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yulymx

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  1. Ca aurait été une bonne idée pour MTL.Peut être pas trop tard?

     

     

    Jeux vidéo: "Paris veut se doter d'un salon international".

    Julien Chièze, co-fondateur et rédacteur en chef de gameblog.fr (3ème site français d'informations sur les jeux vidéo), raconte comment la France a fini par se doter d'un salon de jeux vidéo digne de ce nom.

     

    La Paris Games Week ouvre ce mercredi 30 octobre. Quelle a été sa génèse?

     

    L’histoire des salons de jeux vidéo français a été chaotique. Il y a d’abord eu à partir de 2006 le Festival du jeu vidéo, mais qui est mort de facto quand les éditeurs de jeux vidéo ont décidé en 2010 de le quitter pour créer la Paris Games Week.

     

    Précisément, la Paris Games Week a été créée par le Sell (Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs). Les premières éditions étaient très centrées sur les jeux de Sony -dont le président dirigeait le Sell-, mais les suivantes sont devenues moins PlayStation-centric.

     

    Aujourd’hui, la Paris Games Week s’est installée. Elle revendique 212.000 visiteurs pour sa troisième édition l’an dernier. Elle devrait faire encore mieux cette année. En effet, ses dates ont été calées sur les vacances de la Toussaint. Et les organisateurs promettent plus d’espace, ce qui devrait diminuer le temps d’attente constaté l’an dernier, où il fallait attendre parfois jusqu’à une heure pour tester les jeux les plus demandés.

     

    Surtout, ce sera la première fois en France que le grand public pourra avoir en main les consoles de nouvelle génération, un mois avant leur sortie. Même si seul un volume limité de ces nouvelles consoles sera disponible pour Noel, et que les éditeurs de jeux savent bien qu’ils feront l’essentiel de leurs ventes de fin d’année avec les consoles existantes...

     

    La Paris Games Week veut-elle se hisser au niveau des grands salons étrangers?

     

    Oui. L’objectif de la Paris Games Week est de créer un évènement international, comparable à la Gamescom qui se tient en août à Cologne, et dont la dernière édition a attiré 320.000 personnes.

     

    Mais aujourd'hui, la Paris Games Week reste essentiellement un salon commercial, destiné à faire acheter les jeux de Noël. Il lui manque des conférences ou des master class, où les grands créateurs de jeux vidéo mondiaux viendrait expliquer leur travail.

     

    Un des principaux exposants est Ubisoft, qui se lance parallèlement dans la co-production de films. Que pensez-vous de cette diversification?

     

    Ubisoft vise ainsi à devenir une sorte de Disney. A en croire certains producteurs hollywoodiens, les personnages de jeux vidéo vont prendre la place aujourd’hui occupée par les héros de bande dessinée. Ce serait assez logique, car le filon des comics commence à s’épuiser. Tandis que celui des jeux vidéo a été assez peu exploité, et a trop souvent donné lieu à des films assez médiocres artistiquement. Même si certains ont été de grands succès commerciaux, comme la série des Résident Evil.

     

    Surtout, Hollywood a fini par comprendre que pour réussi l’adaptation d’un jeu, il faut mettre les moyens et inventer un scénario original, au lieu de porter à l’écran celui du jeu.

     

    http://www.bfmtv.com/economie/jeux-video-paris-veut-se-doter-dun-salon-international-634272.html

  2. Montréal, 22 octobre 2013 – Le prestigieux Intelligent Community Forum (ICF) vient de reconnaître la grande région métropolitaine de Montréal parmi les 21 métropoles intelligentes de l’année (Smart 21). L’annonce a été faite à North Canton, Ohio, lors du dévoilement des demi-finalistes du concours Intelligent Community of the Year, édition 2014. La candidature du Grand Montréal a été déposée par TechnoMontréal, la grappe des technologies de l’information et des communications du Grand Montréal, en partenariat avec Montréal International, la Ville de Montréal, la Conférence régionale des élus (CRÉ) de Montréal, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et le Conseil des arts de Montréal.

     

     

     

    Depuis 1999, le concours Intelligent Community of the Year reconnaît annuellement les communautés (villes ou territoires) qui s’illustrent dans le développement des villes intelligentes. Les critères d’évaluation sont composés de cinq thèmes récurrents (réseaux haut débit, innovation, économie du savoir, fracture numérique et promotion) et d’un thème annuel, soit « la culture » en 2014. Le Grand Montréal s’est distingué par la qualité et la quantité de ses projets de développement du numérique, et par la place prépondérante occupée par la culture au sein de la cité.

     

     

     

    «L’avancement et le potentiel du Grand Montréal à titre de métropole intelligente sont méconnus du grand public. La métropole compte déjà une vingtaine d’initiatives “smart” indépendantes, et plusieurs chantiers majeurs sont en branle. Depuis 2011, TechnoMontréal regroupe ces initiatives et coordonne des projets structurants au sein d’une vision de développement intitulée Montréal métropole numérique, qui vise à hisser la région métropolitaine au rang des grandes “Smart Cities”. En marge de ce projet fédérateur, nos partenaires ont mis en œuvre des projets qui, ensemble, créent un tout plus grand que la somme des parties. Si ce travail de longue haleine est aujourd’hui reconnu par la plus haute instance internationale en la matière, c’est grâce à tous les joueurs qui ont cru aux retombées positives d’une vision numérique pour la métropole», a déclaré Lidia Divry, directrice générale de TechnoMontréal.

     

     

     

    En plus de ses atouts en matière de numérique, la candidature du Grand Montréal s’est distinguée au chapitre de la thématique annuelle culturelle. «La créativité est une composante phare de la culture montréalaise. La métropole est déjà reconnue pour le foisonnement et la qualité de ses productions artistiques et depuis quelques années elle se démarque de plus en plus au plan international dans plusieurs créneaux du numérique, que ce soit dans l’industrie des jeux vidéo, de la production de logiciels, des applications citoyennes ou des arts numériques. D’ailleurs, les acteurs du milieu se mobilisent actuellement pour offrir en 2014 un Printemps numérique qui sera un événement mémorable», a déclaré Marie-Claire Dumas, directrice générale de la CRÉ de Montréal.

     

     

     

    Le Grand Montréal est reconnu comme une ville du savoir qui s’appuie sur un riche écosystème d’établissements d’enseignement supérieur et d’entreprises visionnaires. «Il s’agit d’une importante distinction qui vient souligner l’expertise de nos entreprises du secteur des technologies de l’information et des communications. Cette reconnaissance confirme, si besoin était, que la métropole figure effectivement parmi les régions métropolitaines les plus avancées dans l’application de nouvelles technologies. Il importe maintenant de maximiser les retombées de cette annonce afin d’attirer de nouveaux investissements dans ce secteur clé de notre base économique», a ajouté Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.

     

     

     

    Cette distinction accordée par l’ICF est le premier jalon d’un processus de 10 mois, qui mènera au choix des sept villes les plus avancées en janvier 2014 (Top 7), et ultimement à la nomination du grand gagnant en juin 2014.

