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Messages posté(e)s par Malcolmeyeal
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il y a une heure, FrancSoisD a dit :
Plus sérieusement, l'implantation de la tour en porte-à-faux me rappelle vaguement Apts Dorchester! 👍
Normal, ce sont les même architectes
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Thanks you Flynnster for your photo update on so many projects. Great contribution!
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Il y a 18 heures, Rocco a dit :
Parfait pour des graffitis..
Les traitements anti-graffiti existent pour le béton préfabriqué en 2019.
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Bonjour à tous! Depuis quelques temps, un collègue de travail et moi avons une idée un peu folle pour Montréal. Le tout nous est venu à l'esprit puisque nous avons souvent l'occasion de marcher dans le Vieux-Port et constatons à quel point il est déplorable de ne pas avoir un accès facile aux Îles. En effet, autrement que de prendre la navette fluviale (service très moyen) ou que de marcher jusqu'à la station Berri-UQAM pour prendre la ligne jaune, il n'y a pas d'alternative efficace pour se rendre au parc Jean-Drapeau/Casino. Il nous semblait également aberrant qu'il n'y ait pas un moyen efficace de transiter entre le noyau touristique du Vieux-Montréal et la montagne, deux endroits très prisés.
Nous avons d'abord considéré un téléphérique, idée qui a déjà été proposée dans le passé mais sans succès. Toutefois, après avoir apprécié le point de vue à partir de l'Homme de Calder récemment rafraîchi, il nous semble maladroit de ''défigurer'' la silhouette du centre-ville avec des pylônes. De plus, comment composer avec les multiples contraintes qu'imposerait la traversée du centre-ville avec un téléphérique pour rejoindre la montagne, en la défigurant également au passage?
Il nous est donc apparu qu'un mode de transport nouveau serait adapté à cette application. Des cabines contenant 4-6 personnes offrant une vue à 360 degrés et circulant sur un rail léger (monorail). Les cabines seraient autonome. Les usagers indiquerait la destination à l'embarquement et la cabine se rendrait directement à la destination (sans arrêter aux stations rencontrées en chemin). Nous avons imaginé un tracé qui relie ensembles de nombreux points d'intérêts de la ville actuels et futurs.
Avant d'élaborer sur le tracé, je vous priait d'être indulgents. Nous sommes bien conscients qu'un tel projet serait extrêmement complexe et sûrement coûteux. Il s'agit simplement d'une vision pour s'amuser.
Les stations:
Branche SUD
Place-d'Armes: Station sur le toit du Palais des congrès. Correspondance par ascenseur à la station de métro du même nom (ligne orange).
Silo #5: Station intégrée au nouveau développement immobilier du secteur. Proximité avec la rue McGill, le Bota-Bota, la voix cyclable du canal Lachine
Bassin-Peel - Le Stade: Station intégré au nouveau stade de Baseball. Correspondance avec le REM.
Cité-du-Havre: Station en bordure de la rue Pierre-Dupuy. Passerelle reliant la station avec le Quai Bikerdike (emplacement de choix pour un nouveau développement immobilier)
Entre la Cité-du-Havre et les îles, le RMM circulerait le long du pont de la Concorde, à la même hauteur que le tablier.
Casino: Station sur le toit du casino.
Jean-Drapeau: Station sur le toit de la station de métro. Correspondance par ascenseur à la station de métro du même nom (ligne jaune).
La Ronde: Station dans le pavillon de l'île Sainte-Hélène (sous le pont Jacques-Cartier). Accès piéton à La Ronde.
Entre l'île Sainte-Hélène et Montréal, le RMM circulerait le long du pont Jacques-Cartier, à la même hauteur que le tablier et offrirait une vue incroyable sur le centre-ville.
Faubourg Molson: Station au cœur du redéveloppement immobilier du secteur.
De l'Horloge: Station adjacente à l'emprise de la voie ferrée.
Branche NORD
Pour l'ensemble de cette branche, le RMM circule au dessus des voies de circulation des rues De Bleury et Parc.
Place-d'Armes: Station dans le ''triangle'' en face du Jardin Domtar. Correspondance par ascenseur à la station de métro du même nom (ligne verte).
