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plb

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Messages posté(e)s par plb

  1. Pour ma part, je pense qu'il n'y a plus grand chose à perdre. Je suis passé sur la rue hier et presque tous les restos (de type attrapes-touristes bas de game...) sont fermés. Je suis d'accord pour dire qu'il y a de grands problèmes à régler, mais avec un meilleur aménagement, ça pourrait attirer des passants qui cherchent à se reposer un peu à l'abri de l'action de la Main. Bref, c'est un bon début pour changer la vocation de la rue. Je pense aussi que la rue est trop large: rétrécir la chaussée pourrait créer un autre effet et rendre la rue plus conviviale.

  2. Je suis bien d'accord avec votre analyse GDS et ILuvMTL mais svp, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit.

    Je résume:

    La décroissance de Montréal a commencé bien avant 1976, pour des motifs essentiellement économiques (déjà mentionné) et démographique (baisse drastique de la natalité au Québec). Je dis simplement qu'on a commencé à parler de déclin et d'exode à partir de 1977-78, quand il y a eu un exode massif des anglophones. Je ne nie pas cet exode, ni le lien avec l'élection du PQ et son discours pro-francophones. Je ne nie pas que les anglophones se sont sentis exclus, mais je dis simplement que d'associer le déclin de Montréal avec l'élection du PQ est une analyse un peu courte. Il y a tellement de raisons pour expliquer le déclin de Montréal que de ramener tout ça à un ou deux facteurs, c'est un gros raccourci.

     

    Cela dit, si on exclut le référendum de 1995 qui a accentué les tensions, les choses se sont grandement améliorés à Montréal depuis le début des années 90'. Sur le plan des tensions linguistiques notamment, la loi 86 (qui permet l'affichage extérieur en anglais) adoptée par les libéraux en 1993 a permis de calmer le jeu et a pratiquement mis fin à 30 ans de conflit linguistique. C'est sûrement pour cette raison que la nouvelle génération, qui n'a pas vécu ce conflit, est plus à ouverte, tant chez les francophones que les anglophones.

  3. Je me souviens au secondaire des cours de propagande 101 que j'ai recu durant mes cours d'histoires.

    Ca m'a donner une petite idée quoi penser des profs d'histoires.

     

    Évidemment, les historiens sont les pires imbéciles quand on n'est pas d'accord avec leurs conclusions.

  4. Les meilleures analyses sur cette exagération (paranoïa?) à tout mettre tous les problèmes du Québec sur le dos du PQ proviennent des intellectuels anglophones comme Gary Caldwell, David Thomas, Arthur Siegel, Marc Levine, William Tetley et Graham Fraser. Aucun d'entre eux n'ont de carte du PQ à ma connaissance. Moi non plus d'ailleurs…

     

    Pour ce qui est du déplacement de l'économie vers l'Ouest, il s'explique notamment par le déclin de Montréal comme centre de distribution du blé, par le développement du pétrole dans l'Ouest, par l'ouverture de la voie maritime du Saint-Laurent, par le déplacement des capitaux des filiales des grandes compagnies américaines vers l'Ontario dans l'après-guerre et aussi par le déclin du taux de natalité au Québec (un des plus faibles au monde).

     

    Je ne suis pas en train de dire que l'instabilité politique n'est pas un facteur, mais aucun historien ne place cette donnée comme étant la plus importante pour expliquer le déclin. Par contre beaucoup de politiciens et chroniqueurs le font.

     

    Pour ce qui est de l'exode, il y a plus de gens qui ont quitté l'Ontario vers les autres provinces à partir de la fin des années 1970 que de gens qui ont quitté le Québec. Donc, il faut aussi relativiser.

  5. Notre économie a perdu des grosses plumes depuis les années 60, grâce en grande partie à la question de séparation du Canada. Si il n'y avait pas eu ce mouvement, Montréal sera probablement beacoup plus importante qu'elle est maintenant, et au dépit de Toronto. Et une ville bilingue, pas Anglo-Saxon. Éclairez moi svp...

