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daniel_88

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  1. Il y a 2 heures, KOOL a dit :

    En effet, le CIL House, la PVM et la CIBC ont été les premières vraies tours de style international dans le Commonwealth. Toronto a même dû attendre 5 autres années avant la construction du TD Centre.

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    Cette première TD tower  était déjà un peu plus haute que la tour de la bourse; ça témoigne du fait qu'une compétition pour l'immeuble le plus haut battait déjà son plein à l'époque!

  2. Le 2022-07-16 à 20:09, Ti-Pierre a dit :

    La construction de la PVM et de la CIBC et en avant plan Empress of Canada

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    Montréal a déjà eu ses supertall si on peut dire, avec ces tours qui ont dominé le skyline à l'époque.

    Pour des croisièristes ça en valait certainement le détour, les édifices de cette envergure n'étant pas si courants.

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  3. GRAND MONTRÉAL

    Nouveau plan d’urbanisme Laval veut plus de vert et moins de stationnement

    Plus de verdissement, moins de stationnements, aucune nouvelle station-service et des commerces plus près des rues : la Ville de Laval présentera ce mercredi un nouveau règlement d’urbanisme qui la fera « entrer dans le XXIe siècle », estime le maire Stéphane Boyer.

    HENRI OUELLETTE-VÉZINA LA PRESSE

    « Il était temps. La dernière fois qu’on avait mis à jour ce règlement, c’était dans les années 1970, lance le jeune élu de 34 ans en entrevue avec La Presse. On veut être un leader parmi les villes du Québec en développement durable », poursuit M. Boyer, en parlant d’une petite révolution pour Laval, mais « aussi pour le monde municipal ».

    Son administration établira d’abord des normes de verdissement « beaucoup plus importantes » pour tout nouveau développement ou redéveloppement, en abaissant par exemple la surface carrossable maximale à 10 % dans les secteurs centraux.

    Dans les secteurs unifamiliaux résidentiels, on imposera plutôt des « minimums de verdissement en cour avant », variant entre 30 % et 60 % en fonction de la grandeur des terrains. Un maximum de 30 % de superficies réservées aux automobiles sera par ailleurs établi dans les milieux résidentiels multifamiliaux.

    Le maire Boyer espère aussi « limiter la place du stationnement » : moins d’espaces pour les voitures seront d’ailleurs exigés par logement, « jusqu’à trois fois moins » dans les secteurs commerciaux.

    Nos équipes comptent environ 60 000 cases de stationnement au centre-ville. Et elles ne sont jamais à pleine capacité. Il s’est construit beaucoup plus de stationnements qu’il n’en était nécessaire. 

    « L’idée n’est pas de bannir le stationnement. Ces seuils, c’est aussi pour forcer les développeurs à réfléchir autrement, à développer du stationnement en souterrain ou derrière leurs commerces, par exemple. On veut aussi que les bâtiments commerciaux se construisent plus près de la rue, pour donner une âme et du dynamisme à la vie de quartier. On veut que les gens puissent vivre à l’échelle locale », insiste le maire.

    Exit les nouvelles stations-service

    L’administration Boyer n’autorisera plus aucune nouvelle station-service sur son territoire, dès mercredi. « On considère qu’on est rendus ailleurs. Les stations qui existent déjà vont pouvoir continuer d’opérer de plein droit, mais on n’en permettra plus de nouvelles à l’avenir », souffle le principal intéressé.

    À l’inverse, tous les nouveaux bâtiments – qu’ils soient commerciaux ou résidentiels – devront être aménagés de manière à pouvoir accueillir « au moins une borne de recharge électrique », lit-on dans les documents de la Ville. Celle-ci veut par ailleurs « interdire les structures d’affichage publicitaire » le long des boulevards et dans les quartiers résidentiels. Ces méga-affichages demeureront toutefois permis sur les axes autoroutiers de Laval.

    Quand on lui demande s’il s’attend à ce que ces changements soient critiqués par certains – alors qu’une bonne partie de la population lavalloise se déplace toujours en voiture –, Stéphane Boyer répond que « la plupart des gens, au contraire, attendent cette réforme ».

