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OCPM - Office de consultation publique de Montreal


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MODIFICATIONS AU PLAN D’URBANISME POUR LE RENDRE CONFORME AU SCHÉMA D’AMÉNAGEMENT

 

Le conseil de l’agglomération urbaine de Montréal a procédé à l’adoption de son schéma d’aménagement au printemps dernier. La Loi sur l’aménagement et l’urbanisme (LAU) prévoit que les municipalités de l’agglomération doivent s’assurer de la concordance de leur propre Plan d’urbanisme avec le Schéma.

 

Il ne s’agit donc pas d’un exercice visant à examiner des modifications en soi au Plan d’urbanisme, mais seulement d’en assurer la conformité. L’exercice de révision du Plan dans son ensemble, qui sera aussi soumis à l’Office, devrait se faire au cours de l’année prochaine.

 

La soirée d’information se tiendra le mercredi 16 septembre à 19 h, aux bureaux de l’Office, situés au 1550, rue Metcalfe, 14eétage (métro Peel).

 

Pour en savoir plus : ocpm.qc.ca/concordance-schema

 

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  • 1 année plus tard...
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  • 10 mois plus tard...

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1073489/valerie-plante-office-consultation-publique-montreal-referendum

Valérie Plante mise sur l'Office de consultation publique de Montréal

PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 4 H 30

 

L'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) prévoit jouer un rôle encore plus important avec l'arrivée d'une nouvelle administration à l'hôtel de ville et l'abolition des référendums locaux, prévue dans la loi sur l'autonomie municipale adoptée en juin dernier.

Un texte de Benoît Chapdelaine

« Pour moi, l'OCPM est une organisation d'une grande rigueur, qui nous permet d'aller plus loin, qui est un rempart pour la démocratie, pour nous permettre d'assurer que tous et toutes seront entendus », disait Valérie Plante lors d'un discours pour les 15 ans de l'OCPM, à peine une semaine après avoir été élue le mois dernier.

Elle annonçait alors qu'elle entendait, au cours des quatre prochaines années, « miser beaucoup plus sur la consultation et la participation publiques, mais surtout sur les opérations de participation et de consultation publiques menées par l'OCPM. Il ne sera plus question d'ignorer systématiquement les avis qui contredisent nos idées de départ. »

La présidente de l'OCPM, Dominique Olivier, se réjouit des intentions de la nouvelle administration. Elle constate une augmentation importante de la participation aux consultations publiques depuis quelques années.

« Un dossier très controversé comme celui de Pierrefonds-Ouest va être allé chercher 230 mémoires. C'est vraiment intéressant. Si on parle en termes de participation, la stratégie centre-ville et les énergies fossiles sont allées chercher de 3000 à 5000 personnes qui ont participé à une phase ou une autre de la consultation. Ça n'a rien à voir avec les chiffres qu'on atteignait autrefois », explique la présidente.

Dominique Olivier précise qu'il est de plus en plus facile pour les citoyens d'exprimer leur opinion sans se présenter aux séances de l'OCPM.

« Déjà, au point de départ, la séance d'information est webdiffusée. Et à partir de là, en allant sur le site de la consultation, si la possibilité existe de faire des minimémoires en ligne, elle apparaît. Les questions sont posées clairement, le formulaire est très intuitif, c'est facile de fonctionner à travers cela. Donc de plus en plus, les gens peuvent avoir envie de participer », précise-t-elle.

« De plus en plus, on travaille nos méthodes d'engagement en ligne pour qu'on puisse reproduire cette même méthode et cette même rigueur, poursuit-elle. Donc, les gens doivent se créer des profils, on sait à qui on parle, on sait combien de fois ils viennent et ainsi de suite, et les commissaires ont la possibilité de réagir et de leur demander de préciser leur pensée. »

L'Office prépare pour le printemps prochain une consultation publique sur l'avenir du parc Jean-Drapeau. Il a reçu ce mandat de l'administration Coderre en août dernier.

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  • 1 année plus tard...

https://quebec.huffingtonpost.ca/2019/05/02/montreal-des-consultations-cheres-complexes-et-mal-documentees_a_23720506/

Montréal: des consultations chères, complexes et mal documentées

Un «chantier de réflexion» sur la façon de consulter s'imposerait à cause de l'afflux de nombreux dossiers complexes.

