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Mokita

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Messages posté(e)s par Mokita

  1. Jenny Holzer : For Leonard Cohen
    7 au 11 novembre 2017

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    Dans le cadre de l’exposition, le MAC illuminera le Silo no 5.  For Leonard Cohen (Pour Leonard Cohen) est une série de gigantesques projections silencieuses sur l’une des structures les plus emblématiques de Montréal. L’installation présente des phrases tirées des poèmes et des chansons de Cohen, projetées en français et en anglais. Cette oeuvre unique et éphémère sera visible à partir du 7 novembre, date du premier anniversaire du décès de l’artiste, et ce jusqu’au 11 novembre. Pour cinq soirs seulement.

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  2. il y a une heure, deeworks a dit :

    Whoua!!! Très beau travail de la part de Provencher Roy, l'intérieur va être superbe, un bel aménagement avec des matériaux et des meubles de qualités.

     

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    Très beau effectivement. L'exposition des poutres me fait penser à la Tower Verre de Jean Nouvel a NYC.nouvel-533.jpg

    Très beau effectivement. L'exposition des poutres me fait penser à la Tower Verre de Jean Nouvel a NYC.nouvel-533.jpg

  3. Le Devoir 21 juillet 2017 |Marco Fortier | Montréal

    Citation

    Un Théâtre de Verdure «romantique» pour le parc Lafontaine

     

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    Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Les plans proposés ont été dessinés par l’architecte Paul Laurendeau, qui a conçu le fameux amphithéâtre en plein air de Trois-Rivières.

    L’arrondissement du Plateau-Mont-Royal a proposé un plan pour remplacer le vieux Théâtre de Verdure, véritable institution du parc La Fontaine fermée depuis trois ans à cause de la décrépitude des lieux : il s’agit d’un nouveau bâtiment plus bas, décrit comme mieux intégré au paysage en bordure de l’étang nord.

    Ce projet, dont l’esquisse a été obtenue par Le Devoir, permettrait de relancer les spectacles dans ce lieu en plein air qui faisait salle comble depuis sa fondation, en 1956. La Ville de Montréal a dû fermer le théâtre en 2014 à cause de l’état lamentable du bâtiment. Le théâtre, qui peut accueillir 3000 spectateurs, a besoin de rénovations estimées à 1,6 million.

    Le Théâtre de Verdure est une institution parce qu’il offrait depuis plus d’un demi-siècle des spectacles de qualité — et gratuits — à des gens qui n’auraient pas nécessairement les moyens de payer pour voir ces concerts, ces films ou ces représentations de danse en plein air.

    La Ville a proposé de reconstruire le bâtiment en 2013, mais le projet a été rejeté deux fois par le Conseil du patrimoine, qui jugeait les plans mal ancrés dans le paysage et l’histoire du parc La Fontaine.

    La direction de la culture de la Ville prépare une nouvelle version du Théâtre de Verdure, indique-t-on à l’Hôtel de Ville. Ce projet fera partie du plan directeur du parc La Fontaine, qui est aussi en préparation après une vaste consultation tenue au cours des derniers mois.

    Selon nos sources, une version préliminaire du plan directeur pour l’ensemble du parc a été soumise récemment au Conseil du patrimoine, pour consultation informelle.

    Tout le monde est conscient qu’il ne faut pas rater notre coup cette fois
    Luc Ferrandez, maire de Plateau-Mont-Royal

     

    Un lieu romantique

    Le maire du Plateau-Mont-Royal, Luc Ferrandez, avait aussi rejeté les plans de la ville-centre pour le nouveau Théâtre de Verdure : « Trop lourd, trop gros, trop massif », dit-il. Il insiste pour que le bâtiment respecte l’esprit champêtre, naturel et même romantique du parc.

    C’est pour cette raison qu’il a commandé des plans à l’architecte Paul Laurendeau, qui a conçu le fameux amphithéâtre en plein air de Trois-Rivières. Luc Ferrandez dit avoir bon espoir que la prochaine version du bâtiment proposée par la Ville répondra aux critères du Conseil du patrimoine et aux attentes de son arrondissement.

    Fait rare, il dit être satisfait du travail du maire Denis Coderre dans ce dossier. Il estime que le maire et lui, généralement à couteaux tirés, sont sur la même longueur d’onde à ce sujet. « Tout le monde est conscient qu’il ne faut pas rater notre coup cette fois », dit-il.