     

     

     

    À propos de l’Intelligent Community Forum (ICF)

     

    L’Intelligent Community Forum (ICF) est un organisme de recherche à but non lucratif situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Le groupe de réflexion indépendant est voué à la création d'emplois et au développement de l'économie du numérique. L’ICF, centre essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, identifie et partage les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes.

     

     

     

    Le concours Intelligent Community of the Year

     

    Depuis 1999, le concours Intelligent Community of the Year reconnaît annuellement les communautés (villes ou territoires) qui s’illustrent dans le développement des villes intelligentes. L’objectif du concours est de souligner le travail et les succès des communautés qui orientent leur développement vers l’économie numérique, et de nourrir en données les recherches de l’ICF. Les critères d’évaluation sont composés de cinq thèmes récurrents :

     

    L’infrastructure haut débit (broadband)

    L’innovation

    L’économie du savoir (knowlegde workforce)

    La fracture digitale (digital inclusion)

    La promotion (marketing and advocacy)

     

     

     

    En plus de ces cinq critères, un thème annuel guide la sélection des finalistes. Le thème retenu pour 2014 est la culture, en son sens élargi (art, patrimoine et mentalité).

     

     

     

    Le concours Intelligent Community of the Year s’échelonne sur un processus de 10 mois. Au premier jalon, Smart 21, l’ICF sélectionne les 21 communautés intelligentes demi-finalistes, dont les noms ont été annoncés le 21 octobre. S’en suit la soumission d’un second dossier de candidature, sur la base duquel on choisira les sept finalistes (Top 7, en janvier 2014). Les finalistes se soumettent finalement à un audit, piloté par un groupe indépendant, qui permettra de nommer, à l’occasion du sommet annuel de l’ICF en juin, l’Intelligent Community of the Year.

     

     

     

    Lauréats du prix Intelligent Community of the Year 1999-2013

     

     

    2013 – Taichung, Taïwan

     

    2012 – Riverside, Californie, États-Unis

     

    2011 – Eindhoven, Pays-Bas

     

    2010 – Suwon, Corée du Sud

     

    2009 – Stockholm, Suède

     

    2008 – Gangnam-Gu, Corée du Sud

     

    2007 – Waterloo, Ontario, Canada

     

    2006 – Taipei, Taïwan

     

    2005 – Mitaka, Japon

     

    2004 – Glasgow, Écosse, Royaume-Uni

     

    2002 – Calgary, Canada et Séoul, Corée du Sud

     

    2001 – New York, État de New York, États-Unis

     

    2000 – LaGrange, Géorgie, États-Unis

     

    1999 – Singapour

     

     

    Qu’est-ce qu’une ville intelligente (ou Smart City)?

     

    Depuis 2007, une personne sur deux dans le monde vit en ville. Les métropoles consomment 75 % de l’énergie de la planète et produisent 80 % des CO2. Cette tendance s’accentue de jour en jour : on compte un million d'habitants de plus chaque semaine dans les villes du globe. D’ici 2050, plus de 70 % de la population mondiale vivra dans les métropoles, générant 60 % de la croissance du PIB.

     

     

     

    L'urbanisation mondiale connaît aujourd’hui une croissance sans précédent, qui a un impact sur la gestion des villes et transforme les services aux citoyens liés notamment aux transports, aux soins de santé, à l’éducation, à la gestion des ressources et à l’administration.

     

     

     

    Devant ces défis, des centaines de grandes villes dans le monde emboîtent le pas dans le développement des villes intelligentes. Les villes intelligentes (ou Smart Cities, smart grids, etc.) utilisent la technologie pour optimiser les services aux citoyens. Il existe des centaines d’exemples concrets :

     

     

     

    À Singapour, un système peut prédire la vitesse du trafic avec près de 90 % de précision;

    Un système de gestion intelligent du trafic à Londres a ramené le volume de circulation au niveau des années 1980;

    Les systèmes de gestion énergétique à Dublin, en Irlande, sont composés d’une infrastructure de capteurs pour obtenir des données en temps réel sur le transport et l’énergie;

    Barcelone en Espagne a libéré 500 séries de données publiques, générant le développement d’applications qui permettent aux citoyens de contribuer directement à la vie démocratique;

    Stockholm en Suède a installé un million de mètres de fibre permettant le développement d’une multitude de services publics tels que la téléassistance et les téléservices à la personne.

     

     

     

    Tous ces grands projets mettent à profit les TIC pour faciliter le quotidien des citoyens, appuyer le développement économique, réduire les impacts environnementaux et optimiser les services collectifs.

     

     

    http://www.montrealinternational.com/le-grand-montreal-nomme-parmi-les-21-metropoles-intelligentes-de-lannee/

  3. Ubisoft reporte « Watch Dogs » et « The Crew », deux jeux phares

     

     

    Le chiffre d’affaires de l’exercice en cours sera inférieur de 30 % aux prévisions, soit 400 millions d’euros de manque à gagner. L’éditeur basculera dans le rouge.

     

    Une véritable douche froide. L’éditeur français de jeux vidéo a annoncé mardi soir le report de près de six mois de la sortie de son jeu le plus attendu de la fin de l’année, « Watch Dogs ». Un autre jeu a été décalé, à l’été cette fois : « The Crew », dont la sortie était initialement prévue au printemps prochain. Compte tenu du poids attendu de ces deux jeux dans son compte de résultats, le chiffre d’affaires de l’éditeur pour l’exercice clos en mars 2014 sera inférieur de 30 % à ses prévisions initiales . Il s’établira dans une fourchette comprise entre 995 millions et 1,045 milliard d’euros, contre 1,420 à 1,450 milliard initialement prévu. Conséquence directe de ce manque à gagner de 400 millions d’euros, Ubisoft basculera dans le rouge. En Bourse, la pilule promet d’être dure à avaler mercredi .

     

    Prévu pour sortir en même temps que les consoles de nouvelle génération, la Xbox One de Microsoft et la PlayStation4 de Sony , « Watch Dogs » n’était tout simplement pas prêt. « Le jeu est déjà très bien, mais il peut devenir vraiment excellent. Cela demande quelques mois de plus », déclare aux « Echos » Yves Guillemot, le PDG d’Ubisoft. La décision a été prise en fin de semaine dernière, un peu plus d’un mois seulement avant la sortie prévue. Une décision tardive qui ne manquera pas d’entretenir les craintes sur la capacité de l’éditeur à respecter son calendrier pour des jeux annoncés de longue date. Watch Dogs était en développement depuis près de quatre ans et a été présenté en grande pompe au cours de salons professionnels, comme l’E3 de Los Angeles, pour susciter le désir des joueurs et de l’ensemble de la communauté du « gaming ».

