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Messages posté(e)s par andre md

  1. il y a 1 minute, ToxiK a dit :

    On peut le faire en changeant les règlements qui exigent qu'il y ait quelque-chose comme 7 employés de professions différentes présents pour poser une poignée de porte ou pour changer une ampoule électrique...

    La CAQ travaille sur un projet de loi dans ce sens, au grand dam des syndicats.

    Et pourtant avec un plus grand nombre de classe de metiers on devraient voir plus d'ouvrier sur les chantiers et ce n'est pas ce que l'on voit.

    J'ai vue de mes yeux des ouvriers de la construction a Buenos Aires transporter des brouettes rempli de ciment a partir de la rue et descendre dans le trou sur des rampes en terrer pour aller tout en bas verser le ciment dans les footing des fondations.

    Ce qui m'a plus impressioner c'est la construction de metrobus(SRB) en un temps records.

    Et quand on voit leur technique de construction assez archaique ils finissent quand meme plus rapidement leur projet que nous.

     

  2. Il y a 2 heures, ToxiK a dit :

    C'est pour ça qu'il faut augmenter la productivité, sinon on se retrouve avec une bonne partie de la main-d'oeuvre qui même avec des gents travaillant à plein temps se retrouvent à couter davantage à la société que ce qu'ils peuvent apporter, même avec toute la bonne volonté du monde.  Les gens travaillant au salaire minimum paient très peu d'impôts, mais en prime ont souvent besoin d'aide au revenu et de logements sociaux subventionnés.  Sans compter que l'industrie de la pauvreté voudrait que la STM et Hydro-Québec par exemple leur offre des tarifs plus bas (ce qui forcerait ces sociétés à embaucher une panoplie de travailleurs syndiqués pour déterminer qui a droit à ces tarifs spéciaux).  Si les entreprises qui emploient des gens au salaire minimum ont leur marché au Québec, c'est nous qui profitons des prix plus bas que ces bas salaires occasionnent, et étant donné que c'est nous (à travers nos impôts) qui payons pour ces subventions, c'est plus ou moins un jeu à somme nulle.  Cependant, si les marchés de ces entreprises sont à l'étranger, ce sont les autres pays qui profitent des subventions à des travailleurs étrangers.  Ce n'est plus payant pour le Québec.

    Il faut que les entreprises qui peuvent s'automatiser le fasse pour libérer de la main-d'oeuvre pour celles qui ne le peuvent pas.  Le Québec n'a pas à subventionner d'emplois pour des entreprises qui paient le minimum du minimum légal et qui ne veulent pas investir en équipement quand elles en ont la possibilité.

    J'ai un ami qui travaille dans une entreprise dont je nommerai pas le nom. Cette a entreprise a embaucher 4 mexicains. L'entreprise a trouver un logement pour les 4 personnes et aussi une voiture. Ils enleve le cout du loyer et de la voiture sur leur paie. Ils gagnent 19$ de l'heure pour votre information.Ils sont jeunes dans la 20 aine. Je ne voie pas en quoi ils peuvent peser sur les services publiques. A cette age habituellement on utilise pas vraiment les services de santé.  Et ils sont aussi sans enfants.

    Cette entreprise doit embaucher 4 a 6 autres mexicains dans le futur.

    Dans tout les cas ils ne faut pas oublier que tout nos voisins les provinces canadienne et les etats americains utilise aussi beaucoup de main d'oeuvre etrangere. On n'est ni mieux ni pire.

    La ou on a doit faire nos devoirs c'est d'ameliorer nos moyens de production au Quebec car on est en retard sur les autres.

    Et parlant de moyens d'automatiation ce n'est pas toujours possible d'en faire autant.

    Quand je regarde des chantiers de construction au Quebec avec presque pas de travailleurs je ne voit pas comment on pourrai réduire encore plus le nombre d'ouvriers. Juste a comparer avec des chantiers equivalent que j'ai vue par exemple en Argentine pour construire des SRB avec 2 a 3 fois plus d'ouvrier de la construction. Peut etre moins productif, mais étonnament les projets d'infrastructure la-bas ce font beaucoup plus efficacement et rapidement .

