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daniel_88

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  1. Les logos de Radio-Canada disparaissent

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    Photo: Marie-France Coallier Le Devoir La tour brune de Radio-Canada, après le retrait de ses embématiques logos

    Le Devoir  Étienne Paré

    14 septembre 2022

    La vieille Maison de Radio-Canada ressemble désormais à n’importe quel immeuble lambda du centre-ville. Les logos du diffuseur public ont été retirés mardi matin, marquant la fin d’une époque. Coup de blues pour les nostalgiques.

    C’est en effet un brutal rappel que, d’ici la fin de l’année, Radio-Canada quittera définitivement la mythique tour brune pour ses modestes nouveaux bureaux situés juste en face, dans la rue Papineau.

    Inauguré en 1973, le gratte-ciel de 28 étages avait nécessité la démolition d’un quartier complet, le Faubourg à m’lasse, avant de devenir le haut lieu du showbiz et du journalisme québécois. C’est dire la charge historique derrière le retrait des trois logos qui surplombaient depuis les années 1990 trois des faces de l’immeuble.

    « Selon notre entente avec le nouveau propriétaire, le logo devait être retiré avant la fin de notre bail, le 31 décembre 2022. […] L’enseigne n’a pas été jugée patrimoniale par la Ville de Montréal », a expliqué Marc Pichette, le porte-parole du diffuseur public, par courriel. Pour marquer le coup, l’un des logos sur la tour brune a été symboliquement éteint en ondes lors du spécial de la rentrée de vendredi dernier, alors qu’était allumé celui du nouvel édifice.

    Indissociable de Montréal

    Avec le temps, l’image de marque de Radio-Canada était devenue indissociable du panorama de Montréal. Un point de repère lorsqu’on traversait le pont Jacques-Cartier, surtout en pleine nuit. Pour certains, elle faisait même partie du patrimoine de la métropole, à l’instar des enseignes de Farine Five Roses et de l’ancienne usine Molson.

    « Même si on sait depuis longtemps que la Maison de Radio-Canada va déménager, le logo aurait pu rester. Je ne suis pas spécialiste en marketing, mais il me semble que l’immeuble a beaucoup plus de cachet avec le logo », souligne Matt Soar, un professeur de l’Université Concordia qui dirige le Projet d’enseignes de Montréal.

    Cette initiative a permis jusqu’à présent la récupération de dizaines d’enseignes d’anciens commerces et de lieux cultes associés à l’histoire de la métropole. D’ailleurs, le Projet d’enseignes de Montréal a pris possession en 2016 des lettres CBC qui étaient accrochées sur l’ancien édifice de CBC/Radio-Canada au centre-ville, des années 1940 jusqu’à 1973, avant l’inauguration de la fameuse tour brune.

    Les trois logos qui étaient greffés jusqu’à ce matin à la tour ne connaîtront pas le même sort ; ils seront démantelés pour finir au recyclage. Le Groupe Mach, qui a acheté les anciennes installations de Radio-Canada depuis 2017, indique que la décision est entièrement celle de la société d’État.

    Le Groupe Mach entend faire de ces lieux le « Quartier des lumières », qui devrait comprendre des condos, des logements sociaux, des commerces et un centre d’affaires dans l’ancienne Maison de Radio-Canada. Les travaux sont censés débuter l’an prochain, mais aucune date n’est avancée pour l’inauguration.

    Déjà vu

    Toute cette histoire n’est pas sans rappeler le retrait de l’emblématique enseigne du premier magasin Archambault, en 2018, après que Renaud-Bray eut racheté son principal concurrent. Le panneau devait prendre le chemin du dépotoir, mais, face au tollé, la Ville de Montréal avait décidé de le préserver. L’enseigne a finalement été remise en place au coin des rues Sainte-Catherine et Berri à l’initiative de Québecor, propriétaire de l’immeuble adjacent au commerce.

    Les lettres rouges de Farine Five Roses avaient aussi failli être désinstallées en 2006 après le rachat de l’entreprise par le géant Smucker’s. Un accord avait finalement été trouvé. Héritage Montréal reconnaît que le logo de Radio-Canada n’a pas la même valeur que l’enseigne de Farine Five Roses, mais l’organisme se désole tout de même de la tournure des événements.