    Protéger sa crédibilité

     

    Vu les enjeux industriels liés au lancement des consoles de nouvelle génération, qui trôneront dans les salons des joueurs pendant les dix prochaines années, le premier éditeur français de jeux vidéo a préféré faire de l’exercice en cours une année blanche. Plutôt essuyer les foudres de la Bourse que la colère des joueurs en sortant un jeu d’une qualité inférieure aux attentes. Pas question pour Ubisoft de prendre le risque de tuer une nouvelle licence prometteuse, compte tenu du pouvoir de prescription (ou de nuisance) des premiers joueurs et des sites Internet spécialisés dans les notation de jeux. L’éditeur joue sa crédibilité auprès des joueurs, et donc son chiffre d’affaires à long terme.

     

    Doté d’un budget de développement compris entre 60 et 70 millions d’euros et développé par 600 salariés, principalement basés à Montréal, Watch Dogs est destiné à devenir l’une des principales licences d’Ubisoft, aux côtés d’Assassin’s Creed ou de Far Cry. La durée de vie de la licence étant particulièrement longue - pour mémoire, sorti en 2007, Assassin’s Creed a été développé à partir de 2004 et le quatrième épisode sortira à la fin de l’année, Ubisoft espérant en vendre au moins 10 millions d’exemplaires - il n’était pas question pour le groupe basé à Montreuil de rater ce lancement. « Notre objectif est d’être les meilleurs sur les consoles de nouvelle génération, de prendre beaucoup de parts de marché. Avec les marques que l’on a, comme Assassin’s Creed ou Watch Dogs, nous pouvons bien nous installer sur ces consoles. Donc nous prenons le temps qu’il faut pour sortir un jeu exceptionnel. C’est une décision qui nous coûte cette année, mais qui va nous permettre, dans les années qui viennent, d’avoir une bonne stabilité et une bonne croissance que nous n’aurons pas cette année, même si le choc sera important », ajoute Yves Guillemot.

     

    Parallèlement à cette mauvaise nouvelle, Ubisoft a tenu rassurer : le groupe prévoit un résultat opérationnel de 150 millions pour son exercice clos en mars 2015, et de 200 millions l’année suivante, des niveaux qu’il n’a jamais atteints. Reste à savoir si les investisseurs lui garderont leur confiance après une telle mésaventure.

     

    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/medias/actu/0203068638820-ubisoft-reporte-watch-dogs-et-the-crew-deux-jeux-phares-617770.php

     

    Plus d'infos plus tard

  4. Ton Paris contre mon Montréal

     

    Montréal brille au Top 10 des lieux d'échanges de maison.

     

    Non, non, tout ne va pas si mal pour Montréal. À preuve, la métropole s'est hissée cet été au Top 10 du site d'échanges de maison, HomeExchange.com, mieux connu en français sous le nom de TrocMaison.com. Pour la première fois depuis la création du site international d'échange de maisons HomeExchange en 1992, Montréal joue du coude avec rien de moins que Paris (1ère place), Londres (2e), New York (3e), suivis de Rome, Barcelone, Milan, Madrid, Copenhague, Amsterdam et...Montréal (10e).

     

    La preuve que malgré l'avalanche de manchettes sur la corruption municipale, les nids-de-poule ou les ratés du métro qui font hurler les Montréalais, leur ville dispose encore et toujours d'un important capital de séduction. Elle séduit du moins ceux qui cherchent des modes de tourisme alternatifs.

     

    «Cela fait déjà plusieurs années que le Canada se trouve dans le Top 5 des destinations les plus courues sur notre site, mais c'est la première fois que Montréal fait son entrée dans le palmarès des villes les plus recherchées», soutient Paul Charoy, responsable des relations de presse pour TrocMaison.com.

     

    L'abondance de l'offre de maisons et de condos offerts aux échanges dans la métropole — près de 400! — explique en partie la popularité de Montréal parmi les grandes capitales du monde, ainsi que l'intérêt démontré envers le Québec en général (près de 1000 offres). Mais pas seulement.

     

    Avec autant de propositions disponibles, ni Berlin (300 et plus) ni San Francisco (500 et plus) — villes qu'on ne peut certainement pas considérer comme dénuées d'intérêt — ne se hissent pas dans le Top 10 des villes convoitées par ceux qui troquent leur maison.

     

    Pourquoi cet engouement pour Montréal? Outre la présence d'une offre généreuse, difficile de dire exactement pourquoi, selon Trocmaison.com. Le site d'échanges ne dispose pas de statistiques qualitatives sur les raisons des choix faits par ses membres. Tout ce qu'on sait, c'est que la concurrence est forte dans ce marché alternatif du voyage puisque le site, qui compte 47 000 abonnés, affiche chaque année quelque 46 000 offres et permet la concrétisation annuelle de 300 000 échanges dans 154 pays.

     

    Le pouvoir d'attraction dont jouit Montréal dans ce créneau n'est pas sans intérêt, puisque selon Trocmaison.com, chaque échange se traduit par l'injection de 2100 $ par participant dans l'économie locale. «Montréal est devenue une attraction non seulement l'été, mais tout au cours de l'année, ce qui offre à plusieurs de nos membres la possibilité de faire des échanges décalés dans le temps. Récemment, un de nos membres a même réussi à troquer une maison bien ordinaire à Terrebonne, contre une maison et un bateau en Polynésie», ajoute le porte-parole de TrocMaison.com

     

    Depuis l'apparition du site Airbnb.com, site de location de chambres ou de maisons de gré à gré chez des particuliers qui fait grincer des dents l'industrie hôtelière, l'intérêt pour l'échange de maison ne se dément pas. Selon M. Charoy, l'arrivée d'Airbnb.com a au contraire gonflé l'intérêt du public pour toutes ces nouvelles façon de découvrir le monde «autrement».

     

    «Ce qui attire les gens dans les échanges de maison ou des sites comme Airbnb.com, c'est aussi le contact, l'expérience humaine et ces deux formules le permettent», dit-il.

     

    En plus de la popularité de Montréal, l'échange de maisons est portée par un vent encore plus fort. Celui de la consommation participative. En marge de la consommation traditionnelle, axée sur la transaction d'un bien par un individu, la consommation participative repose sur le partage de produits ou de services par plusieurs personnes plutôt qu'une seule. On peut citer en exemple, les services de vélos en libre service, d'autos en libre service et de taxis collectifs, qui ont de plus en plus la cote.

     

    À ce jeu, Montréal ne jouit-elle pas déjà d'une longueur d'avance?

     

    Pourquoi ne pas troquer votre condo dans Homa ou Ahuntsic, abonnement à Communauto et carte Bixi inclus, contre un pittoresque appartement à Amsterdam?

     

     

    http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/389492/ton-paris-contre-mon-montreal

  5. L'une des institutions financières les plus puissantes d'Asie, la Banque de Chine, ouvre une succursale d'affaires à Montréal.

     

    Son premier objectif: s'introduire comme intermédiaire financier de premier plan dans le marché croissant des affaires, du commerce et des investissements entre des entreprises d'ici et de Chine.

     

    Quant au marché des particuliers, dont l'importante communauté d'origine chinoise dans la région de Montréal, le directeur de la nouvelle succursale de la Banque de Chine prévoit attendre «d'ici deux ans» avant de chercher à s'y implanter.

