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uqam+

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Messages posté(e)s par uqam+

  1. On installe la brique sur la façade ouest. En passant devant, on voit là aussi un contraste entre deux couleurs de briques, une sorte d'anthracite et une couleur terre cuivrée, un peu chamoirée.

     

    Franchement, je ne suis pas sûr que l'effet soit particulièrement réussi. La brique peut être un matériau un peu terne et pour pallier à ça il est fréquent de l'utiliser de manière contrastée, soit avec une autre couleur de brique, soit avec la pierre, etc. Mais ici on redouble de contrastes de toutes sortes. C'est la tentation des architectes modernes devant le défi d'animer de grandes façades : multiplier les sources de variation. Au final, on risque toutefois d'aboutir à du disparate un peu gratuit, sans cohérence. (La façade d'en face, de la grande bibliothèque, est l'aspect le moins réussi de l'édifice, me semble-t-il, par le défaut inverse : trop d'uniformité.)

     

    En regardant attentivement le rendu du haut de la page, on voit que cette alternance de briques de couleurs différentes était prévue.

     

    Mais attendons la fin, on verra bien ce que ça donnera.

  2. Bravo! Bien dit! :highfive: Des fois je ne reviens pas de ce qui se dit sur ce forum!

     

    Qu'est-ce qui se dit de si extraordinaire ?

     

    Certains sont favorables au projet tel quel, et le disent, en donnant leurs arguments. D'autres apportent des critiques ou des doutes sur la probabilité qu'il se fasse, en apportant des arguments. Je ne vois ce qu'il y a là qui mérite de "ne pas en revenir".

  3. Plutôt d'accord avec Rocco sur ce projet tel qu'on nous le montre maintenant. Je ne comprends pas par ailleurs pourquoi certains grimpent dans les rideaux dès qu'il y a une critique d'un projet. S'il faut tous dire la même chose tout le temps, aussi bien fermer le forum...

     

    Un dégradé des hauteurs aurait mieux épousé le relief de Montréal, me semble-t-il. Et la densité doit valoriser la vitalité au niveau de la rue. Compacter des pierres tombales géantes ne garantit pas nécessairement une densité avec des effets d'entraînement.

     

    Mais je crois qu'acpnc a probablement raison. On discute sur un projet qui ne se réalisera peut-être même pas, du moins dans sa totalité. Je me demande d'ailleurs parfois si ce n'est pas un genre de projet "gros bras" de cour d'école qui vise à intimider d'autres joueurs de l'immobilier. Une sorte d'arme de positionnement massive.

  4. Si jamais ça devait se faire un jour (un gros "si"), j'aimerais bien qu'on aille aussi de l'avant avec la petite boucle au centre-ville jusqu'à la station mcGill. Elle semble d'ailleurs nécessaire pour désencombrer la station berri. Je me prends même parfois à rêver d'une ligne jaune qui continue vers le nord le long de St-Urbain, jusqu'au mile end ! Mais je me calme assez vite...

     

    Petite note intéressée. Le prolongement de la ligne bleue étend "l'hinterland" de l'université de Montréal vers l'est. Celui de la ligne jaune étendrait le territoire naturel de l'uqam sur la rive-sud !

  5. Wow! Le 1000 un citron? À croire que le temps arrange parfois les choses...

     

    À distance, ce jugement sur le 1000 La Gauchetière semble largement "idéologique". Le débat faisait rage, à l'époque, sur le style post-moderne. Phylis Lambert avait fait une sortie contre l'édifice, elle qui avait été associée à un des papes du modernisme, Mies van der rohe, pour le Seagram Building à New York.

     

    Tout ça paraît bien loin, effectivement. Aujourd'hui le "1000" est souvent évoqué internationalement comme exemple de tour post-moderne. (On trouve même sa photo sur les pages wikipédia) Il donne une impression de cohérence et de solidité, avec une allure bien à lui. Je lui préfère personnellement la Tour de la bourse... mais il y aurait bien d'autres immeubles de Montréal auxquels penser pour un prix citron.

