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La Presse, 9 Janvier 2075

 

Après près de 64 ans d'annonces et de discutions, Jean Charest Junior 3eme du nom vient aujourd'hui inaugurer le Quartier de la Finance de Montréal. En conférence de presse il a affirmé:

 

En tant que 7eme plus grande ville du Canada, Montréal se devait d'avoir un quartier de la finance. Après le départ de Desjardins et de la Banque Nationale à Toronto, notre gouvernement a décidé d'agir POUR Montréal et le bien de ses habitants.

 

 

....

 

Elle est bonne cjb. J'ai bien rit. Merci.

 

C'mon les boys, ce n'était que de l'humour! Il fautprendre ça avec un grain de sel!:highfive::yes:

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Membres prolifiques

La Cité du Multimédia n'a peut être pas été le succès escompté au niveau immobilier mais ça a permi à Montréal de se développer une industrie du jeu vidéo. Montréal fait maintenant partie des leaders mondiaux du développement des jeux vidéos, une des grande industrie du XXIe siècle. Je n'appelle pas çâ un échec.

 

Je ne sais pas si la Cité du Multimédia était la raison principale du succès de l'industrie des jeux vidéo? Les plus grosses compagnies dans ce domaine, n'ont jamais eu de bureaux dans la cité(Ubisoft-sur le Boul St-Laurent/ EA-à la PLace Ville Marie)!

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Le Journal de Montréal

17/11/2007

Spécialisation et soutien, les clés du succès. Pour s’affirmer comme place financière, Montréal doit se spécialiser et être secondé, soutiennent plusieurs observateurs.

 

Il faut que Montréal soit aidé dans sa lutte pour avoir sa place dans le monde financier, affirme Bernard Landry, ex-premier ministre du Québec.

 

« On a déjà ici des institutions prodigieuses comme la Caisse de dépôt et placement, le Mouvement Desjardins et la Bourse de Montréal qui s’en tirent à merveille. Ça confirme que Montréal le peut, mais Montréal doit être secondé », dit-il.

 

Oui pour l’aide, mais il faut quand même se spécialiser, ajoute Jean-Marc Suret, professeur de comptabilité à l’Université Laval.

 

« Est-ce qu’on ne devrait pas développer des spécialisations vers ce qui est la spécificité de notre marché, comme le financement d’entreprises de taille intermédiaire ou encore le capital de risque ? », suggère-t-il.

 

Pour l’instant, Montréal est connu pour sa spécialisation dans les produits dérivés grâce à la Bourse de Montréal. Pour s’en sortir, il faut trouver des astuces, ajoute Michel Nadeau, président-directeur général de l’Institut sur la gouvernance des organisations publiques et privées.

 

« Il ne faut pas être achetable », dit-il notamment, citant l’exemple de la Banque Laurentienne.

 

La septième banque du Canada est la seule en Amérique du Nord dont les employés sont syndiqués. Selon plusieurs, cette caractéristique rebuterait les acheteurs potentiels, qui préfèrent ne pas avoir à faire avec des syndicats.

 

Centre secondaire

 

Malgré tous les efforts du monde, il ne faut pas se leurrer, tempère M. Suret. Montréal, affirme-t-il, peut difficilement devenir une place financière internationale.

 

« Au moment où New York se demande s’il va survivre comme place financière importante, que Montréal veuille devenir une place financière mondiale, ça me fait un peu rire », dit-il, faisant allusion à une étude commandée cette année par le maire de New York, Michael Bloomberg, et le sénateur de l’État, Charles E. Schumer. D’après cette étude, New York perd de plus en plus de terrain au profit de Londres dans le domaine des finances.

 

« Il faut accepter que Montréal est un centre secondaire », conclut Michel Nadeau.

 

Et ce n’est déjà pas si mal, souligne-t-il. « Ailleurs, c’est mort. Il y a des villes comme Calgary qui se sont vidées et où il n’y a plus de gestionnaires de portefeuille. »

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Le Journal de Montréal

17/11/2007

Centres financiers internationaux : Vancouver talonne Montréal. Ironie du sort, pendant que Montréal se débat pour attirer le jet-set de la finance internationale, Vancouver prend du galon en déployant son propre programme de centres financiers internationaux.

 

Le programme des CFI offre des avantages fiscaux aux entreprises et aux personnes qui viennent faire de la finance internationale à Montréal.

 

En 2003, les avantages fiscaux ont toutefois été réduits dans le budget Séguin.

 

C’est à ce moment précis que Vancouver a décidé de déployer son propre programme de centres financiers internationaux avec la même idée que Montréal : devenir une place financière internationale.

 

« Vancouver a copié exactement, textuellement notre programme fiscal et le propose depuis que nous ne l’offrons plus », résume Andrée Corriveau, qui a été présidente de CFI Montréal de 2000 à 2005.

 

CFI Montréal est l’organisme qui fait la promotion de Montréal comme place financière internationale.