     

    «L'un des objectifs globaux de la Banque de Chine est de faciliter l'usage international de la monnaie chinoise [yuan] comme une devise des échanges commerciaux et financiers dans le monde, a indiqué Guillaume Liu, directeur de la nouvelle succursale de Montréal.

     

    «Pendant ce temps, il y a de plus en plus d'activités d'affaires qui se font entre des entreprises québécoises et chinoises. Il y a aussi davantage d'entreprises québécoises qui s'implantent en Chine. L'inverse s'accroît aussi, dans les secteurs des ressources et des technologies.»

     

    Résidant du Québec depuis une dizaine d'années, M. Liu est diplômé en gestion financière de projets internationaux de l'UQAM et a été consultant à la firme d'analyse Secor. Auparavant, M. Liu dit avoir été conseiller en gestion de projets internationaux auprès d'organismes comme la Banque mondiale.

     

    Pour la Banque de Chine, cette nouvelle succursale de Montréal est en fait sa 10e place d'affaires au Canada. Son ouverture survient aussi au 20e anniversaire de sa présence au Canada, depuis son premier bureau ouvert à Toronto en 1993. Avant Montréal, la Banque de Chine avait ouvert des succursales à Vancouver et Calgary.

     

    Selon Lijun Wang, chef de la direction de la Banque de Chine au Canada, «le choix du Grand Montréal, un centre financier de calibre mondial, fait partie intégrante d'une stratégie de développement qui nous positionne auprès d'un nouveau marché dynamique, et ce, au sein d'une économie stable et diversifiée».

     

    À son 20e anniversaire, la filiale canadienne de la Banque de Chine regroupe quelque 200 employés et cumule environ 1,5 milliard de dollars d'actif.

     

    À première vue, ces chiffres semblent minuscules par rapport à la taille mondiale de la Banque de Chine avec un actif équivalant à 2454 milliards de dollars et des revenus annualisés de l'ordre des 74 milliards.

     

    De très bon augure

     

    Mais pour le milieu d'affaires du Grand Montréal, l'implantation d'une succursale de la Banque de Chine est considérée comme de très bon augure.

     

    «Cette arrivée constitue une excellente nouvelle pour l'essor économique de la région puisqu'elle favorisera l'attraction de nouveaux investissements chinois et permettra aux entreprises québécoises d'accéder plus facilement au marché de la Chine», a déclaré Élie Farah, vice-président chez Montréal International.

     

    «La Chine est l'une des plus importantes sources d'investissements directs étrangers au Canada; il est donc primordial de soutenir l'accroissement des échanges et des investissements entre nos deux pays.»

     

    > Siège social: Pékin, Chine

     

    > Actif: 13 256 milliards de yuans (2454 milliards de dollars canadiens)

     

    > Revenus d'exploitation annualisés: 397 milliards yuans (74 milliards de dollars canadiens)

     

    > Bénéfice net annualisé: 145 milliards yuans (26 milliards de dollars canadiens)

     

    > Valeur boursière (Hong Kong): 993 milliards HKD (127 milliards de dollars canadiens)

     

    AU CANADA:

     

    > Siège administratif: Toronto

     

    > Effectif: 200 employés dans 10 succursales/bureaux

     

    > Actif: environ 1,5 milliard de dollars canadiens

     

    Sources: Bloomberg, Banque de Chine

     

     

    http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201310/09/01-4697960-la-banque-de-chine-sinstalle-a-montreal.php

  6. C'est du 5 au 24 août 2014 que la Coupe du monde U-20 de soccer féminin aura cours dans quatre villes canadiennes, à savoir Edmonton, Toronto, Moncton et… Montréal! En effet, plusieurs matchs, y compris la finale et le match pour la troisième place, seront disputés au Stade olympique dans le cadre de cette rencontre internationale qui, on l'espère, saura créer le même engouement que sa version masculine de 2007. À suivre!

     

     

    http://www.montrealinfo.com/fr/nouvelles/coupe-du-monde-u-20-de-soccer-feminin-au-jeu

  7. Revue de presse internationale:

     

    Nous avons répertorié à ce jour près de 70 articles sur Montréal parus en juillet dans la presse internationale. Consultez la section Revue de presse pour un aperçu des articles.

     

    https://membres.tourisme-montreal.org/pages/mtlMedias.aspx

     

     

    Autres nouvelles de TM:

     

     

    Cinq entrevues radiophoniques ou téléphoniques sur des médias qui ciblent la clientèle LGBT ont été réalisées en juillet par notre collègue Tanya Churchmuch.

     

    Voyages d'agrément

    En juillet, l'équipe des gestionnaires a accueilli 20 voyagistes internationaux dont 9 du Royaume-Uni venus dans le cadre d'une tournée de familiarisation initiée par Tourisme Montréal.

     

    Salons auxquels Tourisme Montréal sera présent :

     

    Catherine Binette participera au Showcase Canada Brésil du 19 au 20 août ainsi qu'au Conozca Canada Mexique du 26 au 28 août.

     

     

    En juillet, l'équipe des gestionnaires a accueilli 45 journalistes, dont 20 des États-Unis, 6 du Canada et 5 de la France.

     

    Salons auxquels Tourisme Montréal sera présent :

     

    Marie-José Pinsonnault sera à Rockford (IL) du 20 au 23 août pour assister au Travel Media Showcase. Rapport à venir.

     

    Catherine Binette participera au salon Go Media, qui aura lieu à Mexico du 26 au 28 août. Rapport à venir.

     

    Nouveaux congrès!

    L'équipe des Ventes a confirmé la tenue des congrès suivants :

     

    - Liberal Party of Canada, 19 au 23 février 2014, 1 300 délégués

     

    - Hockey Canada, 20 décembre 2014 au 4 janvier 2015

     

    - American Chamber of Commerce Exécutives, 9 au 16 août 2015, 700 délégués

     

    - Society for Clinical Trials, 13 au 15 mai 2016, 500 délégués

     

    - Electric Drive Transportation Association, 14 au 24 juin 2016, 3 000 délégués

     

     

    Ginette Provost a participé au salon CESSE du 16 au 19 juillet à Providence, RI.

    Sabrina Pergass et Andrée-Anne Sauvageau, accompagnées de 4 partenaires, ont participé au salon MPI-WEC qui s’est tenu à Las Vegas du 20 au 23 juillet dernier. Rapport de l'événement à venir.

     

    L'équipe des Ventes a effectué en juillet 15 visites d'inspection en compagnie de clients potentiels.