     

    sent via Tapatalk

     

    Comme historien, je ne peux pas être d'accord avec l'idée que le déclin de Montréal est dû "en grande partie à la question de séparation du Canada". Cette affirmation est largement répandue dans la communauté anglophone, mais elle est fortement exagérée. D'abord parce que le déclin relatif de Montréal par rapport à Toronto a commencé dans les années 50, bien avant l'existence du mouvement souverainiste, et d'autre part, parce que le "shift" de l'économie vers l'ouest était un mouvement puissant et irréversible en faveur de Toronto.

     

    Par coïncidence (?), le grand débat sur le déclin de Montréal a été lancé par les libéraux, une fois dans l'opposition après 1976 pour expliquer le déclin de Montréal, alors que les mouvements de population vers l'Ouest avaient été massifs depuis le début des années 1970. Bien sûr l'élection du PQ a contribué aussi à cet exode, mais ce n'est pas une des raisons fondamentales qui expliquent le déclin de Montréal, même si cette idée est répandue chez les libéraux qui se positionnaient comme le "parti de l'économie".

     

    Toujours dommage de constater que les gens font du cherry picking avec l'histoire pour conforter leurs idées politiques.

  6. La plupart des petits proprios, ce ne sont pas eux qui négligent leurs locaux sur Saint-Laurent. Ce sont ceux qui habitent à Tel Aviv, Londres ou ailleurs, qui n'ont pratiquement jamais mis les pieds en ville et qui ont tellement de possessions qu'ils s'en foutent de les faire fructifier. Je serais contre la mesure en théorie, mais dans ce cas, je ne braillerai pas sur leur sort.

     

    "Communiste", vraiment? Eric Duhaime, sors de ce corps.

  7. Ça a marché pour Chicago et d'autres villes aux USA, je ne vois pas pourquoi ça ne fonctionnerait pour relancer Saint-Laurent. Qu'est-ce qu'on a à perdre au juste? Évidemment, c'est audacieux, alors ça ne plaira pas à tout le monde, mais l'Association des commerçants milite en ce sens. C'est sûrement pas tous une gang de caves.

  8. Le SLR est une solution pour les radins du transport en commun. Les villes en Europe et en Asie qui investissent le plus en TEC utilisent des technologies lourdes pour attirer un plus grand nombre d'utilisateur et décourager l'utilisation de la voiture. La capacité du SLR est beaucoup moins que le métro conventionnel.

     

    Le meilleur plan de transport donnera priorité aux quartiers à faible revenu avec une densité de la population forte et avec des taux de possession de véhicule privé bas. Ce qu'on fait actuellement c'est prioriser les projets avec un potentiel d'investissement immobilier ou de l'opportunisme électoral.

     

    Si on suivait le modèle que je propose, on commencera avec des services plus rapides dans les quartiers centraux, densément peuplés à revenus faibles ou moyens:

     

    - Montréal-Nord et St-Michel: extension de la ligne bleu à Pie-IX, tramway sur Pie-IX jusqu'au centre-ville, tramway sur l'axe Sauvé

    - Ahuntsic-Cartierville: conversion de la ligne Deux-Montagnes en ligne de métro surface jusqu'à Bois-Franc (avec des passage tous les 10 min dans les deux sens de 5h à minuit)

    - l'est du Plateau et l'est de Rosemont; un tramway sur l'axe St-Joseph qui passe par l'avenue du Parc pour rejoindre le centre-ville (cette axe est trop loin des lignes de métro et mérite mieux qu'un service de bus).

    - tramways sur Cote-des-Neiges, Parc, et René-Lesvesque comme prévu.

    - tramways desservant Lachine, Lasalle et Pointe-St-Charles.

     

    On devrait faire tous ces projets avant d'étendre le réseau dans des banlieues à revenus plus élevés comme Laval, Brossard ou le West Island. Mais on fait l'inverse.

     

    Je pars du principe que ceux qui ont besoin des TECs (ceux qui n'ont pas de voiture et n'ont pas l'argent pour en acheter) méritent mieux que le bus. On parle d'un réseau de métro structurant complémenté par des tramways pour élargir la zone desservie. Mais bon, nos élus ne pensent pas comme ça...

