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Il y a 2 heures, Ousb a dit :
What does it look like in the other major cities ? Are projects being delayed in Toronto and Vancouver as well or is it just us ?
À Vancouver, je pense au 1059-1075 Nelson street, un projet de 60 étages, approuvé par le city council en 2020 durant la pandémie et qui n'est toujours pas en construction. Deux articles déjà parus dans ce média.
https://dailyhive.com/vancouver/1059-1075-nelson-street-vancouver-tower-rezoning-approved
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1423 rue Towers, une maison victorienne transformée en poste de ventilation du métro de Montréal.
https://www.cbc.ca/news/canada/montreal/victorian-home-metro-1.6659859
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Deux nouvelles stations universellement accessiblesArticle de Zoé Arcand • Hier à 17 h 25
Pie-IX et Villa-Maria deviennent les 22e et 23e stations de métro «universellement accessibles» du réseau montréalais. Mais ce n’est toujours pas assez, estime le Regroupement des activistes pour l’inclusion au Québec (RAPLIQ), qui souligne que 45 des stations ne le sont toujours pas.
Les accomplissements de la STM en termes d’accessibilité universelle sont colossaux, estime le président du conseil d’administration Éric Alan Caldwell. En ajoutant des ascenseurs aux stations de métro, «nous changeons le quotidien de l’ensemble de notre clientèle», juge-t-il. Le réseau de métro de Montréal compte 68 stations en tout.
L’accessibilité universelle constitue toutefois un enjeu plus complexe, rappelle le RAPLIQ. Les ascenseurs demeurent trop petits pour certains fauteuils motorisés et autres aides à la mobilité. «Souvent», les ascenseurs sont hors service. «On est content que ça avance, c’est clair», assure tout de même la présidente, Linda Gauthier.
Les rénovations auront permis, entre-autres, la mise à niveau de la boucle de bus située derrière la station station Villa-Maria et le remplacement des porte-papillon de l’édicule. Certaines sont maintenant motorisées pour faciliter l’accès à la station.
Dans le cas de Pie-IX, les rénovations auront permis l’agrandissement des édicules principaux et secondaires et l’élargissement du corridor sous-terrain. Les travaux auront couté 81 M$ et respecté l’échéancier et les budgets prévus, indique-t-on dans le communiqué de presse.En 2015, le RAPLIQ a déposé un recours collectif contre la STM, la Ville de Montréal et l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) pour l’inaccessibilité de son réseau. «À l’époque, se souvient-elle, la STM comptait rendre accessible quelque chose comme 0.8 des stations par années. À leur rythme, le réseau serait devenu complètement accessible seulement en 2085», avertit-elle. Une décision sera rendue au printemps prochain.
C’est clair que là, la ville se pète les bretelles pis on est content, mais c’est nous autres qui sommes en arrière de ça.Linda Gauthier, la présidente du RAPLIQ
L’adaptation des bus n’est pas satisfaisante non plus, dit la présidente. Souvent, «les chauffeurs ne sont vraiment pas conciliants», et peuvent mentir en disant que la rampe d’accès ne fonctionne pas. «Mais nous on peut l’entendre au bruit que la rampe d’accès fonctionne ou pas, assure Mme Gauthier, on le sait quand ils nous mentent. C’est de la discrimination».
«Plus d’éducation populaire au niveau des chauffeurs et du grand public» est également nécessaire, juge-t-elle. Car souvent, les personnes à mobilité réduite se font reprocher de ne pas prendre les transports adaptés quand ils prennent le bus ou le métro.
Les transports collectifs offrent beaucoup plus de spontanéité, comme il n’est pas nécessaire de réserver avant de les utiliser, contrairement aux transports adaptés.
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Crédit -Claude Deschene
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Réfection de l'escalier trafalgar complétée 🙂
Crédit - Claude Deschênes
https://www.facebook.com/claude.deschenes.399/posts/2237508983089863
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Les tours de bureaux du centre-ville continuent de se vider
Olivier Bachand - Hier à 22 h 23Des chaises vides, d'immenses locaux où l'on ne croise qu'une poignée de travailleurs : voilà le portrait de plusieurs immeubles du centre-ville de Montréal.
