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Messages posté(e)s par ThinkBig

  1. Les détracteurs habituels de PM se manifesteront, mais je suis plutôt d'accord avec Ferrandez (et Vince dans ces deux dernières interventions).

     

    Le projet est décontextualisé. Ca ressemble beaucoup plus à une proposition annoncée pour "provoquer" quelque chose (hausse de la valeur foncière, par exemple) qu'un véritable projet. Un peu dans le style de l'hôpital privé dans Griffintown il y a plusieurs années.

     

    Donc vous aimez mieux qu'on construise une série de rangées de condos à deux étages sans âme, au lieu d'avoir un projet vibrant et attrayant? Le terrain projeté pour ce projet est l'endroit parfait pour le réaliser. On est pas au coeur d'un quartier résidentiel, où là j'aurais eu des doutes sur l'intégration! On est au bord du fleuve, à côté du pont. Pour ma part, je serais aucunement offensé d'habiter et de magasiner dans ce complexe.

  2. Tellement un projet dont le Québec a besoin! Au lieu de toujours sortir les mêmes excuses du genre «pas d'argent pour ça», on devrait foncer et réaliser ce projet. Au Québec, on est fier de se montrer à travers le monde. Là, le monde viendrait à nous. Ça ferait un bien énorme, apporterait une nouvelle énergie, brasserait un peu les cartes. Moi je dit GO QUÉBEC! Arrêtons de toujours s'auto-victimiser, et entreprenons un projet collectif de grande ampleur tel que celui-ci dès maintenant!

  3. Sentiment d'infériorité? Mtl c'est loin de la moitié de TO. Et en terme de tourisme, TO c'est 14.3 millions de touristes en 2015 et Montréal c'est 9.6 millions de touristes, donc 1.37 fois... et si tu regardes l'achalandage des musées, Montréal est premier devant Toronto, le musée de beaux arts étant le plus achalandé au Canada.

     

    Sent from my SM-T817W using Tapatalk

     

    On peut faire quelque chose de plus modeste tout en se faisant toujours envier par les autres. Et je suis certain que si le projet marche bien, des agrandissements seront à prévoir.

  4. Face à cette dernière épée de Damoclès au-dessus de sa tête. On ne sera pas alors étonné que la population ait dépassé son seuil de tolérance et refusera vigoureusement tout départ gratuit de son plus gros employeur, la SRC.

     

    Je ne sais pas de quel population vous faites mention ici, mais j'ose croire que la majorité des résidents du quartier ne travaillent pas tous pour Radio-Canada. De plus, c'est un «départ» qui se fera pour une «arrivée» à deux coins de rues de là. Donc les résidents du quartier qui y travaillent n'auront qu'à s'acheter une carte opus, où un abonnement au BIXI, et aller travailler à une distance qui demeure somme toute fort acceptable. Comme je l'ai déjà mentionné, on est pas dans un village où Radio-Canada est le seul employeur. On est dans le centre-ville de Montréal.

  5. Plusiers de ces 3000 employés vont chez le dép, le SAQ, frequentent les restos, l'épicerie après le travail. Durant l'été des 5 à 7 sur une des terasses. Les quartiers multifonctionnels sont les plus intéressants et prospères,

     

    sent via Tapatalk

     

    Avec la grandeur des terrains, on peut construire suffisamment de logements pour accueillir 3000 personnes, et sûrement plus. Donc on perd rien.

  6. Je comprends pas en quoi Radio-Canada contribue à la vitalité du quartier? N'a t'elle pas des cafétérias pour les employés? Y'a t'il tant d'employés qui vont manger dans les restos du coin? On est pas dans un village éloigné où Radio-Canada est le seul employeur, on est dans le centre-ville de la deuxième plus grande ville au Canada. Depuis la nuit des temps des commerces ouvrent et ferment dans la ville, c'est ce qu'on appel l'offre et la demande. Si des commerces envisagent un faillite, rien ne les empêche de se déplacer vers l'ouest. Des quartiers sans commerces à chaque coin de rue, ça l'existe, et c'est pas nécessairement une fatalité. Enfin, si on construit des logements sur l'actuel site et que Radio-Canada n'est plus là, en quoi c'est un drame?