Percival-Molson: Station adjacente au Stade Percival-Molson.
Jeanne-Mance: Station en face du monument de Sir George-Étienne Cartier.
Entre Jeanne-Mance et St-Joseph se trouve la branche Montagne
St-Joseph, Mile-End, Mile Ex: Stations aérienne avec ascenseurs.
Parc: Station sur le toit du Provigo. Correspondance par ascenseur à la station de métro du même nom (ligne bleu).
Branche Montagne
Pour l'ensemble de cette branche, le RMM circule au dessus des voies de circulation le long du chemin Camilien-Houde.
Camilien-Houde: Station directement devant le belvédère.
Kondiaronk-La Montagne: Station dans le stationnement du parc.
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Il y a 2 heures, Marc90 a dit :
Ça prend autre chose que du MSDL, du BLTA, du Geiger Huot ou autre bureau du genre, ou du moins, si c'est l'un d'eux, il faut absolument qu'ils mettent la barre bien plus haut que ce à quoi on est habitué.
Je suis à 100% d'accord qu'un bâtiment d'une grande qualité doit être imaginé sur se lot, compte tenu qu'il sera directement devant le 1000 et je comprend qu'il est légitime de critiquer de temps à autre le travail des firmes d'architecture d'ici. Mais il ne faut pas non plus en faire une vendetta. Ces bureaux sont peuplés de gens qui ont autant sinon plus à cœur de développement de cette ville que les gens sur le Forum. Comme je m’efforce à le dire de façon quasi récurrente, les forces du marché et la réglementation ont beaucoup plus d'impact sur la facture visuelle des projets que la seule volonté d'une firme de faire du beau. Ce n'est pas une question de manque de talent. Soyez sensible à ça également.
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il y a une heure, GDS a dit :
https://www.pzrealestate.com/building/980-saint-antoine-ouest/
Tenants have started to receive eviction notices and lease non-renewals. The building will be vacant in two years and will be demolished and replaced by a 34 storey residential tower.
The same fate awaits 1000 Saint-Antoine, but that is only 6 years from now. They are capping those leases to 5 years.
Excellent news! This is very welcomed and will help deepen the skyline! Thanks for the scoop GDS.
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Il y a 7 heures, montréaliste a dit :
Je n'ai pas parlé de tôle ondulée. Du métal en feuille c'est de la tôle, ondulée ou pas. C'est déjà pénible d'envisager que ce soit de la brique ou des panneaux de béton bariolés. Je trouve aussi que les cours Windsor sont glauques mais ce projet de coop est bien pire. C'est le même design chic que la tôle alternant le rouge et le blanc des restaurants La Belle Province, ça fait monter la bile habilement.
Je suis d'accord avec vous que ce projet ne remportera pas de prix d'architecture mais, je me dois de vous corriger sur un point. Ce n'est pas de la tôle, c'est du parement de céramique (https://facade.agrob-buchtal.de/en) utilisé abondamment dans le marché Européen.
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- C’est un message populaire.
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De retour d'un voyage à Londres, j'ai eu la chance d'avoir, sans m'en rendre compte, choisi un hotel dans le secteur de la Gare King's Cross. Tous les bâtiments et aménagements étaient neufs alors j'ai demandé aux locaux ce qu'il y avait là à l'origine. Ils m'ont expliqué que le secteur était une friche industriel à l'abandon, un endroit très peu recommandable. Drogue, prostitution et crime y régnaient. Aujourd'hui, après la transformation, il s'agit d'un des quartier les plus en vogue de Londres. Google planifie d'ailleurs d'y construire son nouveau siège social de près de 1 millions de pi2, surnommé le Groundscrapper (https://www.dailymail.co.uk/news/article-4562146/Google-unveils-plans-new-1billion-London-HQ.html).
J'ai pensé en qu'il serait intéressant que Montréal s'inspire de ce développement pour le secteur du Bonaventure-Silo #5.
