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AlainS

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Messages posté(e)s par AlainS

  1. Eh bien Serge L. bon retour ! En espérant que tu auras le temps de suivre tout cela.

     

    Pour ma part, c'était plutôt en tant que technologue en architecture à l'époque (1980-83). Ingénieur junior, ce fût dix plus tard.

     

    Pas grave., le fait est que mon premier chantier (Bell Canada / Banque Nationale) correspondait à ma passion déjà développée alors (et bien avant, années 1970) pour les gratte-ciels. Ce qui a conduit à mon choix de carrière.

     

    Depuis lors je fait plutôt des grands projet horizontaux (industriels / énergétiques) plutôt que verticaux. J'aimerais bien participer à un autre projet de gratte-ciel avant la retraite.

  2. Quel est ton argument pour supporter la notion que les circuits locaux diminueraient?

     

    C'est ma perception qu'avec le temps, une grande structure régionale centralisée sera moins à l'écoute des besoins locaux que les structures sous-régionales actuelles.

     

    Je suppose que l'AMT, comme structure régionale, contribue déjà à mieux intégrer les services des différentes sociétés actuelles (exemple correspondances entre les lignes de trains de banlieue avec les arrêts des circuits de la STL et de la RTL à ces gares).

  3. Je ne suis pas d'accord avec une fusion RTL, STL, STM, AMT. Je crains qu'à la longue les circuits locaux diminuent ou soient moins efficaces. Et plus c'est gros, plus il y a de l'inertie.

     

    Il faut plutôt que le mandat de l'AMT soit renforcé pour permettre par exemple la création de stationnements incitaifs le long des circuits de la STL et de la RTL qui déversent des passagers aux stations de métro. Particulièrement à Laval, sur la rive-sud et sur la rive nord, des baux pourraient être négociés par l'AMT avec les propriétaires des nombreux centres commerciaux aux vaste stationnements souvent peu utilisés en journée, dont certaines sections pourraient être utilisées comme stationnements incitatifs moyennent vignette et frais mensuel minimal de la part des usagers, qui monteraient alors via un arrêt proche dans un circuit d'autobus les amenant à une station de métro.

  4. Le journal Métro n'a-t-il pas payé la STM pour avoir l'exclusivité de la distribution dans le métro? Serait-il possible qu'une des conditions pour cette exclusivité soit que le journal doit donner une page par jour à la STM pour des articles et des informations?

     

    En effet. Cette même entente vient d'être conclue avec le 24 Heures qui sera distribué en exclusivité dasn le métro à partir du 1er janvier prochain.

     

    Encore une fois, rien pour les banlieusards (infos STL, RTL et autres) dans le journal qui sera distribué dans le métro, clients qu'on ignore totalement même s'ils constituent probablement environ la moitié de la clientèle en semaine.

     

    J'espère que dans le journal Le Métro qui sera à partir du 1er janvier distribué hors les murs des installation de la STM, il y aura une page d'info pour nous (STL, RTL, autres), ou, à la limite, de l'AMT.

  5. M'étant rendu au centre de Trois-Rivières à quelques reprises au cours des dernières années, en journée et en soirée, en été comme en hiver, il m'a semblé que cette ville, qui avait souffert d'une réputation peu enviable dans le passé, était devenue bien animée, et de ce fait attrayante. Mais je ne la connais pas suffisamment pour être en mesure d'attribuer cette avancée à un accroissement de la population habitant au centre; on peut y noter cependant un effort très sérieux de restauration des bâtiments anciens et de revitalisation des infrastructures.

     

    En effet, le centre-ville de Trois_Rivières s'est grandement amélioré. J'ai été agréablement surpris lors d'un arrêt de quelques heures cet été.

     

    Dans mon jeune temps lorsque j'y habitais encore (années 1970), c'était mort. Les centre commerciaux venaient d'ouvrir et ce n'était plus à la mode d'aller au centre-ville, contrairement à maintenant ou beaucoup de gens préfèrent s'y retrouver.

  6. Que penseront les générations du futur en observant de tels édifices ?

     

    Bon exemple de l'architecture à venir ces prochaines décennies quand à moi. C'est vers là qu'on s'en va, tant que la planète et la race humaine ne suffoqueront pas à cause leur hyper-développement

  7. Quant au centre commercial proposé, il répondra, entre autre, aux besoins de Mascouche-Terrebonne-Lachenaie-Laplaine qui forment une population de plus de 140,000 habitants dépourvue d'un véritable centre commercial intérieur digne de ce nom. Pour ce qui est de la concurrence au Carrefour Laval, elle ne sera que temporaire car là aussi la croissance démographique apporte de nouveaux clients années après années.