 

Des avantages fiscaux plus généreux

 

Montréal offre encore son programme, mais dans une moindre mesure que Vancouver. Dans cette ville de la Colombie-Britannique, les experts en finance internationale qui sont admissibles peuvent bénéficier d’une déduction fiscale de 75 % dans le calcul de leur revenu imposable. À Montréal, la déduction a été ramenée de 50 % à 37,5 % en 2003.

 

« C’est sûr, on perd des entreprises au profit de Vancouver », a confié au Journal, sous le couvert de l’anonymat, une source proche du dossier à Montréal qui n’a toutefois pas été en mesure de citer un nom.

 

Chose certaine, le programme de Vancouver est en mode croissance. Aujourd’hui, une soixantaine de centres financiers internationaux sont établis là-bas contre une quarantaine en 2004, selon le site Internet The International Financial Centre British Columbia.

 

Vancouver a également ajouté un volet à son programme.

 

« Ils donnent des avantages fiscaux à des sociétés de financement de production cinématographique », explique Mme Corriveau, qui dit avoir déjà suggéré cet élément à Montréal.

 

Avantages montréalais

 

Malgré l’engouement à l’ouest, Montréal reste devant Vancouver au chapitre du nombre de CFI puisqu’il y en avait 114 d’actifs au 1er juillet dans la capitale économique du Québec.

 

« Montréal est, en ce qui concerne sa place financière, une ville plus importante que Vancouver », assure Jacques Girard, président-directeur général par intérim de CFI Montréal.

 

« Il y a des avantages considérables, sur le plan de la main-d’œuvre, à la présence de quatre universités-écoles de gestion reconnues internationalement qui sont autant de facteurs qui aident Montréal à attirer des entreprises », défend le dirigeant.

 

Outre les avantages fiscaux, les deux villes ont des atouts différents. L’une, par exemple, est plus proche de New York, capitale mondiale de la finance. L’autre est une véritable porte vers l’Asie, en plein boom économique.

 

Autre exemple : côté qualité de vie, Vancouver devance Montréal mais en ce qui concerne le coût de la vie, c’est l’inverse, selon des données de la firme-conseil Mercer (voir tableau).

 

√ Appelé à réagir à cet article, Robert Fairweather, président d’International Financial Centre British Columbia, n’a pas répondu aux appels du Journal.

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Mon post était sarcastique. Il s'en passe quand même pas mal à Montréal d'un point de vue finance.

Le problème, c'est qu'il manque de grosses fortunes qui alimentent les fonds à gérer. Nos grandes fortunes, Desmarais, Molson, Bronfmann, sont soit en déclin, soit en migration vers Toronto.

 

Il est beaucoup plus difficile de trouver des investisseurs pour ton Hedge Fund si personne ne peut investir plus de 1 Million d'un coup dedans.

À Toronto, si tu es motivé, tu peux aller chercher plusieurs dizaines de millions en quelques jours.

Alors partir une entreprise de haute finance là-bas reste plus facile c'est sur!!

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  • Administrateur

La Banque Nationale récupère Altamira

 

 

18 octobre 2007 - 06h52

Presse Canadienne

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Souhaitant accroître sa visibilité au Canada anglais, la Banque Nationale intègre en son sein les activités d'Altamira et ferme le siège social de cette dernière à Toronto.

Une partie des 80 employés qui travaillent dans ces bureaux de l'Exchange Tower seront par conséquent remerciés, a indiqué le président et chef de la direction d'Altamira et de Placements Banque Nationale, Charles Guay, dans un entretien téléphonique, mercredi.

 

Il n'a pas pu préciser le nombre de personnes qui seraient touchées.

 

La plupart des huit succursales d'Altamira au pays fermeront leurs portes, y compris la seule au Québec, située au centre-ville de Montréal.

 

 

 

 

Les quelque 90 représentants en placement qui y travaillent (une centaine de personnes avec le personnel de soutien) seront transférés dans des succursales de la Banque Nationale des villes concernées.

 

Il y aura toutefois au moins deux exceptions: les bureaux de Calgary et de Vancouver, forts actifs, seront convertis en nouvelles succursales de la Banque Nationale.

 

En tout, c'est près de 100 000 clients qui passeront d'Altamira à la Banque Nationale, un gain substantiel pour l'institution montréalaise à l'extérieur du Québec.

 

M. Guay a soutenu que le changement permettrait aux clients de bénéficier d'une gamme plus large de services.

 

La transition ne sera terminée qu'à la fin de 2008, voire au début de 2009, ce qui signifie que la prochaine campagne REER se fera sous la bannière Altamira, a précisé Charles Guay.

 

De plus, le nom Altamira survivra dans les titres de certains des produits de Placements Banque Nationale.

 

Les succursales d'Altamira sont situées à Halifax, Montréal, Ottawa, Toronto, Thornhill, London, Edmonton, Calgary et Vancouver.

 

La Banque Nationale a acquis Altamira à l'été 2002.

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