne !  Mais encore une fois, je peux me tromper car je n'y vis pas et je ne suis pas souvent là-bas.

  4. Il y a 13 heures, KOOL a dit :

    Pourquoi vouloir absolument faire des logements familiaux dans un quartier principalement fréquenté par des étudiants de l'UQAM et des itinérants   ?

    Voilà un des problèmes de cet administration, soit son idéologie de mixité à tout prix. Vouloir des logements familiaux, je veux bien, il en faut et beaucoup à part ça. Mais il y a des endroits ou ce n'est pas très attrayant pour les familles, comme au Centre-Ville, dans le Village et ici dans le Quartier Latin. Ce quartier n'est pas approprié pour les familles et se borner à vouloir y construire des logements familiaux c'est simplement de bloquer le développement de ce quartier pour des raisons purement idéologique.

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  5. Il y a 7 heures, andre md a dit :

    Prevel is way over many other developers regarding the quality of their projects. 

    Je ne suis pas tout à fait d'accord. Ce projet d'Esplanade Cartier semble optimal, en effet. Il est très beau et très prometteur. Par contre, leur projet 21e arrondissement est partiellement raté selon moi. Il ne respecte pas du tout le caractère du quartier et semble être 1 (en fait 2) blocs plantés dans un milieu qui n'est pas le sien.

    Heureusement, pour le projet Esplanade Cartier ils n'ont pas vraiment de contrainte de respecter le quartier immédiat car presque tout est à faire et l'ilot est entièrement vierge.

  6. Je suis évidemment ravi de voir que la taux de chômage est relativement bas compte tenu de la situation dans laquelle nous nous trouvons. Cela me donne espoir et me dit qu'on a effectivement évité le pire, au moins pour le moment. À cela je dis bravo.

    Par contre, si on me disais que la taux de chômage était à 1% mais que tout reste fermé pendant plusieurs mois encore alors je ne serais pas très heureux. Car autant l'économie est importante, autant la vie sociale est aussi importante sinon plus. D'ailleurs, les villes ou le taux de chômage est le plus bas ne sont pas les plus intéressantes. Il y a un équilibre à trouver entre une économie forte et une vie sociale et culturelle riche. Si on peut avoir les deux, alors tant mieux.

  7. Beau petit vidéo sur ce charmant commerce que je ne connaissais même pas. Bien sur on est loin du dépanneur traditionnel de quartier car on est davantage dans un mélange de café, boutique souvenir de produits québecois que dans un dep.  Mais le concept est très intéressant, la facade est très belle et c'est un endroit qui a franchement de la gueule. De plus, j'aime bien découvrir des endroits que je ne connais dans ma propre ville donc en cela je te dis bravo.

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  8. Il y a 11 heures, MontréalMartin a dit :

    Le haut-relief du chœur de cette église est magnifique. 


    Une photo du haut-relief prise par Daniel Heikalo vers 1990.

     

    1990vv DanielHeikalo église du Sacré-Coeur.jpg

     

     

     

    En effet, quelle magnifique œuvre superbement éclairée par la lumière naturelle pénétrant les vitraux. Le travail minutieux que l'on peut admirer das ces œuvres est remarquable.

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  9. il y a 51 minutes, Normand Hamel a dit :

    Je serais très surpris que la couronne en question cache la vue sur le Mont-Royal car le principal objectif de la Ville a toujours été de préserver cette vue.

    J'ai l'impression que le réaménagement de l'esplanade visait davantage l'intérieur (les restaurants) que l'extérieur (l'esplanade elle-même).

    Si le bloc monolithique en verre est très réussi d'un point de vue esthétique l'esplanade s'en trouve cependant congestionnée. Et une esplanade devrait en principe être le plus dégagée possible. Je ressens d'ailleurs un malaise semblable sur la Place des Arts où là aussi on a voulu en faire trop selon moi.

    C'est que j'aime les endroits chics et avec un certain lustre qui demeurent néanmoins sobres et dépouillés. Dans mon esprit c'est ça avoir de la classe.

    Parce que trop c'est comme pas assez. Et dans le monde d'abondance dans lequel nous vivons, et auquel nous sommes habitués, on en demande toujours trop.

    Moi aussi je suis dubitatif devant les esplanades de la PDA et la PVM. J'aurais aimé une plus grande sobriété, une sorte de grandeur, d'espace presque majestueux complètement dépouillé sauf pour une œuvre d'art ou une curiosité, une seule. 

    Mais j'ai l'impression que nos hivers rigoureux incitent à valoriser davantage l'intérieur, lorsque c'est possible et rentable, au lieu d'un extérieur plus élaboré mais dont la fréquentation n'est pas égal toute l'année. Notre réseau souterrain est impressionnant et nécessaire mais en même temps il limite l'utilisation d'espace extérieur à certains endroits.

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  10. Le 2020-12-03 à 00:05, Normand Hamel a dit :

    J'ai lu quelque part dernièrement que la Ville voulait passer une résolution afin de protéger certaines enseignes devenues aujourd'hui des icônes. Ce qui a amené la Ville à prendre cette nouvelle posture c'est l'enseigne Archambault qui a bien faillie disparaître en 2018.

