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il y a 49 minutes, Latour a dit :
Encore des tours jumelles...
Deux rectangles… 😝
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Des tours jumelles au-dessus de la gare Centrale
Philippe Teisceira-Lessard
Équipe d’enquête, La Presse +
24 mai 2024Deux tours jumelles de près de 200 mètres devraient voir le jour au-dessus de la gare Centrale de Montréal, dans un secteur en développement rapide, a appris La Presse.
La Ville de Montréal a récemment pu se pencher sur des images du projet, qui comprendrait également un réaménagement complet de l’accès à la gare, ainsi que l’aménagement d’un espace vert.
« Ce projet particulier est en cours d’analyse pour assurer une intégration harmonieuse et nous le commenterons une fois que le processus sera complété », a indiqué le cabinet de Valérie Plante, jeudi, par écrit. « Notre administration déploie plusieurs efforts pour faciliter la construction partout à Montréal. »
« Nous ne commentons pas les rumeurs du marché concernant nos projets et nos investissements futurs », a indiqué Sandra Lécuyer, porte-parole de Cominar. Le fonds de placement immobilier est propriétaire de la gare Centrale de Montréal depuis 2012. Il s’agit de la plus importante propriété de son portefeuille.
Cominar brasse des projets de développement pour la gare Centrale depuis des années.
En décembre 2023, le grand patron de l’entreprise indiquait que ses actifs étaient « toutes des propriétés qui permettent de développer des communautés à usage mixte où vont se côtoyer commerces, bureaux et immeubles résidentiels ».
En 2019, le fonds de placement estimait qu’environ 1800 logements pourraient être bâtis en hauteur sur le site. Cominar diffusait même des rendus architecturaux montrant trois projets de tours de hauteurs différentes.
« La gare Centrale est un actif au potentiel extraordinaire », disait alors Marie-Andrée Boutin, cheffe du développement et de l’exploitation.
La même année, deux conseillers étaient chargés d’étudier les stratégies susceptibles de maximiser la valeur de la gare Centrale. Celui qui était alors le grand patron de Cominar, Sylvain Cossette, promettait des résultats pour 2020. Depuis, rien n’a filtré.
50 millions de passages
La gare Centrale de Montréal a été inaugurée en 1943, en pleine Seconde Guerre mondiale. L’édifice est de style Art déco, mais sa façade donnant sur la rue De La Gauchetière est complètement cachée par un stationnement étagé.
Le bâtiment est classé par le gouvernement fédéral, ce qui pourrait compliquer la tâche de développement de Cominar.
« La conception moderne de cette gare a marqué un tournant dans l’architecture des gares ferroviaires canadiennes », indique l’énoncé patrimonial. « La gare fait usage de matériaux et de détails modernes et sa planification est exemplaire quant à sa simplicité et sa fonctionnalité. »
Malgré le déclin du transport ferroviaire au fil du XXe siècle, la gare Centrale demeure un important carrefour pour le centre-ville avec une connexion au métro, au REM, aux trains de VIA Rail et au Montréal souterrain. En 2019, Cominar comptait 50 millions de passages par année dans le complexe.
Développement rapide
S’il voit le jour, le projet de tours jumelles viendra s’ajouter à un développement rapide de ce secteur du centre-ville de Montréal, jusqu’à récemment peu invitant.
La Presse rapportait ce printemps que la Ville de Montréal avait donné son premier feu vert au promoteur Broccolini en vue de l’érection d’une tour de près de 200 mètres sur l’ancien terminus d’autobus Mansfield. Ce terrain, le 900, rue Saint-Antoine, est situé à quelques encablures de la gare Centrale. Environ 664 logements pourraient y être intégrés.
Une tour de la même taille est déjà en construction juste de l’autre côté de la rue, au 900, rue Saint-Jacques. Elle devrait comprendre plus de 600 logements, ainsi qu’un hôtel de l’enseigne Moxy comptant 200 chambres.
Sur le boulevard Robert-Bourassa ou à proximité, le Duke (25 étages), le nouveau siège social de la Banque Nationale (40 étages), le Victoria sur le Parc (58 étages) et l’Odéa (26 étages) sont tous sortis de terre dans les trois dernières années.
