Aller au contenu
publicité

gomtl

Membre
  • Compteur de contenus

    301
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    4

Messages posté(e)s par gomtl

  1. REM : de héros à zéro

    *PASCALE DÉRY. JDM

    A Mardi, 31 janvier 2017 11:50

    MISE à JOUR Mardi, 31 janvier 2017 12:32

    Encore une commission parlementaire ! C’est ce que réclament maintenant de nombreux groupes écologistes pour répondre aux récentes conclusions du BAPE, qui disait il y a quelques jours qu’il était prématuré d’aller de l’avant avec le projet de train électrique de la Caisse de dépôt.

    Et pourtant, ça ne fait pas si longtemps que ça, les réactions étaient unanimes, l’enthousiasme débordant. Le Réseau électrique métropolitain était le projet de transport en commun le plus spectaculaire jamais réalisé au Québec, le plus ambitieux depuis l’inauguration du métro il y a 50 ans, celui qui allait révolutionner le transport collectif.

    Le maire de Montréal, Projet Montréal, la STM, la Chambre de commerce, la communauté universitaire, bref, tout le monde a encensé le projet, même des écologistes.

    Le 22 avril dernier, tout juste après l’annonce officielle de la Caisse de dépôt et placement, Équiterre diffusait un communiqué de presse dans lequel le directeur général félicitait la Caisse pour ses efforts dans la concrétisation de ce projet de si grande envergure. On pouvait y lire : « La CDPQ va réaliser en 5 ans ce que nous mettons 15, voire 20 ans à réaliser au Québec normalement, c’est rafraîchissant! ».

    Déraillement

     

     

     

     

    Mais cette lune de miel avec la Caisse et le REM n’aura été que de courte durée. Quelques semaines plus tard apparaît le premier grain de sable dans l’engrenage. Les couleuvres brunes, les blongios et la fameuse rainette faux-grillon viennent gâcher le party. Les premières études environnementales estiment que les travaux auraient un impact important sur ces espèces menacées.

    À partir de ce moment, les critiques se sont multipliées. En septembre, une coalition formée de groupes écologistes et syndicats, baptisée Trainsparence, a commencé à dénoncer l’empressement de la Caisse dans la réalisation du projet. Il faut savoir que les travaux devaient débuter ce printemps, la livraison du train étant prévue en décembre 2020. Soudainement, la pertinence même du REM était remise en question. Cette coalition trouvait que ce projet faisait une trop grande place au privé et que l’unique but de la Caisse était de générer des revenus et du rendement.

    Et même si ce train est électrique, la coalition est allée jusqu’à dire que ce projet n’entraînerait pas de réduction de gaz à effet de serre puisque les gens prendraient leur véhicule pour se rendre à la gare.

    Trainsparence a mené une mégaopération anti-REM au cours de laquelle 100 000 tracts ont été distribués dans les réseaux de transport en commun dans la grande région de Montréal.

    Le chef du Parti vert du Québec en a remis, soulignant que ce projet n’était qu’un simple stratagème électoral. Pour le président d’Option transport durable, le REM coûte trop cher et, selon lui, on pourrait avoir 10 fois plus de stations et déplacer cinq fois plus de monde avec un tramway.

    Le récent rapport du BAPE a ajouté une couche en déclarant qu’il était prématuré d’aller de l’avant avec le projet, même si l’organisme a outrepassé son mandat en se penchant sur des questions économiques plutôt qu’environnementales.

    Les groupes écologistes, eux, font preuve d’obstruction systématique en demandant la tenue d’une commission parlementaire.

    L'histoire se répète

    Nous voilà donc avec un grand projet de 5,5 milliards de dollars, porteur de développement économique, que les groupes de pression bloquent encore une fois. L’histoire se répète : dès qu’il y a un projet d’investissement au Québec, on l’empêche de voir le jour pour mille et une raisons.