Avec l'adoption massive du télétravail, de nombreuses entreprises ont réduit la taille des locaux qu'elles louent. Le taux d'inoccupation des tours de bureaux a doublé depuis 2020 pour atteindre près de 18 % et il pourrait continuer de grimper.
L'entreprise montréalaise Cook It, qui se spécialise dans le prêt-à-manger et le prêt-à-cuisiner, illustre bien cette tendance. Même si elle est en pleine expansion, elle déménagera en janvier prochain son siège social de la rue Sherbrooke dans des locaux trois fois plus petits situés dans le Vieux-Montréal.
« On passe de 12 000 pieds carrés (près de 1115 mètres carrés) à 4500 pieds carrés (418 mètres carrés), mais ça va nous coûter à peu près la même chose », explique la présidente et cofondatrice de Cook It, Judith Fetzer.
Avec des employés qui travaillent de la maison la plupart du temps, l'entreprise a choisi de quitter un immeuble qui a grandement besoin de rénovations pour un édifice plus prestigieux.
Associé chez Avison Young, le courtier immobilier Laurent Bennarous observe que plusieurs entreprises prennent des décisions similaires. Les gens échangent deux pieds carrés dans un immeuble ordinaire contre un pied carré dans un immeuble de catégorie supérieure, et au final le coût d'occupation est le même pour eux. C'est une migration vers des produits de qualité.»
Mais en fin de compte, les superficies louées diminuent. Dans le quartier des affaires, le taux d'inoccupation des tours de bureaux est passé de 9 % à 18 % depuis le début de la pandémie.
Et les bureaux continuent de se vider. Lorsque leurs baux, généralement d'une durée de 5 à 10 ans, arrivent à échéance, de nombreuses entreprises se délestent de l'espace qu'elles ont en trop. Ce qu'on observe en moyenne, c'est une réduction de 20 % à 30 % des espaces loués», dit Laurent Bennarous.
Un marché à l'avantage des locatairesDans le secteur des locaux pour bureaux, un taux d'inoccupation de 10 % est considéré comme le point d'équilibre du marché. Il était à l'avantage des propriétaires avant la pandémie et a basculé en faveur des locataires pratiquement du jour au lendemain.
Pour attirer et conserver leurs clients, les propriétaires doivent réduire leur prix de location et offrir des incitatifs de plus en plus importants, indique le vice-président de la firme CBRE à Montréal, Christian Charbonneau.
C'est une compétition, c'est un marché ouvert. Pour qu'un locataire choisisse d'aller dans un édifice plutôt qu'un autre, un propriétaire va dire : je suis prêt à te donner 100 $ le pied carré pour que tu puisses aménager dans mes locaux et je vais peut-être te donner 12, sinon 24 mois de loyer gratuits.»Dans ce contexte, les immeubles moins bien situés ou qui se font vieillissants seront délaissés. Nous allons voir des rénovations et nous avons déjà vu ça avec quelques immeubles ici à Montréal», souligne la première vice-présidente et directrice générale de CBRE à Montréal, Ruth Fischer.
Les propriétaires doivent se réinventerLe grand patron de Canderel, Brett Miller, nous a donné rendez-vous dans une tour de l'avenue McGill College pour notre entretien. Sa société de promotion immobilière gère plusieurs immeubles au centre-ville de Montréal et ailleurs au pays.
Il nous amène dans les locaux d'un locataire où se trouvent quelques rares travailleurs parmi plusieurs dizaines de bureaux vides. Même si la vue sur la métropole est imprenable, les employés semblent préférer travailler dans le confort de leur foyer.
Malgré tout, l'homme d'affaires, qui oeuvre dans l'immobilier depuis plus de 30 ans, affiche un certain optimisme. Il pense que les travailleurs seront de retour au bureau en plus grand nombre dans un horizon de 6 à 12 mois.
Certaines entreprises ont dit : "On ferme complètement nos bureaux simplement pour économiser". Mais il y en a d'autres qui disent : "Non, on va louer dans les meilleurs immeubles, les meilleurs espaces, on va réinvestir pour en fait "réattirer" nos employés vers le travail".»