Tous ces développements devraient être desservis par la future station Griffintown – Bernard-Landry du REM. Celle-ci devrait être construite d’ici 2027, selon CDPQ Infra.
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Boeing fera atterrir un investissement majeur dans la région de Montréal mardi. Le géant américain sera à l’origine de la majeure partie des 300 millions d’investissements privés qui seront annoncés lors du décollage de la quatrième zone d’innovation par le gouvernement Legault.
Publié le 16 mai 2024 dans La Presse
Jusqu’à présent, Boeing était présente au Québec par l’entremise de filiales. Wisk Aero, qui œuvre à la conception d’un taxi volant électrique, compte un bureau à Laval. Jeppesen, qui se spécialise dans les systèmes de navigation, est aussi présente à Montréal. En avril dernier, La Presse rapportait que Wisk souhaitait doubler son effectif – elle compte environ 45 ingénieurs dans la couronne nord de Montréal – et la superficie de ses bureaux.
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Il y a 1 heure, ToxiK a dit :La description du projet par le CCU évoque une deuxième phase dans laquelle une passerelle pourrait être construite au-dessus des rails, puisqu’une seconde partie du même terrain se trouve de l’autre côté. Il s’agit actuellement d’un stationnement.
Potentiellement un projet spectaculaire si les deux phases se concrétisent et l’ensemble inclut une passerelle au-dessus des rails entre les deux tours …
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« Québec annonce que les crédits d’impôt pour les emplois dans le secteur des technologies d’informations sont réduits … Le crédit d’impôt de 30% pour les multimédias ne sera plus entièrement remboursable. La portion entièrement remboursable passera graduellement de 30% à 20% d’ici 2028. Le 10% restant sera désormais non remboursable, c’est-à-dire que les entreprises devront payer des impôts pour pouvoir en profiter. Autrement dit, les entreprises non rentables, qui ne génèrent pas de bénéfice pouvant être imposé, verront ainsi leur aide réduite. »
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Il y a 6 heures, mont royal a dit :
The Toronto distillery dates back to 1832. TheMontreal Molsons plant was built in 1786.
%http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/PATRIMOINE_URBAIN_FR/MEDIA/DOCUMENTS/%C9NONC%C9%20MOLSON%20FINAL%20VALID%C9.PDF
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Le pire marché pour les locataires canadiens depuis les années 1980, selon la SCHL:
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Et bien, on est 9 millions de zombies … 😝
« Les chiffres tiennent compte de l’ensemble des départs et des arrivées, ainsi que les naissances et les décès. Il s’agit du rythme de croissance le plus rapide jamais observé de l’histoire de la province, surpassant le précédent record établi durant le baby-boom. C’est aussi l’une des progressions les plus fortes à cet égard au Canada, toutes provinces confondues. »
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Hausse de 0,4 % du PIB réel du Québec, aux prix de base, octobre 2023
https://statistique.quebec.ca/fr/communique/pib-reel-quebec-prix-base-hausse-octobre-2023
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il y a 11 minutes, mtlurb a dit :
Y a une grosse différence avec le taux d'emploi publié dans la presse et stat Québec...
La Presse: 62.5 - 0.9 = 61.6%
Stat Quebec: 62.1%Possiblement que l’article dans La Presse fait référence à un mois (décembre), pendant que le 62,1 % de Stat Québec est pour une année (2023).
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Les taux d’intérêt sont plus élevés qu’ils étaient et le secteur de la construction résidentielle va mal. Par contre, avec un taux de chômage < 5% et un taux d’activité de 64,9%, qui est semblable à celui de l’Ontario (64,8%), à date, la récession n’est pas catastrophique au Québec. Malheureusement, la contraction économique que nous vivons présentement devrait perdurer pendant la première moitié de l’année. Les économistes s’attendent à ce que les taux d’interêt commence à descendre avant l’été et que l’économie reprend de la vigueur lors du deuxième semestre. En 2024, le taux de chômage atteindra probablement plus de 5,5% avant de redescendre.
https://statistique.quebec.ca/fr/communique/resultats-enquete-population-active-quebec-decembre-2023
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Il y a 5 heures, Djentmaster001 a dit :
Invenergy opened a new office in MTL, old MTL location. Strong Q4
« Situé dans le quartier historique du Vieux-Montréal, au 204 rue du Saint-Sacrement, le nouveau bureau servira de centre régional pour les activités d'Invenergy au Québec. »
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Un campus industriel carboneutre de 1G$ à Montréal-Est
Les affaire, le 21 novembre 2023
Des promoteurs s’activent actuellement à construire un premier bâtiment dans un nouveau «campus» industriel à Montréal-Est qui sera carboneutre et dont l’investissement se chiffre à 1 G$.
