Aller au contenu
publicité

boluda

Membre
  • Compteur de contenus

    252
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par boluda

  1. Le building est superbe, une construction qui rappelle new york. Ses voisins de 3 étages ressemblent à des taudis en comparaison.

     

    Malgré tout leur cachet, les unités viennent avec des problèmes de vieux building reconverti, soit très peu de fenêtres, et divisions mal faites.

    Ma mère les avait visité quand elle cherchait et avait été déçue.

  2. Ça coûte 124usd, soit 135$ canadien présentement. À deux ça reviens au double d'une auto. Je te laisse faire le calcul pour à trois et quatre ;-)

     

    sans compter que le trajet est deux fois plus long qu'en char presentement.

     

    En TGV on va couper le temps de parcours mais pas le temps pour les vérifications aux douanes. Avec un peu de chance le TGV seraun peu plus rapide qu'un trajet en auto et beaucoup plus cher.

     

    Ça c'est sûre. Mais est-ce fair de comparer le prix du trajet en auto à celui du bus?

     

    On est une gagne à pas avoir de voiture. En plus, avoir une voiture à NY c'est vraiment un chiar. Qu'est-ce que tu fais avec une fois rendu là?

  3. C'est exactement pourquoi le TGV ne fais pas de sens.

     

    Prendre le train pour New York aujourd'hui coute bien au delà de 100$, imagine le prix si c'est un TGV...:rolleyes:

     

    Hein?! ça coute presque exactement 100$ aller-retour NY-Mtl en train, à peu près la même chose pour l'autobus. C'est rien!

     

    Et puis même si le TGV coutait 200$, je considerais sérieusement ....

     

    Anyways, on espère un système comme celui de la SNCF. i.e. quand tu t'y prends à l'avance, tu peux avoir des deals du siècle. Il faut magaziner.

     

    J'ai fait Paris-Londres-Paris pour 60euros.

  4. Publié le 17 septembre 2009 à 16h27 | Mis à jour à 17h34

     

    Deux projets controversés acceptés

     

     

    109165-rue-st-laurent-coin-ste.jpg

     

    Mario Cloutier

    La Presse

     

    À la suite d'une autre réunion de son comité exécutif ce matin, la ville de Montréal a décidé, in extremis avant la campagne électorale, d'aller de l'avant avec deux projets immobiliers controversés au sein du Quartier des spectacles. Ces projets devront toutefois recevoir l'approbation du conseil municipal, lundi prochain.

     

    Le Quadrilatère Saint-Laurent, devant offrir des espaces de bureaux à Hydro-Québec, et l'édifice à vocation culturelle du métro Saint-Laurent, sont des projets issus du même promoteur, la Société de développement Angus (SDA).

     

    Le Quadrilatère a fait l'objet de plusieurs objections soulevées par l'Office de consultation publique de Montréal récemment. Le comité exécutif a passé outre mais a donné un échéancier de cinq ans, plutôt que trois, au promoteur afin d'éviter des expropriations trop coûteuses. Le Club Cléopâtre, situé dans le boulevard Saint-Laurent, est l'un des deux commerces qui refusent de faire place au développement proposé par Angus.

     

    Dans le cas du métro Saint-Laurent, la ville songeait à revoir le contrat la liant à la SDA, étant donné les conditions avantageuses accordées au promoteur, mais le comité exécutif a finalement décidé de donner le feu vert au projet. Le promoteur devra payer le terrain 2,9 millions de dollars, mais il aura droit à une subvention de 1,2 millions en vertu de la vocation culturelle de l'édifice devant abriter le nouveau Cinéma Parallèle et l'École de danse moderne.

     

     

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200909/17/01-902948-deux-projets-controverses-acceptes.php

  5. Moi ce que je remarque c'est:

     

    avez-vous remarqué que c'est le maire Labaume qui mène le show.

     

    tremblay fait partie du wagon d'en arrière.

     

    Labaume met de la pression et le pire est qu'on dirait que ca avance un peu ce mega projet depuis qu'il est là.