Le secteur à l'état actuel (image: Google Map)
Le secteur King's Cross de Londres en 1999 (image: Google Earth via le site islingtongazette.co.uk)
Le secteur King's Cross de Londres en 2019 (image: Google Map)
Comme vous pourrez le constater sur les photos que j'ai pris là bas, ils ont conservé certains éléments représentatifs du passé industriel pour les mettre en valeur dans des constructions d'une incroyable qualité. L'endroit est dynamique et super agréable à fréquenter. Un développement de la sorte, à plus petite échelle et avec des moyens plus modeste bien sûr, serait grandement souhaité à Montréal. Il faut s'inspirer des réussites d'ailleur!
Bâtiment résidentiel et plaza dans des anciens réservoir d'hydrocarbure (Gasholders)
Foire commerciale et espaces multifonctionnels dans un ancien entrepôt de charbon
Restauration des berges du Regent's Canal
Une dernière chose m'a frappée: L'absence de bâtiment 100% vitré dans l'ensemble du secteur. C'est agréable de voir des bâtiments de très grande qualité offrir un revêtement extérieur différent que la traditionnelle et sur utilisée méthode du mur rideau. J'espère que le tout apportera des éléments intéressants dans notre réflexion collective sur l'avenir du secteur.
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Il y a 14 heures, Rocco a dit :
No. Maison des étudiants is behind and we dont see it. This one is the new pavillion D currently under construction. Rigueur, rigueur, rigueur.
Tu as bien raison Rocco, merci de me corriger! Rigueur quand tu nous tiens!
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il y a une heure, caribb a dit :
What’s the building with all the bizarre lines and tubes on or inside it? Looks like an art studio of some sort.
It is the Maison des étudiants, a gathering place for ETS's students, designed by MSDL.
See linked ArchDaily article: https://www.archdaily.com/790596/maison-des-etudiants-de-lets-menkes-shooner-letourneaux-architectes
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La réponse de SRC et un compte-rendu de l'état des travaux: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1166306/radio-canada-nouvelle-maison-michel-bissonnette-couts-visite
Pour voir les photos, allez directement à l'article (je ne sais pas comment lier correctement la page...)
Publié aujourd'hui à 18 h 34
La nouvelle maison de Radio-Canada sera terminée à temps, assure son constructeur, tout en respectant les budgets.
Radio-Canada ne protège que les informations qui pourraient nuire à ses négociations avec des fournisseurs si elles étaient révélées, affirme le vice-président principal de la société d'État Michel Bissonnette.
Appelé à commenter les informations d’un quotidien montréalais selon lesquelles Radio-Canada « cache » des informations sur la construction de sa nouvelle maison, il assure que « l'on va rendre public l'ensemble des coûts », une fois « tout le processus complété ». Les budgets et l’échéancier seront même respectés, ajoute M. Bissonnette.
Radio-Canada ne protège que les informations sensibles dans ses négociations, assure le vice-président principal de la société d’État Michel Bissonnette. Photo : Radio-Canada
« On a encore des parties où on est en appel d'offres pour des technologies, et en appel d'offres pour des parties du building qui ne sont pas complétées encore, a-t-il dit lors d’une visite de chantier offerte aux médias jeudi. On ne voulait pas rendre ces sections-là publiques. »
La construction d’une nouvelle maison n’était pas qu’un caprice, assure M. Bissonnette. La grande tour brune actuelle, le siège de Radio-Canada depuis 1973, était désuète. « Pour la mettre à jour, parce qu'il fallait enlever de l'amiante, qu’il fallait changer l'ensemble des fenêtres et la plomberie, on en avait pour 170 millions de dollars », dit-il.
« Et on n'avait aucun investissement technologique pour ce montant-là », ajoute le vice-président.
Approuvée par le Conseil du Trésor il y a presque exactement deux ans, la nouvelle maison est construite au coût de 100 millions de dollars par un entrepreneur privé, Broccolini, qui demeurera propriétaire des lieux. Radio-Canada sera locataire pour 30 ans, au coût de 20 millions de dollars par année. « Des frais fixes pendant 30 ans », insiste Michel Bissonnette.