     

    Je suis entièrement d'accord avec toi. Un tramway sur l'axe St-Joseph de Pie IX à Du Parc est tellement logique que je ne comprends pas qu'on ne l'ait pas planifiée avant, avec l'engorgement de la ligne orange et le succès des bus express sur St-Joseph. Par ailleurs, c'est impossible actuellement de se rendre de l'est à l'ouest du Plateau en autobus à cause des arrêts au métro Laurier. Un tramway viendrait régler ce problème, d'autant plus qu'il pourrait doubler une autre ligne de tramway sur Du Parc.

     

    Concernant l'extension de la ligne bleue jusqu'à Pie IX, c'est essentiel. Il faut investir là où les besoins sont déjà, quitte à laisser tomber le reste de la ligne jusqu'à Anjou.

  9. La mauvaise réputation du Plateau a beaucoup à voir avec l'ancienne direction de l'Association des commerçants de l'Avenue qui se tirait dans le pied en faisant de l'action politique sur le dos de ses propres membres... Ils haïssaient tellement Ferrandez qu'ils appelaient TVA à chaque fois qu'un commerce fermait pour dénoncer la hausse des tarifs de stationnement. À chaque 3 mois, un commerçant venait répéter que ce n'est plus possible de se stationner sur le Plateau. Les gens finissent par le croire et il y a sûrement eu un effet d'entraînement. Mais il y a eu un changement de garde à l'association et depuis quelques mois, on entend moins les commerçants crier au loup. Ce ne peut qu'être bénéfique pour les commerçants!

  10. Catégorie : Appel d'offres : Descriptif : Date d'ouverture : Services professionnels 14-14066

     

    Services professionnels en ingénierie, en architecture de paysage, en architecture, en éclairage d’ambiance et design industriel pour la conception du projet Promenade urbaine Fleuve/Montagne

     

    28 janvier 2015 Dépôt de garantie : Aucun Renseignements : Claude Houle, agent d'approvisionnement : 514 872-5282 Documents : Les documents relatifs à cet appel d'offres seront disponibles à compter du 15 décembre 2014

     

    sent via Tapatalk

     

    Merci ! Est-ce qu'on a une idée du tracé de la promenade?

  11. Merci pour les photos Vince. La nouvelle place dans le Parc Laurier et la placette sur Fairmont sont d'ailleurs de gros succès depuis leur inauguration. Il y a toujours plein de monde chaque fois que j'y passe.

     

    Au sujet des saillies vertes, je ne connais personne qui habite dans les quartiers centraux de Montréal qui ne les aime pas. Tout le monde semble en vouloir près de chez eux. Ça rend les rues plus sécuritaires (fonction de dégager la vue pour les automobilistes, vélos, piétons sur les coins de rue) et plus belles. Je ne veux pas généraliser, mais les seuls commentaires négatifs que j'ai entendus à propos des mesures dite "vertes" proviennent des gens de banlieue, donc qui vivent au départ dans des quartiers moins densément peuplés, qui ont des modes de vie différents basé davantage sur l'utilisation de l'automobile et qui passent eux même en voiture à travers ses quartiers centraux.

     

    Au final, je pense que c'est un faux débat créé par les gens qui n'aiment pas Projet Montréal, qui ne partagent pas leurs valeurs et ne les aimeront jamais de toute façon. Je ne veux pas faire de politique partisane, mais ceux qui habitent ces quartiers ont appuyé avec encore plus de ferveur Projet Montréal lors de la dernière élection. Je pense que c'est un bon indice de l'appréciation des mesures comme celles-là, prises au cours des dernières années. J'espère qu'on ne commencera pas à structurer le centre de la ville en fonction des besoins des banlieusards, pas plus qu'on a de mot à dire sur la grosseur de leurs centre d'achat. ;)

  12. Tout de même assez étrange, les affiches enlevées. Je rêve depuis des années à un projet sur ce terrain, mais la contamination est une épine au pied. D'autre part, il y a déjà une épicerie Métro juste à l'est de la station Papineau, ce qui limiterait le potentiel d'un supermarché à cet emplacement. Espérons quand même qu'avec les nouvelles constructions à l'est du pont, ça se réalise. Ce coin s'est densifié pas mal depuis une dizaine d'années et en particulier avec Interloge et Le Courant. On peut rêver...