Le projet 40NetZero, piloté par la société MET-HB | Propriétés SEC, est situé sur un site grand de sept millions de pieds carrés entre l’autoroute 40 et le boulevard Henri-Bourassa à l’est de l’autoroute 25. Les bâtiments devraient occuper environ trois millions de pieds carrés de surface. Les promoteurs et fondateurs du projet, Robert Soldera et Peter Karambatsos, ont décontaminé l’endroit, qui comprend entre autres l’ancien site de Pétromont, et sont prêts à accueillir leurs premiers locataires.
L’entreprise a d’ailleurs amorcé la construction d’un édifice de 400 000 pieds carrés destiné à une entreprise du secteur pharmaceutique dont le nom sera dévoilé au cours des prochaines semaines. Le bâtiment devrait être livré en décembre 2024, affirme Peter Karambatsos. 40NetZero négocie également avec deux autres locataires potentiels et espère être en mesure d’annoncer une deuxième entente d’ici un mois.
Les deux entrepreneurs s’attendent à ce que de plus en plus de multinationales cherchent à se localiser dans des endroits tels 40NetZero, notamment en raison des nouvelles normes de divulgation extrafinancières climatiques, les normes S1 et S2, de l’International Sustainability Standards Board (ISSB), qui entreront en vigueur dès le 1er janvier.
«Les entreprises internationales veulent miser sur la carboneutralité de leurs installations, précise Peter Karambatsos. Elles n’ont pas vraiment le choix. Si elles ne le font pas aujourd’hui, elles devront le faire d’ici un ou deux ans. La résilience face aux changements climatiques devient un facteur de plus en plus important pour les entreprises, peu importe leur taille.»
Carboneutralité
Le nouveau campus industriel misera ainsi sur sa carboneutralité, expliquent Robert Soldera et Peter Karambatsos.
En plus que de n’utiliser que de l’hydroélectricité, les bâtiments auront entre autres une toiture avec membrane élastomère banche, une technologie de récupération de chaleur, des noues filtrantes végétalisées, des vitres antireflet, de la végétation abondante sur le site, des abris solaires pour voitures, un système de gestion de l’eau, de l’éclairage écoénergétique solaire et durable et des aires de stationnement en béton concassé recyclé.
Le site de 40NetZero vise de plus à ce que tous les bâtiments qui y seront construits obtiennent les certifications SITES, qui favorise la durabilité environnementale, la préservation des ressources, la biodiversité, la réduction des émissions de carbone et la santé humaine, LEED Zero, qui récompense les bâtiments qui atteignent une émission nette de carbone nulle dans leurs opérations.
«Tout sera ultra efficace et les constructions iront largement au-delà des normes du code de bâtiment», souligne Peter Karambatsos.
«À l’extérieur de Montréal, pour construire ce genre de complexe, il faudrait probablement utiliser des terres agricoles ou raser des forêts, ajoute Robert Soldera. Nous, nous avons décidé de prendre des terrains contaminés et de les réhabiliter.»
La formule adoptée par 40NetZero, soit une immense superficie pour le projet, permettra aux locataires d’obtenir des prix compétitifs à d’autres locaux industriels grâce à d’importantes économies d’échelles qui seront réalisées par les promoteurs, souligne Peter Karambatsos.
Le Pavillon
Un autre attrait intéressant pour les locataires, estiment les promoteurs, est l’édifice central nommé «Le Pavillon». Celui-ci sera accessible à toutes les entreprises ayant pignon sur rue sur le site et fera office de lieu de rassemblement et de divertissement.
On y retrouvera une aire de restauration, un espace de détente, un centre d’entraînement, des courts de basketball extérieurs et un service de vélos en libre-service pour se balader sur la piste cyclable de 1,5 km qui sera érigés sur le site.