« D'année en année, les budgets sont gelés, les coûts augmentent, et le choix qu'on a fait, c'est qu'on préférait mettre notre argent dans le contenu, dit M. Bissonnette. Ce n'est pas notre profession que d'être dans l'immobilier. »
Une maison « ouverte »
L'atrium principal de la nouvelle Maison de Radio-Canada sera un espace ouvert au public. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers
Dans un an, les employés de Radio-Canada déménageront dans leur nouvelle maison. Les travaux vont bon train : l’extérieur est achevé à 90 % , l’intérieur à 65 % et la technologie est installée à environ 60 %.
La maison sise au coin de René-Lévesque et Papineau, tout juste à côté de la « grande tour brune », commence à avoir fière allure. L’édifice est un grand cube de verre et la lumière y entre à plein. Ses murs-fenêtres ouvrent le bâtiment sur le monde, révélant au public les futures coulisses du diffuseur public. Ils permettront surtout aux employés, lorsqu’ils auront emménagé, d’avoir une vue sur la ville en mouvement.
À l’intérieur du « 1000 Papineau », c’est, pour le moment, un grand chantier organisé. Ici, des tuyaux attendent d’être installés; là, des murs ouverts laissent voir le câblage. Mais les travaux vont bon train et suivent l’échéancier prévu, confirme Roger Plamondon, président de Broccolini, le constructeur et propriétaire du bâtiment. Si tout va rondement, il doit livrer l'immeuble le 1er janvier 2020.
L'intérieur du bâtiment est encore, pour le moment, rempli de matériel de construction. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers
À partir de cette date, les quelque 3000 employés montréalais de la société d’État vont commencer à s’installer dans leurs nouveaux locaux, de façon progressive. Les tout premiers à transporter leurs boîtes dans le nouvel environnement seront les employés de CBC Montréal, la division anglophone du groupe, qui a une petite équipe dans la métropole.
Vue de l’atrium principal de la nouvelle Maison de Radio-Canada. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers
L’opération déménagement durera près de six mois. Les employés de l’information devraient commencer à diffuser les radiojournaux, téléjournaux et autres reportages web à compter du printemps 2020.
La future salle des nouvelles est, pour l’instant, une belle promesse. Il faut faire appel à son imagination pour visualiser ce qu’elle sera lorsque les décors seront implantés, mais on peut déjà constater l’originalité du plateau principal de RDI, sur une passerelle qui donne sur un grand atrium central, haut de quatre étages, tout comme le plateau du Téléjournal.
Le nouveau plateau du Téléjournal est, pour le moment, encore un espace à meubler. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers
« On voulait un espace accueillant et ouvert, où on sent que l’on est un lieu de production », explique Martin Bonenfant, directeur des opérations, qui a mené une partie de la visite.
Les visiteurs pourront en effet voir, au rez-de-chaussée, le grand studio radio des émissions du matin et du retour à la maison. Les artisans de ces émissions ne seront plus confinés au sous-sol de l’actuelle tour. Ils travailleront dans la lumière, avec « une vue en temps réel sur la météo et la circulation sur le pont », ajoute M. Bonenfant.
L'un des studios de radio se trouve directement au rez-de-chaussée, près de l'entrée principale de la nouvelle maison. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers
La nouvelle maison comptera 19 studios de radio, soit 5 de moins que dans le bâtiment actuel.
Le grand studio pour les variétés du nouvel édifice de Radio-Canada. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers
En levant les yeux, le visiteur verra également le bourdonnement des plateaux de tournage télé du secteur de l’information. À quelques pas, c’est l’accès au nouveau grand studio, celui qui remplacera le mythique « Studio 42 » où sont enregistrés, depuis des décennies, les grands rendez-vous télévisuels de la société d’État, comme Tout le monde en parle.
Des technologies innovantes
Des techniciens travaillent dans le nouveau centre technologique de Radio-Canada. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers
Le « cerveau technologique » de la nouvelle maison, situé au rez-de-chaussée dans une zone sécurisée, porte le petit nom de « Centrale des équipements techniques », ou C.E.T. Et, selon François Vaillant, directeur général de l’ingénierie, Radio-Canada sera le premier diffuseur public du monde à travailler avec un environnement de ce type, avec une technologie IP « plus flexible, plus rapide et moins coûteuse ».