     

    En plein ce que j'ai d'abord pensé en voyant cette nouvelle, en plus des gens de St-François qui se sentiront moins à l'autre bout du monde, commercialement parlant, et de ceux de Duvernay pour qui ce sera plus près. Même si cela n'a rien à voir avec un centre-ville traditionnel, le processus de densification en cours aux environs du Carrefour Laval et du métro Montmorency compensera le transfert de clientèle du Carrefour au nouveau centre de la 25.

     

    En terminant, entre deux maux, je préfère de loin un centre commercial intérieur à un méga centre extérieur.

  8. Parce que c'est le... Métro? Évidemment qu'on y parlera plus de la STM que des autres. Le journal a ses propres stands et bacs de recyclages à l'intérieur même des stations de métro.

     

    Ta réponse est digne de l'esprit de clocher ambiant ville centre vs banlieue.

     

    Ce que je dit, c'est que dans le Métro de Montréal, il y a plein de passagers qui arrivent des banlieues en y empruntant d'abord les réseaux d'autobus des banlieues. Donc, pourquoi pas une petite place pour nous dans les informations concernant le transport en commun plutôt que de se limiter aux infos de la SMT ?

  9. Sur un autre plan, la ville boude la banlieue et l'inverse. On peut appeler cela un esprit de clocher.

     

    Jsute un exemple : pourquoi dans le journal gratuit «Métro» il y a une page d'information de la STM mais rien de la STL ou de la RTL ? Ici, c'est la ville centre qu ignore ses banlieues.

  10. Je conviens que l'expression «Trou de beigne» est exagérée. Le phénomène est beaucoup moins présent à Montréal que dans beaucoup de grandes villes américaines et le CV demeure relativement vivant comparé à d'autres.

     

    Cela dit, beaucoups de nouveaux développements en banlieue font la promotion d'un cadre de vie urbain, qui n'a rien a voir avec la ville traditionnelle. Cela réflète plutôt le type de développement urbain de notre époque et est ce que les générations montantes recherchent en majorité. Ma propre fille dit qu'il y a de l'atmosphère au Centropolis de Laval alors que moi je trouve ça platte au boutte. Les goûts ont évolués vers autre chose.

     

    Je suis d'accord que la raison principale de l'exode des jeunes famille vers la banlieue est le prix d'achat d'une maison. J'en fais partie, ayant acheté en 1989 pour un peu plus de 100 k $ (Chomedey, Laval) l'équivalent de qui m'aurait couté environ 175 k $ sur l'ile (ville La Salle, près du carrefour Angrignon).

  11. RE : pas moins de 42% de tous les nouveaux parents ayant un revenu entre 50 000$ et 100 000$ ont quitté Montréal en cinq ans !!!

     

    Alarmant.

     

    Ouverture de la discusion :

     

    On est dû pour un allègement des structures. Les fusions / défusions ont eu l'effet contraire à celui recherché, en créant davantage de lourdeur administative, d'inertie et de bureaucratie.

     

    Pour faire image, les feux d'urgence clignotent et Montréal est dûe pour une bonne rationalisation.

  12. Le trou de beigne

    Publié le 07 décembre 2010 à 06h18 | Mis à jour le 07 décembre 2010 à 06h18

    Claude Piché

    LA PRESSE

     

    (Montréal) À en juger d'après les nombreuses lettres reçues à La Presse, le budget déposé par l'administration du maire Tremblay a mis les Montréalais en colère. Le budget annonce de fortes hausses d'impôt foncier pour la deuxième année consécutive, en plus d'imposer une nouvelle taxe aux automobilistes montréalais.

     

    «La grogne est généralisée, c'est presque l'unanimité, constate Jean-Pascal Beaupré, responsable des pages Forum. Les Montréalais n'acceptent pas que ce soient eux, et pas les banlieusards, qui doivent supporter le fardeau.»

     

    Dans ce climat de mécontentement populaire, on comprend que plusieurs Montréalais sont tentés de se réfugier en banlieue. Ils ne sont pas les seuls. Depuis des années, Montréal est victime de l'effet de beigne, qui voit la banlieue s'étendre continuellement au détriment de la ville-centre.

     

    Dans l'ensemble, on connaît assez bien le phénomène. On sait que ce sont surtout les jeunes ménages à revenus moyens qui désertent la ville pour la banlieue. On sait aussi que les ménages à faibles revenus restent en ville, souvent parce qu'ils n'ont pas le choix: la vie en banlieue est indissociable de l'automobile.

     

    Or, tout cela est basé davantage sur des enquêtes sommaires et des observations sur le terrain que sur une recherche rigoureuse. Assez curieusement, même si les migrations entre la ville centre et la banlieue peuvent avoir des conséquences énormes, il n'existe à peu près pas de renseignements détaillés sur les ménages en cause.