  7. Est-ce qu'on peut laisser Radio-Canada prendre les décisions qu'elle juge le plus approprié pour son avenir? À ce que je sache, ses dirigeants ne sont pas élus par la population. Ceux-ci peuvent donc prendre les décisions qu'ils croient le plus approprié pour assurer le succès de leur entreprise, tel QU'ILS le veulent. À mes yeux, c'est malsain de demander à une entreprise de rester sur place uniquement pour des raisons «sociales». La mission première de Radio-Canada est de créer du contenu culturel/informatif. Pas de gérer des problématiques sociales. Aussi, à ce que je croit, vous n'avez pas toutes les informations relativement au projet de déménagement. Donc avant de dire que les dirigeants sont pourris, tournez votre langue sept fois...

  8. La maquette du projet global

     

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=21347

     

    de plus près

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=21345

     

    Si CF réussit à faire approuver et faire construire les trois buildings les plus hauts à la droite de l'image, ils sont mes héros. Car avous-le, ces tours viendront pas mal chambouler la forme que certains urbanistes cherchent à faire adopter au centre-ville. Je donne tout mon appui à CF.

  9. C’était l’un des secrets les moins bien gardés à Montréal en raison du battage sur les médias sociaux. Il faut dire qu’avec 60 000 pieds carrés répartis sur deux étages de la Place Ville Marie, WeWork n’aura d’autre choix que de faire du bruit pour atteindre ses objectifs de location.

     

    Pour l’instant, WeWork n’a aménagé que la moitié du 3e étage de la Place Ville Marie, où une poignée de locataires montréalais travaillent depuis le 1er mars. En septembre, toutefois, deux étages entiers devraient être aménagés, permettant à l’espace de coworking d’accueillir pas moins de 1 200 locataires.

     

    Comme d’autres espaces de coworking, WeWork Montréal permet aux travailleurs autonomes et aux entreprises de louer des espaces de travail réservés sur des tables communes ou des bureaux fermés. Tous ses locataires auront accès à un réseau Wi-Fi, à des salles de réunion et, chose non négligeable, à du café et la bière à volonté.

     

    À un tarif de 350 $ par mois par travailleur (pour les espaces de travail réservés), WeWork Montréal affiche des tarifs identiques à ceux de Station C (350$), mais légèrement supérieurs à ceux d’Espaces Nexus (219$) et La Gare (295$), mais à partir d’un emplacement beaucoup plus central. «On a choisi la Place Ville Marie, car c’est vraiment central et accessible; il y a deux lignes de métro et même le train», m’a expliqué Heather McCuen, directrice de la communauté de WeWork Montréal.

     

    WeWork Montréal a déjà plusieurs locataires bien connus dans la communauté techno, dont l’école de programmation Decode MTL et le Founder Institute. Toutefois, lors de ma visite de ce matin, l’espace était loin de fonctionner à pleine capacité. Il n’y a là rien d’anormal, puisque l’ouverture officielle de WeWork Montréal est prévue pour le 1er avril.

     

    Valorisé à 10 milliards de dollars US, WeWork se démarque toutefois de ses concurrents locaux grâce à son réseau international d’une cinquantaine d’espaces, qui abritent des locataires comme Snapchat, Instacart et General Assembly aux États-Unis.

     

    Le mastodonte new-yorkais des espaces de coworking compte ainsi 45 000 membres à l’échelle du monde, que les locataires de chacun de ses espaces peuvent contacter grâce à son application mobile. Aux travailleurs mobiles, WeWork offre aussi l’avantage d’être en mesure de réserver une salle de réunion ou d’aller travailler dans les aires communes des autres espaces du réseau, notamment implanté à New York, San Francisco, Berlin, Londres et Tel-Aviv.