    « Ce retrait du logo de Radio-Canada marque le passage d’un actif collectif marquant et assez unique — la radio et la télé publiques —, érigé [sur le site d’un] ancien quartier populaire rasé, à un projet immobilier comme Montréal et d’autres grandes villes en connaissent tant », s’est désolé par courriel Dinu Bumbaru, directeur des politiques d’Héritage Montréal. M. Bumbaru aurait préféré que les trois logos soient entreposés ailleurs pour entretenir la mémoire.

    https://www.ledevoir.com/culture/medias/755522/les-logos-de-radio-canada-disparaissent

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  2. En effet, il y a beaucoup d'opposition au projet, je ne le nie pas.😐 Quoi que les gens et les experts en pensent, il y aura toujours des personnes lésées par l'absence d'un lien dans l'est. Lorsque vous devez absolument vous rendre sur l'autre rive, en face de chez vous et que vous devez faire un grand détour pour emprunter un pont , vous êtes lésés dans vos droits de citoyen car vous devez parcourir plus de km que d'autres. Je vis moi-même une situation de ce genre à Laval, en tant que cycliste, quand je dois me rendre en face de chez moi sur l'autre rive et que je dois me taper un grand détour car le pont près de chez moi n'accueille ni les cyclistes, ni les piétons. 

    La ville de Québec est unique en son genre avec ses 2 ponts côte à côte. À votre avis, que pourraient penser les résidents de ces autres capitales -Ottawa(5 ponts), Edmonton (11 ponts) ou Winnipeg (43 ponts) à l'idée de n'avoir qu'un endroit où traverser? Allez leur demander et ils vous répondront que ce serait peu pratique, insuffisant et injuste pour certains citoyens. 

    • D'accord 1
  3. Agrandissement de l’Hôpital Pierre-Le Gardeur

    8 septembre 2022

    Mise à jour le 8 septembre 2022

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    Agrandissement de l’Hôpital Pierre-Le Gardeur. Crédit : Provencher_Roy_BBBL | Menkès Shooner Dagenais LeTourneux | CGA Architectes

    Le projet d’agrandissement vise l’augmentation du nombre de lits de plusieurs secteurs névralgiques de l’Hôpital Pierre-Le Gardeur afin de répondre à l’évolution démographique de la région de Lanaudière.

    On prévoit l’ajout de 246 lits de courte durée et la mise à niveau des unités de soins et du plateau technique, notamment. Pour ce faire, une tour de 10 étages liée aux autres pavillons par un atrium au rez-de-jardin ainsi que par deux passerelles aux étages supérieurs sera construite sur le terrain de l’hôpital.

    Également, plusieurs autres secteurs de soins et de services seront agrandis, bonifiés ou réaménagés afin de répondre à l’augmentation de la demande en raison de l’accroissement du nombre de lits, notamment l’unité de soins en médecine et chirurgie, l’unité de soins obstétriques, de néonatalogie et de pédiatrie, l’unité de soins en psychiatrie, le bloc opératoire, l’urgence, l’imagerie médicale, l’inhalothérapie et la pneumologie, l’endoscopie ainsi que l’électrophysiologie médicale.

    Par ailleurs, en prévision de la croissance anticipée du volume d’activités, un stationnement étagé sera construit. Au total, 300 nouvelles places seront ajoutées à celles déjà existantes.

    Cout

    549,6 M$

     

    Donneur d’ouvrage

    Centre intégré de santé et de services sociaux de Lanaudière

     

    Gestion de projet

    Société québécoise des infrastructures

     

    Équipe de réalisation (septembre 2022)

    Gérance de construction : EBC

    Excavation, remblais, infrastructures et services : Les Excavations Payette

    Mur de soutènement : Petrifond Fondation

    Fourniture de béton : Béton provincial

     

    Principales étapes

    2020

    Aménagement des unités de transition.

    2022

    Approbation du dossier d’affaires et lancement des travaux préparatoires.

    2023

    Construction du stationnement étagé.

    2024

    Construction du stationnement pour personnes à mobilité réduite.

    2025

    Agrandissement de l’urgence, du secteur de l’imagerie médicale et du bloc opératoire;

    Ajout de 246 lits et aménagement de la pharmacie et des unités de psychiatrie, de néonatalogie, d’endoscopie et coronarienne.

    Accueil des premiers usagers.

