Montréal-Toronto: des rôles inversés

[Kovalev]

il faut relire l'article, et on peut voir que l'auteur est beaucoup plus difficile sur Toronto que sur Montreal. Mais oublions cette article, chaque autre articles critique de Montreal semble provoquer des sentiments defensifs d'un ton extreme sur ce site qui semble tantot, parano, tantot triste. C'est tout. Je ne veux pas en faire un debat.

[yveslachance]

L'article dans son ensemble me fait rire. L'auteure passe la plupart du temps à ''basher'' Toronto sur des aspects qu'on pensait plus attribuer à Montréal (Malpropreté etc.) et à la fin, de nulle part, elle lance sa phrase bomb-like à propos de Montréal comme pour équilibrer le tout. Haha, entk, drôle d'article mamzelle! J'en retient pas plus que ça!

[yarabundi]

C'est en effet une lettre d'une lectrice qui dit ce qu'elle pense. Le ton qu'elle utilise laisse à penser qu'elle est convaincue que ses écrits ont force de vérité. On en est loin mais je trouve intéressant ce point-de-vue sur une Toronto déclinante. Je dis intéressant mais en vérité j'aurais dû écrire surprenant. Je n'aurais jamais pensé que Toronto puisse faire face à des problèmes d'infrastructures aussi graves !!

 

Si ce qu'elle dit est vrai, ça met tout de même les choses en perspective. Montréal après tout ne serait pas la seule des grandes villes canadiennes à faire face au problème du vieillissement de ses infrastructures.

[Frontenac]

Le plus incroyable, c'est que La Presse ait publié cette lettre d'opinion qui, avouons-le, est de plus très mal écrite.

[Malek]

Le plus incroyable, c'est que La Presse ait publié cette lettre d'opinion qui, avouons-le, est de plus très mal écrite.

 

C'est pas la première fois que des lettre mal foutus sont produites par la presse... regardez la dernière lettre de Richard Bergeron, un vrai foutoire de demis-verités et d'obscurantismes.

[yarabundi]

C'est pas la première fois que des lettre mal foutus sont produites par la presse... regardez la dernière lettre de Richard Bergeron, *un vrai foutoire de demis-verités et d'obscurantismes.

Ceci étant bien sûr une opinion et non pas une vérité absolue, bien entendu.