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iamthewalrus

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Messages posté(e)s par iamthewalrus

  1. il était temps....ça relie des quartiers de travailleurs....beaucoup d'immigrés qui n'ont pas nécessairement d'autos....et aussi d'étudiants.....sur cette ligne , il y a pleins d'écoles, d'hopitaux, etc....

     

    mais il me semble qu'il devrait surtout augmenter la fréquence des métros, parce que c'est pas mal long comparé notamment à la ligne verte....et en plus c'est la ligne qui ferme le plus tôt

  2. je sais pas si à la longue ça va être aussi catastrophique qu'on veut nous le faire croire pour les commerçants

     

    il y a du monde qui ont pas le choix d'aller au centre-ville et qui vont trouver un moyen de le faire sans nécessairement utiliser la voiture...soit utiliser le transport en commun ou aller stationner ailleur et se rendre au centre ville en métro ou en marchant....d'ailleur c'est ce que je fais d'habitude quand je dois absolument utiliser l'auto...je me stationne autour du méto papineau puis je prend le métro....c'est économique et je cherche pas de place de stationnement

     

    pis si le payage revient sur les ponts, les montréalais eux non plus n'iront pas au carrefour Laval et aux Dix30 pour magasiner et vont revenir vers Montreal...alors en quelque part ça va s'équilibrer

     

    les adolescents qui sont quand même de gros consommateurs vont continuer à aller au centre-ville....ceux de Montreal sortent déjà rarement à l'extérieur de l'île pour magasiner...et pour les ados des banlieus ça fait pas de différence les payages puisqu'ils viennent normallement en métro et autobus

     

     

    on verra bien dans quelques mois ou années...le centre ville est très habité....et je pense pas que les parcometres vont changer tant que ça la vie au centre-ville

  3. non ça l'est pas.

     

    La Terre est passé par plusieurs cycles de réchauffement et de refroidissement.

     

    Le dernier remonte au début du millénaire passé.

     

    Pourquoi les Vikings ont appelés le groenland de meme (terre verte)? Parceque l'ile n'était pas glacée, il y avait des paturages et ils y faisaient de l'élevage de vaches!!!!

     

    anyways, l'homme saute sur des conclusions trop rapidement.

     

    Le réchauffement de la planète c'est comme l'arnaque de nous faire croire qu'il y a un problème de traffic à Montréal, lorsqu'en dehors des heures de pointes ce n'est absolument pas un problème se déplacer partout dans la région métropolitaine.

     

    c'est vrai que la terre est passée dans plusieurs cycles de gel-dégel ...mais le problème c'est que normalement ça prend des dizaines d'années...voir des siècles alors que le changement présentement on le voit très rapidement.....ce qu'on voit à Montréal n'est rien comparé à ce qui se passe dans certains coins du monde.......de toute façon on ne me fera pas croire que l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre est bonne .......

  4. super.

    je suis aller en Allemagne il y a quelques années et c'est vraiment un super beau pays. Très loin de ce que je m'attendais. Frankfurt entre autre est une ville super moderne comme le démontre tes photos, elle a vraiment bien réussi à se reconstruire après la WWII. La mentalité allemande est ausi différente...juste question écologie ils sont au moins 10ans en avance sur nous...et question propreté Montréal ne se compare même pas....

     

    Tu es vraiment chanceux de vivre dans un carrefour de métropoles comme ça...tes photos sont toujours très appréciées.

    merci

  5. L'îlot Voyageur en sursis

    Kathleen Lévesque

    Édition du vendredi 04 mai 2007

     

    - La tour de bureaux remise en question - Les résidences étudiantes à vendre

    L'aventure immobilière de l'îlot Voyageur pourrait ne jamais être complétée. Pour tenter de panser sa plaie qui se compte en centaines de millions de dollars, l'Université du Québec à Montréal (UQAM) remet en question la construction de la tour de bureaux et a entrepris des négociations pour vendre les résidences étudiantes avant même qu'elles ne soient achevées, a appris Le Devoir.

     

    Mais toute nouvelle stratégie pour sauver les meubles se fera désormais sous la lorgnette du réseau de l'Université du Québec (UQ). Sans parler de tutelle, l'UQ a décidé hier d'intervenir directement dans l'élaboration d'un plan de redressement en nommant un conseiller spécial relevant du président de l'UQ. Au même moment, à Québec, la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, annonçait avoir demandé au vérificateur général du Québec de faire la lumière sur la situation financière et immobilière de l'UQAM. Sur un ton tranchant, elle a rappelé que le conseil d'administration et la direction de l'université sont «imputables et responsables».