     

     

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  3. il y a une heure, ToxiK a dit :

    Il faut moderniser les processus et augmenter la productivité.

    Ca fait longtemps que les USA font la meme chose et jouent a l'hypocrite. Des millions de travailleurs illégaux sur leur territoire ca fait l'affaire de tout le monde. Si au Quebec et au Canada on cri.... dehors tout les immigrant temporaire on est dans la m.... pas pour rire, aussi bien fermer tout les parcs industriels a Montréal. La journaliste qui écrit ce texte s'imagine que c'est aussi simple de  s'en passer . Elle devrait se mettre dans la peau d'un propriétaire d'entreprise.  Je travaille a mon compte et je n'ai pas pris de vacances depuis 5 ans. J'essaie d'imaginer un robot qui va aller booster un camion a -20celcius. L'automatisation ce n'est pas aussi simple que l'on dit.

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  4. Le 2024-01-18 à 10:17, ToxiK a dit :

    On n'augmentera pas l'égalité en taxant les riches plus qu'ils ne le sont déjà au Québec, ils font déjà largement leur part.  Ça va se faire si les pauvres y mettent du leurs et qu'ils s'aident à améliorer leur sort.  Être pauvre n'est pas un état de fait, c'est le résultat d'un ou plusieurs facteurs de risque.  Dans notre monde actuel, pour s'enrichir, il faut s'éduquer, et il faut travailler (et pas toujours dans des emplois relaxants).  Il faut aussi contrôler son budget et dépenser modérément. 

    Au Québec, les gens ont déjà accès à une éducation de qualité et à une éducation supérieure à bas prix (avec des prêts et bourses pour ceux et celles qui en ont besoin).  Mais on ne doit pas baisser les standards pour permettre à tout le monde de réussir quand ils n'ont clairement pas appris la matière.  C'est là que les étudiants doivent mettre des efforts.

    Si on se plaint d'être pauvre et qu'on vit sur le B.S., c'est peut-être là le problème, non?  Il faut travailler.  Ça tombe bien, on est dans une période de pénurie de main-d'oeuvre.  Les emplois sont là, mais une fois qu'on a un travail, il faut le faire adéquatement, même si c'est plate et difficile.  Les emplois sont aussi plus payants qu'avant, alors plus d'excuses.  Si quelqu'un travaille au plus fort de ses capacités et avec un horaire à temps plein et que malgré tout il n'arrive pas à joindre les deux bouts sans faire de dépenses extravagantes, on peut l'aider.

    Offrir des cours de budget ou de "consommateurisme" (je n'aime pas le mot; il s'agit ici d'un cours qui explique les pièges du monde de la consommation) au secondaire ou même en cours du soirs pour les personnes qui le veulent donneraient de meilleurs outils aux gens pour gérer leur argent.

    On a un système de santé publique.  Si les gens sont blessés ou malades, on les soigne gratuitement.  Une fois qu'ils sont guéris, ils peuvent retourner sur le marché du travail.  Cependant, pour les gens qui ont une maladie incurable ou un handicap, il faut de l'aide.  Cette aide peut aussi être une subvention pour permettre à un employeur d'adapter le milieu de travail pour accommoder un travailleur handicapé, ça ne doit pas toujours être une forme de B.S.  Même chose pour les cas de maladie mentale ou de dépendance; les gens ont besoin d'aide, celle-ci doit être disponible.  Mais l'État ne peut pas tout faire le travail.

    Le problème est que l'industrie de pauvreté cherche à rendre les pauvres confortables dans leur pauvreté plus que de les aider à s'enrichir.  C'est le côté woke de l'industrie qui ne croit pas qu'un désavantage social puisse ou doive être corrigé car il n'y a pas de meilleur status que celui de victime.  En prime, une victime a toujours besoin d'aide et l'industrie de la pauvreté est toujours prête a aider, parfois pour un prix, mais surtout pour obtenir une auto-validation émotionnelle.

