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Malcolmeyeal

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Messages posté(e)s par Malcolmeyeal

  1. Il y a 2 heures, Marc90 a dit :

    Ça prend autre chose que du MSDL, du BLTA, du Geiger Huot ou autre bureau du genre, ou du moins, si c'est l'un d'eux, il faut absolument qu'ils mettent la barre bien plus haut que ce à quoi on est habitué. 

    Je suis à 100% d'accord qu'un bâtiment d'une grande qualité doit être imaginé sur se lot, compte tenu qu'il sera directement devant le 1000 et je comprend qu'il est légitime de critiquer de temps à autre le travail des firmes d'architecture d'ici. Mais il ne faut pas non plus en faire une vendetta. Ces bureaux sont peuplés de gens qui ont autant sinon plus à cœur de développement de cette ville que les gens sur le Forum. Comme je m’efforce à le dire de façon quasi récurrente, les forces du marché et la réglementation ont beaucoup plus d'impact sur la facture visuelle des projets que la seule volonté d'une firme de faire du beau. Ce n'est pas une question de manque de talent. Soyez sensible à ça également.

     

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  2. il y a une heure, GDS a dit :

    https://www.pzrealestate.com/building/980-saint-antoine-ouest/

    Tenants have started to receive eviction notices and lease non-renewals.  The building will be vacant in two years and will be demolished and replaced by a 34 storey residential tower.

    The same fate awaits 1000 Saint-Antoine, but that is only 6 years from now. They are capping those leases to 5 years.

     

    Excellent news! This is very welcomed and will help deepen the skyline! Thanks for the scoop GDS.

  3. Il y a 7 heures, montréaliste a dit :

    Je n'ai pas parlé de tôle ondulée. Du métal en feuille c'est de la tôle, ondulée ou pas. C'est déjà pénible d'envisager que ce soit de la brique ou des panneaux de béton bariolés. Je trouve aussi que les cours Windsor sont glauques mais ce projet de coop est bien pire. C'est le même design chic que la tôle alternant le rouge et le blanc des restaurants La Belle Province, ça fait monter la bile habilement.

    Je suis d'accord avec vous que ce projet ne remportera pas de prix d'architecture mais, je me dois de vous corriger sur un point. Ce n'est pas de la tôle, c'est du parement de céramique (https://facade.agrob-buchtal.de/en) utilisé abondamment dans le marché Européen. 

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  4. Il y a 14 heures, Rocco a dit :

    No. Maison des étudiants is behind and we dont see it. This one is the new pavillion D currently under construction. Rigueur, rigueur, rigueur.

    Tu as bien raison Rocco, merci de me corriger! Rigueur quand tu nous tiens!

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  5. La réponse de SRC et un compte-rendu de l'état des travaux: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1166306/radio-canada-nouvelle-maison-michel-bissonnette-couts-visite

    Pour voir les photos, allez directement à l'article (je ne sais pas comment lier correctement la page...)

     

    Publié aujourd'hui à 18 h 34

    La nouvelle maison de Radio-Canada sera terminée à temps, assure son constructeur, tout en respectant les budgets.

    Radio-Canada ne protège que les informations qui pourraient nuire à ses négociations avec des fournisseurs si elles étaient révélées, affirme le vice-président principal de la société d'État Michel Bissonnette.

    Appelé à commenter les informations d’un quotidien montréalais selon lesquelles Radio-Canada « cache » des informations sur la construction de sa nouvelle maison, il assure que « l'on va rendre public l'ensemble des coûts », une fois « tout le processus complété ». Les budgets et l’échéancier seront même respectés, ajoute M. Bissonnette.

    Radio-Canada ne protège que les informations sensibles dans ses négociations, assure le vice-président principal de la société d’État Michel Bissonnette. Photo : Radio-Canada

    « On a encore des parties où on est en appel d'offres pour des technologies, et en appel d'offres pour des parties du building qui ne sont pas complétées encore, a-t-il dit lors d’une visite de chantier offerte aux médias jeudi. On ne voulait pas rendre ces sections-là publiques. »

    La construction d’une nouvelle maison n’était pas qu’un caprice, assure M. Bissonnette. La grande tour brune actuelle, le siège de Radio-Canada depuis 1973, était désuète. « Pour la mettre à jour, parce qu'il fallait enlever de l'amiante, qu’il fallait changer l'ensemble des fenêtres et la plomberie, on en avait pour 170 millions de dollars », dit-il.

    « Et on n'avait aucun investissement technologique pour ce montant-là », ajoute le vice-président.