     

    Voici un aperçu des congrès à venir à Montréal :

     

    - Joint Statistical Meetings du 3 au 8 août, 5 500 délégués

     

    - International Paralympic Committee Swimming World Championships 2013, 4 au 20 août, 2 000 délégués

     

    - World Mining Congress & International Association for Automation and Robotic in Construction 2013, 9 au 17 août, 3 000 délégués

     

    - Otakuthon - Festival d'amine 2013, 15 au 19 août, 2 000 délégués

     

    - IPAC Annual Conference, 15 au 22 août, 500 délégués

     

    - International Conference on Pharmacoepidemiology, 22 au 30 août, 1 000 délégués

     

    - Championnat canadien de canoë-kayak de vitesse 2013, 24 août au 1 septembre, 1 200 délégués

     

    Visites d’inspection

    L'équipe des Services aux congrès a accueilli les organisateurs des congrès suivants en visites d'inspection afin de les accompagner dans la planification :

     

    - American College of Veterinary Pathologists (ACVP), du 16 au 20 novembre 2013

     

    - SPIE Astronomical Telescopes and Instrumentation, du 22 au 27 juin 2014

     

    - International Federation for the Surgery of Obesity (IFSO), du 26 au 30 août 2014

     

     

    Rencontre précongrès

    Nos collègues sont allées à la rencontre des participants du congrès American Society of Agricultural and Biological Engineers (ASABE) afin d'encourager la participation des délégués à l'édition montréalaise qui aura lieu du 13 au 16 juillet 2014.

     

    http://www.culturalamontreal.com/63/Aout_2013.htm

     

    https://membres.tourisme-montreal.org/pages/accueil.aspx

  8. La gastronomie montréalaise rayonne dans le Food Arts Magazine!

     

     

    Un dossier de 12 pages sur la gastronomie mettant en vedette Normand Laprise et le Restaurant Toqué! a été publié en juillet dernier dans le magazine spécialisé Food Arts, bien connu des restaurateurs et des professionnels de la gastronomie aux États-Unis.

     

    Jim Poris, éditeur principal du magazine, a été accueilli par notre collègue Catherine Morellon en mars dernier. Il a ensuite mandaté la Montréalaise Lesley Chesterman pour l’écriture de l’article suite à sa visite. Bonne lecture!

     

     

     

    https://membres.tourisme-montreal.org/fichiers/Docs/1-Revue%20de%20presse/Food%20Arts%20Magazine%20-%20Ils%20se%20souviennent%20-%20Toqu%C3%A9!.pdf

     

     

    https://membres.tourisme-montreal.org/fichiers/Docs/1-Revue%20de%20presse/Food%20Arts%20Magazine-%20A%20Distinct%20Society%20.pdf

  9. Le Palais des congrès de Montréal double les retombées économiques générées en atteignant plus de 83 000 000 $.

     

    Nouvelle | 06/08/2013

     

    Le Palais des congrès de Montréal présente, pour le premier trimestre de 2013, des résultats marqués par une progression substantielle de la performance commerciale de l’organisation comparativement au même trimestre en 2012. À cet effet, le Palais a confirmé 105 événements pour les prochaines années, soit une augmentation de 6 % par rapport à 2012-2013. De ce nombre, un total de 18 congrès internationaux (1) et nationaux (2) ont été confirmés, ce qui représente une augmentation de 50 % par rapport à l’année dernière, un nouveau sommet depuis 2011. Ces 18 événements majeurs représentent des retombées économiques estimées à près de 68 millions de dollars grâce à la venue de plus de 36 000 délégués et participants dans la métropole. Notamment conclues grâce à la collaboration de Tourisme Montréal, ces ententes se traduiront par la réservation de plus de 75 000 nuitées dans les hôtels montréalais.

     

    Au chapitre des expositions commerciales, 8 événements majeurs ont réservé plus de 2 millions de pieds carrés, une hausse de 33 % en nombre d’événements et de près de 48 % en superficie par rapport à 2012-2013. Ces expositions qui accueilleront près de 15 000 participants, généreront près de 16 millions de dollars en retombées économiques, ce qui représente une augmentation de plus de 10 % par rapport à l’année précédente.

     

    Globalement, les congrès et les expositions commerciales confirmés lors du premier trimestre génèreront plus de 83 000 000 $, soit une augmentation de 101 % par rapport à la même période l’an dernier.

     

    « Ces résultats impressionnants démontrent clairement que le plan de relance de la performance commerciale fonctionne et que les efforts de développement et de promotion font la différence », explique Marc Tremblay, président-directeur général de la Société du Palais des congrès de Montréal. « Le marché des expositions commerciales qui représente un potentiel important pour les années à venir, a bien performé et l’excellent travail des équipes en place prouve que la Société a pris la bonne décision en misant sur le développement de ce segment dont les retombées économiques et intellectuelles profitent à toute la province » ajoute-t-il.

     

    Au chapitre des événements d’envergure tenus au cours du trimestre, on dénombre un total de 19 congrès et 14 expositions, ce qui représente près de 169 000 délégués et participants. Globalement, les événements tenus ont généré plus de 84 millions de dollars en retombées pour Montréal. Parmi les congrès, The 21st International Congress on Acoustics a été accueilli grâce à l’engagement et au dévouement du Dr Michael R. Stinson, Ambassadeur Exécutif du Palais des congrès de Montréal.

     

    Cumul annuel des ententes confirmées pour les années à venir (du 1er avril 2013 au 30 juin 2013)

     

    Congrès internationaux et nationaux : 18

     

    Nuitées estimées : 74 498

     

    Retombées économiques estimées : 67 566 185 $

     

    Projection annuelle pour les congrès tenus (1er avril 2013 au 30 juin 2013)

     

    Congrès internationaux et nationaux : 40

     

    Nuitées estimées : 178 131

     

    Retombées économiques estimées : 162 922 562 $

     

    À propos du Palais des congrès de Montréal

     

    Le Palais des congrès de Montréal a pour mission de solliciter et d’accueillir des congrès, des expositions, des conférences, des réunions et d'autres événements. Institution publique à vocation commerciale, le Palais des congrès génère d’importantes retombées économiques pour le Québec et contribue fièrement, depuis plus de 30 ans, au partage des connaissances de même qu’au rayonnement international de Montréal à titre de destination de premier plan. Pour plus d’informations sur le Palais des congrès de Montréal, consultez notre site web à congresmtl.com.

     

    À propos de Tourisme Montréal

     

    Tourisme Montréal est l'organisme responsable d'assumer le leadership de l'effort concerté de promotion et d'accueil pour le positionnement de la destination « Montréal » sur les marchés des voyages d'agrément et d'affaires et d'orienter le développement du produit touristique montréalais sur la base de l'évolution constante des marchés. Pour plus de renseignements : tourisme-montreal.org

     

    (1) Incluant congrès américains (2) Incluant congrès québécois

     

     

     

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    - See more at: http://congresmtl.com/2013/08/le-palais-des-congres-de-montreal-double-les-retombees-economiques-generees-en-atteignant-plus-de-83-000-000/#sthash.za5fNM8n.dpuf

  10. Zimmer CAS présente deux technologies chirurgicales de pointe conçues à Montréal.

     

    Zimmer CAS, leader mondial des solutions de chirurgie orthopédique assistée par ordinateur, a inauguré aujourd’hui sa nouvelle unité de production à Montréal. M. Jeff McCaulley, président de la division Reconstruction de Zimmer Holdings et le Dr. Louis-Philippe Amiot, directeur général de Zimmer CAS (anciennement OrthoSoft), ont dévoilé au cours de l’événement deux nouvelles technologies, qui offrent maintenant aux chirurgiens du monde entier un niveau de précision et une simplicité inégalés durant l’installation de prothèses au genou et à l’épaule.