Un des avantages du Pavillon de 40NetZero est que les employés n’auront pas à aller bien loin pour pouvoir profiter de toutes ces activités, note Robert Soldera.
«Les entreprises font des pieds et des mains pour trouver des employés, rappelle Peter Karambatsos. Nous croyons que l’aspect humain est primordial, et avec le Pavillon, nous pensons que le campus 40NetZero possède quelque chose d’unique pour attirer des employés.»
Changer l'image de Montréal-Est
Un autre des objectifs du duo d’entrepreneurs est de réhabiliter l’image de Montréal-Est, qui est encore associée aux hydrocarbures.
«Nous avons vu une occasion de faire quelque chose de différent en créant le campus, quelque chose qui irait à l’encontre de l’image de Montréal-Est encore véhiculée, avance Peter Karambatsos. Nous voulions faire partie de la solution, et je crois que 40NetZero est l’occasion idéale.»
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Hydro-Québec
Investissements colossaux au menu
https://www.lapresse.ca/affaires/2023-11-02/hydro-quebec/investissements-colossaux-au-menu.php
Les investissements annuels d’Hydro-Québec, qui sont actuellement de 4 milliards, tripleront pour atteindre entre 12 et 16 milliards annuellement jusqu’en 2035.
Hydro-Québec s’engage dans un plan d’investissement colossal de plus de 100 milliards pour doubler sa capacité de production à 200 térawattheures et améliorer son réseau de transport.
Publié à 11h00 Mis à jour à 12h59 (12 novembre 2023)
HÉLÈNE BARILLA PRESSE
CE QU’IL FAUT SAVOIR
Le nouveau plan d’action d’Hydro-Québec prévoit l’ajout de 150 à 200 térawattheures d’électricité d’ici 2035 pour la décarbonation et la croissance de l’économie.
Les investissements requis sont deux fois plus élevés que ceux qui ont été nécessaires pour construire la baie James.
Les tarifs résidentiels resteront plafonnés à 3 %.
Le plan de match tant attendu de Michael Sabia, qui a pris la place de Sophie Brochu à la tête de la société d’État, prévoit la construction de nouvelles centrales hydroélectriques, dont une centrale à réserve pompée, et l’ajout de 5000 kilomètres de lignes de transport.
Les nouveaux investissements prévus totalisent 100 milliards de dollars d’ici 2035, auxquels il faut ajouter les 45 à 50 milliards prévus pour améliorer la fiabilité du réseau électrique.
« C’est quelque chose », a reconnu le président-directeur général d’Hydro-Québec en conférence de presse.
Hydro-Québec veut ajouter entre 8000 et 9000 mégawatts à sa capacité de production, ce qui équivaut à la production de LG2, sa plus grosse centrale, celle de Manic 5 et celle de La Romaine réunies.
Environ 2000 mégawatts de cette production supplémentaire viendront de nouveaux ouvrages hydroélectriques. À part le projet Petit Mecatina, pour lequel des études préliminaires ont été amorcées, aucun autre site n’est identifié. « Nous avons plusieurs autres options », a assuré M. Sabia.
Il y aura plus d'éolien et plus d’économies d’énergie. La centrale de TC Énergie à Bécancour sera alimentée avec du gaz naturel renouvelable et utilisée pour la pointe hivernale.
Selon le plan, 75 % de l’énergie additionnelle servira à décarboner l’économie et le reste sera consacré à la création de richesse.
Les investissements annuels d’Hydro-Québec, qui sont actuellement de 4 milliards, tripleront pour atteindre entre 12 et 16 milliards annuellement jusqu’en 2035. C’est deux fois plus élevé que pendant la construction de la Baie James.
La société d’État prévoit avoir besoin de 35 000 travailleurs de la construction annuellement pour réaliser ses projets de croissance.
Les tarifs d’électricité vont demeurer abordables, assure Hydro-Québec. « Pour la clientèle résidentielle, les hausses tarifaires seront limitées à l’inflation, jusqu’à un plafond de 3 % », affirme la société d’État.
Les tarifs industriels augmenteront, a indiqué Michael Sabia, mais ils resteront moins élevés qu’ailleurs au Canada et dans le monde. « Nous avons dans ce secteur une marge intéressante », a-t-il dit.