« On s’est demandé si on voulait être les derniers dans la technologie conventionnelle ou les premiers dans la technologie de l’avenir », a-t-il dit en cours de visite.
L’ensemble des ordinateurs, fils et autres convertisseurs, modules et processeurs occuperont un espace beaucoup plus petit que dans l’actuel emplacement de Radio-Canada, tout en consommant environ 200 kilowattheures de moins et en gardant la même capacité de stockage.
Le système pourra contenir plus de 3 millions d’heures d’audio et de vidéo, essentiellement des archives provenant des huit décennies d’existence de Radio-Canada.
Au cours du grand déménagement, les productions télé et radio seront transférées progressivement d’une régie à l’autre, après de nombreux tests pour assurer une transition invisible pour l’auditeur.
Un quartier en transformation
Le grande tour brune de Radio-Canada sera convertie en immeuble de bureaux après le déménagement du diffuseur public. Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers
La nouvelle maison de Radio-Canada est le premier grand bâtiment à être érigé dans un quartier appelé à se transformer complètement au cours des prochaines années. L'emplacement actuel de Radio-Canada, qui a été vendu au groupe Mach au coût de 42 millions de dollars, deviendra le « quartier des lumières », avec de nouveaux bâtiments, des espaces commerciaux et résidentiels.
L’usine Molson sera aussi reconvertie après le déménagement de la brasserie sur la Rive-Sud. Au pied du pont Jacques-Cartier, un terrain vacant sera également utilisé afin d’offrir du logement et des bureaux.
Le dernier étage de la tour sud dans le nouvel édifice de Radio-Canada offre une vue spectaculaire. Photo : Ivanoh Demers
La nouvelle maison de Radio-Canada, d’une superficie de 418 000 pieds carrés, sera certifiée Leed argent, assure le constructeur, qui a voulu en faire un modèle de construction « durable », construite avec des matériaux locaux.
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Il y a 3 heures, Megafolie a dit :
Il s’agit des condos Tropiques Nord à cité du Havre.
Merci pour la référence! Voici un article du Huffington Post que j'ai trouvé le concernant: https://quebec.huffingtonpost.ca/2017/04/19/visite-tropiques-nord-montreal_n_16099576.html
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Il y a 10 heures, GIGI a dit :
Ce qui est bizarre, c'est qu'il font affaire avec le même architecte pour la plupart de leurs projets, et aussi Magil construction...
Ce n'est pas bizzare. En effet, dans le secteur privé, il n'est pas rare que des relations d'affaire s'échelonnent sur plusieurs projets entre divers partenaires lorsque le résultat est satisfaisant pour les parties impliquées.
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- C’est un message populaire.
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Il y a 7 heures, GIGI a dit :pourquoi ils vont pas chercher des contrats a l'étranger et ne soumissionne plus dans ce marché ou tout est bloqué créativement et financièrement parlant.
Ils aiment Montréal et veulent participer à son développement. De plus, ce n'est pas simple d'oeuvrer dans un marcher étranger. Seul un club select de bureau ayant accès a des ressources quasi illimités peuvent s'y adonner. Je ne voit vraiment pas l'avantage pour Montréal d'envoyer ces créateurs faire profiter d'autres villes de leur talent, alors qu'il y a tant de potentiel ici?! Expliquez moi ça.
Il y a 7 heures, GIGI a dit :De un, ils se complaisent dans ça, car ils ont évidemment un intérêt financier (ils sont de mèche avec les promoteurs). L'important est que l'argent sorte peu importe les moyens mis a disposition.
Il ne se complaisent pas, ils suvivents. L'architecture est une passion. Regarder le salaire moyen des architectes et venez me dire qu'ils sont ''de mèche'' avec les promoteurs...
Il y a 7 heures, GIGI a dit :Deuxièmement, il y a un manque de savoir faire au niveau de leur cursus universitaire.
Le cursus universitaire est solide et plusieurs étudiants ont la chance d'aller faire des stages à l'étranger pour élargir leurs horizons. Avez-vous suivi la formation en architecture pour émettre de tels énoncés?