     

    Cette lacune vient d'être comblée par deux chercheurs de Statistique Canada, Martin Turcotte et Mireille Vézina. Les auteurs ont mesuré avec précision l'effet de beigne dans les trois grandes villes canadiennes, Toronto, Montréal et Vancouver. Ils ont tracé le portrait socio-économique des ménages avec beaucoup de rigueur. Les résultats de leurs travaux viennent de paraître dans Tendances sociales canadiennes (1), une publication spécialisée de l'agence. À ma connaissance, c'est ce qu'il s'est fait de mieux sur le sujet.

     

    Et il se trouve que ces résultats sont proprement stupéfiants. Bien sûr, la recherche confirme que Montréal perd surtout des jeunes ménages à revenus moyens et élevés, ce dont tout le monde se doute déjà, mais elle nous montre aussi clairement à quel point la saignée est importante.

     

    D'abord, un premier constat. L'effet de beigne ne sévit pas seulement à Montréal. Toronto et Vancouver sont aussi touchés.

     

    À Montréal, entre 2001 et 2006 (l'étude est basée sur les résultats du questionnaire long du recensement de 2006, et même si les chiffres datent de quatre ans, ce sont les plus récents), 14% des ménages montréalais ont quitté la ville pour s'installer en banlieue; pendant ce temps, seulement 5% des banlieusards faisaient le trajet en sens inverse. Les proportions sont exactement les mêmes à Toronto, et reflètent aussi la situation à Vancouver à quelques poussières près.

     

    C'est en regardant de plus près le profil socio-économique de ceux qui quittent Montréal que l'on peut mieux mesurer l'ampleur de l'exode:

     

    • En cinq ans, la ville centre a perdu 19% de ses résidents âgées de 30 à 34 ans (une personne sur cinq, tout de même), pendant que seulement 6% des banlieusards de cette tranche d'âge Montréal quittaient la périphérie pour s'installer à Montréal. On compte aussi 14% de départs chez les jeunes de 25 à 29 ans, 15% chez les 35-39 ans, mais la proportion de départs tombe à 3% chez les 65 ans et plus. L'exode des jeunes, c'est vrai.
       
    • Sur les couples avec enfants, la banlieue agit comme un véritable aimant et Montréal, comme un repoussoir. Ainsi, toujours au cours de la même période, la ville centre a perdu au profit de la banlieue, tenez-vous bien, 34% de ses jeunes ménages ayant au moins un enfant! Pendant ce temps, seulement 2% de ces jeunes ménages ont quitté la banlieue pour Montréal. L'exode des jeunes familles, c'est vrai.
       
    • Au chapitre des revenus, c'est vraiment la classe moyenne qui est concernée. Ainsi, 25% des ménages ayant un revenu familial (après impôts) entre 70 000$ et 80 000$ ont quitté Montréal. Cette proportion varie de 20 à 23% pour les tranches de revenus situés entre 60 000$ et 150 000$. Pendant ce temps, rares sont les banlieusards à revenus moyens (entre 2 et 3%) qui choisissent de déménager à Montréal. L'exode de la classe moyenne, c'est vrai.
       
    • Pour les ménages à faibles revenus, c'est le contraire. C'est ainsi que 12% des banlieusards gagnant un revenu familial inférieur à 20 000$ ont quitté leur banlieue pour s'établir à Montréal, qui perdait de son côté 5% de ses ménages à faibles revenus.
       
    • Enfin, on peut obtenir des résultats ahurissants en combinant plusieurs caractéristiques. Ainsi, pas moins de 42% de tous les nouveaux parents ayant un revenu entre 50 000$ et 100 000$ ont quitté Montréal en cinq ans. C'est une perte énorme pour la ville centre quand on sait à quel point toutes les municipalités font des pieds et des mains pour attirer une population de jeunes ménages à revenus moyens.

     

    (1) On peut télécharger gratuitement la revue à partir de la page d'accueil de Statistique Canada: http://www.statcan.gc.ca

     

    L'EFFET DE BEIGNE EN QUELQUES CHIFFRES

     

    En cinq ans, 14% des Montréalais ont quitté la ville pour s'installer en banlieue, tandis que seulement 5% des banlieusards faisaient le trajet en sens contraire.

     

    • 34% des jeunes ménages ayant deux enfants ou plus se sont exilés en banlieue.
       
    • 25% des ménages gagnant entre 70 000$ et 80 000$ ont déménagé en banlieue ; en revanche, 12% des banlieusards à faibles revenus (moins de 20 000$ de revenu familial) sont venus s'établir à Montréal
       
    • Par tranche d'âge, ce sont les Montréalais âgés de 30 à 34 ans qui sont les plus nombreux à fuir la ville centre.