    On est conscients qu’il y aura quand même de la résistance. Tout ça va se faire graduellement. Tout ne va pas changer du jour au lendemain, mais plutôt au gré des projets de développement. Tranquillement mais sûrement, la ville va changer de visage. 

    Stéphane Boyer, maire de Laval

    Si Laval a longtemps été vue comme « une ville de banlieue et une ville-dortoir », elle a de plus en plus « sa propre dynamique ». « Je crois que notre ville est mûre pour ce changement-là. Et je sens que la population va embarquer avec nous », ajoute le maire, qui rappelle qu’une consultation publique à laquelle ont participé plus de 800 personnes a été tenue sur l’adoption de ce plan d’urbanisme.

    Vie de quartier

    Aux yeux du maire, la pandémie de COVID-19 a fait réaliser aux gens que la vie de quartier compte pour beaucoup. « Les gens, plus que jamais, veulent profiter de leurs parcs, de leurs rues, de leur quotidien. Laval était jusqu’ici une ville qu’on disait surtout utilitaire, où il était facile de se déplacer d’un point A à un point B, mais pas nécessairement agréable. C’est précisément cela qu’on veut changer », conclut M. Boyer.

    Fin juin, la Société de transport de Laval (STL) avait aussi franchi un pas déterminant : celui vers l’électrification complète des services aux usagers, en annonçant l’agrandissement de ses installations d’entretien et l’aménagement de 145 places destinées exclusivement à l’entretien et à la recharge des autobus électriques.

    Ce projet majeur d’infrastructures de 246 millions, financé à 85 % par les gouvernements du Canada et du Québec, doit à terme doubler l’espace réservé à l’entretien des autobus, hybrides comme électriques. Il permettra aussi et surtout de raccorder le centre administratif de la société à ses installations industrielles pour former un seul grand complexe.

    https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2022-07-13/nouveau-plan-d-urbanisme/laval-veut-plus-de-vert-et-moins-de-stationnement.php

    https://www.laval.ca/Documents/Pages/Fr/Citoyens/urbanisme-et-zonage/cdu/reglement-cdu-1.pdf

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  4. J'ai fait Montréal-Toronto pas plus tard que la semaine dernière et il faut plus de 5heures, pour s'y rendre. 5 heures, c'est le plus rapide car d'autres départs vont faire le trajet en 6-7 et même 8 heures. Comme touriste, une fois de temps à autre ce n'est pas un problème mais je peux imaginer la situation pour une personne qui voyage régulièrement pour affaire et ne peut se permettre l'avion.

  5. Les trains de l’ancienne ligne Deux-Montagnes seront mis à la ferraille

    Radio-Canada.ca

    Philippe-Antoine Saulnier - Hier à 19 h 18

    Les anciennes voitures de la ligne Montréal-Deux-Montagnes seront envoyées à la casse.

    Depuis l'arrêt du service de train de banlieue vers Deux-Montagnes, à la fin de 2020, les 56 voitures électrifiées MR-90 dorment dans la cour du Centre de maintenance de Pointe-Saint-Charles.

    Elles auraient pu continuer de rouler encore plusieurs années, mais la construction du REM, dont l'une des sections principales remplacera la ligne de Deux-Montagnes, a mis un terme à leur parcours.

    C'est vraiment triste», déplore Caroline Nadeau, qui prenait le train de Deux-Montagnes depuis 1982. C'était la plus avantageuse de toutes les lignes de train de banlieue, avec les fréquences les plus régulières et les plus nombreuses. Tout cela est réduit en poussières.»

    Avant même la fin du service, l'opérateur exo avait l'espoir de trouver un acquéreur qui aurait pu prolonger la carrière des 56 voitures MR-90, qui avaient été construites à l'usine de Bombardier à La Pocatière en 1995.

    La vie utile d'un matériel roulant ferroviaire, en moyenne, c'est environ 30 ans», affirme Gaétan Turcotte, directeur des services techniques et de l'entretien du matériel roulant ferroviaire. Avec des travaux majeurs, on aurait pu les utiliser encore de cinq à dix ans.»