    Approuvée par le Conseil du Trésor il y a presque exactement deux ans, la nouvelle maison est construite au coût de 100 millions de dollars par un entrepreneur privé, Broccolini, qui demeurera propriétaire des lieux. Radio-Canada sera locataire pour 30 ans, au coût de 20 millions de dollars par année. « Des frais fixes pendant 30 ans », insiste Michel Bissonnette.

    « D'année en année, les budgets sont gelés, les coûts augmentent, et le choix qu'on a fait, c'est qu'on préférait mettre notre argent dans le contenu, dit M. Bissonnette. Ce n'est pas notre profession que d'être dans l'immobilier. »

    Une maison « ouverte »

    L'atrium principal de la nouvelle Maison de Radio-Canada sera un espace ouvert au public. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

    Dans un an, les employés de Radio-Canada déménageront dans leur nouvelle maison. Les travaux vont bon train : l’extérieur est achevé à 90 % , l’intérieur à 65 % et la technologie est installée à environ 60 %.

    La maison sise au coin de René-Lévesque et Papineau, tout juste à côté de la « grande tour brune », commence à avoir fière allure. L’édifice est un grand cube de verre et la lumière y entre à plein. Ses murs-fenêtres ouvrent le bâtiment sur le monde, révélant au public les futures coulisses du diffuseur public. Ils permettront surtout aux employés, lorsqu’ils auront emménagé, d’avoir une vue sur la ville en mouvement.

    À l’intérieur du « 1000 Papineau », c’est, pour le moment, un grand chantier organisé. Ici, des tuyaux attendent d’être installés; là, des murs ouverts laissent voir le câblage. Mais les travaux vont bon train et suivent l’échéancier prévu, confirme Roger Plamondon, président de Broccolini, le constructeur et propriétaire du bâtiment. Si tout va rondement, il doit livrer l'immeuble le 1er janvier 2020.

    L'intérieur du bâtiment est encore, pour le moment, rempli de matériel de construction. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

    À partir de cette date, les quelque 3000 employés montréalais de la société d’État vont commencer à s’installer dans leurs nouveaux locaux, de façon progressive. Les tout premiers à transporter leurs boîtes dans le nouvel environnement seront les employés de CBC Montréal, la division anglophone du groupe, qui a une petite équipe dans la métropole.

    Vue de l’atrium principal de la nouvelle Maison de Radio-Canada. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

    L’opération déménagement durera près de six mois. Les employés de l’information devraient commencer à diffuser les radiojournaux, téléjournaux et autres reportages web à compter du printemps 2020.

    La future salle des nouvelles est, pour l’instant, une belle promesse. Il faut faire appel à son imagination pour visualiser ce qu’elle sera lorsque les décors seront implantés, mais on peut déjà constater l’originalité du plateau principal de RDI, sur une passerelle qui donne sur un grand atrium central, haut de quatre étages, tout comme le plateau du Téléjournal.

    Le nouveau plateau du Téléjournal est, pour le moment, encore un espace à meubler. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

    « On voulait un espace accueillant et ouvert, où on sent que l’on est un lieu de production », explique Martin Bonenfant, directeur des opérations, qui a mené une partie de la visite.

    Les visiteurs pourront en effet voir, au rez-de-chaussée, le grand studio radio des émissions du matin et du retour à la maison. Les artisans de ces émissions ne seront plus confinés au sous-sol de l’actuelle tour. Ils travailleront dans la lumière, avec « une vue en temps réel sur la météo et la circulation sur le pont », ajoute M. Bonenfant.

    L'un des studios de radio se trouve directement au rez-de-chaussée, près de l'entrée principale de la nouvelle maison. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

    La nouvelle maison comptera 19 studios de radio, soit 5 de moins que dans le bâtiment actuel.

    Le grand studio pour les variétés du nouvel édifice de Radio-Canada. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

    En levant les yeux, le visiteur verra également le bourdonnement des plateaux de tournage télé du secteur de l’information. À quelques pas, c’est l’accès au nouveau grand studio, celui qui remplacera le mythique « Studio 42 » où sont enregistrés, depuis des décennies, les grands rendez-vous télévisuels de la société d’État, comme Tout le monde en parle.

    Des technologies innovantes

    Des techniciens travaillent dans le nouveau centre technologique de Radio-Canada. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

    Le « cerveau technologique » de la nouvelle maison, situé au rez-de-chaussée dans une zone sécurisée, porte le petit nom de « Centrale des équipements techniques », ou C.E.T. Et, selon François Vaillant, directeur général de l’ingénierie, Radio-Canada sera le premier diffuseur public du monde à travailler avec un environnement de ce type, avec une technologie IP « plus flexible, plus rapide et moins coûteuse ».