Par Olivier Robichaud
02/05/2019 07:00 EDT

 

Montréal semble avoir atteint sa limite en ce qui concerne sa capacité de mener des consultations publiques. L'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) craint de manquer de ressources si la cadence se maintient. Et la documentation fournie par la Ville n'est pas toujours adéquate.

Les mandats donnés à l'OCPM se multiplient depuis l'arrivée au pouvoir de Valérie Plante et son équipe. Dès les lendemains de son élection, en 2017, la nouvelle mairesse annonçait son intention de faire fréquemment appel à l'organisme.

«On a présentement neuf mandats qu'on mène de front, et on n'est qu'en avril. Autrefois, une bonne année c'était six ou huit consultations.»- Dominique Ollivier, présidente de l'OCPM

Mais l'OCPM a atteint la limite de ce qu'elle peut faire avec les fonds et les ressources actuellement disponibles. Pour illustrer le problème, sa présidente Dominique Ollivier souligne qu'il y a 29 commissaires à l'OCPM et que 27 d'entre eux sont actuellement occupés par une consultation. Puisqu'il y a trois commissaires par mandat, l'organisme ne peut pas en accueillir une seule de plus sans embaucher un nouveau commissaire.

L'an dernier, l'organisme a demandé 650 000 $ supplémentaires à la Ville de Montréal pour mener à terme ses mandats, en plus du budget annuel de 1,9 M$. Mais, signe que la limite est atteinte, environ 300 000$ ont été renvoyés à la Ville parce que des consultations ont été reportées à 2019.

Selon Mme Ollivier, l'administration Plante devra prévoir «au moins» 2,4 M$ pour 2019. Ce qui est effectivement le montant prévu au budget de la Ville.

Dossiers complexes, mal documentés

Mais plus encore que le nombre de dossiers, c'est leur complexité qui change la réalité de l'Office de consultation publique de Montréal.

À l'origine, les activités de l'OCPM se limitaient principalement aux projets immobiliers précis. Les paramètres précis comme la hauteur du bâtiment, le nombre de logements prévus et les qualités architecturales étaient connus et les citoyens pouvaient suggérer d'autres options.

L'administration Plante fait souvent appel à l'Office pour consulter les citoyens en amont de la planification d'un projet, d'un secteur ou d'un programme. Le public participe à l'élaboration de ces paramètres plutôt que de les commenter.

Dans le rapport annuel de l'organisme dévoilé mercredi, l'OCPM réclame un «chantier de réflexion» sur la manière de mener ce genre de consultation. L'organisme craint qu'une documentation trop floue ne soit contre-productive.

«L'Office se rend compte que la documentation accompagnant ce type de mandat est souvent incomplète. Pour que ces exercices puissent être pleinement productifs et qu'ils permettent de dégager des propositions constructives, un important chantier de réflexion s'impose, tant pour déterminer le type de documentation minimale qui doit les accompagner que pour s'assurer que l'exercice de consultation lui-même arrive au bon moment dans la chaîne de décision», lit-on.

Mme Ollivier prend en exemple la planification du secteur des Faubourgs, qui comprend la brasserie Molson et la Maison Radio-Canada. Une liste plus exhaustive des projets immobiliers en préparation aurait été la bienvenue.

«Il y a des terrains vacants dans ce secteur, mais ces terrains sont déjà visés par des projets. Alors demander aux gens de rêver à ce qui est possible sans tenir compte de ces projets, ce n'est pas efficace», souligne-t-elle.

C'est la Ville de Montréal qui fournit la documentation en question pour ce type de consultation. Mais il semble que les ressources disponibles à la Ville soient également étirées: comme nous le rapportions le mois dernier, la consultation sur le racisme systémique a été retardée parce que la Ville tardait à fournir le document de référence.

Selon Mme Ollivier, c'est la principale raison du report des autres mandats qui auraient dû être entamés l'an dernier.

Les consultations en amont seraient également plus onéreuses en termes d'organisation.