    Une firme de consultants a cherché un nouvel opérateur pour les 56 voitures sur plusieurs continents, explique François Théault-Gauvin, chargé de projet en matériel roulant à exo.

    Ces voitures ont toutefois des caractéristiques peu fréquentes sur les réseaux nord-américains. Elles sont électriques, autotractées et munies de caténaires à 25 000 volts.

    Un acheteur potentiel, qui ne disposait pas des installations électriques nécessaires, est tout de même venu inspecter les voitures lorsqu'elles étaient encore en marche, avec l'espoir de les convertir et de les faire tirer par des locomotives. Malheureusement, explique M. Théault-Gauvin, il s'est rendu compte que le risque technique et les frais de conversion étaient tellement significatifs, pour un actif pour lequel il restait de cinq à dix ans, que ça ne valait pas la peine».

    Les voitures seront vendues pour leurs matériaux

    À la fin de juin, exo a donc lancé un appel d'offres dans le but de trouver une entreprise qui pourra racheter les voitures et en disposer.

    Il y a beaucoup d'acier inoxydable, alors il y a une certaine valeur au niveau de la matière première», explique M. Théault-Gauvin. Le bénéfice en tant que tel, on le saura uniquement à la fin du processus.» Tout produit de la vente des voitures sera retourné au ministère des Transports du Québec, puisqu'il en avait subventionné l'achat à 100 %, précise-t-il.

    Étant donné que c'est un produit d'ici, il peut y avoir un certain niveau de déception», reconnaît Gaétan Turcotte.

    Exo espère trouver un repreneur qui pourra faire sortir les 56 voitures du site de Pointe-Saint-Charles d'ici la fin de l'année, car elles occupent environ 30 % de l'espace et l'opérateur a besoin des voies pour mener d'importants travaux d'entretien sur son matériel roulant.

    De plus, 44 nouvelles voitures à deux étages, construites en Chine, devront faire l'objet de travaux de préparation lors de leur arrivée au début de 2024.

    Si les voitures MR-90 sont encore sur le site, ça ralentit le processus, ça a des impacts sur les échéanciers, sur les coûts évidemment», indique Gaétan Turcotte.

    Exo espère néanmoins pouvoir léguer un morceau d'histoire à la postérité. Deux voitures devraient être données au musée ferroviaire Exporail, à Saint-Constant, indique la porte-parole Catherine Maurice.

    Les anciens usagers de la ligne Deux-Montagnes, quant à eux, doivent prendre leur mal en patience. Avec les nouveaux retards dans la construction du REM annoncés par CDPQ Infra, il se sera écoulé au moins quatre ans entre la fin du service de train de banlieue et l'avènement du nouveau réseau.

    Des navettes par autobus ont été mises en place pour atténuer les impacts de cette interruption. Mais pour bien des anciens utilisateurs, comme Caroline Nadeau, qui travaille près de l'Université de Montréal, cette offre est insuffisante. Cela occasionnerait un déplacement de plus d'une heure trente», estime-t-elle.

    Le service de la ligne Deux-Montagnes permettait de se rendre au centre-ville de Montréal en moins de 45 minutes. Ce qui est un service assez exceptionnel», reconnaît Sarah Bensadoun, porte-parole de Transports Québec et de Mobilité Montréal, qui gère le service de navettes. Forcément, quand on met en place des mesures d'atténuation, rien ne sera comparable avec le confort et le temps de parcours qu'on connaissait auparavant.»

    https://www.msn.com/fr-ca/finances/affaires/les-trains-de-l-ancienne-ligne-deux-montagnes-seront-mis-%c3%a0-la-ferraille/ar-AAZkGVc?li=BB13CsG9&ocid=mailsignoutmd

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    Si vous êtes à la recherche d'une maison et êtes un peu bricoleur, voici une opportunité pour vous!

  6. Le 2022-06-24 à 17:26, Rocco a dit :

    La tour est quelconque mais la base... Il n'y a pas de mot pour décrire ce mess.