  13. Le stationnement étagé existant serait prévu pour recevoir quatre étages de stationnement additionnels et une dizaine d'étages de bureaux.

     

    Cela fait quelques fois que Le Courrier Laval rapporte que le maire Vaillancourt fait des démarches avec l'AMT pour faire démarrer la contruction des étages additionnels de staiotnnement. L'engorgement actuel aidera sûrement la cause.

  14. L'immense dalle de béton qui sert de stationnement à ciel ouvert à l'intérieur du quadrilatère formé par les tours du projet Urbania est une horreur urbaine.

     

    Je reprends certains de vos commentaires, comme quoi il y avait sûrement moyen de faire mieux :

     

    Vincethewipet :

    « il est décevant que le constructeur doit construire un immense stationnement aussi laid, plutôt que de tout simplement offrir un plus petit stationnement sous-terrain. ...

     

    Je crois que la plus grosse occasion assez manquée ici est du côté de la ville de Laval. On a préféré bétonner un secteur qui avait un grand potentiel d'être véritablement urbanisé. »

     

    acpnc :

    « c'est comme si l'administration de Laval n'avait aucunement évolué dans sa vision depuis des décennies, puisqu'on applique encore le même genre de développement banlieusard dans un coin que l'on voudrait pourtant urbanisé.

     

    Surtout qu'on est en plein coeur de la plus grande concentration de transport en commun de la ville. Et en dépit de cet avantage exceptionnel le promoteur donne la priorité au stationnement extérieurs au détriment d'un aménagement paysager accueillant. »

     

    Malek :

    « Aux Jardins windsor, projet très similaire mais beaucoup plus important, il y a aussi un stationnement intérieure en étage au milieu, sauf qu'il à été recouvert de gazon et d'une fontaine. »

  15. J'ai entendu dire que le matin on ne trouve plus de stationnement gratuit autour de Montmorency dès 6h50.

     

    Est-ce que c'est vrai ??

     

    Après 06:30, il faut aller aussi loin que sur le côté ou derrière le Canadian Tire, coin du Souvenir et Le Corbusier. De là, cela fait environ 8 minutes de marche.

     

    Le stationnement extérieur gratuit est plein vers 06:15 - 06:20 et l'intérieur quotidien à 6$ bien avant 08:00. Ce matin, c'était l'embouteillage monstre pour y entrer vers 07:40, plusieurs comme moi ont rebroussé chemin, solution Candian Tire.

     

    Après 08:30 - 08:45, il n'y a plus rien de libre à moins de 15 minutes à pied et il est préférable d'aller au terminus Le Carrefour, où il y a un grand stationnement gratuit, pratiquement innocupé, et de là prendre l'un des nombreaux circuits de la STL qui vont vers Montmorency. La fréquence est entre une et dix minutes (jusque vers 09:00) si vous naviguez entre les quai pour trouver le prochain qui passe. Le parcours vers Montmorency prend de 8 à 10 minutes selon le circuit (N.B. environ 12 minutes pour le 56, qui a le parcours le plus long).

  16. 12 mai 2010

     

    IMG_2039.jpg

     

    depuis Peel

    IMG_2041.jpg

     

    L'installation de la facade vitrée recourbée améliore décisivement l'équilibre de l'édifice.

     

    L'alignement de la trame horizontale est similaire à celle de la tour Montréal Trust, en partant de la hauteur de la base (rez-de chaussée) sous le fût (étages supérieurs). Ils auraient tout aussi bien pu aligner la trame sur celle des cours Mont-Royal, mais la base de ce dernier est plus élevée et l'équilibre visuel aurait été plus difficile à atteindre.

  17. Je suis passé en face jeudi et je demeure très ambivalent et perplexe devant cet édifice. Quelque chose choque mon oeil, et je n'arrive pas à trouver quoi.

     

    Peut être le rappel des fenêtres au style art-déco est-il mal intégré au reste de la facade.

     

    Le seul bon point que je lui trouve à ce jour est, comme d'autres ici l'on mentionné, de respecter la trame des édifices voisins à l'ouest, du coté sud du boul. de Maisonneuve.

  18. Attention tout le monde. C'est maintenant à 6 étages que l'on parle de "tours" à Montréal.

     

    ...

     

    *****************************

     

    Sud-Ouest

    Un parc ou des condos?

    Agence QMI Jean-Louis Fortin

    16/02/2010 21h45

     

    ...

    Plusieurs groupes de citoyens, comme Action-Gardien, craignent que des tours à condo de 20 mètres de haut ne viennent «ériger un mur entre le quartier et le canal Lachine», et créent «des problèmes de circulation automobile».

     

    L'usage d'un tel language excessif, employé par les groupes de pression et repris par les organes de presse, rend les débats de plus en plus cacophoniques et paralysants.

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