    Oui, je crois que c'est une bonne chose. Mais je me demande s'il est possible de retrouver celles qui n'ont pas eu la chance d’être sauvegarder ?  Je sais que le musée McCord en fait la collection, si je ne me trompe pas.

  11. Le 2020-12-02 à 10:25, acpnc a dit :

    Montréal accueille le plus gros studio de Phoenix Labs

    IMAGE FOURNIE PAR PHŒNIX LABS

    Le plus gros succès de Phoenix Labs, Dauntless, lancé en 2019, est un jeu d’action de style RPG dans lequel des joueurs en ligne, appelés Slayers (« tueurs »), collaborent pour combattre des géants maléfiques, les Behemoths.

    Le studio de jeux vidéo de Vancouver Phoenix Labs, derrière le succès planétaire Dauntless, qui compte 25 millions de joueurs, a choisi Montréal pour étendre ses tentacules. D’ici trois ans, annoncera-t-on ce mercredi matin, on y montera un studio de 250 personnes, ce qui le placerait au 8e rang dans la métropole.

    Publié le 2 décembre 2020 à 7h00

    https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2020-12-02/jeux-video/montreal-accueille-le-plus-gros-studio-de-phoenix-labs.php

    Karim Benessaieh
    La Presse

    C’est à un vétéran québécois de l’industrie, André Roy, qui a notamment fait sa marque chez Ubisoft de 2003 à 2010 puis chez Frima de 2012 à 2014, que l’on confiera la direction générale. Son équipe se consacrera au développement de deux jeux de gros calibre, des « AAA » dans le jargon, dont on garde évidemment les détails secrets.

    PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

    Le directeur général de Phoenix Labs Montréal, André Roy, sera à la tête d’un studio de jeux vidéo qui comptera 250 employés d’ici trois ans.

    Chose certaine, indique en entrevue André Roy, il s’agira de jeux multiplateformes permettant les interactions entre plusieurs joueurs en ligne, sur le modèle de Dauntless. « L’ADN de Phoenix Labs, ce sont des expériences connectées. Est-ce que ce sera deux, trois ou quatre joueurs, des batailles ? On ne le sait pas. On peut partir d’un Pokemon Go du futur jusqu’à Rainbow Six Siege, l’éventail est très large. »

    Échelle humaine

    Phoenix Labs est une division de l’éditeur de jeu Garena, établi à Singapour, lui-même propriété du géant Sea Group, dont la valeur boursière est de 89 milliards US. En plus du studio de Montréal, on prévoit d’ouvrir une autre antenne à Los Angeles, d’une taille similaire au studio principal de Vancouver, qui compte quelque 140 employés.

    Son plus gros succès, Dauntless, lancé en 2019, est un jeu d’action de style RPG dans lequel des joueurs en ligne, appelés Slayers (« tueurs »), collaborent pour combattre des géants maléfiques, les Behemoths.

    Le directeur général tient à proposer des « productions à échelle humaine » à ses futurs collaborateurs, dans une industrie où jusqu’à un millier d’artisans peuvent participer à de gros projets.

    Son autre engagement, qu’il a réitéré à plusieurs reprises au cours de l’entrevue, concerne la place des femmes dans un domaine où elles sont particulièrement sous-représentées, le leadership créatif. « C’est vraiment là qu’on en voit moins. La première embauche que je voulais faire, c’est la personne en charge aux Talent et Culture, ç’a été Marie-Andrée Lavoie. »

    Il vise la parité hommes-femmes au sein de son studio et assure que les femmes amènent une autre « coloration ». Laquelle ? On le sent longuement réfléchir au bout du fil. « Oh boy ! Je vais te donner un exemple concret. Je viens de chez Ubisoft et, à un moment donné, le jeu allait plus ou moins bien. »

    On a emmené trois filles dans des postes créatifs et, en un mois, ç’a vraiment changé le momentum, ç’a amené une autre vision.

    André Roy, directeur général de Phoenix Labs Montréal

    Conversation et surprise

    L’autre spécialité de Montréal sera l’utilisation de l’intelligence artificielle, qui permettra de faciliter le processus de création des développeurs et de proposer des personnalisations aux joueurs.

    Le choix de la métropole québécoise s’est fait d’une façon plutôt savoureuse, tout simplement après une conversation de routine entre André Roy et le PDG de Phoenix Labs, Jesse Houston. « Jesse, sa première job dans le jeu vidéo, c’est quand je l’ai embauché chez Ubisoft [où il a travaillé de 2004 à 2007], raconte M. Roy. On est restés amis. Il me dit que COVID ou pas, il ouvrira un studio à Los Angeles et je lui dis en boutade : ‟Si vous voulez ouvrir dans l’Est, on est là !” Cinq minutes après, ça déboule, on envisage Montréal, Toronto, Boston. Je lui ai recommandé Montréal. »

    Le grand défi est évidemment d’arriver à recruter autant d’artisans dans un contexte de pénurie, en comptant surtout sur le télétravail. « On part de zéro, c’est une page blanche à écrire, une histoire à raconter. Nous, on mise sur le fait que le studio est axé sur les gens, avec une offre de jeux qui est particulière, multijoueurs et multiplateformes, en mettant de l’avant la parité, l’inclusion, la diversité. C’est un endroit qui va être le fun. »

    Les studios de plus de 200 employés à Montréal

    Ubisoft : 4500

    Behaviour Interactive : 700

    Eidos-Montréal : 500

    Unity Technologies* : 471

    Gameloft Montréal : 407

    Ludia : 330

    WB Games : 314

    Motive – Electronic Arts : 200

    * Unity Technologies ne produit pas de jeux vidéo, mais un moteur de jeu utilisé par 1,5 million de développeurs.