    Tu parles comme un méchant capitaliste. 

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  5. Il y a 6 heures, budgebandit a dit :

    the ultimate stupidity that the WI branch stations aren't located on Sources, St-John's and St-Charles 

    Il y a une station a Des Sources.  Preferable du coté nord mais bon.

    Aurait été preferable de mettre directement au centre de l'autoroute et avoir des acces des deux coté nord et sud ou Directement un acces a partir du viaduc st-jean. Un peu comme on a fait a la station du cartier.

    Je sais qu'il n'y a pas tellement de place au centre de la 40 mais si on fait un dégagement de 14 pieds minimum jusqu'a peut etre 20 pieds. On pourrait facilement inserer des pilier au centre de l'autoroute. Un peu compliqué pendant la construction car on perd des voies mais ce n'est que temporaire.

     

  6. il y a 51 minutes, Brick a dit :

    Le problème souvent vient du fait que les policiers préfèrent arrêter le petit consommateur tranquille de cannabis ou d'alcool dans un parc que de s'en prendre à des utilisateurs de drogues dures, déjà agressifs et intoxiqués, dont des témoins risquent de filmer l'intervention pour la dénoncer illico ce qi risque de dégénérer. Je crois que les lois actuelles leur permettent d'intervenir dès maintenant. Je ne crois pas que les ordres vont en ce sens.

    Va falloir durcir le ton. A Paris tu ne verras pas ca du laisser faire comme on voit ici.

    Que l'on mette des camera sur les policiers  pour filmer les interventions.

    Et que l'on arrette d'appeler ces gens intoxiqué de personnes vulnérable. Ce sont plutot des gens avec des problemes.

     

     

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  7. Il y a 6 heures, denpanosekai a dit :

    1998? Nothing before that?

    L'usine de  Belding-Corticelli Coin DesSeigneurs et St-Patrick peut etre la premiere a etre transformé pour en faire des condos. On parle de 1989.

    La Stelco sur Notre-Dame et Charlevoix je crois que ca été transformé plus ou moins en meme temps que la Belding-Corticelli.

     

     

     

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  8. Le 2024-01-03 à 13:34, mtlurb a dit :

    Un indicateur qui me donne tort est la vente de véhicules au Canada.... Les chiffres de 2023 dépassent ceux de 2022.... À rien y comprendre.

    image.png

    https://www.marklines.com/en/statistics/flash_sales/automotive-sales-in-canada-by-month

    Par contre encore loin des chiffres de 2017.

    Facile a expliquer en 2022 il y avait un gros backlog de vehicule chez les concessionaire peu de voitures disponible ca c'est améliorer en 2023.

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  9. il y a 28 minutes, mtlurb a dit :

    German government backtracks on tax hikes for farmers following protests

    The country’s ruling coalition continues to struggle to finalize a budget for 2024.

    JANUARY 4, 2024 5:56 PM CET
    2 MINUTES READ

    BERLIN — Germany's three-party ruling coalition on Thursday partly backed down from a proposal to cut tax privileges for farmers after facing emotional protests.

    The government said in a statement that it would gradually phase out tax breaks on diesel fuel for farmers over multiple years rather than cut the benefit abruptly as coalition leaders had initially proposed, in order to “give the affected companies more time to adjust." The government also said it would waive planned tax increases for agricultural vehicles.

    The leaders of Chancellor Olaf Scholz's coalition had previously announced the tax hikes on farmers as part of a draft budget deal for 2024 presented last month. The planned increases were part of the coalition’s attempts to plug a multi-billion-euro budget gap that appeared after the country’s top court ruled that some of its spending practices were unlawful.

    In response to the coalition’s proposal, farmers organized a major protest in Berlin in which a convoy of 1,700 tractors blocked the main road leading to the Brandenburg Gate. Farmers have also planned nationwide protests for next week.