     

    De plus,cetaines perosnnes m'ont dit que Labaume veut le Cirque du Soleil de facon permanente à Québec et il essaie fort.

     

    Si il faut qu'eux ramasse le Cirque , je ne répons plus de moi.

     

    Être Tremblay , j,aurais déjà un plan B en mettant de la pression pour le TGV vers Pierre-Éliot Trudeau et vers New-York.

     

    La ligne Québec-Windsor, ca le dit...Québec.

     

    Moi je veux une ligne Montréal-New-York avec une arrêt à Albany (capitale de l'état)

     

    La plus grande économie du monde est là et ce à même distance que Toronto.

     

    Montréal doit viser New-York et non Toronto. C'est évidant

     

    il doit réagir et vite pour le cirque également

     

    tout à fait d'accord

  6. qq qui se passe avec ce projet

     

    je me promène dans l'est du centre-ville et ya des trous partout. certes la reno du building blumenthal et de la place des spectacles est magistral, mais devant ya le spectrum qu'on a dynamité et puis l'autre édifice à peep show au 2-22 st-catherine.

  7. une place ou ils jouent de la musique équitable, avec de la bière équitable, ou mieux du café bio-équitable, et les gens sont pas maquillés, pas rasé(e)s, pas lavé(e)s... :silly: :silly: :silly:

     

    ;)

     

    franchement...entre pitoune pas de classe et hippie sale il y a un juste milieu

     

    désolée pour ta blonde cataclaw...il faut de tout pour faire un monde ;)

  8. "filles cheap" - ça veut dire quoi ça? :silly: it's a pretty upscale place, i don't find the girls are very "cheap"

     

    prétentieux - expliquez moi pourquoi

     

    musique - c'est une question de gout. moi j'aime le house/electro/etc. si vous n'aimez pas cette musique, n'allez pas dans un club qui ne cache pas d'être une place de ce genre de musique!!

     

    service de Q - j'ai toujours eu du bon service. Jamais plus que 30 secondes avant de me faire servir. Si vous n'êtes pas servi, des fois il faut attirer l'attention du barman c'est tout. Un petit signe avec la main c'est tout ce que ça prend!

     

    My only complaint - i've yet to find my "plug" for Opera. Most clubs around town i know somebody and i can dodge the covers and usually dodge the lineups too.

     

    Malek can you help me with this? ;);):highfive:

     

    je parle des cheaps ho's de salon de bronzage avec 5 couches de maquillage ensaussinées dans des robes mini avec des talons échasses qui après 2 drinks jouent aux lesbiennes puis se donnent au premier sleazebag venu.

    regarde les photos, case in point.

    non c'est vraiment pas mon genre de place. c'est pas du tout classe ou upscale, c'est ringard et de mauvais goût.

    mais il faut de tout pour faire un monde. si c'est ça qui te branche...

  9. SE RÉCONCILIER AVEC LA PLACE

     

     

     

    Marc Cassivi

    La Presse

     

    Patrick Watson chantait The Great Escape, voix de cuivre éthérée, baigné dans une lumière mordorée. Ses doigts flottaient sur le piano comme un radeau à la dérive. La lune brillait, pleine. Soir d'été indolent, petite brise dans le cou. Cinquante mille personnes, peut-être davantage, murmurant Toudoudouta-tadadou, toudoudouta-tadadadaaada. Mer ondulante de tranquillité, bonheur émouvant de la communion.

     

     

    Elles étaient quatre devant moi. Pâmées. Ricaneuses. À se lancer des regards complices. Prêtes à l'épouser. Il est déjà marié? Tant pis. Il est papa? On l'aime encore plus. C'était une soirée pour se pâmer. Nuit magique, comme chanterait Catherine Lara. Temps idéal, musique idéale, place idéale. Place idéale?

     

    Depuis le spectacle d'ouverture du 30e Festival international de jazz, Stevie Wonder à la barre, on n'a pas été tendre avec la nouvelle Place des festivals. Trop exiguë pour un show de cette envergure, difficile d'accès, mal disposée, mal desservie, mal... aimée.