    On balaie du revers de la main un projet de train électrique, un projet « vert ». Ce sera quoi pour les projets de pipeline, de mines, de développement urbain, de développement forestier, etc. ?

    Quelle ironie de repenser au concert d’éloges venant de divers groupes, alors qu’on n’entend plus que des critiques en ce moment. Je ne vous dis pas que le REM est parfait, certainement pas. Un projet de cette ampleur peut toujours être amélioré un peu. Mais doit-on le mettre de côté comme l’exige Québec solidaire ? Ce n’est pas en privilégiant l’immobilisme qu’on fait croître l’économie. Et, au Québec, cet immobilisme est devenu endémique.*

  2. A chaque projet, il y a son lot de détracteurs qui véhiculent des peurs qui souvent vont tuer un projet.

    C'est là que nos gouvernement ont la resposabilité d'imtervenir pour éviter qu'un projet essentiel soit relégué aux oubliettes Le but du REM est de décongestionner Montréal avec un systeme à la fine pointe de la technologie du TEC et environnementale. Comment un tel projet peut-il ne pas etre un succes?

    Les Détracteurs vont soulever toutes sortes d'arguments et tenter de faire oublier l'objectif premier, celui de décongestionner la ville.

    Ca me rappelle un autre projet de beaucoup moins grande envergure toutefois ou le gouvernement, malgré une opposition importante, a imposé le projet de son choix. Le projet de grande bibliotheque avait pour but de doter Montréal et le Québec d'un établissement à l'avant garde avec des services et des facilités de premier ordre.

    On connait la suite. Les opposants voulaient que tout le Québec en profite avec un soupoudrage de fonds publics dans toutes les régions, une bibliotheque centrale allait etre, selon eux, un échec total.

    Le gouvernement n'a pas dévié de son objectif et a créé l'institution qui connait un vif succes et auquel les bibliotheques du Québec sont reliées et peuvent croitre avec un apport exemplaire de la bibliotheque du Québec.

    Quand l'objectif est clair et bien défini. c'est un gage de succes à mon avis. Muskrat Falls n'avait aucun sens des le début. Terre Neuve n'avait pas besoin de cet électricité. De plus, le pm de TN, en avait sur le coeur contre le Quebec et voulait faire la lecon. La rentabilité, meme à l'époque était loin d'etre assurée. Quel était l'objectif? Mirabel a été imposé aux québecois. Il n'était pas coordonné avec Dorval. Aucun lien ferroviere. Quel était l'objectif? Ce n'etait pas notre projet, c'était celui du fédéral. C'était pas un projet pour régler un probleme réel. C'etait, un peu comme Muskrat Falls, un reve, une uthopie.

     

    Le REM c'est pour répondre à un objectif clair,un besoin urgent.

    • Like 1
  3. Bonne nouvelle. Les parents québecois investissent plus dans les REEE.

    *De plus en plus de Québécois épargnent pour les études des enfants

    *AGENCE QMI

    Mardi, 24 janvier 2017 17:10

    MISE à JOUR Mardi, 24 janvier 2017 17:10

    QUÉBEC – Les Québécois sont de plus en plus nombreux à mettre de l’argent de côté en prévision des études de leurs enfants, indique un sondage Crop dévoilé mardi.

    L’étude indique qu’environ 45 % des familles avec enfants disent avoir opté en 2016 pour un Régime enregistré d'épargne-études (REEE).

    Ainsi, l’épargne des familles a été repartie de la façon suivante: 64 % ont épargné dans un REER, 47 % dans un CELI et 45 % dans un REEE.

     

     

     

     

    Si le Compte d'épargne libre d'impôt (CELI) et le Régime enregistré d'épargne-retraite (REER) ont toujours la faveur des épargnants québécois, l’étude souligne aussi que le REEE gagne de plus en plus de popularité au fil des ans.

    «Ces résultats sont très encourageants et démontrent que les parents anticipent davantage les coûts liés aux études de leurs enfants, profitant des avantages offerts par les REEE pour leur offrir un avenir prometteur», a indiqué Pierre Lafontaine, vice-président, Service à la clientèle et exploitation chez Universitas.