    The coalition climbdown is unlikely to appease the protesters.

    "This can only be a first step,” said Joachim Rukwied, president of the German Farmers' Association. “Our position remains unchanged: Both proposals for cuts must be taken off the table. This is clearly also about the future viability of our industry and the question of whether domestic food production is still desirable at all."

    As the ruling coalition struggles to finalize a budget for 2024, the continued resistance of farmers illustrates how difficult it will be for party leaders to agree budget cuts without political repercussions.

    The government said it plans to compensate for the latest change to its budget plan partly by using revenue from offshore wind tenders.

    https://www.politico.eu/article/germany-government-backtracks-tax-hikes-farmers-protests/

    J'ai pas encore vue de machinerie agricole qui ne fonctionne pas avec du diesel. Les politiciens sont dans leur monde virtuel détaché de la realité.

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  10. Il y a 3 heures, mtlurb a dit :

    Oui exactement deux pays différents, deux politiciens aux opposés... mais les médias à gauche aiment ça tout "étiqueter" Trump ou extrême droite... dès que c'est pas à gauche. lol

    Il entends couper la majorité des ministères et leur employés... c'est peut être impossible pour '24, mais il sera pas très loin.

    Coupe Ia banque centrale, c'est comme détruire la machine à imprimer le cash... ce que les gouvernements argentins des dernières 80 années ont abusés... bref, c'est difficile pour nous de comprendre leur situation puisqu'au Canada et USA, les banques centraux sont "très" indépendantes.

    Je sais que Milton Fridman avait conseillé le Chili en mettant en place des mesures similaires dans les années 70-80, mais moins draconiennes, et ça été un franc succès.... jusqu'à ce que le dernier gouvernement tue la poule aux oeufs d'or.

    Par observation pour l'amerique du sud les politiciens de droite n'ont pas fait mieux.

    La Colombie a connu majoritairement des politiciens de droite jusqu'a dernierement. Et l'économie n'a pas étè tres bien non plus.

    Evo Morales de la gauche en Bolivie a sorti beaucoup de gens de la pauvreté.

    Lula da Silva au Bresil a fait mieux que Michel Temer ef Bolsonaro

    L'equateur a un gouvernement a droite depuis un certain temp et c'est pire que le gouvernement precedent de gauche

    Le probleme majeur des pays sud americain. C'est la corruption loin devant tout le reste.

    Connaissant les argentins j'ai hate de voir comment ca va ruer dans les brancards. Je ne crois pas vraiment qu'ils sont tout a fait pres a faire des sacrifice pendant des années. Car ca va prendre des années a regler les finances du pays. Pas des mois comme promet Milei.

     

     

  11. il y a 58 minutes, mtlurb a dit :

    Un petit vidéo pour décortiquer les grandes différences entre Trump et le nouveau président argentin Milei.

     

    Deux pays totalement différents. Et les USA ont l'avantage  d'avoir le $ americain ils peuvent s'endetter comme ils veulent leur monnaie ne va pas s'enfoncer comme le pesos argentin.

    En esperant  pour mes amis  en Argentine que Milei reussise son pari de redresser le pays.

    Il promet l'équilibre budgetaire en 2024 c'est rapide.

    Un video interessant de visual economik de la meme équipe de visual politik  . Mais en espagnol par contre. Sur les défi qu'il va rencontrer.

     

  12. il y a 8 minutes, mtlurb a dit :

    AI-based drug developer Insilico starts seriously staffing up in Montreal

    December 11 at 1:45 AM
    By David Reevely

     

    Forty slides into his presentation on generative AI in the pharmaceutical business, Alex Zhavoronkov’s staff are trying to give him the hook. He has been going about his task, celebrating the expansion of Insilico Medicine’s offices in Montreal in an unorthodox way.

    “I’m going to need another 16 minutes, max,” he says to someone off stage. “Can I do that? What do you mean, ‘No, no’?’”