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    Le basilaire ne passera pas à l'histoire, c'est vrai, y a-t-il un terme pour ce style (minimaliste?). Tout comme l'Hôtel art de vivre.  En revanche, je trouve la tour épurée et fait déjà bonne figure avec ce revêtement bleu poudre.

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  7. Les Sénateurs concluent une entente pour bâtir un aréna au centre-ville d’Ottawa

    Dans les Coulisses - Hier à 12 h 56

    Dans les dernières années, ça a brassé pour les Sénateurs d’Ottawa. Alors que le club était en reconstruction, il était clair que les assistances étaient en baisse en raison du produit sur la glace, mais surtout parce que le club joue à Kanata, qui est loin du centre-ville d’Ottawa et qui est dur d’accès.

    Ajoutons à cela le décès du propriétaire plus tôt cette année et nous avons une recette parfaite expliquant les rumeurs de déménagement ou même de « semi garde partagée » avec la ville de Québec ou même les rumeurs de déménagement à Gatineau. Oui, Gatineau.

    Mais bon. Clairement, l’objectif ultime a toujours été de construire un aréna au centre-ville, soit sur les Plaines LeBreton, afin de rendre le hockey plus accessible pour les gens des deux côtés de la rivière des Outaouais.

    Et voilà que le projet serait sur la bonne voie puisque les Sénateurs ont conclu, avec un consortium, une entente pour bâtir un aréna (au coeur d’un centre d’événements) sur les Plaines LeBreton.

    Les Sénateurs ont annoncé que cette nouvelle marque un grand pas vers l’avant dans la vision à long terme d’un aréna downtown… surtout dans l’optique où le projet semblait être mort dans l’œuf dans les dernières années.

    Notons que plusieurs groupes étaient de la course pour utiliser le terrain des Plaines LeBreton, mais que c’est finalement le groupe mené par les Sénateurs qui a gagné la mise.

    Aucune date précise n’a été dévoilée pour une première pelletée de terre, mais on sait que les Sens s’associent avec les firmes Sterling Project Development et Populous, qui ont participé à la construction de plusieurs nouveaux arénas (Islanders, Golden Knights et Kraken) dans la LNH dernièrement.

    C’est donc un énorme pas vers l’avant.

    Pour ceux qui espèrent encore que les Nordiques reviennent à Québec, c’est une vilaine nouvelle puisqu’il est difficile de croire que Gary Bettman amènera un club des États-Unis au Canada et je ne vois pas Québec avoir un club d’expansion.

    Un déménagement des Sénateurs était peut-être la meilleure option, même si elle n’a jamais été très réaliste pour autant. C’est donc, malgré tout, un coup dur pour les gens de la capitale québécoise.

    https://www.danslescoulisses.com/les-senateurs-concluent-une-entente-pour-batir-un-arena-au-centre-ville-dottawa/

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  8. Ces photos m'ont tout de suite fait penser au 900 St-Jacques, quoique celui-ci aura droit à une variante avec des angles.

    Quoi qu'il en soit j'aime bien et comme d'autres l'ont mentionné avant moi, ça change des parements qu'on retrouve sur les immeubles alentour.

  9. Plage de l’Est: la protection du chevalier cuivré devra primer sur la baignade

    Journal Métro

    Coralie Hodgson - Hier à 18 h 27

    L’Arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles devra évaluer cet été la possible présence du chevalier cuivré sur le site de la plage de l’Est, et, le cas échéant, prendre des mesures pour assurer la protection du poisson menacé d’extinction. Alors que l’enjeu de décontamination des sédiments est loin d’être résolu, les baigneurs devront attendre encore quelques années avant de se baigner au bout de l’île.

    C’est lorsque l’Arrondissement a fait la demande d’installation d’un quai pour la pêche à la plage de l’Est qu’il a été avisé par le ministère des Pêches et Océans Canada de la possible présence possible du chevalier cuivré.