     

     

     

     

    Chez les 18-34 ans, l’achat d’une maison (41 %) et l’épargne à long terme (41 %) restent la priorité. Dans la catégorie des 35-54 ans, le REEE est prioritaire en termes d’investissement pour 31 % des familles avec enfants, devançant le remboursement des dettes (27 %). Les 55 ans et plus épargnent majoritairement pour la retraite (49 %).

    Par ailleurs, les trois quarts (75 %) des Québécois disent avoir mis de l’argent de côté en 2016. Leurs priorités d’épargne ont été les suivantes: la retraite (45 %); l’épargne à long terme (27 %); l’éducation des enfants (16 %); l’achat d’une maison (15 %).

    Réalisé pour le compte d’Universitas, spécialiste en épargne-études, le sondage en ligne a été réalisé du 16 au 21 novembre 2016, auprès de 1000 Québécois.

  4. * * * * * * * * * * * * * * * .CAPITAL DE RISQUE

     

    LES INVESTISSEURS LES PLUS ACTIFS selon PWC Canada cb insights.année 2016 au complet

     

    http://cdn.betakit.com/wp-content/uploads/2017/01/Screen-Shot-2017-01-24-at-7.17.40-PM.png

    La FTQ, le Fondactiion, la Caisse ne font pas parti des données.

     

    *LES INVESTISSEURS LES PLUS ACTIFS selon Thomson pour 3 trimestres de 2016

     

    *Montreal en position de tete du capital-risque au Canada | Martin Vallieres | Canada Le Québec héberge quatre des sept investisseurs institutionnels qui ont été les plus actifs en capital-risque au Canada durant les trois premiers trimestres de 2016, selon Thomson Reuters. Ce quatuor comprend le Fonds de solidarité, le Mouvement Desjardins, FondAction et la Caisse de dépôt et placement. En tout, ils ont réalisé 96 investissements totalisant 327 millions.

     

    Donc, vous remarquerez que la CDP, Le Fonds de la FTQ, le Fondaction, tous dans les plus actifs au Canada ne font pas parti des données du rapport publié aujourd'hui par PWC Canada.

    Ces trois sources de capital de risque à elles seules investissent plus que tout le montant des autres fonds privés au Québec en 2016 tel qu'établi par PWC canada cb insights.

    Donc,c'est sur que le Québec est à peu pres égal à l'Ontario mais Montréal surpasse Toronto si, comme pour Thomsons on inclus les investissement de risque de FTQ, Fondaction et CDP

    • Like 1
  5. Je crois que je me trompe d'année mais il yu a tellement de chiffre que ca porte a confusion

     

    Montreal en position de tete du capital-risque au Canada | Martin Vallieres | Canada

     

     

    Canada startups rising with $2.5B already raised in 2016

     

     

     

     

     

    là cest clair qu'un des deux qui se trompe royalement

     

     

    Les données de PWC Canada CB insights ne semblent pas inclure les investissements en capital de risque de la CDP et du fonds à risque de la FTQ. Dans son article, en Aout, Martin Vallieres cite ces deux fonds comme étant les plus importants investisseurs au premier semestre de 2016 avec 225 millions selon Thomson reuters. Donc apres 6 mois seulemenft.PWC canada CB insights classe la BDC au premier rang pour 2016, alors que ce fonds est loin derriere dans le classement de Thomson en Aout.