    B ut Zhavoronkov is Insilico’s founder and co-CEO, which makes this gathering in the Queen Elizabeth Hotel his party, and him the black-clad, Slavic-accented, slick-haired master of ceremonies on a riser.

    Fine, he says. I have 20 slides left, but I’ll skip a few and go fast. Buckle up.

     

    Talking Points

    Insilico Medicine’s Alex Zhavoronkov says he refuses to engage in geopolitics, but the AI-based drug company is staffing up in Montreal because of tectonic political and economic forces

    Insilico’s Eastern European data scientists mostly moved to the Persian Gulf in 2022, where they’re overseen by a Concordia PhD and see some of the results of their work tested in wet labs in China for a company with headquarters in Hong Kong and New York

     

    It’s not as though Zhavoronkov’s audience can’t appreciate the ride, even if it is sometimes a fever of logos and dense timelines and imaging methylation transcriptomics. The group includes people like Health Canada’s chief data officer, and its director general for rare diseases; senior officials from Innovation Canada; whizzes like the University of Toronto’s Alán Aspuru-Guzik and Steve Liu, a McGill University professor and associate member of Mila, Montreal’s AI research institute.

    Also Stéphane Paquet, the CEO of the investment promotion agency Montréal International, who is tickled to have landed the Insilico expansion.

    “I must say that we’ve had quite a few AI labs in recent years,” Paquet says. But this one “merges two of the most strategic sectors in Montreal, which is life sciences and AI.”

    It didn’t have to be in Montreal. Founded in the U.S. in 2014, Insilico now feels like a throwback to peak globalization, scattered around the world with a globetrotting chief executive (whose languages don’t include French).

    The company’s twin headquarters are in New York and Hong Kong. Its key AI researchers are mainly in the United Arab Emirates, and most of its wet-lab work in mainland China. Zhavoronkov is a Latvian Canadian (born Aleksandrs Žavoronkovs) with degrees from Queen’s in Kingston, Ont., Johns Hopkins in Baltimore, Md., and Lomonosov Moscow State University.

    Zhavoronkov’s mission, through Insilico, is to solve aging. If he can’t do that, he wants to extend people’s lives as much as he can and “ensure that the transition from today to the grave is as pleasant as possible, and disease-free.”

    That’s the goal. Insilico’s method is to, in Zhavoronkov’s words, “deliver really effective therapeutics to patients at record speed.”

    The process of taking a drug from concept to market is so arduous, he says, that he can address a room full of professional pharma researchers and be speaking to nobody who has actually done it. Pulling it off takes years and sometimes billions of dollars.

    “It’s a very rare skill set. With AI, those people who have the skill set—they can become superheroes,” he says.

    Insilico has no drugs on the market yet, but it has several in clinical trials and others in pre-clinical testing. Clinical trials to prove that a new medicine is safe, effective and worth the costs and side effects are necessarily arduous and time-consuming, and AI-aided drug discovery is new.

    The company already has a presence in Montreal, built around Petrina Kamya. A Concordia chemistry PhD originally from Nairobi, Kamya is the president of Insilico Canada and the global head of Insilico’s AI platform work.

    “A year and a half ago, it was just me, as the employee in Canada,” she said in an interview. “Having been educated in Montreal, I’ve seen a lot of my classmates come and leave. … It was always one of my passions to bring those people back.”

    “I object to any form of racism or nationalism, and support globalization and cooperation, which was kind of the spirit of Canada when I first arrived.”

    Kamya herself joined Insilico almost by chance, encountering Zhavoronkov while she was doing due-diligence work for investment banks interested in the drug business. He convinced her to join the company early in the COVID-19 pandemic.

    “We did not see each other in person for the first two years,” Zhavoronkov told The Logic in an email exchange. Home for him is sort of Abu Dhabi, sort of Hong Kong, but really anywhere he can get Wi-Fi.

    “I … refuse to engage in any kind of geopolitics, object to any form of racism or nationalism, and support globalization and cooperation, which was kind of the spirit of Canada when I first arrived in 1996,” Zhavoronkov wrote.