Le PDG d’Hydro-Québec assure que le bénéfice net et le dividende versé chaque année au gouvernement du Québec ne seront pas réduits « à court terme », malgré l’augmentation importante des investissements et le plafonnement des tarifs résidentiels.
Améliorer le service
Hydro-Québec a aussi l’intention d’investir pour améliorer la qualité de son service, qui s’est dégradée au cours des dernières années. L’objectif est de faire baisser le nombre de pannes de 40 % et de réduire les délais de branchement de 40 %.
De l’aide financière sera disponible pour l’achat d’équipements permettant de réduire la consommation, comme les thermopompes, les thermostats intelligents et les contrôleurs de chauffe-eau.
Les propriétaires de « maisons imposantes » seront particulièrement visés par des tarifs adaptés à leur consommation plus importante.
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On entend des voix qui dénoncent le sous-financement, du réseau universitaire québécois, estimé à plus de un milliard de dollars. Le gouvernement a été incapable d’augmenter les frais de scolarité des étudiants québécois afin de régler ce problème. La composante anglophone du réseau semble être moins touchée.
Personne semble s’opposer au plancher de 17 000 $ qui serait imposé aux 50 000 étudiants étrangers. Reste donc les 15 000 étudiants venant des autres provinces. Augmenter leurs frais de 8 000 $ par année (de 9 000 $ à 17 000 $) ne réglerait pas le problème et affaiblirait la composante anglophone. De plus, il faut prendre en considération que le nombre de Québécois qui font des études ailleurs au Canada est probablement aussi élevé que le nombre de résidents des autres provinces qui viennent ici.
Si les étudiants étrangers financeront une « péréquation » à hauteur de 3 000 $ chacun (+ 17 000 $ = 20 000 $), peut-être qu’une approche semblable avec les étudiants venant des autres provinces serait salutaire, par exemple, une simple majoration de 1 500 $ annuellement afin d’aider l’ensemble du réseau.
Concernant le sous-financement chronique, il n’y a pas mille solutions: 1) Majoration des frais de scolarité des étudiants québécois; et/ou 2) Augmentation du budget par le gouvernement provincial.
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il y a 21 minutes, denpanosekai a dit :
That just blows my mind. What's planned corner Peel? I thought this project was the whole block.
2 phases: Phase 1 - west side - apartments (rentals)
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PIB réel du Québec aux prix de base : stabilité en juillet 2023
https://statistique.quebec.ca/fr/communique/pib-reel-quebec-prix-base-stabilite-juillet-2023
Québec, le 24 octobre 2023. – En juillet 2023, le produit intérieur brut (PIB) réel du Québec aux prix de base est demeuré relativement stable (0,0 %) par rapport au mois précédent, et ce, pour un deuxième mois d’affilée. C’est ce que nous apprend la publication Produit intérieur brut par industrie au Québec, juillet 2023 diffusée aujourd’hui par l’Institut de la statistique du Québec.Baisse de 0,7 % de la production de biens
Pour un cinquième mois consécutif, la production des industries de biens a diminué (– 0,7 % en juillet et – 0,1 % en juin). La baisse en juillet provient principalement du secteur des services publics (– 4,8 %). La production du secteur de la fabrication (– 0,4 %) et celle du secteur de la construction (– 0,5 %) ont également affiché des baisses. À l’opposé, le secteur de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse (+ 2,3 %) a connu une hausse de production.
La baisse observée dans le secteur de la fabrication provient notamment des reculs dans les sous-secteurs de la fabrication de produits métalliques (– 5,4 %) et de la fabrication de produits en plastique et en caoutchouc (– 5,5 %).
Hausse de 0,2 % de la production de services
En juillet, le niveau de production des industries de services a crû de 0,2 %, après avoir augmenté de 0,1 % en juin. La croissance enregistrée en juillet est principalement due au secteur du commerce de gros (+ 1,4 %). Le secteur du commerce de détail (+ 0,8 %) ainsi que celui de la finance et des assurances (+ 0,5 %) ont également affiché des hausses de production.