    Je vais continuer à analyser les données. Mais, si c'est le cas la caisse, la FTQ et meme investissement Québec font une énorme différence. Et oui, les trois sont nos investisseurs majeurs dans le capital de risque. Le Québec est d'ailleurs reconnu pour ses invvestissement dans le capital de risque.Je crois le rapport de Pwc est incomplet. Omers ( fonds de retraite ontarien) est inclus dans les données de Pwc mais pas la caisse et ftq

  6. Ces groupes créer leur propre emploie en faisant faire des études par dessus études. Combien on a dépensé en etudes pour la ligne bleu du métro si je ne me trompe pas ca doit froler les 60 millions et j'ai pas vu une pepine creuser encore. Le REM a utilisé des tonnes d'études du SLR qui on été faites au cours des années. Combien d'études ils faut encore faire ? Ca va faire le niaisage.
    Exactement. Le projet de la caisse répond à un besoin des Montréalais et de belle facon. Si un organisme commence à questionner tout en détail, on en sortira jamais. Il y des couts enormes associés à la mise en oeuvre retardée. La responsabilité sociale a aussi sa place dans ces organismes. Quand ils ne comprennent pas cà, c'est le temps de revoir leur role.Au delà des analyses sans fins qu'on nous propose, il y a aussi la gouvernance et l'éthique. Comme le dit Francois Cardinal, on sent un préjugé défavorable dans le rapport du BAPE. C'est bon d'analyser les questions soulevées par le BAPE. Mais il faut aussi observer comment le message est transmis, la qualité du message. Comment expliquer l'attitude du BAPE? Voila la vraie question.

    lLa question suivante c'est pouquoi un tel préjugé. Montréal est-il bien représenté dans le BAPE ou on a droit à un concert des régions?

  7. Francois Cardinal dit les vrais choses voici ce qui m'interpelle surtout.

    Mais entre la critique constructive et la démolition, il y a un pas que le BAPE n’hésite malheureusement pas à franchir. À lire ce rapport, on croirait que le projet n’est en fait qu’un gros paquet de problèmes ! Alors qu’il s’agit, malgré une transparence peut-être déficiente et un montage financier à ficeler, de la plus importante avancée en transports collectifs des 50 dernières années.

     

    Manifestement, ces gens n’ont jamais essayé de traverser le pont Champlain en transports en commun en dehors des heures de pointe. Ils n’ont jamais fait la queue le matin pour accéder au terminus du centre-ville dans un bus archibondé. Ils n’ont jamais emprunté le pont un jour de grand vent alors qu’il n’y a pas de cône orange, donc pas de voie réservée.

  8. La ont dit n'importe quoi . Citions en exemple Investissement PSP . 450 de leur 600 employees sont a Montréal et géré les fonds pensions de la GRC et les forces de reserve avec un actif de 117 milliard de dollars . Ces le fonds de pension qui a le meilleur rendement au Canada et celui qui grossit le plus vite grace a sont équipe en place a Montréal. Le BIC devrait ce trouve dans une ville bilingue , pour desservir tous les Canadiens(iennes) dans leur langue. Montréal a les ressources necessaire pour ce bureau . Par contre, si le gouvernement choisie Toronto ou toute autre vile , ca seras une decision purement politique pour conserve les votes acquise . Pour terminer je crois nos chances sont égale avec Toronto pour ce bureau.

     

     

    C'est sur que Montreal a tout pour accueillir la BIC. On est classé dans les 20 premieres villes financireres du monde, pas loin derriere Toronto. Coté ingénierie/ infrasture on est top au Canada. Notre probleme, c'est strictement notre force politique beaucoup moindre que Toronto. Sous Harper et maintenant Trudeau la finance passe par les ministres ontariens.*

  9. what alternative fact.... if Montreal loses the BIC, we become more marginalized which shows just how inconsequential and un-strategic the city has become in the eyes of government.

     

    So before you continue your little hissy fit, listen to what I'm saying. Do you think as a Montreal that i'm rejoicing in the prospect of more power going down the 401?

     

    Too bad that board members here resort to name calling and ridicule.

     

    Well, welcome aboard. I am also sad to see opportunities going down the 401, like many others on this forum? The Feds décisions are out of our control. Toronto and Ottawa, Ontario take all the decisions they want, no matter the logic behind.