     

     

     

    « Je tiens avant tout à féliciter et à remercier toute notre équipe de développement, qui a conçu ces dernières années plusieurs machines très sophistiquées pour réussir à fabriquer notre nouvelle technologie de navigation du genou. Il s’agit d’un système micro miniaturisé électronique doté d’accéléromètres et de gyroscopes, qui permet de déterminer avec grande précision les angles des coupes osseuses dans la salle d'opération. Une lumière verte s’allume lorsque l'instrument est bien orienté et le chirurgien peut valider immédiatement qu'il a bien fait son travail », a expliqué le Dr. Louis-Philippe Amiot.

     

    Au sein de cette même unité de production, Zimmer CAS produit également des instruments personnalisés qui se placent directement sur les os du patient afin de guider les coupes osseuses. « Ce second produit fonctionne pour les prothèses du genou et de l'épaule. Une résonnance magnétique effectuée avant la chirurgie nous permet de procurer au chirurgien un instrument qui s'adapte parfaitement au patient. L'opération est plus précise et plus rapide. Cette technologie complémente nos produits actuels et nous permet de rejoindre plus de chirurgiens », a ajouté le Dr. Amiot. « Nous estimons avoir déjà opéré plus de 125 000 patients au monde depuis la création d’OrthoSoft en 1996, et ce, grâce à des instruments médicaux toujours à la fine pointe de la technologie et qui sont maintenant reconnus et vendus à travers le globe. »

     

     

     

    Également présent lors de l’inauguration, M. Élie Farah vice-président Investissement Grand Montréal à Montréal International, s’est dit très fier de la contribution de son équipe à ce projet d’expansion, qui a permis à l’entreprise de doubler ses effectifs. « Le succès de Zimmer CAS renforce l’attractivité du Grand Montréal et du Québec auprès des leaders mondiaux en sciences de la vie et technologies de la santé et, ce faisant, favorise le développement d’un secteur stratégique et identitaire pour notre région », a déclaré M. Farah. « La recherche et l’innovation sont deux éléments clés de la compétitivité et de la prospérité de la métropole », a-t-il conclu.

     

     

     

    Mentionnons qu’avec plus de 43 000 travailleurs répartis au sein de quelque 600 entreprises privées, dont 150 organismes de recherche publics et universitaires, l’industrie des sciences de la vie et des technologies de la santé (SVTS) du Grand Montréal rayonne à travers le monde. Reconnue pour son expertise de pointe, la grappe montréalaise des SVTS bénéficie de la présence de leaders mondiaux en pharmaceutique, en biotechnologie, en recherche contractuelle et en technologies médicales, ainsi que de nombreux instituts de recherche spécialisés dans la recherche fondamentale en neurologie, en oncologie, en cardiologie, en endocrinologie et en immunologie.

     

     

     

    À propos de Zimmer CAS (http://www.zimmer.com)

     

    Filiale de Zimmer Holdings depuis 2007, Zimmer CAS (anciennement OrthoSoft) conçoit et développe des solutions de chirurgie orthopédique assistée par ordinateur offrant aux chirurgiens un niveau de précision inégalé durant l’installation de prothèses au genou, à la hanche et à l’épaule. Fondé aux États-Unis (Warsaw, Indiana) en 1927, Zimmer Holdings figure parmi les leaders mondiaux en soins de santé musculosquelettique. La compagnie possède des bureaux dans 25 pays et emploie plus de 8 500 employés. Ses techniques d'arthroplastie et ses produits sont vendus dans une centaine de pays. En 2012, ses ventes s’élevaient à près de 4,5 milliards de dollars.

     

     

    http://www.montrealinternational.com/zimmer-cas-presente-deux-technologies-chirurgicales-de-pointe-concues-a-montreal/

     

     

     

    http://www.montrealinternational.com/content/uploads/files/12022013/Profil_svts2013.pdf

  11. Acquisition d'Astral: Bell Média veut abolir 400 emplois d'ici janvier.

     

    PRIMEUR. Bell Média veut abolir près de 400 emplois d’ici le mois de janvier, a appris LesAffaires.com. Les licenciements sont prévus dans la foulée de l’acquisition d’Astral par Bell, selon deux sources bien au fait des plans de l’entreprise médiatique.

     

    Bell s’est donné l’objectif d’abolir entre 380 et 450 postes. Les gestionnaires ont jusqu’à la fin de l’exercice, qui termine le 31 décembre, pour déterminer lesquels.

     

    «Le délai est prévu pour permettre aux dirigeants qui accueillent de nouveaux employés de prendre le temps de les connaître et de regarder la structure», explique l’une des deux sources, qui n’a pas souhaité être identifiée afin de parler librement.

     

    Bell Média réduit actuellement le nombre de «postes qui se chevauchent » chez Astral et Bell Média à Toronto et à Montréal, confirme Olivier Racette, porte-parole de la société. Le chiffre de 400 emplois est «grandement exagéré», répond-il. «Nous ne pouvons confirmer le nombre exact de postes touchés pour l’instant», ajoute M. Racette.

     

    Astral est officiellement passé dans le giron de Bell le 7 juillet dernier pour un montant de 3,2 G$. Critiquée par des concurrents et des membres de la société civile, la transaction s’était opposée à un premier refus du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) en octobre dernier. Après une deuxième tentative, le tribunal administratif a donné le feu vert au mariage des deux entreprises le 27 juin dernier.

     

    La restructuration a commencé

     

    Bell Média a informé ses employés que des abolitions de postes seraient annoncées d’ici la mi-août, affirme un employé, qui n’est pas au courant des plans de restructuration. « C’est un secret de polichinelle qu’il y aura des coupures, mais on ne sait pas combien, raconte-t-il. Les gens attendent de voir si leur poste sera confirmé.»

     

    Le départ de gestionnaires a déjà été annoncé aux employés. «Ça bouge beaucoup en ce moment», constate l’employé.

     

    Une trentaine de cadres ont été remerciés récemment, selon les informations rapportées par Argent la semaine dernière. La mesure aurait permis à Bell Média d’économiser 5 M$.

     

    Les mises à pied étaient inévitables, une fois l’acquisition complétée, selon Phillip Huang, analyste d’UBS. «Nous croyons qu’il y a beaucoup de tâches qui se chevauchent entre Bell Média et Astral et nous anticipons qu’il y aura d’importantes synergies», écrivait l’analyste dans une note publiée après le dévoilement de l’entente de Bell et Astral au printemps 2012.

     

    Même si elle reconnaissait que des emplois pourraient être perdus, Bell avait présenté la transaction comme un moindre mal pour les travailleurs que le démantèlement d’Astral. «Le refus de cette transaction, ou nous forcer à nous départir d’actifs, va ultimement mener à la destruction de la grande entreprise que Ian Greenberg [le président et chef de la direction d’Astral Média, ndlr] et son équipe ont bâtie, et à des pertes d’emplois significatives au Québec et ailleurs», avait-il déclaré lors des premières audiences devant le CRTC en septembre.