Mais Brett Miller convient que les propriétaires d'immeubles doivent se montrer flexibles, en offrant notamment des baux de plus courte durée et qu'ils doivent aussi les rendre les plus attrayants possibles.Au 1981, avenue McGill College par exemple, on a aménagé un salon pour les travailleurs dans le hall d'entrée et un centre d'entraînement physique est en construction. Les employés n'auront pas besoin de prendre un abonnement et de payer pour un gym, ils ont ça dans leurs espaces de travail.»
C'est sans compter les cours de yoga, les célébrations pour l'Halloween et pour Noël... Bref, les propriétaires d'immeubles doivent maintenant en mettre plein la vue pour se démarquer.
Les commerçants tiennent le coupAvant la pandémie, plus de 300 000 personnes convergeaient vers le centre-ville du lundi au vendredi pour aller travailler dans les tours de bureaux. La baisse d'achalandage résultant du télétravail se fait surtout sentir dans les commerces qui leur sont spécialement destinés.
Vous pouvez imaginer le cordonnier, le nettoyeur ou le comptoir à sandwich qui étaient à l'intérieur de la tour de bureaux, [ils] sont les premiers à vraiment souffrir de cette absence des travailleurs», dit Glenn Castanheira, le directeur général de la société de développement commerciale Montréal centre-ville.
Mais globalement, les commerçants tiennent bon. Le taux d'inoccupation des locaux commerciaux tourne en ce moment autour de 15 % dans le quartier des affaires. Si on prend la rue Sainte-Catherine, qui est vraiment la colonne vertébrale du centre-ville, plusieurs détaillants nous rapportent avoir des ventes similaires ou supérieures à 2019.»
La vitalité du centre-ville repose de plus en plus sur sa population locale, qui est en pleine croissance. De 2016 à 2021, le nombre de résidents a grimpé de 17 % dans l'arrondissement Ville-Marie, pour atteindre près de 105 000 personnes. Uniquement au centre-ville, la hausse est de 40 %.Jamais les résidents du centre-ville ne pourront à eux seuls combler une perte d'achalandage, que ce soit de travailleurs, de visiteurs ou autres, dit Glenn Castanheira. À l'inverse je vous dirais, est-ce que le centre-ville pourrait vivre sans ses résidents? Eh bien là, je serais pas mal moins optimiste.»
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Peut-être le confort en sera-t-il amélioré. Les actuels trains tanguent beaucoup de gauche à droite je trouve, ça combiné à des sièges un peu durs. Ça vous rend un voyage un peu pénible par moment et ça m'avait d'ailleurs fait essayer l'autocar lors de mon dernier voyage.
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Autre anecdote intéressante, la ville de Berlin en Ontario, a pris le nom de Kitchener en 1916, au moment où la première guerre mondiale faisait rage. 🙂
Selon wikipedia, ce fut un vote très serré 51,3% pour et 48,7% contre.
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L'autobus 52 de Laval nous amène précisément à cet endroit (d'Amos). L'ennui est qu'on peut attendre le bus 439Pie-IX 10-15min pour poursuivre notre route. Personnellement je dois prendre 2 autobus à Laval pour arriver à cet abribus donc ce n'est pas optimal pour les gens de Laval.
Mais pour le résident de Montréal, c'est une bonne alternative au métro. Moins confortable car un bus reste un bus mais on arrive tout de même au métro Pie-IX dans un temps acceptable.
Les chauffeurs y gagnent beaucoup aussi car ils n'ont plus de voitures dans leur chemin.
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Il y a 12 heures, tokywan a dit :
Je suis choqué de voir qu'ils considere les travaux fini alors qu'il n'y a juste pas de banc.
Ça ne parait pas beaucoup sur les photos mais ces abris sont très larges. Ce serait en effet un non-sens de ne pas y ajouter quelques bancs.
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En effet, ce serait mieux en noir je trouve mais peut-être que ce sera uniformisé avec le reste.
Les portes n'ont pas encore été posées non plus.
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Montréal teste la performance de ses infrastructures végétalisées
Radio-Canada
Publié à 4 h 02
Vue de la place des Fleurs-de-Macadam à Montréal.