    « On s’est demandé si on voulait être les derniers dans la technologie conventionnelle ou les premiers dans la technologie de l’avenir », a-t-il dit en cours de visite.

    L’ensemble des ordinateurs, fils et autres convertisseurs, modules et processeurs occuperont un espace beaucoup plus petit que dans l’actuel emplacement de Radio-Canada, tout en consommant environ 200 kilowattheures de moins et en gardant la même capacité de stockage.

    Le système pourra contenir plus de 3 millions d’heures d’audio et de vidéo, essentiellement des archives provenant des huit décennies d’existence de Radio-Canada.

    Au cours du grand déménagement, les productions télé et radio seront transférées progressivement d’une régie à l’autre, après de nombreux tests pour assurer une transition invisible pour l’auditeur.

    Un quartier en transformation

    Le grande tour brune de Radio-Canada sera convertie en immeuble de bureaux après le déménagement du diffuseur public. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

    La nouvelle maison de Radio-Canada est le premier grand bâtiment à être érigé dans un quartier appelé à se transformer complètement au cours des prochaines années. L'emplacement actuel de Radio-Canada, qui a été vendu au groupe Mach au coût de 42 millions de dollars, deviendra le « quartier des lumières », avec de nouveaux bâtiments, des espaces commerciaux et résidentiels.

    L’usine Molson sera aussi reconvertie après le déménagement de la brasserie sur la Rive-Sud. Au pied du pont Jacques-Cartier, un terrain vacant sera également utilisé afin d’offrir du logement et des bureaux.

    Le dernier étage de la tour sud dans le nouvel édifice de Radio-Canada offre une vue spectaculaire. Photo : Ivanoh Demers

    La nouvelle maison de Radio-Canada, d’une superficie de 418 000 pieds carrés, sera certifiée Leed argent, assure le constructeur, qui a voulu en faire un modèle de construction « durable », construite avec des matériaux locaux.

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  6. Il y a 10 heures, GIGI a dit :

    Ce qui est bizarre, c'est qu'il font affaire avec le même architecte pour la plupart de leurs projets, et aussi Magil construction...

    Ce n'est pas bizzare. En effet, dans le secteur privé, il n'est pas rare que des relations d'affaire s'échelonnent sur plusieurs projets entre divers partenaires lorsque le résultat est satisfaisant pour les parties impliquées.

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  7. Le 2019-03-26 à 15:02, Marc90 a dit :

    Les architectes de Montréal (et du Québec) sont en situation de frustration constante, à cause de plusieurs politiques urbanistiques et réglementaires absurdes conçues pour que le plus idiot des idiots puisse survivre dans les situations les plus improbables (notamment les exigences des pompiers), à cause d'un désintérêt par les villes à faire des vrais milieux de vie urbains contemporains et à penser le bâti de façon intelligente, innovante, ambitieuse et durable en faisant appel aux professionnels en la matière, à cause d'un manque d'éducation flagrant des élues et élus quant à la discipline de l'architecture et à son histoire, à cause de l'absence totale d'ambition et d'intérêt de la grande majorité des promoteurs envers la qualité, et à cause de la mentalité générale québécoise de type Walmart, aka du "Tant que ça coûte pas cher".  

    Et à travers tout cet univers de limites, d'ignorance collective et de barrières à la créativité, où même les rares éclaircies finissent par devenir des sous-produits bureaucrates frileux et allergiques au risque excluant d'office une foule de bureaux pourtant très compétents (comme par exemple les "concours" en architecture depuis quelques années déjà), il y a biensur des mauvais architectes aussi. Qui souvent finissent par faire les plus gros projets, parmis les plus visibles,  mais parmis les moins aboutis, les plus cheap. Comme en produisent Geiger Huot et Béïque Legault Thuot par exemple. 

    Mais le commun des mortels s'en fout et même, pire, ne veut pas payer collectivement pour l'architecture, donc au final, on mérite ce qu'on a, il faut croire. Du moins, on finit par se rabattre sur ce constat castrant. Et le privé n'élève que peu ou pas du tout la barre, sauf en de très rares occasions (souvent à très petite échelle, aussi, et en ne commandant presque qu'exclusivement des produits de luxe qui contribuent à renforcer l'idée selon laquelle l'architecture et les architectes sont déconnectés du réel, et que le luxe qu'ils vendent définit aussi leur discipline).  