     

    Astral avait 2 800 employés, dont 1 400 au Québec. Bell compte 17 000 employés au Québec.

     

    La restructuration a commencé

     

    Bell Média a informé ses employés que des abolitions de postes seraient annoncées d’ici la mi-août, affirme un employé, qui n’est pas au courant des plans de restructuration. « C’est un secret de polichinelle qu’il y aura des coupures, mais on ne sait pas combien, raconte-t-il. Les gens attendent de voir si leur poste sera confirmé.»

     

    Le départ de gestionnaires a déjà été annoncé aux employés. «Ça bouge beaucoup en ce moment», constate l’employé.

     

    Une trentaine de cadres ont été remerciés récemment, selon les informations rapportées par Argent la semaine dernière. La mesure aurait permis à Bell Média d’économiser 5 M$.

     

    Les mises à pied étaient inévitables, une fois l’acquisition complétée, selon Phillip Huang, analyste d’UBS. «Nous croyons qu’il y a beaucoup de tâches qui se chevauchent entre Bell Média et Astral et nous anticipons qu’il y aura d’importantes synergies», écrivait l’analyste dans une note publiée après le dévoilement de l’entente de Bell et Astral au printemps 2012.

     

    Même si elle reconnaissait que des emplois pourraient être perdus, Bell avait présenté la transaction comme un moindre mal pour les travailleurs que le démantèlement d’Astral. «Le refus de cette transaction, ou nous forcer à nous départir d’actifs, va ultimement mener à la destruction de la grande entreprise que Ian Greenberg [le président et chef de la direction d’Astral Média, ndlr] et son équipe ont bâtie, et à des pertes d’emplois significatives au Québec et ailleurs», avait-il déclaré lors des premières audiences devant le CRTC en septembre.

     

    http://www.lesaffaires.com/techno/medias-et-communications/acquisition-d-astral-bell-media-veut-abolir-400-emplois-d-ici-janvier/559986#.UfGaIKw8CCg

  12. Plus de 5 700 statisticiens, provenant de partout sur la planète, se donnent rendez-vous à Montréal entre les 3 et 8 août prochains. Parmi eux: un jeune génie américain des prévisions.

     

    Pendant cette période, le Palais des congrès de Montréal accueillera le Joint Statistical Meeting 2013, la plus importante rencontre de statisticiens sur la planète.

     

    À cette occasion, les participants en profiteront pour célébrer l’Année internationale de la statistique, et discuteront ensemble – à l’aide de 700 conférenciers et tables rondes- des plus récentes pratiques susceptibles de contribuer à l’avancement de cette science.

     

    La statistique occupe une position centrale dans l’établissement, entre autres, de politiques publiques, de décisions d’affaires, de mesures économiques ou financières. D’autres disciplines comme le sport, le météorologie et la médecine en font également un usage quotidien.

     

    Le «prodige» des prévisions

     

    Entre autres invités de renom, notons la présence de Nate Silver, fondateur du blogue politique FiveThirtyEight.com. Qualifié de prodige du «number-crunching» par le New York Times, M. Silver s’est d'abord fait connaître en 2008 en parvenant à prédire le résultats de l’élection présidentielle, dans pas moins de 49 des 50 États américains.

     

    Quatre ans plus tard, l'an passé, le jeune statisticien américain a laissé sans voix l’ensemble des analystes et journaliste politiques américains en parvenant cette fois à prédire le résultat du scrutin présidentielle dans l’ensemble des 50 États du pays.

     

    http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/des-milliers-de-statisticiens-bientot-a-montreal/559973#.UfGZGKw8CCg

  13. Tout juste deux semaines après que le Delta Centre-Ville ait annoncé sa fermeture, voilà que le Hilton Bonaventure est lui aussi mis en vente. En effet, la compagnie SilverBirch Hotels & Resorts a décidé de remettre sa propriété sur le marché, précisant toutefois que l'établissement se portait toujours très bien, mais qu'il était simplement temps pour elle de s'en départir. Elle est ainsi à la recherche d'un nouvel acquéreur et désirerait apparemment que ce dernier conserve la vocation hôtelière de l'endroit.

     

     

    http://www.montrealinfo.com/fr/nouvelles/hilton-bonaventure-de-retour-sur-le-marche

  14. Le Grand Prix à Montréal jusqu'en 2024?

     

    OTTAWA) Une entente pour garder le Grand Prix de Formule 1 à Montréal jusqu'en 2024 pourrait être conclue bientôt, malgré les accusations de corruption qui pèsent contre deux des principaux négociateurs.

     

    Le nouveau lieutenant québécois de Stephen Harper, Denis Lebel, a affirmé vendredi en entrevue avec La Presse qu'Ottawa souhaitait toujours conclure cette entente avec l'entreprise Formula One Management de Bernie Ecclestone, malgré les événements des dernières semaines.

     

    «L'intérêt demeure le même. Il faut juste revoir comment les choses se placent», a déclaré M. Lebel.

     

    Le gouvernement fédéral avait chargé Michael Applebaum de négocier avec Bernie Ecclestone dans le dossier. Mais l'ex-maire intérimaire de Montréal a été arrêté il y a quelques semaines et est maintenant accusé de diverses infractions criminelles de fraude et de corruption.

     

    Il y a quelques jours, le grand manitou de la Formule 1, Bernie Ecclestone, a lui aussi été accusé de corruption en Allemagne, en lien avec une histoire de pot-de-vin versé à un banquier.

     

    La balle dans le camp d'Ecclestone

     

    Les politiciens n'ont pas semblé faire grand cas de ces incidents, vendredi.

     

    Selon une source au fait des négociations, les conversations entre MM. Applebaum et Ecclestone ont été limitées au minimum, puisque le véritable négociateur dans ce dossier est l'ancien sénateur conservateur Michael Fortier.

     

    Selon cette source qui a requis l'anonymat, les négociations sont très avancées et la balle se trouve actuellement dans le camp de Formula One Management, qui doit revoir certaines propositions.

     

    «Ottawa attend d'avoir le signal des trois autres parties [la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec et Tourisme Montréal] pour passer au conseil des ministres. Et ça, honnêtement, je ne sais pas quand ça va se passer. Ça peut être dans deux semaines, comme ça pourrait être dans deux mois.»

     

    Prudent, le ministre Lebel n'a pas voulu fixer d'échéancier quant à une ratification possible de l'entente par ses collègues du Cabinet. Il n'a pas non plus voulu se prononcer directement sur l'impact des accusations portées contre Bernie Ecclestone.

     

    Le lieutenant québécois de Stephen Harper s'est contenté de réitérer l'intérêt de son gouvernement. Pour le reste, a-t-il dit, il serait nécessaire de faire le point prochainement avec les parties canadiennes impliquées. «Il faut au moins revoir où nous en sommes», a-t-il déclaré.