    2026

    Aménagement des services alimentaires.

    2027

    Livraison du projet.

    https://www.portailconstructo.com/actualites/grands_chantiers/agrandissement_lhopital_pierre_le_gardeur

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  4. Le Devoir

    Le moulin à vent de Pointe-Claire sera restauré

    Jeanne Corriveau - Hier à 21 h 15

    Négligé depuis des années, le moulin à vent de Pointe-Claire sera restauré. La Ville de Pointe-Claire, qui en a fait son emblème, a accepté de verser une contribution de près d’un million de dollars pour soutenir le projet de préservation de ce moulin construit en 1709 par les prêtres de Saint-Sulpice.

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    Ce moulin a été construit en 1709 par les prêtres de Saint-Sulpice.© Marie-France Coallier Le Devoir

    L’Archevêché de Montréal, qui est propriétaire du bâtiment patrimonial, a conclu une entente de principe avec la municipalité de l’ouest de l’île de Montréal pour le versement d’une somme de 967 761 $ afin de remettre en état le moulin inutilisé depuis des décennies, mais classé comme immeuble patrimonial par le ministère de la Culture et des Communications du Québec en 1983. L’Archevêché entend faire une demande de subvention auprès du ministère pour compléter le montage financier.

    Le projet vise à rendre le moulin à nouveau fonctionnel, à reconstruire le mécanisme d’époque à l’intérieur du bâtiment et à rénover la maçonnerie extérieure, les pales et le toit. Épaulé par la Ville de Pointe-Claire et par la Société pour la sauvegarde du patrimoine de Pointe-Claire, l’Archevêché souhaite qu’à terme, le moulin puisse être accessible au public. « Nous sommes dans les phases de planification préliminaire, donc ce n’est que le début du processus et nous sommes à déterminer l’étendue travaux requis », a indiqué au Devoir Stefano Marrone, responsable immobilier à l’Archevêché de Montréal.

    Discussions fructueuses

    La Société pour la sauvegarde du patrimoine de Pointe-Claire militait depuis 20 ans pour la restauration du moulin, l’un des 10 moulins à vent construits sous le régime français et qui subsistent encore au Québec. « En 2019, une tempête a fait tomber deux des ailes. Donc, l’état du moulin s’est beaucoup détérioré au cours des deux dernières années », explique Andrew Swidzinski, président de Société pour la sauvegarde du patrimoine de Pointe-Claire.

    Les discussions entreprises par l’organisme avec l’Archevêché, le ministère de la Culture et le nouveau maire de Pointe-Claire, Bill Thomas, ont finalement porté fruit, se réjouit M. Swidzinski, qui considère le financement de la Ville comme un élément déterminant pour la réalisation du projet de restauration. « C’est un des seuls villages historiques qui restent sur l’île de Montréal avec Rivière-des-Prairies », souligne-t-il.

    Construit en 1709 par les prêtres de Saint-Sulpice sur une pointe de terre qui s’avance dans le lac Saint-Louis, le moulin à vent de Pointe-Claire a été fonctionnel jusqu’en 1880. Il a par la suite subi des dommages et a été fermé. Vers 1896, le toit a été modifié et le bâtiment a abrité une station de pompage pour l’aqueduc privé du Couvent des Soeurs de Notre-Dame situé à proximité. Un toit conique et des ailes fixes ont été installés en 1967 à l’occasion du centenaire du couvent.

    Selon M. Swidzinski, la contribution de la Ville de Pointe-Claire représente environ la moitié du coût total du projet de restauration estimé à 1,9 million de dollars. Il indique que l’idée est d’offrir des visites guidées au public et de rendre le moulin fonctionnel, comme celui de Notre-Dame-de-l’Île-Perrot, afin de moudre le grain et faire de la farine. « Je pense que ce serait très intéressant pour des raisons éducatives, mais également à des fins pratiques. Le fait de garder un moulin d’apparat avec les ailes immobilisées a fait en sorte qu’il y avait accumulation de moisissures, ce qui a accéléré la détérioration [du bâtiment] », dit-il.

    Andrew Swidzinski précise que dans les années 2010, l’organisme a mené une campagne de financement qui a permis d’acheter des meules qui pourront être intégrées au bâtiment.