«Elles requièrent plus de ressources et plus de temps, puisqu'il faut souvent, en l'absence de projet concret, déployer un arsenal d'outils pour en expliquer les enjeux, pour faire émerger des consensus et pour faire participer les gens en allant à leur rencontre dans leur milieu de vie», lit-on dans le rapport.

Selon le rapport annuel, l'année 2018 a été la plus achalandée de l'histoire de l'OCPM. Plus de 24 000 personnes ont participé à une activité pendant l'une ou l'autre de 10 consultations, et plus de 2000 mémoires ont été reçus. Plus de la moitié des participants se sont prononcés sur la fermeture controversée de la voie Camillien-Houde aux automobilistes de transit.

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  • 1 année plus tard...

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202005/12/01-5273268-loffice-de-consultation-publique-pret-a-consulter-autrement.php

L’Office de consultation publique prêt à consulter autrement


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PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

L’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) se prépare à reprendre ses activités en utilisant des méthodes alternatives de consultation pour lesquelles l’organisme sonde actuellement d’anciens participants.

Publié le 12 mai 2020 à 16h26
KATHLEEN LÉVESQUE
LA PRESSE

À l’occasion de la publication de son rapport annuel 2019, l’OCPM souligne avoir développé au fil des ans de nouvelles façons de faire en utilisant le numérique pour consulter la population. Avec la crise sanitaire actuelle qui impose la distanciation sociale, certaines méthodes alternatives pourront se révéler utiles : des consultations virtuelles, par écrit et par téléphone sont envisagées.

« Les expérimentations des dernières années ont permis de redynamiser de nombreux dispositifs de participation, tout en évitant de créer de nouvelles formes de fractures et d’exclusions. Afin de rendre l’engagement citoyen moins intimidant, l’Office développe de nouveaux outils », note l’organisme qui estime avoir atteint un équilibre entre activités en personne et celles menées de façon virtuelle.

« Loin d’être en concurrence, nous notons que ces deux modes se nourrissent mutuellement pour aider à participer plus et à participer mieux. Combinés, ils facilitent l’accès d’un public plus large, qui n’a pas toujours le temps ou l’envie de se rendre aux assemblées publiques, tout en conservant le cadre de débat prévisible et constructif qui assure des contributions éclairées », selon Dominique Ollivier, présidente de l’OCPM.

En 2019, l’OCPM a mené et compléter une douzaine de consultations publiques au cours desquelles il y a eu 22 000 participations. « Il s’agit de la seconde année consécutive où on atteint de tels chiffres de participation, un phénomène interprété comme un indicateur d’un changement profond de culture participative », souligne l’Office.

Mandat élargi

Par ailleurs, Mme Olivier plaide pour un mandat élargi de l’organisme qu’elle préside depuis 2004. À cet égard, elle dit que des discussions doivent avoir lieu sur la possibilité d’attribuer « un rôle statutaire dans la gestion des dossiers touchant plusieurs arrondissements ou villes de l’agglomération » (le projet Royalmount, par exemple).

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  • 2 mois plus tard...

Reconnaître l’apport des citoyens à l’évolution de notre métropole

PHOTO TIRÉE DE LA PAGE FACEBOOK DE VALÉRIE PLANTE

La mairesse de Montréal, Valérie Plante, remet le titre de « Citoyen d’honneur de la Ville de Montréal » à André Lavallée, accompagné sur la photo par sa femme, Chantale Bertrand.

La lettre s’adresse à la mairesse de Montréal, Valérie Plante

Publié le 27 juillet 2020 à 12h00

https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2020-07-27/reconnaitre-l-apport-des-citoyens-a-l-evolution-de-notre-metropole.php

André Lavallée
Ex-vice-président du Comité exécutif de Montréal, l’auteur a été responsable du premier plan d’urbanisme et du plan de transport de la ville

Je suis extrêmement touché de votre décision de m’accorder le titre de « Citoyen d’honneur de la Ville de Montréal » et j’ai été ravi de le recevoir de vos mains. Il y a 30 ans cette année, notre amie Léa Cousineau devenait la première présidente du Comité exécutif de la Ville, un fait très marquant à l’époque. Il y a près de trois ans, vous êtes devenue la première mairesse de la métropole, un autre fait qui méritera sa place dans le grand livre d’histoire de notre ville.