     

    D'ici le 15 juin, l'UQAM, sous la surveillance de l'UQ, préparera un troisième plan de redressement (les deux premiers ont été rejetés) qui devra tenir compte tant du budget de fonctionnement que des immobilisations. Une des avenues que veut emprunter l'UQAM pour se remettre à flot consiste notamment à réduire l'ensemble immobilier de l'îlot Voyageur, dont le tiers du chantier est complété.

     

    Cinq constructions distinctes composent l'îlot Voyageur. Il y a des stationnements souterrains (600 places plutôt que les 800 prévues) et des résidences étudiantes dont le financement relève directement de l'UQAM, qui en est pleinement propriétaire. L'université peut donc en disposer comme elle le souhaite (avec l'approbation de l'UQ).

     

    Pour ce qui est de la tour de bureaux, le terminus central d'autocars et le pavillon universitaire, l'UQAM est liée au projet par l'intermédiaire de la société Busac. C'est cette entreprise privée qui a financé cette portion de l'îlot Voyageur; l'emprunt de 269 millions est entièrement garanti par l'UQAM. «Une drôle d'idée!», de l'aveu même de la vice-rectrice aux affaires administratives et financières, Monique Goyette.

     

    Des négociations sont en cours afin de modifier le projet dont Busac est le promoteur. «Pourquoi l'UQAM construirait un édifice de bureaux qui ferait des déficits chaque année?», a lancé le président du conseil d'administration de l'UQAM, Alain Lallier. Il semble toutefois que le pavillon universitaire devant accueillir entre autres la faculté de droit soit toujours souhaité par l'UQAM, qui manque d'espace pour l'enseignement.

     

    En marge d'une conférence de presse faisant suite aux révélations du Devoir sur l'ampleur du gouffre financier de l'UQAM, M. Lallier a souligné que la stratégie de l'UQAM repose sur l'idée suivante: «Si on doit perdre des sous, essayons d'en perdre le moins possible.» C'est dans cet esprit que l'UQAM essaie même de récupérer de l'argent avant que tout ne devienne un gouffre sans fond.

     

    «On se questionne s'il faut construire nous-mêmes des résidences étudiantes. On pourrait très bien envisager de les vendre et même de vendre les droits aériens. On est en discussions avec des gens», a expliqué M. Lallier.

     

    Le secrétaire général de l'UQAM, Pierre Parent, abonde dans ce sens. La vente est une option qui pourrait également s'appliquer aux stationnements, a-t-il ajouté. Tout dépendra de la rentabilité à moyen terme de cette activité, qui sera en fonction à compter du 1er juin.

     

    Ni M. Parent ni M. Lallier ne se sont toutefois avancés à chiffrer les sommes qui pourraient être sauvées par une telle démarche.

     

    Pour tenter de calmer la crise dans laquelle l'UQAM patauge depuis des mois et qui s'est accentuée au cours de la dernière semaine, la rectrice par intérim, Danielle Laberge, a tenu hier une conférence de presse entourée de quelques proches collaborateurs. Cet exercice devait officiellement servir à faire le point sur la situation financière et immobilière de l'UQAM. Mais tout le discours de Mme Laberge visait d'abord et avant tout à restaurer une crédibilité et une image fort malmenées par les révélations du Devoir. «On n'est pas seulement un gros problème», a plaidé Mme Laberge.

     

    Mais ce cri du coeur n'a pas semblé susciter beaucoup de compassion chez la ministre Courchesne. Elle a souligné au crayon gras que la responsabilité du désastre est «d'abord» celle de l'université, tentant ainsi de prendre ses distances d'un problème qui pourrait bien rebondir à l'Assemblée nationale la semaine prochaine. Siéger au conseil d'administration d'une université n'est pas seulement une affaire de «prestige». D'ailleurs, le vérificateur général aura également à examiner «quelles ont été les relations entre la direction de l'époque et le conseil d'administration».