    L’esquisse commandée par le Plateau-Mont-Royal a l’avantage de s’intégrer au paysage, estime Luc Ferrandez.

    Le plan prévoit un mur amovible, au fond de la scène, pour laisser voir l’étang du parc lorsqu’il n’y a pas de spectacle. Pour rendre possible cette version basse à toit plat, l’architecte Paul Laurendeau a prévu de placer les loges des artistes et les autres locaux de production au sous-sol du bâtiment.

    « Présentement, le Théâtre de Verdure n’est utilisé que deux mois par année et n’est accessible au public que durant les soirées de représentations. Des clôtures restreignent l’accès durant les dix autres mois. Cette situation doit être repensée pour en faire un lieu intégré à la vie du parc. Le Théâtre de Verdure doit être un lieu accessible et accueillant autant durant les deux mois de spectacles que durant les dix autres mois », indique le plan soumis par la firme Atelier Paul Laurendeau.

    Cure de rajeunissement

    Des sources à l’Hôtel de Ville s’attendent à ce que le plan directeur du parc La Fontaine soit annoncé en grande pompe au cours des prochaines semaines, juste à temps pour les élections municipales de cet automne.

    Le maire du Plateau rappelle que la vaste consultation menée par la Ville a donné lieu à un consensus en faveur du respect du caractère naturel de ce grand parc, un des premiers créés à Montréal à la fin du XIXe siècle.

    « C’est un grand parc romantique comparable au parc Montsouris de Paris, créé à la même époque. Il faut respecter l’esprit des lieux et y mettre les moyens financiers. On ne doit pas se contenter de faire du “patchage” », dit Luc Ferrandez.

    La fontaine a besoin d’une bonne cure de jouvence. Il faut assainir les étangs, qui restent envahis par le myriophylle à épi, une plante envahissante. Luc Ferrandez souhaite aussi que l’accès au parc soit rendu plus sûr du côté des rues Sherbrooke, Rachel et Papineau.

     

    • Like 1
  4. Il y a 7 heures, Né entre les rapides a dit :

    J'adore cette formulation, qui ouvre la voie à toutes sortes de réponses; voici la mienne.

    ==Peut-être, ou pas, mais dans l'esprit du promoteur du nouveau projet, ce qui importe, ce sont les perspectives de réussite de son projet.  Naturellement, on s'attend à ce que «le» (au sens générique) promoteur, examine l'état du marché (saturation ou pénurie du côté de l'offre?, projets de la concurrence? croissance, stagnation ou déclin du côté de la demande?).  Ainsi, le promoteur qui décide d'investir dans un nouveau projet (toujours dans le même périmètre concurrentiel, sans quoi la discussion n'a pas de sens) le fait parce qu'il y voit des opportunités et qu'il dispose d'avantages comparatifs pour en profiter.  Ce peut être la propriété ou le contrôle du meilleur site, ou de moyens financiers supérieurs, ou de tout autre facteur pertinent.  

    D'autres promoteurs peuvent être dans une situation comparable, et faire un diagnostic similaire.  Résultats: d'autres projets seront aussi mis en marche.  Il se peut alors que le cumul des nouveaux investissements et de l'offre antérieure dépasse la demande (mais il faut examiner l'équilibre d'une façon dynamique, pas au jour le jour).  Eventuellement, si l'excès d'offre persiste, la pression négative sur les prix (ici exprimés en termes de loyers) provoque des pertes d'opération, inégalement.

    Qu'est-ce qu'on fait alors?  On ferme, ou on continue à subir des pertes en attendant des jours meilleurs?  --Ça dépend de la solidité financière des uns et des autres, ainsi que des alternatives qui se présentent (par exemple conversions en condos, bureaux, etc).  Mais rien ne dit que ce seront les derniers venus (ceux qui ont fait les plus récents investissements conduisant le marché en situation d'excès d'offre) qui devront «reculer».  La concurrence est une lutte perpétuelle.

    Si au contraire on avait une situation  comportant un propriétaire  unique (dans le périmètre en question), les décisions d'investissements tiendraient pleinement compte de l'effet de nouveaux investissements sur l'état du marché.  On voudrait éviter les excès d'offre (et les baisses de prix (loyers) qui s'ensuivraient).  Ça serait moins dynamique.  Ça s'appelle un monopole.

     

    Haha ? Tu va aimer les party de l'AEISEC ! 

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