     

    Au début du mois de juin, Ottawa s'est fait accuser de bloquer les négociations, lorsqu'il aurait décidé qu'il ne majorerait plus sa contribution annuelle.

     

    L'entente actuellement négociée prévoit l'indexation de la contribution publique annuelle de 4%. En ce moment, 15 millions de dollars sont versés chaque année à l'entreprise de M. Ecclestone pour tenir le Grand Prix du Canada à Montréal. L'entente prend fin en 2014. Si une autre entente est signée pour une période de 10 ans, les contribuables devraient payer 22,2 millions.

     

    Au bureau du ministre des Finances du Québec, Nicolas Marceau, on n'a pas répondu à nos questions.

     

    Quant au cabinet du maire par intérim de Montréal, Laurent Blanchard, on assure que la mise en accusation de MM. Applebaum et Ecclestone n'affecte pas les pourparlers pour le financement à long terme du Grand Prix.

     

    «Les négociations vont bon train», a indiqué le porte-parole du maire, Jonathan Abecassis.

     

    Rénovation du paddock

     

    L'un des problèmes que doivent résoudre les trois ordres de gouvernement est l'épineuse question du remplacement du paddock. Bernie Ecclestone exige la rénovation de cette infrastructure désuète, un projet qui coûterait de 25 à 45 millions.

     

    La Ville a un moment jonglé avec l'idée de payer ces rénovations, l'infrastructure se trouvant au parc Jean-Drapeau. Mais dans la foulée de la série de scandales qui a ébranlé l'hôtel de ville, sans compter la débâcle de la restauration de l'ancien Hélène-de-Champlain, l'administration intérimaire se serait montrée beaucoup moins encline à allonger des millions.

     

    Selon un scénario étudié au cours des dernières semaines, la Ville de Montréal avancerait donc les fonds. Elle se rembourserait en prélevant une part des recettes aux guichets. Si le Grand Prix devait plier bagage, une clause lui permettrait de récupérer ses billes.

     

     

    http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201307/19/01-4672557-le-grand-prix-a-montreal-jusquen-2024.php

  15. Montréal arrive au premier rang mondial comme destination pour un étudiant étranger qui souhaite faire des études universitaires, selon une analyse publiée par la division de renseignements de la revue The Economist.

     

    L'analyse, effectuée en collaboration avec une grande banque chinoise, permet la création d'un guide pour parents qui cherchent à trouver le meilleur endroit pour parfaire l'apprentissage de leurs enfants.

     

    L'objectif était de cibler, à l'aide de plusieurs critères, les villes qui offrent le meilleur rendement potentiel sur les plans des études, financier, culturel et social.

     

    Les conclusions de l'étude sont le résultat d'une série d'entrevues réalisées avec des experts et de l'indice appelé «Sea Turtle Index».

     

    Dans la culture chinoise, une «tortue de mer» désigne un diplômé d'une université d'outre-mer qui rentre au pays après avoir obtenu une éducation de premier ordre. Dans le cadre de cette étude, cependant, la signification s'applique à n'importe quel étudiant qui entend étudier à l'étranger et revenir ensuite chez lui pour en faire profiter son pays.

     

    En plus de la qualité de l'enseignement, les critères retenus pour établir le classement sont, notamment, la diversité culturelle et sociale, l'ouverture à l'immigration et la facilité d'obtention d'un visa de travail, l'ouverture aux investissements étrangers, les droits de scolarité, le coût de la vie, le taux de criminalité, le rendement potentiel d'un investissement immobilier, les possibilités d'emplois une fois diplômé et la valeur de la devise.

     

    Montréal devance des villes comme Londres, Cambridge et Oxford.

     

    «Ce qui aide aussi Montréal, entre autres, est le fait que la ville compte quatre universités, dont certaines ont une réputation de calibre mondial», commente André Costopoulos, doyen à la vie étudiante à l'Université McGill.

     

    Près du quart des 38 000 étudiants inscrits à McGill sont des étudiants étrangers et environ 50% d'entre eux proviennent de l'extérieur des États-Unis. L'Université McGill accueillera notamment 2400 nouveaux étudiants étrangers en septembre.

     

    L'étude préparée par The Economist souligne qu'il y a eu une hausse de 50% du nombre d'étudiants américains depuis 10 ans dans les universités canadiennes.

     

    Marché immobilier

     

    Les auteurs de l'étude soulignent par ailleurs que beaucoup de parents jonglent avec l'idée d'investir dans le pays où leurs enfants étudient. Et un investissement immobilier peut venir en tête de liste.

     

    Bien que la croissance moyenne des prix au cours des cinq dernières années soit un indicateur important, d'autres éléments doivent être considérés, les taxes, par exemple.

     

    L'achat d'une propriété peut notamment servir à éduquer et éveiller son enfant à la gestion et l'entretien d'un condo ou d'un immeuble à revenus.

     

    La tenue du marché immobilier a donc joué un rôle dans le classement des villes. Il est souligné dans l'étude que le Canada a évité la crise immobilière et la chute des prix survenue dans plusieurs villes américaines au cours des dernières années.

     

    Numéro un sur papier

     

    Montréal n'est pas la destination numéro un au monde présentement pour les étudiants étrangers, mais elle devrait l'être selon les conclusions de l'étude.

     

    Ce que l'exercice démontre est le fait que le retour sur l'investissement ne se limite pas au bagage de connaissances scolaires. Il faut tenir compte de l'expérience culturelle (restaurants, théâtres, spectacles, etc.), sociale, professionnelle (travail) et pratique (gestion d'une propriété si l'enfant s'implique dans l'investissement des parents).

     

    Tous ces éléments servent à former les «tortues de mer» et à les préparer pour leur retour à la maison, ce qui les aidera à obtenir un emploi et à mener une vie épanouissante. Ultimement, fait valoir l'étude, c'est ce qui représente le véritable rendement d'un investissement dans l'éducation de son enfant.

     

    L'étude est accessible à l'adresse http://seaturtleindex.com/

     

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    LE HAUT DU CLASSEMENT

     

    1- Montréal, Canada

     

    2- Londres, Angleterre

     

    3- Hong Kong, Chine

     

    4- Toronto, Canada

     

    5- Cambridge, Angleterre

     

    6- Oxford, Angleterre

     

    7- Boston, États-Unis

     

    8- Sydney, Australie

     

    9- Zurich, Suisse

     

    10- New York, États-Unis

     

     

    http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201307/17/01-4671462-montreal-premier-de-classe-pour-les-etudiants-etrangers.php

  16. La Tour Deloitte afficherait déjà un taux d'occupation de 70 %, alors que sa livraison est prévue dans deux ans, à l'été 2015, indique un communiqué de Cadillac Fairview, propriétaire de l'immeuble.

     

    Cadillac Fairview a l'intention de transformer le secteur qui entoure le Centre Bell au cours de 15 prochaines années avec des investissements totalisant près de deux milliards de dollars, incluant les 200 millions investis dans la Tour Deloitte.

     

    http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/07/11/004-siege-social-rio-tinto-alcan-tour-deloitte.shtml

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