     

     

    Surcapacité?

     

     

    L’arrivée de WeWork à Montréal ne fera pas que des heureux. Même si la demande pour les espaces de coworking est à la hausse, mes sources m’indiquent qu’il est difficile de rentabiliser de tels espaces à Montréal.

     

    L’arrivée des 60 000 pieds carrés de WeWork Montréal dans un marché difficile coïncide notamment avec l’ouverture de Crew Collectif & Café dans l’ancien siège social de la Banque Royale au centre-ville et de Fabrik 8, un espace de coworking de 32 000 pieds carrés situé dans le Mile-Ex.

     

    Bref, le créneau des espaces de coworking à Montréal est appelé à devenir ultra-compétitif en 2016. On peut donc s'attendre à ce que les espaces de coworking les plus fragiles soient affectés. « C’est un marché très volatil avec des hauts et des bas; il y a beaucoup de roulement de locataires», relève Sylvain Boissé, co-fondateur d’Espace Nexus, un espace de coworking situé sur le Plateau-Mont-Royal. Ce dernier ne s’inquiète toutefois pas de la concurrence de WeWork dont les prix ne se comparent pas à ceux d’Espace Nexus, qui serait rentable.

     

    https://www.lesaffaires.com/blogues/julien-brault/le-mastodonte-americain-wework-occupera-deux-etages-de-la-place-ville-marie/585794

  10.  

    Envoyé par acpnc:

     

    [...]

     

    Nous n'avons donc pas le choix que de mobiliser le tout Montréal ainsi que les gouvernements provincial et fédéral, pour faire toutes les pressions nécessaires, afin d'éviter une deuxième saignée économique injustifiable, à un quartier qu'on a déjà beaucoup trop malmené dans le passé. Si M. Lacroix n'a pas les compétences pour prendre les bonnes décisions, qu'il laisse alors la place à un successeur qui saura relever cet important défi.

     

    Car ici l'enjeu n'est pas seulement d'assurer un lieu de diffusion adéquat pour la société publique. Mais aussi de garantir que dans le processus, on ne créera pas un cimetière d'emplois, un trou noir urbain et une coupe à blanc économique, tout cela à contre-courant du développement durable.

     

    Faut pas exagérer non plus; on ne fait que déplacer les emplois à quelques mètres de là... Je doute fort bien que ça l'affecte les résidents du quartier (qui sont les principaux consomateurs du quartier) tant que ça.

     

    Ça va laisser la place plus tard pour peut-être quelque chose de mieux! Il faut arrêter la stagnation à un moment donné et faire place au dynamisme, à l'acceptation du changement et à l'évolution...

  11. Je vais etre honnete, La tour des Canadiens et le Roccabella n'ont rien contribué a l'uniformité architecturale de ce secteur. J'ai appris, avec cela, qu'une zone dense ne rendra pas necessairement la place plus uniforme et jolie. C'est une leçon que les architecte devrait retenir selon moi. Plus elaborément sur ce que je veux dire, prochaine fois, les architectes devraient penser, a la place de faire 5 grandes edifices l'un entassé sur lautre, de créer un espace qui est conviviable pour les humains tel que des espaces verts ou un espace inspiré de la place ville marie, c'est meilleur d'entamer cela dans certains zones du centre-villes, ça rend un rendement meilleur, il faut juste les trouvés.De meme, je pari que la ville n'ont aucune vision sur le futur paysage du centre-ville .Mais enfin, en ce moment je dois dire que le skyline du downtown n'est pas très ''woah'' vue de l'ouest.

     

    Les humains qui veulent des espaces verts peuvent s'établir en banlieue. Une grande ville comme Montréal, et encore plus son centre-ville, se doivent de prioriser la densité. Il faut aussi penser que dans 20-30 ans, il y aura sûrement un boom économique, et un retour important de bureaux au centre-ville. Si on construit des parcs et des immeubles éloignés les uns des autres, on risque fort bien de se retrouver avec un manque de place pour héberger tout ce beau monde dans l'avenir.