    «On nous a demandé de procéder à des travaux de caractérisation pour savoir s’il y a présence d’herbiers qui nourrissent le poisson, et qui pourraient être un endroit où se localiseraient plusieurs chevaliers cuivrés», souligne la mairesse d’arrondissement, Caroline Bourgeois.

    Un arrêté ministériel pour la protection de l’habitat essentiel du chevalier cuivré a été signé par le gouvernement fédéral en mai 2021. Il faisait suite à un recours judiciaire entrepris par la Société pour la nature et les parcs du Canada (SNAP) et le Centre québécois du droit de l’environnement (CQDE).

    Une espèce à protéger

    Pour Alain Branchaud, directeur général pour SNAP Québec et biologiste, il est positif que le gouvernement du Canada s’assure qu’il «n’y a pas d’impact sur cette espèce, compte tenu du capital critique de sa situation».

    «Le chevalier cuivré est un poisson qui non seulement est unique au Québec, mais on le retrouve uniquement dans la grande région de Montréal», explique-t-il.

    La «bonne nouvelle» pour le poisson et le projet de plage de l’Est résiderait à son avis dans le Programme de rétablissement du chevalier cuivré du Canada, publié en 2012.

    «Notre compréhension est qu’il n’y a pas d’habitat essentiel désigné au site et lieu du projet de plage de l’Est […], il ne devrait pas avoir d’impact majeur sur l’espèce pour ce projet-là», croit-il.

    Selon Caroline Bourgeois, advenant la présence d’herbiers sur le site de la plage de l’Est, «toutes les options seront évaluées». Cela comprendrait notamment d’évaluer la possibilité d’aménager de nouveaux herbiers à l’écart du site de la plage.

    Cette mesure de compensation a également été mise de l’avant par l’Administration portuaire de Montréal dans le cadre du projet de terminal portuaire à Contrecœur, qui menacerait de détruire une partie de l’habitat essentiel du chevalier cuivré.

    Or, pour M. Branchaud, on n’aurait pas présentement «de connaissances scientifiques nécessaires pour aller avec des mesures de compensation» de la sorte.

    «Dans un écosystème dynamique comme le fleuve Saint-Laurent, créer ou aller déplacer des herbiers, ou faire des compensations comme ça, ce n’est pas une tâche facile. Certains projets de compensation sont documentés scientifiquement. Mais pas dans ce cas particulier», croit celui qui a d’ailleurs collaboré à l’écriture d’un avis scientifique abordant cet enjeu.

    Pas de baignade avant quelques années

    L’arrondissement devra donc faire réaliser une étude de caractérisation de l’habitat du poisson sur le site de la plage, et adapter ses plans en conséquence.

    La seconde étape sera de poursuivre les démarches pour déterminer le type de travaux qui devront être menés pour la décontamination des sédiments sur le littoral. Un premier appel d’offres pour réaliser cette étude a été lancé il y a un an, mais n’a pas reçu de soumissionnaire.

    La mairesse Caroline Bourgeois reconnaît que plusieurs étapes restent à compléter avant la décontamination du littoral, et qu’il faudra attendre encore quelques années pour se baigner. Elle refuse cependant de s’avancer sur un échéancier en la matière.

    Malgré les embûches, le choix du site de la plage de l’Est reste toujours pertinent à ses yeux.

    «Je sais que les gens ont hâte de se baigner. Mais avant tout, c’est un parc qu’on a complètement retransformé. Encore hier soir, il y avait des dizaines de personnes qui jouaient au volleyball, des gens qui profitaient de la plage de galets, des enfants dans les jeux d’eau. C’est un lieu que les gens se sont approprié.»

    Une espèce menacée

    Le chevalier cuivré a été désigné espèce faunique menacée par le gouvernement du Québec en 1999. Le poisson, qui pourrait peser jusqu’à environ 5 kg, a été désigné «en voie de disparition» en 2004 par le gouvernement fédéral.

    «Sa reproduction plus tardive, avec toutes les perturbations des écosystèmes qu’on a, le rend particulièrement vulnérable », précise Alain Branchaud.

    Plage de l’Est: la protection du chevalier cuivré devra primer sur la baignade (journalmetro.com)

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