     

    Quant à la TdC, on peut la trouver pas si mal, selon les angles. Le refus du "tout en verre" est un choix qui se justifie. Mais j'imagine qu'elle continuera d'avoir ses détracteurs passionnés...

  6. Un petit résumé de la diversité architecturale dans le coin du Centre Bell. Aucune surprise pour les projets qui se distinguent.

     

    Crystal de la Montagne : BLT Architectes (Montréal)

    CCE : BLT Architectes (Montréal)

    Icone : BLT Architectes (Montréal)

    Roccabella : BLT Architectes (Montréal)

     

     

    Tour des Canadiens : Lemay MMA + CHBA (Montréal)

     

    Tour Deloitte : B+H (Toronto) + KPF (New York)

     

    750 Peel : Adrian Smith + Gordon Gill Architecture (Chicago)

     

    Tour des Canadiens 2 : Page+Steele (Toronto)

    L'Avenue : Page+Steele (Toronto)

     

    Holiday Inn : Architex (Montréal)

     

    Yul : MSDL (Montréal)

     

    Tous Lucien L'Allier : ACDF (Montréal)

     

     

    Merci pour cette liste très éclairante, Urbmtl.

     

    Le pire, à Montréal, c'est qu'on laisse très souvent de côté les firmes les plus innovatrices. (Je pense par exemple à Saucier Perrotte, mais à d'autres aussi.)

  7. Maintenant que Montréal bouge à nouveau, on pourrait constituer une petite "banque des vues qui vont bientôt disparaître".

     

    Certaines vues intéressantes, comme celle-ci, ou d'autres sur la tour Deloitte ou même sur l'Avenue et la TdC, ne dureront que quelques années.

  8. Je ne suis pas de ton avis. C'est le contexte qui détermine le sens. Ainsi, quand on dit «Ottawa», «Washington», «Paris», etc., cela veut souvent dire «le gouvernement du Canada», «... des EUA», «...de la République française», etc. Idem pour «Toronto»: le gouvernement de la province de l'Ontario. Par contre, quand on dit «Montréal», on entend aussi l'administration municipale de cette ville; pour Québec la ville, quand on veut désigner l'administration municipale, on dit «Ville de Québec». Mais si on parle d'une destination, plutôt que d'une entité administrative, il suffira de dire «je m'en vais à Québec» pour que tout le monde comprenne.

     

    Je suis d'accord qu'il faut dire «le Québec» quand on parle de l'ensemble du territoire; quand il s'agit du gouvernement, les deux modes d'expression sont possibles: «Québec», ou «le Québec» veut telle ou telle chose.

     

    Dans l'article cité sur l'immigration, il s'agit bien du gouvernement, pas du territoire. Quand je lis «Québec», je comprends immédiatement de «qui» il s'agit.

     

    L'analyse est intéressante et je comprends les nuances valables qu'elle apporte. Mais j'ajouterais un peu de picossage linguistique matinal :

     

    1. C'est extrêmement rare, sur l'enjeu de l'accueil des immigrations, que l'on désigne les capitales plutôt que les pays, puisque ça crée toujours un risque de confusion. On ne dit pas généralement, par exemple, "Berlin accueillera un million de réfugiés", mais bien l'Allemagne accueillera un million de réfugiés. Très certainement à cause du sens du mot accueil, qui renvoie non pas tellement à une décision prise dans une capitale - ou même à la notion abstraite de "territoire" - mais à ce que recevoir des réfugiés signifie concrètement sur le terrain, un peu partout dans la société. "Le Québec" veut donc dire la société québécoise, qui est l'acteur réel qui procède à l'accueil.