  13. Je crois que le fait de former plus de médecins nous permettrait d'assumer la perte au profit des autres provinces. De toute façon, je n'irais jamais vivre en Alberta, même pour 100 000$ de plus. :rotfl:

    Cela dit, retournons au sujet principal: le modèle suédois, qui a démontré sa force, devrait être un modèle d'inspiration et non pas le modèle américain, qui se dirige vers la faillite. L'article démontre qu'il est possible de conserver les acquis de la Révolution tranquille tout en faisant les réformes nécessaires pour les maintenir.

  14. Entretien intéressant paru dans Metro. Dommage que la discussion ne se soit pas portée un peu plus sur la politique de transparence mise en place en Scandinavie pour endiguer la corruption (notamment un suivi rigoureux des dépenses des politiques et une rationalisation de leur salaire).

     

    11/08/2014 (Mise à jour : 11 août 2014@19:56)

    Roxane Léouzon s'entretient avec Stéphane Paquin, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en économie politique internationale et comparée

     

    Les pays scandinaves offrent le meilleur modèle pour solutionner les nombreux problèmes économiques qui affectent le Québec, estime Stéphane Paquin, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en économie politique internationale et comparée. Il a dirigé l’ouvrage collectif «Social-démocratie 2.0: Le Québec comparé aux pays scandinaves» publié récemment aux Presses de l’Université de Montréal.

     

    Quels sont, au Québec, les défis particuliers qui nécessitent qu’on s’inspire d’autres pays?

    Le Québec a un endettement public très élevé, une croissance économique relativement faible compte tenu des obligations du gouvernement, un déficit commercial énorme et de la difficulté à faire des réformes de l’État. La réforme de la santé, par exemple, n’a jamais réellement fonctionné. La nécessité de réformes des régimes de retraite est aussi rendue à un point très critique.

     

    Pourquoi les pays scandinaves sont-ils une bonne source d’inspiration?

    La situation actuelle du Québec ressemble beaucoup à celles de la Finlande, de la Suède et du Danemark du début des années 1990. Ces pays étaient très endettés, avaient des taux de chômage importants et voyaient leur modèle social et économique se détériorer. Ils ont alors initié énormément de réformes. Trente ans plus tard, ils s’en sortent beaucoup mieux que les États-Unis, le Canada, la France ou l’Allemagne en terme de croissance économique. Ils ont diminué leur endettement public à peu près de moitié. Tout ça en touchant très peu à leurs programmes sociaux et en étant les pays les plus égalitaires au monde.

     

    Quelles solutions peut-on tirer de leurs expériences pour améliorer notre croissance économique?

    Le Québec a un déficit commercial croissant, en grande partie parce qu’il importe énormément de pétrole et de voitures. Depuis une vingtaine d’année, les pays scandinaves n’ont de leur côté pas connu de déficit commercial, c’est-à-dire qu’ils exportent plus qu’ils importent. Ils ont établi des politiques pour réduire la dépendance au pétrole, encourageant l’utilisation d’énergies renouvelables en instaurant des taxes carbone importantes pour décourager les gens de prendre leur voiture. C’est l’une des solutions que le Québec devrait aussi préconiser, notamment parce qu’il est un très grand producteur d’hydro-électricité.

     

    Le système de taxation a-t-il aussi un rôle important à jouer?

    Oui. La fiscalité est l’une des clés du succès scandinave. La grosse différence avec le Québec et le Canada, c’est que là-bas, les taxes à la consommation sont élevées. Ce serait comme si notre TPS et notre TVQ étaient à 25% plutôt qu’à 15%. Malgré les taxes élevées, les plus pauvres reçoivent tellement de services publics qu’ils sont gagnants. D’autre part, les taxes sur les entreprises ont été baissées, pour assurer leur compétitivité sur le marché mondial. Le Danemark a pris cette initiative dans les années 1990, et ça a tellement bien fonctionné que le taux de chômage juste avant la crise de 2008 était en bas de 4%.