    Montrealers have long realised this. We know our future outside Canada is much brighter. Not too long ago, this meant seperation. Now montrealers are very active all over the world like in no other provinces. The lack of opportunities coming from Canada is a great souce of motivation for our entrepreneurs to go international.

    Come on Mark jump in. I do not have a crystal ball, but i know one thing.

    This city is working hard and opening itself to the world. We are thinking out of the box. We are not sittng in the station waiting for the train to come by from Ottawa.

  10. Ce qui fait peur c'est que le reste du Quebec est a la traine. Montreal tire tout le reste.

     

     

    Et ce qui est d'autant plus triste, c'est de voir l'opinion qu'on a de Montréal dans les régions. Tant qu'on aura des Bernard Gauthier...

    Tu réferes souvent à l'immigration. Voilà une autre facon de faire évoluer certaines mentalités et apporter un apport nouveau plus ouvert sur l'extérieur.

  11. I love how i'm being the troll when we can't even land a federal government agency, where most of the engineering/infrastructure hub in this country is Montreal.

     

    Yes folks, I'm the troll. :sarcastic:

     

     

     

    That's exactly the point. Montréal can't land a federal agency no matter what. If you do not understand that, you're the troll.*

  12. La dernière phrase, "difficilement défendable." Ah bon, on a des centaines de millions à donner pour ne pas utiliser un terrain abandonné? La logique des une n'est pas la logique des autres faut croire...

     

     

     

    Le BAPE a ouvert une " can of worms " de facon magistrale. Maintenant tout va etre remis en question,dans ses moindres détails, jusqu'à la confusion la plus totale. L'opinion publique et les médias vont en rajouter pour un démolissage en regle de ce projet.Pendant ce temps, on aura completement oublié l'objectif premier du projet, bonifier un réseau devenu désuet.Les gouvernements sont mieux d'agir vite, autrement les discussions qui menent nulle part et l'immobilisme vont revenir nous hanter.

    Le BAPE que certains reconnaissent comme rigoureux a falli lamentablement dans sa responsabilité sociale.

    Si ce projet avorte, l'impact sur Montréal va etre désastreux. Depuis quelques temps Montréal jouit d'une embellie et c'est en partie à cause de ce projet. Des articles ont fait référence à ce projet mobilisateur (Bloomberg entre autres je crois).

    On assiste à du travail de techniciens sans aucune vision. Shame on you BAPE

  13. Le débat n'est même pas de savoir si le REM va se faire ou non. La position prise par le gouvernement du Qc et la ville de Montréal est de désavouer publiquement le BAPE, de faire une bataille d'opinion publique pour supporter le REM, et de respecter l'échéancier de la Caisse. un volte-face aurait l'air complètement farfelu à ce point.

     

    On devrait plutôt réfléchir à la façon de bonifier le BAPE pour le rendre pertinent à influencer positivement un projet, bien définir son mandat, s'assurer d'aucune influence malsaine pouvant colorer le rapport, et harmoniser la consultation avec des projets à la gestion particulière comme le REM.

     

     

    Non. Non le BAPE n'a pas besoin des gouvernements pour etre désavoué publiquement. Ils se désavouent eux memes. Le projet du REM est essentiel à Montréal, sous sa forme actuelle ou bonifié. Les critiques du BAPE, qui sont d'ailleurs majoritairement non reliées à l'environnement sont incisives.Ce sont des critiques qui laissent croire que le projet est inacceptable dans son entier. C'est totalement irresponsable de leur part. C'est comme si eux seuls avaient toutes les réponses et ce dans tous les domaines. Moi j'appelle cela de l'arrogance.

    Je suis parfaitement d'accord que le mandat du BAPE soit revu de facon à mieux les incorporer dans le processus de developpement de projets majeurs.Malheureusement, le mal est fait pour le REM. Le succes du REM repose maintenant entre les mains de nos décideurs.

