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Messages posté(e)s par Malcolmeyeal
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lol, ils sont morts de rire d'avoir été payé pour ça.
Tu penses qu'ils sont fiers d'être contraint de faire un mur comme ça? Décidément tu ne connais pas d'architecte. C'est facile de toujours blâmer les architectes quand on ne sait pas de quoi on parle.
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Crissement abominable. Ces architectes se foutent de notre gueule
Allo? Y a t-il quelqu’un ici qui connait le code de construction? Interdiction d'avoir des ouvertures quand le bâtiment est à alignement zero (sur la limite de propriété)...Vous pensez quoi? Qu'ils vont installer des fenêtres avec des gros $$$ pour après devoir les démolir parcequ'un bâtiment vient se construire à coté? C'est des murs coupe-feu. Il n'y a pas grand chose à faire avec ça. Les architectes ne sont pas à pointer du doigt ici.
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J'ai l'impression que le toit ne sera pas rempli, ce sera seulement les lanières métalliques horizontales comme elles sont actuellement installées. Puisqu'on retrouve des blocs de ventilation, il faut que l'air soit évacué facilement.
Je crois en fait que la partie du toit vers l'ouest qui n'a pas de lanières métallique sera en fait laissée ouverte.
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Le 'truc' me fait mourir d'impatience
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13 novembre 2014
Excusez mon ignorance, mais quelqu'un peut m'expliquer la technique de pieutage employée ici?
SkahHigH, il s'agit de pieux battus. Le bélier, éléments suspendus par la ''grue'', agit tel un marteau qui cogne sur un clous. Le pieux s'enfoncent lentement dans le sol au fûr et à mesure que le poids le frappe. Bien que ça semble somme toute rudimentaire comme technique, les ouvriers doivent respecter des barèmes strictes (poids du bélier, hauteur de ou ils le laisse tomber) pour respecter les normes de vibration permises par la Ville. Sur la photo, on voit un ouvrier souder une portion additionnelle au pieux, on peut en déduire que la profondeur de l'excavation accommodera quelques étages en sous-sol (stationnements). Ils s'agit aussi ici de pieux pour le soutènement des sols. Bien qu'on emploie généralement des colonnes en ''H'' d'acier, il est parfois requis d'employer des tubes en raison de contraintes propres au site, qui m'échappe ici
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Magnifiques les photos les copains. Mention spécial à celle que MartinMTL à publié...incroyable!
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Je suis complètement déçus de se revirement de situation. Je suis sans mots
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Bien d'accord avec Habsfan..il ne faut pas se gêner pour s'interroger sur divers sujets et méthodes de construction. On a tous quelque chose à apprendre et cette plateforme d'échange est idéale pour partager nos connaissances!
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C'est toujours un plaisir de pouvoir échanger avec vous mes ami(e)s!
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Alors si je comprend bien tous ces pieux en acier qui sont enfoncés en bordure d'un chantier avant même que les excavations commencent seraient ceux qui vont toucher le roc solide ?
En temps normal, les pieux (1) que l'on voit être enfoncés au tout début et au périmètre sont ceux qui servent à maintenir en place le mur berlinois. Ce dit mur reteint les sols autour de l'excavation à l'aide de boisage (4). Étant donné qu'ils ne supportent généralement aucune charges verticales, ces pieux ne requiert pas d'être battu jusqu'au roc. Pour assurer la résistance du mur berlinois aux poussées latérale des sols, on emploi des moises (3) qui consistent en des poutre d'acier soudées aux pieux du mur. On installe finalement des tirants (2) qui ancrent les moises dans le roc. Lorsque le mur de fondation est coulé, en retire les moisent et on coupe les tirant au chalumeau.
Credit photo : Yvon L'Aîné.
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Cette technique est effectivement employée un peut partout au centre-ville, en fonction de la profondeur moyenne du roc et de la composition du sol. Comme mentionné plus haut, mes connaissance dans les ouvrages de fondations et de pieutages sont embryonaires.
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Selon ma maigre expérience, il semblerait que le bâtiment repose entièrement sur des pieux et longrines (poutre de béton qui solidarisent entre elles les têtes de pieux). Les pieux rejoignent le roc en profondeur qui supporte les charges. La dalle du premier plancher est structurale, donc même s'il advenait que tout le sol meuble sous le bâtiment se liquéfie, aucun dommage structural n'en résulterait car le bâtiment ne repose pas directement sur ce sol. C'est sensiblement le même principe que pour les ponts avec des piliers porteurs.
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Merci pour les photos. Si tout va bien, ils devraient avoir terminé de couler la dalle du toit à la fin novembre.
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Smilodon ont retiré de leur site web les rendus de la tour de 50 étages...
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90%+++ des familles avec enfants ont des kids,
You don't say!
Le Roccabella - 40, 40 étages (2018)
dans Complétés
Posté(e)
Merci beaucoup !