  12. La CSN s'oppose à la vente des bâtiments de Radio-Canada. Un des endroit possible où Radio-Canada pourrait déménager est la future tour du Quartier des spectacles. Un des promoteur de ce projet: le Fonds immobilier de solidarité FTQ...

     

    Coïncidence?

     

    Sûrement pas. Comme les syndicats sont des corporations à but lucratif, il serait insensé pour la CSN de voir leur rival faire un tel gain.

  13. Il est temps de flusher les syndicats du Québec. Ils nous empêchent d'évoluer et de nous moderniser (Uber, SRC...). Il y a un manque flagrant de dynamisme au Québec. C'est certain que ça va être difficile: c'est comme raisonner les état-uniens en leurs disant de se départir de leurs armes pour être plus en sécurité. Ici, on est dans une économie sous respirateur artificiel dû aux syndicats. L'arrivée de nouvelles entreprises ferait en sorte que l'offre salariale s'ajusterait à la demande. Aussi simple que ça!

  14. construction de deux tours distinctes partageant un basilaire commun à vocation

    commerciale;

    Tour De la Montagne (phase 1) : 25 étages (78,9 m) / 180 logements locatifs;

    Tour Lucien-L’Allier (phase 2) : 41 étages (128,1 m) / 418 logements en

    copropriété;

     

    http://ville.montreal.qc.ca/documents/Adi_Public/CA_Vma/CA_Vma_ODJ_LP_ORDI_2016-02-09_19h00_FR.pdf

     

    Donc on oublie l'hôtel... Et je suis un peu déçu de voir un édifice de seulement 78,9 mètres à côté de tours de 170 mètres et plus... Faut croire que leur fantasme de recréer un massif parfait de gratte ciel est sur le point de se concrétiser!

  15. http://www.tvanouvelles.ca/2016/02/04/shopify-veut-engager-150-personnes-a-montreal

     

    Shopify, qui produit la plateforme logicielle commerciale du même nom, envisage d’engager près de 150 développeurs de logiciels, concepteurs, ingénieurs des données et gestionnaires de produits à Montréal au cours des prochains mois.

     

    Les commerçants peuvent utiliser le logiciel pour concevoir, installer et gérer leur boutique à travers de multiples canaux de vente : Internet, réseaux mobiles, médias sociaux, emplacements physiques et magasins éphémères, etc. Shopify sert actuellement plus de 200 000 entreprises dans quelque 150 pays.

     

    Le premier bureau de Shopify a ouvert ses portes à Montréal en août 2013. Ce bureau héberge le canal de la boutique en ligne ainsi que les services de création de commande et paiement.

     

    «Nous opérons une plateforme de commerce qui est utilisé par plus de 150 millions de personnes par mois, il est donc essentiel que nous trouvons des gens qui ont de l'expérience de travailler dans un environnement au rythme rapide et sont passionnés par le commerce», a commenté jeudi Jean-Michel Lemieux, vice-président sénior de l'ingénierie.

     

    L’entreprise est à la recherche de spécialistes en ingénierie, conception, gestion de produits et ingénierie des produits, entre autres.

     

    Jean-Michel Lemieux dit privilégier Montréal pour la proximité de quatre universités et pour le bassin de travailleurs qualifiés.

     

    Au cours de la dernière année, Shopify a presque doublé de taille, à plus de 1 000 employés à Montréal et en Ontario.

     

    L’entreprise est entrée en Bourse (SH : TSX) en mai dernier.

     

    Shopify organisera sa première journée «portes ouvertes» pour le recrutement à Montréal le 18 février 2016.

  16. Les promoteurs ont sûrement des clients potentiels pour le 600 peel, et veulent se garder une marge de manoeuvre pour que ces tours à bureau soient plus hautes que 23 étages. Parce que vu les échelles de densité permises, si ils auraient augmenté la tdc2, le 600 peel n'aurait pas pu être augmenté...

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