     

    Autre exemple. Le caractère concret du verbe accueillir nous détourne de dire "Brasilia accueillera les Olympiques de 2016". Je doute qu'on l'ait dit même lorsque la décision fut prise. La phrase claire et adéquate est "Rio accueillera les Olympiques de 2016". Le sujet de la phrase doit être l'acteur réel de l'accueil et non l'entité qui a pris la décision.

     

    2. La plupart des capitales ont un nom distinct du nom de l'entité politique dont elles sont les capitales. Il y a donc moins de risque de confusion. Pour éviter la confusion, au Québec, on emploie généralement "Québec" pour la ville (comme dans "Québec aura peut-être de nouveau, un jour, une équipe de la LNH") et "Le Québec" pour la province.

     

    Dans le cas qui nous occupe, la bonne question à poser me semble : laquelle des deux expressions crée le moins de risque de confusion, Québec, ou le Québec ? Ça me semble évidemment être "Le Québec". Sinon, on pourrait avoir des phrases comme "Québec accueillera cinquante mille réfugiés. Sur ce nombre, Québec en prendra dix mille..."

     

    Mais bon, en matière de langue, il y a souvent place au charme de l'ambiguïté...

  9. Le titre de ce fil devrait être changé.

     

    "Québec", sans l'article, c'est la ville. J'ai toujours l'impression en lisant ça qu'enfin on fera un effort supplémentaire pour accueillir plus d'immigrants dans la capitale.

     

    Pour parler de tout le Québec, il faut dire "Le Québec"

  10. Très belles photos.

     

    La dernière, de soir, permet de bien voir à quel point le secteur a changé. Si on retranche mentalement les constructions récentes ne restent que quelques tours cernées par des vides.

  11. J'avoue avoir un peu perdu le fil dans la succession des projets pour le site en question. (Au nord de la place Émilie Gamelin, l'ancien terminus)

     

    Il y a eu l'échec épique du projet d'un nouveau pavillon de l'uqam. Puis, l'idée d'un truc lié à la Faculté de médecine de l'Université de Montréal, tombée aux oubliettes. Puis, une sorte de projet de marché avec appui des citoyens... Quelqu'un sait où on en est là-dessus ?

     

    L'espace est vaste. On pourrait imaginer que la Bibliothèque nationale soit tentée de situer là, plutôt que plus loin au nord, son futur agrandissement. L'uqam-la-mal-aimée aurait aussi besoin de s'agrandir mais ce n'est pas demain la veille que le gouvernement va débourser un sou de plus de ce côté. Le plus amusant serait d'y mettre un pavillon de McGill, qui pourrait créer un centre d'observation de la société québécoise contemporaine, avec salaires boostés des profs pour éloignement en zone dangereuse. (Les profs pourraient même citer Mtlurb pour prouver la dangerosité...)

  12. J'habite le quartier depuis... 1993, 23 ans déjà, un peu plus haut, coin berri-sherbrooke. En me rendant à pied au travail, à l'uqam, je passe tous les matins devant le chantier. Ce que je souhaite d'abord, égoïstement, c'est que la présence de tous ces appartements fasse rouvrir l'épicerie du coin St-Hubert-Ontario.

     

    Cela dit, je comprends tout à fait si quelqu'un trouve que l'emplacement n'est pas ce qu'il souhaiterait pour lui. C'est bruyant. La rue Berri n'est pas une beauté. Il y a, c'est vrai, des itinérants, des poqués de la vie, de tout. L'achalandage de la gare d'autobus n'est pas de tout repos. La plupart de mes collègues intellos-de-gauche-uqamiens ne vivront bien sûr pas là. Ils sont dans le Mile-End, à Outremont, dans NDG. Après avoir vu des étudiants toute la journée, ça repose d'ailleurs de voir autre chose !

     

    Mais c'est central avec tous les avantages qui viennent avec. Au final, un quartier avec une clientèle surtout modeste. Il y aura là bien des étudiants, sans doute. On verra ce que ça donne.