PHOTO : RADIO-CANADA
Par une belle journée de novembre, des gens sont assis au soleil sur les bancs de la place des Fleurs-de-Macadam, en bordure de l'avenue du Mont-Royal. À leurs pieds, des boyaux d'arrosage branchés à des bornes-fontaines déversent des milliers de litres d'eau dans le parc. Pourtant, rien ne déborde.
L'objectif est de créer une pluie de récurrence 25 ans et de voir comment le système se comporte, indique Marie Duguay, cheffe d'équipe au Service de l'eau de la Ville de Montréal.
L'eau qui ruisselle des rues avoisinantes s'engouffre à grand débit dans le parc. C'est l'équivalent d'une pluie de 51 millimètres en trois heures, un peu comme l'averse torrentielle qui s'est abattue sur Montréal le 16 juin 2022.
Au centre de la place, un lac se forme autour des pierres décoratives. Par un système de canalisations dissimulées sous le sol de ciment, elle s'écoule dans des bassins végétalisés situés dans le pourtour. Là, elle s'accumule, mais finit par s'infiltrer dans le sol. Le test est réussi.
On veut voir différentes choses, explique Mme Duguay. Est-ce que l'eau rentre bien de la rue vers le parc? Est-ce que l'eau s'accumule, en combien de temps elle s'infiltre dans le sol?
Sensibilisation
L'exercice est aussi l'occasion de sensibiliser la population au fonctionnement d'une place résiliente, un type d'infrastructure encore peu fréquent dans la métropole.
On sait très bien que, de plus en plus, on a des précipitations plus abondantes, indique Lina Maria Giraldo, de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal. On voulait montrer les différents aménagements qui sont possibles pour gérer les eaux de façon durable.
Les places résilientes, ou water squares, permettent en effet de détourner d'importantes quantités d'eau du réseau d'égouts municipal et d'éviter les surverses dans le fleuve lors de fortes pluies.
Ces ouvrages font partie des infrastructures végétalisées, qui se multiplient un peu partout au Québec. La fédération Québec Vert, qui regroupe l'industrie de l'horticulture ornementale, en a recensé plus de 500, dont environ la moitié à Montréal et en Montérégie.
Toutes les études le démontrent, affirme Luce Daignault, directrice générale de Québec Vert. En intégrant des végétaux, qui coûtent tellement moins cher, en faisant une noue à côté, vous n'avez plus besoin d'avoir une infrastructure grise aussi grosse. Ce sont vraiment des économies.
Le Québec a néanmoins tardé à adopter ce type d'infrastructures, comparativement à des régions comme Seattle et la Colombie-Britannique, reconnaît Mme Daignault.
Craintes et interrogations
Avancée de trottoir drainante, arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie
PHOTO : RADIO-CANADA
La performance et le comportement de tels ouvrages, en hiver, a alimenté de nombreuses craintes, selon Sophie Duchesne, professeure-chercheuse à l'Institut national de la recherche scientifique (INRS).
Il y a des gens qui se demandent, pour le déneigement, comment on va faire pour adapter nos opérations de déneigement avec toutes les saillies de trottoir. Ensuite, certains se demandent si l'hiver, lors des redoux et avec la glace, est-ce que ça va quand même fonctionner ou si ça va être bouché et on va avoir de l'eau qui va s'accumuler partout dans la rue?
Pour en avoir le cœur net, l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a mandaté une firme d'urbanisme pour étudier le comportement hivernal des avancées de trottoir drainantes, construites par dizaines au cours des dernières années.
Certainement, on avait des préoccupations, reconnaît Carl Tremblay, ingénieur à l'arrondissement. L'idée aussi, c'est que ce concept de saillie végétalisée drainante est maintenant normalisé à la Ville de Montréal, et on voulait s'assurer que le concept répondait aux besoins.
Carl Tremblay, chargé de projet à l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie
PHOTO : RADIO-CANADA
Les Ateliers Ublo ont étudié 24 avancées de trottoirs de l'arrondissement. Ces ouvrages sont en fait des élargissements de trottoirs où l'on retrouve de la terre et des végétaux. Un système amène l'eau de pluie qui ruisselle de la rue. Un puisard, situé parmi les végétaux, capte le trop-plein et l'envoie aux égouts si la terre est incapable d'absorber toute l'eau.