    Geopolitics, however, engages with Insilico.

    Zhavoronkov returned to Baltimore to start the company, but found deep-learning professionals in the U.S. scarce, and their salaries prohibitively expensive. “I outsourced many of the algorithmic tasks to Russia, Ukraine and Poland,” Zhavoronkov wrote.

    When Russia invaded Ukraine in 2022, that arrangement became untenable, but bringing most of the team from Eastern Europe to Canada—through an overburdened immigration system that favours the most highly skilled applicants—was impractical.

    “Anyone who’s junior, you’d have to go through a very, very long process,” Kamya said.

    The U.A.E. welcomed those people more eagerly, so that’s where most of them went. The result was a group of 13 leaders with Kamya in Montreal, overseeing teams totalling about 80 people located halfway around the world on the Persian Gulf.

    “The idea of what we have planned for Montreal is to take advantage of [local] talent. So we have the office now established, and the idea is to grow the team in Montreal,” she said. The company has approached its landlord in its downtown office tower—1250 René-Lévesque Blvd. W., one of the most prominent in the city—about renting more space.

    Insilico has three AI-based tools to help find new drugs: PandaOmics for identifying chemical structures to target, Chemistry42 for identifying chemicals that could target them, and inClinico to help design clinical trials to test whether they work. It’s now bound them together with a ChatGPT-based interface, to make configuring their highly specialized features simpler by, for instance, translating a quality like “better at crossing the blood-brain barrier” into precise parameters.

    It is not only a tools company: Insilico is working on drugs of its own, with four candidates in clinical trials. One, a treatment for idiopathic pulmonary fibrosis, a degenerative lung condition, has reached the stage of recruiting patients in China for Phase 2 trials, and Insilico has registered plans with the Food and Drug Administration to conduct U.S. trials.

    Even a Phase 2 trial is a long way from the market, but it puts Insilico’s drug among the most successful AI-derived pharmaceuticals yet.

    “Initially, we were a tech-first company. We were developing the tools. And we were constantly asked, ‘How do we know it works?’” Kamya said. “So we decided to build our own pipeline to show that if we can do it as a small tech company, and get to the clinic faster and cheaper, then any of our partners or people who can leverage our technology can also do that.”

    To the obvious question this raises—why sell access to the tools if Insilico can make drugs itself?—Kamya answered that making and testing real-world drugs is expensive, and licensing the underlying technology makes money now.

    “If you do your synthesis and test [in China], you can get drugs to patients one year sooner, with higher probability of success.”

    What’s more, getting to human trials requires an enormous amount of pre-clinical laboratory work.

    Geopolitics again. Canada has stomped on federally funded academic partnerships with potential adversaries—with both artificial intelligence and biotechnology on its preliminary list of sensitive research areas. But as a private company, Insilico isn’t directly bound by those restrictions, so it can assign lab work to specialty contractors in China.

    “China built the most efficient contract research infrastructure on the planet,” Zhavoronkov told The Logic. “According to my estimates, if you do your synthesis and test there, you can get the drugs to patients at least one year sooner and with higher probability of success.”

    The research work is contracted out but overseen by Insilico scientists, Zhavoronkov wrote.

    “Our lab works with cells, organoids, and animal tissues, disease models, and xenografts, but we do not process any patient data. We rely on local vendors to process biological data and also to conduct clinical trials.”

    The China connection extends beyond contract research. Warburg Pincus led investment in Insilico’s US$255-million Series C round in 2021, which included participation from China’s Qiming Venture Partners, Sinovation Ventures and Baidu Ventures, plus trans-Pacific entities like Pavilion Capital, Lilly Asia Ventures and Sequoia Capital China.

    “PandaOmics,” the AI tool for finding potential drug targets, is a rebranding of a platform previously named “Pandomics,” Kamya said, which turned out to be a bad choice in the middle of a pandemic. “Omics” is a microbiology term covering a swath of subspecialties like genomics, metabolomics and proteomics; “pan” implies the platform covers them all.