PS: Désolé de ''polluer'' le fil en entretenant cette discussions parallèle mais étant directement impliqué, je me sens interpellé.
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Le 2019-03-26 à 15:02, Marc90 a dit :
Les architectes de Montréal (et du Québec) sont en situation de frustration constante, à cause de plusieurs politiques urbanistiques et réglementaires absurdes conçues pour que le plus idiot des idiots puisse survivre dans les situations les plus improbables (notamment les exigences des pompiers), à cause d'un désintérêt par les villes à faire des vrais milieux de vie urbains contemporains et à penser le bâti de façon intelligente, innovante, ambitieuse et durable en faisant appel aux professionnels en la matière, à cause d'un manque d'éducation flagrant des élues et élus quant à la discipline de l'architecture et à son histoire, à cause de l'absence totale d'ambition et d'intérêt de la grande majorité des promoteurs envers la qualité, et à cause de la mentalité générale québécoise de type Walmart, aka du "Tant que ça coûte pas cher".
Et à travers tout cet univers de limites, d'ignorance collective et de barrières à la créativité, où même les rares éclaircies finissent par devenir des sous-produits bureaucrates frileux et allergiques au risque excluant d'office une foule de bureaux pourtant très compétents (comme par exemple les "concours" en architecture depuis quelques années déjà), il y a biensur des mauvais architectes aussi. Qui souvent finissent par faire les plus gros projets, parmis les plus visibles, mais parmis les moins aboutis, les plus cheap. Comme en produisent Geiger Huot et Béïque Legault Thuot par exemple.Mais le commun des mortels s'en fout et même, pire, ne veut pas payer collectivement pour l'architecture, donc au final, on mérite ce qu'on a, il faut croire. Du moins, on finit par se rabattre sur ce constat castrant. Et le privé n'élève que peu ou pas du tout la barre, sauf en de très rares occasions (souvent à très petite échelle, aussi, et en ne commandant presque qu'exclusivement des produits de luxe qui contribuent à renforcer l'idée selon laquelle l'architecture et les architectes sont déconnectés du réel, et que le luxe qu'ils vendent définit aussi leur discipline).
Remarque, les architectes sont artisans de leur malheur dans l'optique où ils ne sont que très peu présents pour dénoncer tout ça, et les plus gros acteurs du milieu continuent de s'en mettre plein les poches.
Édito du jour.@Marc90J'adhère à 100% avec ton premier paragraphe. Je te perd au deuxième. Des mauvais architectes? Je ne connais pas un architecte dont l'objectif premier est de faire des projets cheap et les moins aboutis pour reprendre tes paroles. Bien au contraire. Par contre, dans le contexte Montréalais actuel, l'architecte n'a malheureusement plus souvent qu'autrement le dernier mots autour de la table. Après les impératifs financiers des promoteurs, entrepreneurs, créancier et les contraintes réglementaires des villes et des instances gouvernementales, la marge de manoeuvre, l'espace d'expression restant pour les architectes est un mince fil parsemé de compromis regrettables. Le marché dicte la pratique en se moment, et bien que les architectes peuvent et doivent dénoncer ce que tu mentionne avec lucidité dans ton premier paragraphe, il ne peuvent à eux seuls porter la responsabilité qui incombe à l'ensemble de la société. À défaut d'avoir les moyens de leurs ambitions, ils sont contraints de se plier aux exigences qu'on leur imposent...du talent en sourdine.
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On dirait qu'il porte un veste de flottaison!
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Il y a 21 heures, Windex a dit :
On dit la même chose. La nouvelle règle c'est que 200 mètres c'est le max même si tu es près du fleuve.
Tu as raison Windex. Désolé pour la confusion!
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il y a 8 minutes, Windex a dit :
Lorsqu'il a été construit, il n'y avait pas cette clause: la hauteur maximale était la hauteur du Mont-Royal
Faux. Cette clause existait à l'époque. Elle était en place même à l'époque de la construction de la PVM. Le reglément s'appuis sur une hauteur maximale par rapport au niveau de la mer. Le Mont-Royal est à +/- 232m du niveau de la mer. Le 1000, avec sont RDC à +/- 28m au dessus du niveau de la mer, la hauteur permise sur ce lot était de 205m. Plus ont construit au bas de la ville (vers le fleuve, en s'éloignant de la montagne) plus on peut construire haut (en hauteur de bâtiment par rapport au niveau du sol).