Cumul des sept premiers mois de 2023 : augmentation de 0,5 % du PIB réel du Québec
Pour les sept premiers mois de l’année 2023, le PIB réel du Québec est de 0,5 % supérieur à celui des mêmes mois de 2022. Les principaux secteurs ayant contribué à la hausse sont les administrations publiques (+ 3,3 %), les services d’hébergement et de restauration (+ 12,5 %), les services professionnels, scientifiques et techniques (+ 3,3 %) ainsi que le transport et l’entreposage (+ 6,1 %).
Stabilité du PIB réel du Canada aux prix de base en juillet 2023
Selon les informations publiées le 29 septembre 2023 par Statistique Canada, en juillet, le PIB réel canadien aux prix de base est demeuré essentiellement inchangé (0,0 %) par rapport au mois précédent. La production des industries de biens a baissé de 0,3 %, alors que celle des industries de services a crû de 0,1 %.
Produit intérieur brut réel par industrie1
(variations en pourcentage)
2022 2023
Variation annuelle Variation mensuelle Variation cumulative2
Juin Juillet
Québec 2,6 0,0 0,0 0,5 Canada 3,6 – 0,2 0,0 1,9
1. Les niveaux du produit intérieur brut par industrie sont évalués aux prix de base en dollars enchaînés (2012), désaisonnalisés et annualisés.
2. Sept premiers mois de 2023 par rapport aux mêmes mois de 2022.Sources
Institut de la statistique du Québec et Statistique Canada.
L’Institut de la statistique du Québec produit, analyse et diffuse des informations statistiques officielles, objectives et de qualité sur différents aspects de la société québécoise. Il est le responsable de la réalisation de toutes les enquêtes statistiques d’intérêt général. La pertinence de ses travaux en fait un allié stratégique pour les décideurs et tous ceux qui désirent en connaître davantage sur le Québec.
Relations avec les médias
Centre d'information et de documentation
Tél. : 418 691-2401
ou 1 800 463-4090 (sans frais d'appel au Canada et aux États-Unis)
Courriel : cid@stat.gouv.qc.ca- 1
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L’appel d’offres du train à grande fréquence Toronto-Québec est lancé
Les trois consortiums retenus auront jusqu'à l'été prochain pour soumettre leurs propositions.
VIA TGF est une filiale en propriété exclusive de VIA Rail.
Publié à 12 h 00 HAEMis à jour à 13 h 30 HAE
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2017759/demande-proposition-train-grande-frequence
Un nouveau jalon du projet de train à grande fréquence (TGF) Toronto-Québec vient d'être franchi.
Les trois consortiums retenus cet été dans le cadre de l'appel de qualification pour concevoir et élaborer le projet sont maintenant invités à répondre à une « demande de proposition » – l'appel d'offres, en quelque sorte.
Celle-ci a été officiellement lancée vendredi, a fait savoir Transports Canada par communiqué.
Le processus se poursuivra jusqu’à l’été et sera suivi d’une période d’évaluation de trois mois. On prévoit annoncer le nom du consortium sélectionné à la fin de l’automne 2024, écrit le ministère.
C'est donc dans un an que l'on connaîtra enfin le montant qui sera consacré à ce projet, un secret bien gardé jusqu'ici afin de ne pas influencer les propositions qui seront soumises au gouvernement fédéral. Le TGF était initialement évalué entre 6 et 12 milliards de dollars.
Le projet de TGF doit voir des trains entièrement électriques rouler à environ 200 km/h entre Toronto et Québec, en passant notamment par Peterborough, Ottawa, Dorval, Montréal, Laval et Trois-Rivières.
Il prévoit une douzaine de départs par jour pour les voyageurs, qui pourront ainsi se déplacer beaucoup plus confortablement et, surtout, plus rapidement entre ces villes.
Une deuxième phase entièrement ontarienne est par ailleurs envisagée dans le sud-ouest de la province. Elle relierait Windsor, près de la frontière américaine, à Toronto.
Pour maximiser les avantages pour le public et l’innovation, les soumissionnaires devront élaborer deux solutions en matière de vitesse, précise Transports Canada dans son communiqué.
Une solution doit comprendre des trains pouvant atteindre une vitesse maximale de 200 kilomètres à l’heure, ce qui est plus rapide que le service offert aujourd’hui, écrit le ministère, alors que l’autre solution doit comprendre des segments à grande vitesse pour des trajets plus rapides.