     

    La place, inaugurée inachevée, a laissé une mauvaise première impression. À ceux qui s'y sont entassés comme des sardines des heures avant le spectacle, sans pouvoir circuler, sans accès aux toilettes ni aux comptoirs de restauration. À ceux, postés «sur l'asphalte», condamnés à céder six pouces de visibilité à leurs voisins privilégiés du «haut du pavé». À tous ceux, enfin, qui ont été refoulés à des centaines de mètres de la scène. Coincé à l'angle de Sherbrooke et de Saint-Urbain, un spectacle dans la rue Jeanne-Mance, entre Sainte-Catherine et de Maisonneuve, semble forcément moins intéressant.

     

    C'est fort, une première impression. La Place des festivals, qui a un charme indéniable, avait du rattrapage à faire. Soixante mille personnes ont sans doute été ravies par le spectacle de Stevie Wonder (la capacité de la Place est de 40 000 à 50 000 personnes, de la scène à l'angle de Jeanne-Mance et de Président-Kennedy). Trois fois plus de gens en gardent un souvenir plus mitigé.

     

    Prise deux, donc, dimanche soir (à ne pas confondre avec deuxième prise). Deuxième impression en forme de réconciliation, grâce à Patrick Watson, d'une bonne humeur contagieuse, et son utilisation ingénieuse de l'espace. Projection d'un vieux film monochrome sur les différents édifices entourant la place, jeux d'ombres sur les bâtiments et le rideau de scène, éclairages élégants, cycliste haut perché façon Cirque du Soleil, feux de Bengale sur le toit du Musée d'art contemporain...

     

    Le rêve d'une place accueillante, au design épuré, porte ouverte sur le Quartier des spectacles, a pris forme. Avec ses beaux grands lampadaires futuristes, ses écrans géants dernier cri, les bâtiments voisins déguisés pour l'occasion, le musée illuminé de blanc, la Place des festivals avait fière allure. On en oubliait la rue asphaltée à la hâte, les cubes-terrasses toujours en chantier et autres échafaudages à gauche et à droite.

     

    La Place, dimanche, avait de la gueule. La splendeur et l'ambition de ce Festival de jazz qui fait la fierté des Montréalais. On pouvait circuler facilement, on ne se sentait pas à l'étroit, on voyait bien, même d'une certaine distance. L'air était bon, l'ambiance détendue. Les gens étaient heureux, la ville était belle, la musique magnifique. Magique.

     

    Autre festival, autre dispositif

     

    La scène GM du Festival de jazz, rebaptisée scène Ford aux FrancoFolies, sera disposée autrement pour la grande fête de la musique francophone dans quelques semaines.

     

    Prenant acte des différentes critiques adressées par le public et les médias aux organisateurs dans la foulée du concert de Stevie Wonder, les gens de l'Équipe Spectra ont décidé d'aménager la grande scène à l'angle de Jeanne-Mance et de Président-Kennedy, plutôt que directement sur la Place des festivals. La scène fera face au public au sud plutôt qu'au nord. Elle sera fréquemment utilisée dans le cadre des prochaines FrancoFolies (du 30 juillet au 9 août), qui attirent bon an mal an environ un million de visiteurs, contre 2,5 millions au Festival de jazz.

     

    «On veut tester différentes possibilités. Il y a quatre façons de disposer la scène dans la nouvelle Place des festivals. On veut trouver celle qui convient le mieux, pour le son, pour la répercussion sur les immeubles, etc.», m'a expliqué hier Marie-Ève Boisvert, porte-parole de l'Équipe Spectra. Pour savoir ce qu'il y a de mieux, il n'y a rien comme l'essayer.

     

    http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/marc-cassivi/200907/07/01-881863-se-reconcilier-avec-la-place.php

  10. bahh on fait une tempête dans un verre d'eau.

    clairement stevie wonder à la PDS c'était pas idéal mais les autres spectacles vont attirer moins de monde.

     

    la place est belle, on a pas encore eu le temps de l'admirer

×
×
  • Créer...