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Il y a 3 heures, Matt a dit :
C est surement l'amnonce du projet car je vois mal un debut de construction cet automne sachant que nous n avons pas encore d evocation ni de bureau de ventes... ou alors c est un siege social, ou un hotel et la ca va beaucoup plus vite comme on le sait tous.
Ça ne me surprendrais pas que ça soit le début de la construction en octobre. Les partenaires (architectes, ingénieurs) sont choisi depuis le début Janvier. Ils peuvent très bien commencer à creuser avant que les plans ne soient finis (ça arrive plus souvent qu'on le pense). Mon petit doit me dit que nous aurons un dévoilement du projet avant la haute période touristique de l'été pour mousser les ventes à l'international.
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Il y a 14 heures, Rocco a dit :Le logo était rouge sur le rendu. Ceci étant dit, beau centre régional.
Il sera éclairé le soir venu par un système de projecteurs/laser. Tout vient à point à qui sais attendre. Parlant d'attente...attendez de voir l'atrium vous ne serez pas deçus.
Concernant le ''centre régional'', ça l'est effectivement pour le réseau anglophone. Pour le réseau francophone, c'est le siège social de facto (pour une population de près de 10M de francophones au pays) même si le siège social officiel est à Ottawa.
''La Maison de Radio-Canada constitue la tête des réseaux de télévision et de radio francophone de Radio-Canada en plus de constituer un bureau régional important pour le réseau anglophone. C'est là que sont produites la plupart des émissions diffusées à l'antenne de Radio-Canada'' Source: Wikipedia
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il y a 53 minutes, Windex a dit :Bon ben Malcolm, tu es dû pour nous faire un petit update. À tous les mois, ce n'est pas trop demandé, hein?
Moi je veux savoir s'il y a toujours une flèche dans les plans??
Juste pour toi Windex, je peux dire que c'est MSDL qui a obtenu le mandat. Je n'ai toutefois pas vu leur proposition donc je ne peux m'avancer plus que ça! J'attend comme vous le dévoilement ;)!
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il y a 51 minutes, GIGI a dit :
La seule réalisation majeure de CF sur MTL a été la tour deloitte où ils ont eu l'audace de faire appel a Kohn Pedersen Fox pour la construction (au lieu des éternels trios - Lemay, Provencher Roy, et MSDL - qui se partagent la majorité des contrats en ville.
Ils ont fait appel à Béïque Legault Thuot (BLTA) pour les TDC 2 et 3 (Page and Steele de Toronto pour le design). Il sont les architectes méconnus derrière plusieurs projets importants du centre-ville avec des projets tels que Îcone, Rocabella 1,2 et 3, L/Avenue, Nouvelle Maison de Radio-Canada, Victoria sur le Parc, Le Crystal et le CCE pour ne nommer que ceux là.
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il y a 56 minutes, KOOL a dit :
Parce ce qu'habituellement il marche couché ou en rampant ?
Ceci dit moi aussi j'avais fait du CF bashing avec des commentaires genre Lada Fairview lorsque que les tours du 750 Peel sont passées de tours aux courbes intéressantes à deux boîtes à chaussures très banales mais il faut aussi dire qu'ils sont également responsables de 3 tours qui feront toutes partie du Top 10 montréalais en matière de hauteur jusqu'en 2023 et que pour deux d'entres elles ils sont allés chercher une dérogation de 46 mètres.
Rocco faisait mention de design banal. À ce chapitre, il a raison. Bien que CF a contribuer substantiellement au développement de ce secteur de la ville et projette d'autres interventions futures, on ne peut malheureusement pas juger de la qualité de la contribution de CF au centre-ville seulement par la hauteur des immeubles réalisés.
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Appartements Dorchester - 37 étages
dans Complétés
Posté(e)
Coûte trop chers monter le parapet de 3 mètres juste pour caché l'appentis de l'ascenseur. C'est TOUJOURS un question de frics les amis.