Conclusion : les ouvrages se comportent comme prévu, sans débordement observé. Ce sont plutôt les comportements humains qu'il faudrait adapter, indique l'urbanisme Pascale Rouillé, des Ateliers Ublo.
On a noté des accumulations de neige volontaires dans les ouvrages, ce qui a pour effet d'abîmer les végétaux et de compacter [la terre] qui permet la rétention des eaux de pluie, dit-il.
Recommandations
À éviter également : le dépôt de déchets dans les avancées de trottoir, car les résidus peuvent bloquer les puisards. Enfin, les équipes de déneigement devraient être mieux sensibilisées afin de protéger les installations.
Pascale Rouillé, urbaniste aux Ateliers Ublo
PHOTO : RADIO-CANADA
Cette étude sur le comportement hivernal des avancées de trottoir drainantes pourrait rassurer les municipalités qui hésitent encore à construire de telles installations, selon Pascale Rouillé, urbaniste aux Ateliers Ublo.
Depuis que les premières pratiques ont émergé au Québec, dans les années 2008-2009, les craintes restent présentes malgré les études. Alors, de voir un arrondissement qui ajoute sa pierre à l'édifice, ça vient sécuriser beaucoup de monde, dit-elle.
Pour aider les municipalités à recourir aux infrastructures végétalisées, Québec a lancé cette année le programme OASIS, doté de 113,6 millions de dollars répartis sur cinq ans.
Luce Daignault, directrice de Québec Vert, craint toutefois que cette somme soit insuffisante, compte tenu du nombre de projets au Québec.
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En consultant les horaires aujourd'hui, j'ai appris que le bus du SRB à Montréal (le 439 Pie-IX) ne se rends pas jusqu'aux stations SRB de Laval 😕, il termine son trajet près du pont Pie-IX, ce qui signifie que les utilisateurs de Laval doivent attendre et monter dans un 2e autobus pour arriver aux stations St-Martin ou de la Concorde. Amère déception et à vrai dire je n'y vois plus tellement d'avantages car c'était précisément ce que nous devions faire auparavant. Attendre un 2e autobus se traduit par une perte de temps et les inconforts qui vont avec en hiver.
Ils comparent ce service à une ligne de métro, mais c'est une simple voie réservée, et à ce point-ci je trouve les avantages bien minces à moins que dans l'avenir le service soit assuré par un seul autobus sur toute la ligne.
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Autre photo électrisante du Montréal d'antan. 😵
1944 -Rues Notre-Dame et Saint-Laurent. Réseau de la Montreal Light Heat and Power
À Montréal au début des années 1940, c’est la Montreal Light Heat and Power, en activité depuis 1901, qui fournit l’électricité et le gaz. En 1944, afin que le Québec puisse profiter pleinement de cette ressource rentable, le gouvernement québécois d’Adélard Godbout achète la compagnie pour créer une nouvelle société d’État : La Commission hydroélectrique du Québec qui deviendra la Société Hydro-Québec.
Crédit: Montréal en 375 temps et Archives de la ville de Montréal
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Il y a 16 heures, ToxiK a dit :
En fait, ça fait plus de 35 ans qu'ils parlent d'installer une façon pour les cyclistes et les piétons d'utiliser le pont Papineau. Ils parlaient d'une passerelle qui pourrait être installée à côté du pont "lors des prochaines rénovations"... Ça, ce ne serait pas une mauvaise idée si on ajoute cette voie pour les cyclistes et les piétons, pas si on enlève de la capacité pour les voitures.
Et cette voie pourrait être relié à un REV sur Gouin (pas sur Henri-Bourassa).
Quand je suis déménagé à Laval, ce fut l'une de mes premières déceptions de réaliser que j'aurais à rouler jusqu'au pont Pie-IX ou Viau pour traverser. Beaucoup de kilomètres à vélo pour rien qui nous font parfois opter pour l'auto ou le bus-métro. Incompréhensible qu'ils n'aient pas ajouté ça dans les plans avant la construction du pont -et ça aurait dû être ajouté depuis, compte tenu de la présence du parc de l'île-de-la-visitation dans le secteur.
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1964, site de la future maison Radio-Canada
Photo © Archives de la Ville de Montréal
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Maestria - 57 et 61 étages
dans En Construction
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