À l’heure actuelle, les trains de VIA Rail peuvent rouler jusqu’à une vitesse maximale de 160 km/h, avec des vitesses d’exploitation de 60 à 120 km/h selon le tronçon, peut-on lire sur le site web du ministère.
Des voix se sont toutefois élevées dans les dernières années – notamment dans le milieu des affaires – pour exiger du gouvernement fédéral qu'il aille de l'avant avec un projet de train à grande vitesse (TGV) plutôt qu'à grande fréquence, d'où la demande de proposition à deux volets formulés par Transports Canada.
Le trajet envisagé du TGF qui reliera Toronto et Québec.
L'appel d'offres lancé vendredi, dont les grandes lignes étaient déjà connues, arrive avec quelques semaines de retard.
L'ancien ministre des Transports Omar Alghabra avait indiqué en juillet que la demande de proposition serait transmise aux consortiums retenus en septembre.
Depuis, M. Alghabra a toutefois cédé sa place à Pablo Rodriguez dans le cadre d'un remaniement ministériel.
VIA Rail a également recruté l'ex-président de l'Administration portuaire de Montréal (APM), Martin Imbeau, pour prendre la direction du bureau de projet.
Le député libéral d'Honoré-Mercier, Pablo Rodriguez, a accédé à la fonction de ministre des Transports le 26 juillet dernier à la faveur d'un remaniement du Cabinet Trudeau.
Les trois consortiums retenus dans le cadre de l'appel de qualification, dont le groupe franco-québécois Cadence, comprennent tous des entreprises canadiennes. Le projet ne comporte toutefois pas d'exigence minimale de contenu canadien. Depuis l'an dernier, Ottawa y a investi près de 400 millions de dollars.
L'été dernier, Omar Alghabra affirmait qu'il aimerait voir la première phase du TGFse réaliser au milieu des années 2030
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La firme suisse H55 construira des batteries pour avions électriques à Longueuil
Publié le 11 octobre 2023 à 14:41
À terme, H55 croit être en mesure de produire un demi−million de modules de batteries par année et vise l’ensemble du marché nord−américain. (Photo: La Presse Canadienne)
La possibilité de prendre un avion électrique est désormais à portée de main.
La firme suisse H55 a annoncé mercredi à l’aéroport Saint−Hubert de Longueuil un investissement de 100 millions de dollars (M$) afin d’y construire une usine de production de batteries destinées au secteur aéronautique.
Déjà, l’entreprise s’attend à fournir dès 2024 ses premiers modules de batteries au motoriste Pratt & Whitney pour la fabrication d’appareils Dash−8 hybrides.
H55 prévoit construire un bâtiment de 13 000 pieds carrés pour la première phase de son usine de Longueuil, mais entend rapidement tripler et même quadrupler cette superficie.
Outre la fabrication, l’entreprise prévoit également mener des activités de recherche et de développement à ses installations.
À terme, H55 croit être en mesure de produire un demi−million de modules de batteries par année et vise l’ensemble du marché nord−américain.
Ottawa viendra soutenir le projet avec un prêt de 10 M$. Québec n’a pas annoncé de contribution à date, mais la firme n’a pas caché dans ses communications qu’elle en espère une. Le ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Pierre Fitzgibbon, présent à l’annonce, s’est montré ouvert à soutenir les efforts de H55.
Pierre Saint−Arnaud, La Presse
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il y a 23 minutes, andre md a dit :
C'est bien la population active augmente au Quebec.Et aussi le taux d'emploi. C'est une bonne nouvelle. Meme mieux que si le taux de chomage avait baissé.
Bien d’accord. Et de plus, à 4,4%, le taux de chômage demeure bas et ce dans un contexte de ralentissement de l’économie . . .
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895 De la Gauchetière (Gare Centrale) - ?? étages
dans Propositions
Posté(e) · Modifié par Lappy
⬆️ N’oublions pas l’autre côté du stationnement étagé où se trouve présentement le 1060 Robert-Bourassa qui pourrait (peut-être) être éventuellement démoli afin de faire place à une nouvelle construction et permettre le redéveloppement au complet du quadrilatère entre Belmont et De La Gauchetière ???