     

    Les politiciens du Québec disent souvent qu’il faut mieux gérer les finances publiques pour réduire la dette de la province. Comment les Scandinaves y sont-ils arrivés?

    Les pays scandinaves ont fait passer des lois anti-déficit dans les années 1990. Par exemple, sur un cycle économique complet, la Suède s’est imposée de faire un surplus d’environ 1% du PIB. Pour y arriver, elle a notamment décentralisé le processus de mise en œuvre des politiques publiques. Le gouvernement central donne les grandes orientations des politiques, mais ce sont des agences indépendantes qui les mettent en œuvre. Pour donner un exemple, c’est Hydro-Québec qui s’occupe ici de l’électricité et non le ministère de l’Énergie. Ça devrait être la même chose pour le transport et beaucoup d’autres services publics. Dans les pays scandinaves, ça évite l’ingérence du politique, limite la corruption, favorise la permanence et la compétence dans ces agences très contrôlées et évaluées avec des exigences élevées. Au final, ça fait des économies extrêmement importantes.

     

    Est-ce vrai, donc, que les ministères et les institutions publiques peuvent faire plus avec moins d’argent?

    Oui. Les pays scandinaves ont réussi à limiter l’augmentation des dépenses en santé à environ 4,5% par année, alors qu’ici on est au-dessus de 6%. Qu’est-ce qu’ils ont fait? Ils ont donné le mandat aux médecins de diminuer les prescriptions de médicaments. Aussi, les salaires des médecins sont entre deux et quatre fois mois élevés qu’ici. Au Québec, il y avait deux façons de régler le problème de la pénurie de médecins: donner des augmentations pour qu’ils arrêtent de quitter le Québec ou en former beaucoup plus. On a choisi la première solution. Les Suédois ont choisi la deuxième solution.

     

    Y a-t-il assez de volonté politique et populaire ici pour faire des réformes importantes comme dans ces pays?

    Tout le monde est conscient que les choses ne peuvent pas durer comme elles le sont, mais on ne sait pas comment orienter le changement. Les idées que j’ai vues dans les programmes des partis ressemblent pratiquement toujours à des «réformettes» insignifiantes. Il y a un manque de recherche et de réflexion des responsables politiques. Un avantage des pays scandinaves est aussi que les citoyens ont une confiance élevée envers les institutions, notamment en raison de leur grande transparence. Cette confiance rend plus facile l’acceptabilité des réformes d’importance. Ici, la méfiance est de plus en plus grande envers le gouvernement

     

    Intéressant. Dommage qu'on ait tout misé sur la hausse des salaire des médecins et pas assez sur les transports en commun, compte tenu du fait qu'on importe trop de pétrole et de voitures. Un vaste projet d'électrification des transport contribuerait d'ailleurs grandement à réduire notre déficit commercial. Nous ferions d'une pierre, deux coup en utilisant nos surplus d'électricité.

  15. On dirait bien que de dire les choses avec classe ce n'est pas dû à tout le monde. Certains mériteraient un trophée pour leur petitesse et leur manque de savoir vivre. Personnellement, je préfère les gens malhabiles et bien intentionnés (au pire paresseux) qu'à des geeks arrogants, négatifs et mesquins qui pensent tout connaître. En fait, on s'en torche pas mal de vos connaissances pointues sur les rouages d'un forum de discussion, parce qu'elles ne servent pas à grand chose en dehors de ce forum. Deuxièmement, à la lumière de leurs commentaires, certains démontrent bien les limites de leur intelligence, de leur culture et de leur maturité. Des fois, j'ai l'impression de lire une gang d'ados.

  16. Le problème avec Toronto, c'est de définir ce que c'est le centre-ville... Il y a de la densité un peu partout maintenant et les tours sont répandues sur une vaste zone. Ils vont donc finir tôt ou tard par rattraper Montréal sur le plan de la densité.

     

    Finalement, on s'apperçoit qu'ils s'inspirent pas mal de de tout ce qu'on fait, avec plus de moyens...

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