  14. Il y a une facon de passer un message sans foutre le bordel et risquer de tout compromettre. Les gens du BAPE comprennenent-ils cela?Pourquoi n'ont-ils pas sonné l'alarme plus tot dans le processus?Font-ils parti de la solution ou des problemes qui risquent de retarder ou meme compromettre un besoin qui est devenu urgent pour Montréal..

    Sont-ils des partenaires qui s'integrent dans le processus de développement des projets ou des techniciens experts qui apposent un verdict.

    Pour ma part je m'attend à beaucoup plus qu'un verdict.Le REM est un projet qui était rassembleur, une vision pour Montréal. Il y a une facon d'évoluer dans ce projet complexe, à bien des égards en apportant un support positif.La facon de faire du BAPE risque de tout faire déraper,en commencant par l'opinion publique et donne de belles occasions à certains pour y trouver des arguments politiques.

    Ce qu'on a besoin au,Québec c'est des batisseurs. La CDPQ a fait un bon bout de chemin en proposant un projet unique qui, sans doute a besoin d'etre amélioré, comme tout ce qui est complexe et d'envergure, mais le processus doit avant tout etre fait avec des partenaires favorables à une implication positive.

    Une des responsabiltés du BAPE c'est aussi de faire avancer le projet plutot que de le figer comme on s'y attendrait pour un puits de pétole sur la rue Ste Catherine.

    Si le REM ne passe pas, c'est quoi les autres solutions au transport en commun et pour quand, à quel prix? Le plus gros risque de ce projet, c'est de le retarder pour une autre décennie ou encore s'en tenir à quelque chose qui ressemblerait au statu quo.

  15. Je crois qu'on a fait une énorme erreur temporairement pour une long terme en detruisant un autouroute pour de lespace vert._. *La ville aurait du faire un boulevard avec les deux voies collées. Faire un espace vert ca manque d'audace.

     

     

    C'est difficile de se faire une image d'un projet comme on est pas habitué de voir en amérique où on favorise le béton dans les centre-villes. La verdure, l'espace dégagée, le lien avec le canal Lachine vont apporter une nouvelle image acceuillante à Montréal.Les plus belles images d'avenues que je conserve de l'étranger sont celles qui sont larges, dégagées avec un terre-plein verdoyant dans un site évocateur. Lorsque complétée,nous serons plus en mesure d'apprécier de visu cette nouvelle entrée de prestiqe.

  16. Sans vouloir réduire le rôle essentiel du BAPE. Je crois que l'organisme devrait se concentrer sur son mandat, là où elle possède une véritable expertise (en environnement) et laisser les autres professionnels et intervenants gérer les autres aspects, dont financier du REM. L'objectif donné par le gouvernement au BAPE, est justement d'analyser les impacts environnementaux du nouveau système de train léger sur le territoire desservi et d'apporter des recommandations pour en diminuer au maximum les effets négatifs, et ou, encourager des actions compensatoires.

     

    A partir de là on peut supposer qu'en sortant de son cadre officiel, elle déroge de son rôle précis, en s'attribuant un pouvoir d'évaluation qui dépasse ses compétences. Restons-en donc aux aspects environnementaux de son rapport et laissons à d'autres organismes et institutions prévus à cette fin, le soin d'étudier et d'analyser, à la lumière de ces recommandations, les autres aspects du projet. Comme on dit: "à chacun son métier et les vaches seront mieux gardées".

     

     

    Le fait que les critiques du BAPE portent surtout sur des aspects qui n'ont rien à voir avec son mandat me rend perplexe. En agissant ainsi, on peut se demander si le BAPE s'integre bien dans le processus d'évaluation des nouveaux projets.Moi, dans le cas du REM,j'y vois un fort manque d'éthique qui ajoute une note discordante qui à la limite peut faire dérailler des projets déjà tres complexes. Ca démontre un manque flagrant de responsabilté dans le processus de développement des projets. Esce que le BAPE est un partenaire qui cherche à protéger les intérets environnementaux des Québecois ou est-ce une boite à critiques qui aime montrer ses muscles à peu pres sans égard au role qui leur a été confié.