    Remarque, les architectes sont artisans de leur malheur dans l'optique où ils ne sont que très peu présents pour dénoncer tout ça, et les plus gros acteurs du milieu continuent de s'en mettre plein les poches. 


    Édito du jour. 

    @Marc90J'adhère à 100% avec ton premier paragraphe. Je te perd au deuxième. Des mauvais architectes? Je ne connais pas un architecte dont l'objectif premier est de faire des projets cheap et les moins aboutis pour reprendre tes paroles. Bien au contraire. Par contre, dans le contexte Montréalais actuel, l'architecte n'a malheureusement plus souvent qu'autrement le dernier mots autour de la table. Après les impératifs financiers des promoteurs, entrepreneurs, créancier et les contraintes réglementaires des villes et des instances gouvernementales,  la marge de manoeuvre, l'espace d'expression restant pour les architectes est un mince fil parsemé de compromis regrettables. Le marché dicte la pratique en se moment, et bien que les architectes peuvent et doivent dénoncer ce que tu mentionne avec lucidité dans ton premier paragraphe, il ne peuvent à eux seuls porter la responsabilité qui incombe à l'ensemble de la société. À défaut d'avoir les moyens de leurs ambitions, ils sont contraints de se plier aux exigences qu'on leur imposent...du talent en sourdine.

  8. il y a 8 minutes, Windex a dit :

    Lorsqu'il a été construit, il n'y avait pas cette clause: la hauteur maximale était la hauteur du Mont-Royal

    Faux. Cette clause existait à l'époque. Elle était en place même à l'époque de la construction de la PVM. Le reglément s'appuis sur une hauteur maximale par rapport au niveau de la mer. Le Mont-Royal est à +/- 232m du niveau de la mer. Le 1000, avec sont RDC à +/- 28m au dessus du niveau de la mer, la hauteur permise sur ce lot était de 205m. Plus ont construit au bas de la ville (vers le fleuve, en s'éloignant de la montagne) plus on peut construire haut (en hauteur de bâtiment par rapport au niveau du sol).

  9. Il y a 3 heures, Matt a dit :

    C est surement l'amnonce du projet car je vois mal un debut de construction cet automne sachant que nous n avons pas encore d evocation ni de bureau de ventes... ou alors c est un siege social, ou un hotel et la ca va beaucoup plus vite comme on le sait tous.

    Ça ne me surprendrais pas que ça soit le début de la construction en octobre. Les partenaires (architectes, ingénieurs) sont choisi depuis le début Janvier. Ils peuvent très bien commencer à creuser avant que les plans ne soient finis (ça arrive plus souvent qu'on le pense). Mon petit doit me dit que nous aurons un dévoilement du projet avant la haute période touristique de l'été pour mousser les ventes à l'international. 

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  10. il y a 51 minutes, GIGI a dit :

    La seule réalisation majeure de CF sur MTL a été la tour deloitte où ils ont eu l'audace de faire appel a Kohn Pedersen Fox pour la construction (au lieu des éternels trios - Lemay, Provencher Roy, et MSDL - qui se partagent la majorité des contrats en ville.

    Ils ont fait appel à Béïque Legault Thuot (BLTA) pour les TDC 2 et 3 (Page and Steele de Toronto pour le design). Il sont les architectes méconnus derrière plusieurs projets importants du centre-ville avec des projets tels que Îcone, Rocabella 1,2 et 3, L/Avenue, Nouvelle Maison de Radio-Canada, Victoria sur le Parc, Le Crystal et le CCE pour ne nommer que ceux là.

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  11. il y a 56 minutes, KOOL a dit :

    Parce ce qu'habituellement il marche couché ou en rampant ? :silly: ;)

    Ceci dit moi aussi j'avais fait du CF bashing avec des commentaires genre Lada Fairview lorsque que les tours du 750 Peel sont passées de tours aux courbes intéressantes à deux boîtes à chaussures très banales mais il faut aussi dire qu'ils sont également responsables de 3 tours qui feront toutes partie du Top 10 montréalais en matière de hauteur jusqu'en 2023 et que pour deux d'entres elles ils sont allés chercher une dérogation de 46 mètres.

     

    Rocco faisait mention de design banal. À ce chapitre, il a raison. Bien que CF a contribuer substantiellement au développement de ce secteur de la ville et projette d'autres interventions futures, on ne peut malheureusement pas juger de la qualité de la contribution de CF au centre-ville seulement par la hauteur des immeubles réalisés.

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