  13. Mark_ac,

     

    Vous avez une vision incroyablement simpliste du monde. Comme si tous les pays devaient tout faire pour attirer le "top talent" qui bien sûr, à vos yeux, semble immanquablement unilingue anglophone. Et comme si une société se résumait à "attirer des talents", à la manière d'une entreprise.

     

    Une société n'est pas une entreprise privée. Elle a plusieurs dimensions dont il faut prendre compte en raisonnant sur la politique qui lui convient. Tant mieux si Montréal et le Québec attirent des talents de l'extérieur, mais il serait ridicule et même contre-productif de ne réfléchir qu'en ces termes.

     

    Aucune ville au monde, pas même New York ou Londres, ne peut attirer tous les talents. Des millions de gens très qualifiés refuseraient de vivre à Londres ou New York, pour toutes sortes de raison. J'espère pour les Londoniens et les New yorkais qu'il n'y a pas trop de mark_ac locaux qui en font une maladie et cassent les pieds de leurs concitoyens en répétant constamment que leurs villes devraient faire ci ou ça (afficher en mandarin, peut-être ? ) pour attirer les top talents qui leur manquent.

     

    Tant que vous vous montrerez incapable de nuancer votre propos en ayant une vue un peu plus complexe de la société québécoise, vous ne serez guère pris au sérieux. Un angry phone pittoresque, au mieux...

  14. All right, which would you choose for Montréal (one of those choices, no in-betweens):

     

    1) Something like now; a mostly french city with a lot of bilingual people, but with a more struggling economy?

     

    2) Something like Toronto; english, not much french, but with a booming economy?

     

    Bonne façon de poser les choses. J'ai l'impression depuis des années que ce genre de débat, sur ce site, tourne en rond parce que certains ne veulent pas admettre que Montréal ne pourrait pas avoir la taille de Toronto ou New York tout en demeurant à prédominance francophone. Ils font "comme si", sans loi 101, avec des immigrants anglophones du monde entier en forte majorité, etc., on aurait les deux, "notre culture" et une croissance exemplaire à la Toronto.

     

    Pour moi, ce ne sont que des illusions auxquelles certains peuvent croire de bonne foi, mais que d'autres mettent de l'avant parce qu'au fond ils souhaitent une "normalisation" de Montréal sur le modèle des autres métropoles nord-américaines, avec prédominance "naturelle" de l'anglais pour aller avec le cours des choses.

     

    Et ceux qui répètent que la loi 101 divise oublient que les querelles linguistiques, au Québec, étaient pires avant la loi 101 et redeviendraient pires sans loi 101.

  15. Andre - UQAM is very closed minded, a symptom of the type of education UQAM offers but I digress...

     

    Si je comprends bien, je suis fermé d'esprit parce que je démontre que vous avez dit une fausseté. Vous avez écrit : "C'est impossible de vivre uniquement en anglais à Montréal." Les statistiques montrent que 30% des anglophones montréalais ne parlent pas français. Plutôt que de reconnaître que vous errez, vous passez aux insultes, selon votre habitude. Et aux généralisation absurdes sur l'uqam. D'ailleurs vous me prêtez une éducation à l'uqam, alors que j'ai fait mon université ailleurs.

     

    Il est quasi impossible d'avoir une conversation sensée avec vous, pour trois raisons principales :

    - vous vous donnez le droit de dire des faussetés ou des affirmations sans fondements ;

    - vous insultez ceux qui sont un peu plus exigeants en matière d'arguments ;

    - vous avez une forme d'orgueil un peu puéril qui vous amène à ne jamais admettre vous être trompé, avoir manqué de nuance, etc.

     

    Presque tous vos messages pourraient être classés dans une de ces catégories (y compris, sans doute, la réponse que vous pourriez me faire)

  16. André md,

     

    Votre volonté de défendre tout ce que dit Mark atteint parfois des proportions étonnantes. Sa citation au long est : "C'est impossible de vivre seulement en anglais a Montreal - je connais personne qui n'est pas capable de s'exprimer en francais."