    C'est comme si le BAPE s'était engagé sur une voie ou le négatif est mis à l'honneur plutot que son devoir de travailler en partenariat avec les batisseurs du Québec de demain.

  17. C'est ce genre de bonnes petites nouvelles qui se multiplient de plus en plus et, lorsqu'on les additionnent, peuvent devenir aussi importantes, sinon plus, qu'une simple grosse nouvelle.

     

     

    Bien d'accord. Mais je persiste à croire qu'on a droit,d'espérer des investissements majeurs. Ce qui est bon pour les plus petits investissements l'est aussi pour les projets majeurs. Les projets majeurs prennent beaucoup plus de temps à élaborer. Il faut etre patient.

    Montréal, on le constate devient de plus en plus une ville du savoir à forte empreinte technologique. On parle souvent d'investissements dans des secteurs en développement et/ou en démarrage. Il s'agit d'une nouvelle économie en constrution.La technologie jumelée à nos couts moindres font de Montréal une ville tres compétitive pour des investisseurs importants.

  18. Je suis persuadé que ça l'a eu un impact sur l'économie de Laval (le fiasco Vaillancourt)

     

     

    Les mises à pieds de Bombardier, avec la fin du développement de la C series? La production ne fait que commencer.

  19. Ce n'est pas en diminuant les budgets qu'on va mieux intégrer nos immigrants. On ne peut pas non plus se limiter à l'intégration économique, il faut aussi travailler à leur intégration culturelle pour en faire des québécois à part entière.

     

     

    L'économie est le grand catalyseur et intégrateur. C'est le meilleur moyen d'encourager la participation des immigrants dans notre société. L'intégration culturelle, commence d'abord par un environnement dynamique où il existe de bonnes oppotunités d'emplois de qualité.

    Une économie en bonne croissance va en outre à la fois permettre à investir plus dans les budgets d'intégration mais aussi à devenir plus compétitf vis-à-vis l'amérique anglophone et ainsi plus retenir nos nouveaux arrivants et renforcer notre culture québecoise.

  20. Je sais cela par contre j'ai des collegues de travail qui sont immigrants et sont justement revenu de l'Alberta car il n'y avait plus de jobs pour eux la-bas. Faut arreter de les bloquer nos immigrants. C'est la creme de leur lieu d'origine pour ceux qui sont parti de leur pays cela prend beaucoup de volontés et de sacrifice pour quitter et venir ici.

     

     

    Depuis quelques mois, on voit que l'emploi prend du mieux au Québec. On peut espérer que ca aura un impact favorable sur l'intégration des immigrants au marché du travail.

    Si l'économie continue de s'améliorer au Québec, il y aura un manque de main d'oeuvre qualifiée. On commence déjà à le sentir d'ailleurs.Notre histoire, à mon avis, explique l'attitude plutot fermée dans le millieu du travail. Le dynamisme d'une économie prospere va changer des choses. Les employeurs et les associations syndicales et professionnelles vont devoir s'ajuster,par la force des choses..C'est un contexte nouveau dans cette province où le taux de chomage a été élevé historiquement. Le plein emploi va faire la différence. Et c'est pour le mieux parce que, comme tu dis, les nouveaux arrivés sont des citoyens tres motivés.

    Ainsi, si notre élan économique poursuit sur sa lancée, on peut s'attendre à d'autres bonnes nouvelles, cette fois du coté de l'intégration des immigrants. Une situation gagnant-gagnant.

  21. I took one of those tourist hop on hop off busses last summer for fun, and when the stadium and the tower came into view, the tourists literally awed and gasped out loud, and then proceeded to take a thousand photographs each. Most of them then looked to the people they were with and made the motion of "we have to get off here and explore". The only other location they did that was the Oratory and Notre Dame. Canada has confirmed they will be bidding on 2026 FIFA World Cup and with Toronto deciding not to bid on 2024 Summer Olympics (and a new stadium they would have built for the event), a renovated Big O (done like BC Place) has been discussed as the potential location for the final. *

     

    The generation that watched the stadium's construction spiral out of control with corruption is getting older and quieter, and younger Montrealers see it in a more positive light. It will be fifty years old in 2026, a renovation is definitely coming and FIFA 2026 would be the perfect stage to show it off.*

    I witnessed the same kind of reaction when i tour guided some friends from Australia. They were amazed by the imposing beauty of the stadium.