    The allusion to the furry klutzes China shares with favoured countries is a total coincidence, Kamya said (though Insilico has leaned into it with an android-looking panda mascot).

    “We are a global company,” she said. “I’m not going to say we have not been challenged. People think we’re a Chinese company or we’re affiliated with Russia, but the truth is we’re a global company, and we’ve managed so far to avoid getting tangled with geopolitical issues.”

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    But Zhavoronkov is Insilico’s founder and co-CEO, which makes this gathering in the Queen Elizabeth Hotel his party, and him the black-clad, Slavic-accented, slick-haired master of ceremonies on a riser.

    F ine, he says. I have 20 slides left, but I’ll skip a few and go fast. Buckle up.

    It’s not as though Zhavoronkov’s audience can’t appreciate the ride, even if it is sometimes a fever of logos and dense timelines and imaging methylation transcriptomics. The group includes people like Health Canada’s chief data officer, and its director general for rare diseases; senior officials from Innovation Canada; whizzes like the University of Toronto’s Alán Aspuru-Guzik and Steve Liu, a McGill University professor and associate member of Mila, Montreal’s AI research institute.

    https://thelogic.co/news/ai-based-drug-developer-insilico-starts-seriously-staffing-up-in-montreal/

    Apres Legault va te scraper tout les avantages de Montreal en creant des difficultés aux universités anglophones et en complicant les processus d'immigration.

     

    • D'accord 4
  13. Le 2023-12-10 à 07:59, Brick a dit :

     

     

    Avant de lire le commentaires de Toxik, j'allais justement rappeler que le Québec a été amputé du Labrador par Londres pour attirer Terre-Neuve au Canada qui se faisait tirer l'oreille. Cette ampuation n'a jamais été reconnue par le Québec, tous partis au pouvoir confondus.

    J'aime la réplique de Palki Sharma a un journaliste brittannique.

     

    • Haha 2
  14. Il y a 7 heures, ToxiK a dit :

    Si les pays d'Amérique du Sud (probablement avec le support des États-Unis) se mettent ensemble pour repousser cette agression, ça pourrait être la fin de l'épouventable gouvernement Maduro.  Le support des USA va être de plus en plus difficile à obtenir avec les Républicains qui marchande leur support à très fort prix (et avec leur Messie Trump qui ne comprend rien à rien).  Si on laisse faire les dictateurs, ils deviennent de plus en plus téméraires (mais pas plus intelligents), et plus forts.  Les pays d'Amérique du Sud sont peut-être des démocraties imparfaites, mais je vais prendre ces imperfections bien avant une dictature à la Maduro/Chavez.

    Les pays d'amerique du sud vont   surement rien faire.

    Et peut etre meme appuyé le venezuela.

    Juste comme ca le nouveau president d'Argentine Javier Milei  parle de recuperer les iles malvinas (iles fakland) aux brittanique.

    Les brittanique on foutu la m... partout avec les redecoupage de frontiere. Que se soit au moyen-orient. Ou encore avec la scission du pakistan et de l'inde.

  15. Il y a 6 heures, mtlurb a dit :

    Ça va beaucoup plus vite que plusieurs pensaient, il faut littéralement enlever le point d'exclamation sur le vidéo que j'ai mis en ligne.... Le Vénézuela a déjà légiféré pour annexer la "nouvelle province", mise à jour la carte national officielle et masse ses troupes sur la frontières. :(

    Cette region faisait partie du venezuela auparavant. C'est les brittanique qui on scindé cette partie pour la rattacher a la guyanne. Ils sont aller en arbitrage en 1899 mais ca été fortement en faveur des brittanique.

    Et ca fait longtemps que c'est contesté. Bien avant maduro.

    Le venezuela devrait plutot contester en cour les limites frontaliere plutot que d'aller en confrontation armée.

    De bonne chances qu'il gagne leur point.

     

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