Au cours des derniers jours, j’ai beaucoup réfléchi au sens que revêt pour moi la distinction de « Citoyen d’honneur ». Ce que je retiens d’abord et avant, c’est le mot « citoyen ». C’est lui qui s’est imposé comme fil conducteur de ma réflexion.

Vous connaissez l’expression : « on était jeune et on voulait changer le monde ». Dès les années 70, j’étais de celles et ceux qui ont choisi, en tant que citoyens de cette ville, de se battre pour la survie des quartiers ouvriers et populaires de Montréal et pour la défense de nos droits : le droit au logement, le droit à la ville, la préservation du patrimoine bâti, et éventuellement une planification urbaine intelligente et progressiste et une certaine vision de notre ville.

En près de 50 ans, nous avons vu Montréal se transformer, évoluer, innover comme bien d’autres grandes villes, mais je suis à même de témoigner que nous avons fait les choses à notre façon.

Montréal ne serait pas aujourd’hui la ville que l’on connaît aujourd’hui sans la contribution exceptionnelle, individuelle ou collective, d’un grand nombre de ses citoyens – progressistes francophones et anglophones, indépendantistes et fédéralistes, syndicalistes, urbanistes, architectes, intellectuels, organisateurs communautaires, militants environnementalistes de la première heure et journalistes. Et c’est sans parler de l’apport des comités de citoyens, organismes communautaires, coalitions de toutes sortes dont Montréal a le secret.

Sans cette mobilisation permanente, qui sait ce que seraient le Plateau Mont-Royal, Centre-Sud ou Saint-Henri d’aujourd’hui : leur habitat typique aurait certainement été rasé depuis longtemps. Le quartier Angus ne serait peut-être qu’un vieux centre commercial, comme on nous le proposait en 1980. Montréal ne compterait certainement pas sur des dizaines de milliers de logements communautaires pour garantir la mixité de nos milieux de vie. Et que vaudrait un centre-ville sans résidents. J’aurais encore tellement d’exemples à vous donner.

Vous comprendrez que je ne veux d’aucune façon minimiser ici le rôle des élus, des administrations, des gouvernements et de la fonction publique dans l’évolution de notre ville, ayant moi-même œuvré en tant qu’élu, conseiller politique et haut fonctionnaire.

Mais il est un fait : les Montréalais, les Montréalaises ont depuis cinq décennies, joué un rôle majeur dans la transformation de notre ville. Les administrations municipales ont appris à reconnaître cet apport et plus largement l’importance de la démocratie municipale, dont les principales règles sont dorénavant inscrites dans la Charte de notre ville et dont les pratiques sont reconnues à l’échelle des grandes villes du monde.

Aujourd’hui, la mobilisation citoyenne montréalaise est plus individuelle et moins institutionnelle, beaucoup plus entrepreneuriale que collective, mais elle n’en est pas moins bien réelle.

Mais surtout, force est de constater que les Montréalais sont très nombreux à vouloir relever les nouveaux défis qui sont aujourd’hui les nôtres : l’équité sociale, l’équité territoriale, la mixité, l’inclusion, le droit à la culture, le développement accéléré des transports collectifs, la densification intelligente des secteurs déjà urbanisés à l’encontre de l’étalement urbain et la lutte, plus globale celle-là, contre la détérioration accélérée de notre environnement.

Toute ma vie, j’ai fait le choix personnel de m’investir dans l’avenir de notre collectivité. Mon engagement politique était sincère et j’y ai consacré le meilleur de mes énergies. J’ai toujours été animé d’une volonté ferme d’innover, de faire une différence, de contribuer à la réalisation de projets significatifs et de susciter des changements progressistes et durables.

Cet hommage que vous me rendez, je l’accepte avec honneur et plaisir. Mais vous aurez compris que j’y vois aussi une reconnaissance importante de l’apport des citoyens à l’évolution de notre métropole, ainsi qu’un encouragement pour tous ceux et celles qui envisagent de mettre l’épaule à la roue.

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