    I agree with you. The time has arrived to look forward and activate these facilities to their full potential. Our visitors are better judges as their perception of this monument is not skewed in any way by its history. Lets make it come to life again and become a proud asset for montrealers. FIFA 2026 would be a great opportunity to make it happen.

  22. Il y a de l'harmonie dans le jazz. Par exemple Oscar Peterson est plus "harmonieux" qu'une oeuvre symphonique de, mettons, Pierre Boulez (qui est très dissonante)! ;)

     

     

    Je ne suis pas un fan du jazz, ni un connaisseur d'ailleurs. Ce que je dits c'est que le Peterson, pour moi, c'est comme de la musique qui ne vient pas me chercher. Je crois que l'ONF sera tout le contraire et qu'il va bien s'harmoniser au QDS, ce que le Peterson ne fait pas. Heureusement qu'il est en retrait.

  23. Désolé de peter la balloune mais le Quebec est en bas de l'echelle . Les diplomes que l'on donnent ne valent pas grand chose. Quand on un racrocheur reussi a obtenir son diplome en 1 ans pour 3 année qui lui manquait pour obtenir son diplome secondaire il y a quelque chose qui cloche. J'ai un collegue de travail qui est un racrocheur. Il a obtenu son diplome mais il sait a peine ecrire c'est pathétique. Il m'a dit qu'il n'a jamais lue un livre de se vie. Ce que l'on doit surtout surveiller c'est le taux de diplomation post secondaire Collegial et Universitaire. Et la le Quebec ne fait pas bonne figure. La faute a qui ? Les parents.

     

     

    Tout n'est quand meme pas noir. Nos jeunes sont parmi les meilleurs en math et en science. Mais je suis d'accord avec toi, pour le francais ca fait dur. Il faut améliorer le francais. Il en est de meme pour les études post secondaires, On a une cote à remonter.

  24. Ce n est pas tant de trouver une technologie qui pose probleme mais plus une question de cout. Surement plusieurs centaines de millions de dollars à trouver et on comprends les gouvernements sucessifs ou entreprises privees qui hesitent car le stade à mauvaise presse pour les quebecois au sujet de son cout initial de contruction et de son entretien.

    Meme si je suis sur que le,fait d avoir un toit retractable serait rentabilise à moyen ou long terme...

     

     

    La mauvaise presse est aussi causée par cette valse d'hésitation pour remplacer ce toit. Le stade est percu comme un éléphant blanc. Il n'est pas exploité à son potentiel.

    Un nouveau toit, surtout rétractable, changerait assurément bien des perceptions négatives. Le réaménagement de la tour, et son occupation par Desjardins est un grand pas dans la bonne direction et une démonstration que la RIO entend valoriser cet immeuble. Plus on attend pour un nouveau toit, plus l'acceptation du complexe sera retardée. Quant aux technologies, je crois que l'idée du composite suggérée par Pylone est un exemple intéressant dans la facon de rechercher une solution. Jusqu'à maintenant, aucun fournisseur, de toute évidence n'a su repondre aux normes qualité,couts,faisabilité. Les fournisseurs offrent les produits qui leur sont propre Et qu'ils connaissent.

     

    S'il en est ainsi, la RIO devrait-elle chercher ailleurs? Est-ce que la RIO a cherché à obtenir des avis de spécialistes de ces matériaux composites directement plutot que de suivre la procedure habituelle, de demande de soumission aux fournisseurs?

    C'est une question qui mérite d'etre posée.

×
×
  • Créer...