    Bon, cela me semble être une autre bonne nouvelle pour Montréal, ce qui est rassurant surtout en cette période sombre.

    Mais ce que je trouve intéressant c'est que lorsqu'il y a une mauvaise nouvelle pour Montréal, on peut être sur et certains que YMQ se fera un plaisir de nous partager la mauvaise nouvelle assez rapidement. Il est d'ailleurs celui qui nous fait connaitre la plupart des nouvelles négatives sur Montréal et le Québec. Par contre lorsqu'il y a une bonne nouvelle pour la ville, alors bizarrement notre ami YMQ ne semble pas la remarquer, c'est comme s'il ne les voyait pas ces bonnes nouvelles, bizarre !!!!  

    Un cas intéressant à étudier pour un psychologue !

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  12. il y a 20 minutes, Normand Hamel a dit :

    Rue Sainte-Catherine entre Saint-Urbain et Clark, le 9 octobre 1964. On aperçoit la libraire Tranquille au rez-de-chaussé du premier immeuble à gauche.

    Librairie Tranquille 9 octobre 1964.jpg

    Magnifique photo. Et le plus cocasse, c'est de constater que les matériaux de construction trainaient dans les rues comme les cônes oranges trainent aujourd'hui dans les rues. Comme quoi, ''plus ça change, plus c'est pareil''

  13. Il y a 12 heures, Normand Hamel a dit :

    Dans le passé une telle acquisition aurait représenté un certain danger que nos talents soient expatriés aux États-Unis. Mais ce n'est plus le cas aujourd'hui car l'exode des cerveaux s'est en fait inversé, surtout en intelligence artificielle.

    C'est que Montréal est maintenant reconnu internationalement comme l'endroit où il faut aller si on veut travailler en IA. C'est d'ailleurs pourquoi ServiceNow va amener 200 chercheurs additionnels à Montréal pour développer sa plateforme existante.

    Montréal est l'endroit présentement où l'on retrouve la plus grande concentration au monde de chercheurs académiques en intelligence artificielle. C'est ce qui attire ici des compagnies comme ServiceNow. La seule chose qui nous manque c'est l'argent et c'est justement ce qu'apportera ServiceNow.

    Là où c'est le plus difficile pour nous c'est de transférer notre savoir académique en applications pratiques qui mèneront à la commercialisation de produits. Car pour y arriver ça prend beaucoup d'argent. Et où cet argent se trouve-t-il? Surtout aux États-Unis où il y a plein de gens qui ne savent plus quoi faire avec leur argent tellement ils en ont et cherchent à investir dans des entreprises prometteuses.

    C'est exactement ce que je me dis. Le talent de Montréal semble maintenant reconnu mondialement et il attire l'attention des plus gros joueurs. De plus, cela se traduit de plus en plus par des investissements ici-même alors que par le passé ce n'était pas souvent le cas.

  14. Il y a 10 heures, mont royal a dit :

    This possibility was discussed here last August, and perhaps there are some hard lessons to learn from yet another sad example of Quebec innovative brilliance being bought out and being converted to a branch office culture. 

    Creative technical brilliance does not equate with marketing brilliance, nor with financing brilliance. Quebec constantly is at the forefront of technical innovation. Meanwhile the outside money people are watching to see how these innovative ideas translate into marketable goods.

    if it looks viable, they either kill it (Boeing killing 220 sales in the US) or they buy it. After buying it , usually highlighting how many jobs will be created or how they now have greater access to capital and international markets, they begin to emasculate it, slowly moving decision making out of Quebec. 

    Sometimes I think that Cartesian training runs counter to good marketing, wHere logic and the truth are often counterproductive to efforts to generate sales...or raise capital. 

    In short, to assume that a technical genius will be able to successfully launch a company, or even an industry, is almost certainly a recipe for disaster.

    We can turn things around and look at it from a different angle. We can say it is a very good news as more and more American and International companies are recognizing both the talent and the innovative brilliance of quebeckers, as you say, and thus are not afraid to buy these creations or even investing in them.

    And in the worst case scenarios, where after several years they begin to ''emasculate'' it to the point of slowly moving away part of it, it worths noticing the amazing resilient capacity of quebeckers to bounce back and create something new that will eventually be interesting enough to attract the attention of the big guys, again and again.

    It reminds me of the good ole days of the Expos. That team was not able to keep it's good players after they became big names but the team was no doubt the best in the league at finding new players and developping them !

    All that to say that we may not have all the talents, but we can surely make good use of the talent we have.

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