     

    Il est manifestement faux qu'il soit impossible de vivre en anglais seulement à Montréal puisque 30% des anglophones font précisément ça. Et que Mark ne connaissent personnellement aucun anglophone unilingue est une information sans aucune pertinence dans le débat général.

     

    Et si Montréal est devenue plus bilingue, elle le doit largement à la loi 101.

  17. La Presse nous donne ce matin les statistiques détaillées sur la progression du bilinguisme au Canada. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201601/29/01-4945014-le-bilinguisme-canadien-progresse-grace-au-quebec.php

     

    Comme d'habitude, on constate que le discours et la réalité sont deux choses différentes.

     

    Les anglophones canadiens aiment bien traiter les Québécois de "linguistically closed minded", de backwards et autres gentillesses du même genre, tout en se décernant à eux-mêmes la palme de toutes les vertus. En fait, les Québécois sont de loin les plus bilingues au pays, et c'est au Québec que le taux de bilinguisme a le plus augmenté depuis vingt ans, y compris sous la méchante loi 101, et y compris chez les Francophones et les Allophones. Et contrairement à ce que certains claironnent en généralisant de simples impressions personnelles, il y a encore 30% des anglophones québécois qui ne parlent pas français. (Taux qui a d'ailleurs légèrement augmenté depuis 2006) Ce qui réfute l'affirmation gratuite de mark_ac, message 56 : "C'est impossible de vivre seulement en anglais a Montreal - je connais personne qui n'est pas capable de s'exprimer en francais."

     

    Je ne sais pas si on trouverait une seule autre minorité linguistique au monde, placée dans des circonstances similaires, où un tel phénomène massif de rejet de la langue majoritaire existe. Ajoutons néanmoins que le phénomène était encore bien pire avant... la loi 101. Les amoureux proclamés du bilinguisme devraient d'ailleurs bénir cette loi tous les matins en se levant, s'ils étaient cohérents, car rien dans l'histoire du Québec n'a autant contribué qu'elle à augmenter la proportion de bilingues...

     

    Au Canada anglais, le bilinguisme, qui n'était déjà pas très élevé (sauf bien sûr chez les Francophones), régresse légèrement. Sans doute est-on trop occupé à traiter les Québécois de fermeture d'esprit pour trouver le temps d'apprendre une nouvelle langue...

  18. Merci bob, en effet. La photo créait cette illusion et j'ai sauté aux conclusions en interprétant le rendu.

     

    On est donc ramené à l'idée que l'apparence de différenciation et d'emboîtement des diverses parties sera un effet de surface.

  19. C'est intéressant de regarder la structure de près.

     

    Les planchers ne font pas tout l'étage, on distingue plutôt, par le décalage des dalles de béton, du nord au sud, les trois zones successives observables sur les rendus et les maquettes. Ce décalage a sans doute une fonction précise... que j'ignore.

  20. Dec 19

     

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    Photo floue par temps gris, avec un hiver sans neige, ça n'aide pas.

     

    Même avec tout ça, les montérégiennes à l'horizon et les villas cossues à l'avant-plan contribuent à découper l'espace. "Atroce" me semble bien exagéré...

  21. Of course, most anglos are in total denial that they do regularly and systematically what they then condemn in others.

     

    En effet... Tant qu'à être hors-sujet, je rappellerai une discussion surréaliste venue du Globe and Mail. Dans la section débat, un francophone avait parlé de Vladimir Poutine en écrivant... Poutine. Il s'était fait tombé dessus par une meute d'anglos qui l'on traité de parochial frenchy jamais sorti du Québec, quasiment de raciste, etc. Parce que, you know, "the real name is PUTIN". Le pauvre franco avait beau répliquer que comme il s'agit d'un nom russe (Пу́тин), chaque langue le transcrivait à sa manière, rien n'y a fait. Le Québec au complet prouvait encore une fois qu'il était parochial borderline racist parce qu'ici on écrit Poutine...

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