     

    Là-dessus, Danielle Laberge n'a pas hésité à pointer son prédécesseur, le recteur Roch Denis, qui a démissionné dans la tourmente en décembre dernier. «Le style de gestion» de M. Denis avait fait en sorte que les canaux de communication étaient fermés entre l'UQAM, le ministère de l'Éducation et le réseau de l'UQ, a affirmé Mme Laberge. «Il faut reconstruire les liens de confiance», a-t-elle reconnu.

     

    De même, d'importantes modifications au projet de l'îlot Voyageur ont été apportées sans que les administrateurs les autorisent, a-t-elle ajouté. Ce serait le cas de la diminution du nombre de résidences étudiantes (de 1100 unités à 700) et de la réduction des places de stationnement (de 835 à 600).

     

    Ce projet d'abord prévu à un coût de 325 millions est maintenant estimé à 406 millions. Outre les coûts supplémentaires de construction, la rentabilité de certains volets de l'îlot Voyageur (tour de bureaux et stationnement) a été surévaluée, a reconnu l'UQAM. S'ajoute à ce projet en construction le Complexe des sciences (vide à 70 %), qui a généré une impasse de 100 millions.

     

    Ces décisions immobilières ont grevé le budget de fonctionnement de l'UQAM. Si rien n'est fait, l'université se retrouvera avec un déficit annuel de 12,5 millions à compter de 2009. Mais il s'agit d'un chiffre théorique, comme l'a laissé entendre la vice-rectrice Goyette. Tant que la construction de l'îlot Voyageur n'est pas terminée, l'UQAM espère faire bouger les choses. Mais cela dépend beaucoup de la bonne volonté de la société Busac, qui n'a pas d'objectif d'enseignement et de recherche, qui ne fait pas face aux étudiants et aux professeurs, qui n'a pas de partenaires gouvernementaux à ses trousses mais qui a un contrat en béton.

     

    Avec la collaboration de Clairandrée Cauchy et d'Antoine Robitaille

     

    Le Devoir

  6. c'est le fun de voir une compagnie d'ici s'impliquer. certaines autres devraient s'en inspirer. avec le stade, le biodôme, le planétarium, le jardin botanique, cinéma.....j'espère que ce secteur va reprendre vie(restaurants,boutiques etc...) , parce que même avec le métro c'est plutôt désagréable comme coin...mais c'est sur qu'avec du monde ça pourrait être le fun

  7. au moins avec du red bull les joueurs seraient peut être un peu plus ''hyper'' durant les games....la valeur du canadien peut difficlement être plus haute....ils ont un bon contrat télévisé avec RDS + quelques matchs sur d'aurtes postes....le centre bell est toujours plein+ la marchandise se vend très bien (je ne me souviens pas d'avoir vu autant de chandails du Canadien depuis 1993)....+ les spectacles du groupe Gillet sont extrêmement rentables.....

  8. la 3ième il me semble que c'est quelqu'un sur SSP qui l'avait mise...je l'avais déjà su mon ordi avec un maintenant- après

     

     

    c'est bien, mais il y en a pas 20% qui va se faire selon moi.....surtout pas les plus grandes

  9. super belles photo. L'appareil est vraiment puissant. Moi aussi j'ai entendu dire que l'incinérateur sur la photo 22 devrait être détruit dans un avenir raproché, au tour il y a beaucoup de construction. On m'a dit que la police brulait la drogue à cete place là avant et que ça sentait pas mal le pot .

     

    le ''gap'' entre la tour de la bourse et le reste du centre-ville pourrait être rempli en partie par le 701 university?

  10. magnifiques! toutes les photos des villes que tu as prisent ainsi que celle-ci sont excellentes....je découvre des villes et des paysages qui m'étaient inconnus...(je savais pas que Foch avait un monument...il ne le mérite pas selon moi)...

    est-ce que tu sais si les murs etc.. sont des vestiges de la guerre?

  11. c'est toujours bon d'avoir de la place....il y a surment des groupes qui aimeraient quelquefois faire des représentations pendant plusieurs soirs mais qui ne le peuvent pas à cause que la salle est déjà réservée pour quelqu'un d'autre le lendemain....de toute façon Mr. Gillet doit savoir ce qu'il fait....moi ce que j'aimerais qu'ils fassent aussi c'est la promotion des groupes anglophones montréalais....il ya pleins de bon bands anglophone qui sont obligés d'aller jouer au États et dans le ROC pour se faire connaître pour ensuite se faire apprécier ici.....

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