    La Société pour la sauvegarde du patrimoine de Pointe-Claire espère que le financement pourra être confirmé l’an prochain afin que les travaux puissent débuter avant la fin de 2023.

     

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  5. Je me suis fié au 2e rendu, qui compte 43etages(sans la verrière) donc un rendu désuet. 

    En tout cas, à ce jour, le site de BN affiche toujours les infos suivantes,

    40

    Nombre d’étages

    200 m

    Hauteur de l’édifice

    7000

    Nombre d’emplois créés

    1,2 G$

    Retombées économiques

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  6. En tout cas, ce seront des panneaux en béton sauf que la couleur exacte n'a pas été préçisée, alors j'imagine que ce sera quelque chose entre le blanc ou un blanc plus grisâtre.

    À titre comparatif, la tour résidentielle locative de place gare Viger, a quant à elle, des panneaux de béton blanc poli. 

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  7. Le Devoir

    L’ARTM fait volte-face et baisse le prix du billet de métro à Longueuil et à Laval

    Jeanne Corriveau - Hier à 22 h 04

    Critiquée pour avoir haussé certains tarifs le 1er juillet dernier, l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) a décidé de revoir certains d’entre eux à la baisse. Ainsi, les tarifs unitaires pour les usagers qui prennent le métro à Laval et à Longueuil passeront de 5,25 $ à 4,50 $ à compter du 1er octobre.

    Des usagers habitant à proximité des stations de Longueuil et de Laval s’étaient insurgés de voir le prix du billet de métro bondir de 3,50 $ à 5,25 $.© Valérian Mazataud Le Devoir

    Ce répit ne sera toutefois que temporaire : l’ARTM prévient déjà que le plein tarif sera graduellement atteint en 2025.

    Dans la foulée du dévoilement de la nouvelle grille tarifaire au printemps dernier, des usagers habitant à proximité des stations de Longueuil et de Laval s’étaient insurgés de voir le prix du billet de métro bondir de 3,50 $ à 5,25 $. Une pétition avait été lancée pour protester contre cette mesure.

    Jeudi, l’ARTM a annoncé qu’elle réduirait le prix du titre unitaire « Tous modes AB » à 4,50 $ à compter du 1er octobre. Elle espère ainsi accroître l’achalandage des transports collectifs qui, selon de récentes données, n’atteindrait que 60 % de celui observé avant la pandémie de COVID-19. Le coût d’un titre pour 10 passages, qui est actuellement de 45 $, sera pour sa part réduit à 42,50 $.

    Cette baisse de tarifs est un « pas dans la bonne direction », estime Axel Fournier, porte-parole de l’Association pour le transport collectif de la Rive-Sud. « On est contents de la diminution, mais ce n’est pas une diminution à long terme puisqu’ils ont l’intention de l’augmenter à 5,25 $ d’ici 2025. C’est un peu de la poudre aux yeux de faire une diminution si l’intention est d’augmenter à nouveau [les tarifs] », dit-il.

    L’ARTM est d’avis que la nouvelle grille tarifaire profite aux usagers occasionnels qui, avant juillet, devaient acheter plusieurs titres pour se déplacer. Le coût du billet d’autobus combiné à celui du métro faisait alors grimper la facture à 7 $; le même déplacement leur coûte maintenant 4,50 $.

    Ce tarif est toutefois moins avantageux pour les gens qui résident à proximité des stations de métro de Laval ou de Longueuil. « On va poursuivre la mobilisation citoyenne, c’est sûr », a promis Axel Fournier.

    Pour leur part, la mairesse de Longueuil, Catherine Fournier, et son homologue de Laval, Stéphane Boyer, ont salué la décision de l’ARTM. « Nous nous réjouissons que l’ARTM ait accepté de réviser les tarifs et d’ajuster le tir à la suite des [démarches] qui ont été faites. La solution n’est peut-être pas parfaite, mais elle démontre la capacité d’être à l’écoute des citoyens tout en respectant les nouvelles orientations de la refonte », ont-ils indiqué dans une déclaration conjointe.

    https://www.ledevoir.com/societe/transports-urbanisme/749253/l-artm-fait-volte-face-et-abaisse-des-prix-pour-longueuil-et-laval#:~:text=Jeudi%2C%20l%27ARTM%20a%20annonc%C3%A9,la%20pand%C3%A9mie%20de%20COVID%2D19.

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