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Complexe Desjardins - Rénovations et Nouveautés


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Il y a 7 heures, acpnc a dit :

Immobilier commercial

Nouvel espace gourmand pour l’après-pandémie au Complexe Desjardins

ILLUSTRATION FOURNIE PAR LE COMPLEXE DESJARDINS

Les clients auront une vingtaine de choix pour se sustenter dans le nouvel espace gourmand nommé Le Rendez-Vous et près de 1000 sièges seront à leur disposition dans une aire de 30 000 pieds carrés.

Le centre commercial aura aussi sa propre plateforme de vente en ligne

Publié le 27 novembre 2020 à 7h00

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-11-27/immobilier-commercial/nouvel-espace-gourmand-pour-l-apres-pandemie-au-complexe-desjardins.php

Marie-Eve Fournier
La Presse

Le Complexe Desjardins profitera de la pandémie pour démolir son aire de restauration rapide et construire un nouvel espace destiné aux rendez-vous en tous genres. Résidants du quartier, touristes, familles, travailleurs et détenteurs de billets de spectacle pourront s’y retrouver pour casser la croûte ou boire un verre. Le projet de 16 millions améliorera la qualité et la diversité de l’offre, promet-on.

Les travaux pour créer Le Rendez-Vous (ce sera son nom) commenceront en janvier et doivent se terminer en novembre 2021.

Pendant cette période, l’aire de restauration sera entièrement fermée au public, une décision prise « d’un commun accord avec les locataires » dans un contexte de baisse d’achalandage, a précisé à La Presse le directeur du marketing du Complexe Desjardins, Jean Ruest.

Avec la pandémie, 75 % de la clientèle s’est évaporée. Les employés de Desjardins préconisent le télétravail, il n’y a pas de spectacles à la Place des Arts, l’hôtel contigu (DoubleTree by Hilton) n’est plus bondé de touristes, la place des Festivals n’a pas accueilli d’évènements depuis des mois… Le moment semble idéal pour moderniser l’espace restauration aménagé en 1995.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Avec la pandémie, 75 % de la clientèle du Complexe Desjardins s’est évaporée.

D’autant plus qu’autour, la compétition s’est beaucoup développée dans la dernière année. Le Central a ouvert ses portes en octobre 2019, le Time Out Market, un mois plus tard (au Centre Eaton), et Le Cathcart a suivi en janvier (à Place Ville Marie).

Au Complexe Desjardins, on a pris le temps de bien analyser ces offres et de sonder 500 personnes pour déterminer quel serait le meilleur concept à développer. Résultat, « on va offrir de la qualité abordable », résume Jean Ruest, que ce soit pour le déjeuner, la petite collation, le dîner, le 5 à 7 ou même la soirée, grâce à une zone où l’alcool sera permis.

« On veut que la nourriture serve d’effet de levier [au centre commercial] tout en respectant la capacité de payer des clients », mentionne Jean Ruest.

Le Rendez-Vous du Complexe Desjardins

1/7

Vaisselle compostable

La recherche de nouveaux restaurateurs est en cours puisque certaines enseignes ne reviendront pas dans le nouveau décor. Le consommateur aura une vingtaine de choix pour se sustenter et près de 1000 sièges seront à sa disposition dans une aire de 30 000 pieds carrés.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Jean Ruest, directeur du marketing du Complexe Desjardins

Il n’y a pas d’innovation sans risque, mais on y croit. Le message qu’on veut envoyer à nos locataires, c’est qu’on ne baisse pas les bras.

Jean Ruest, directeur du marketing du Complexe Desjardins

Ces locataires ont particulièrement besoin de bonnes nouvelles ces temps-ci. Car le Complexe Desjardins regroupe beaucoup d’indépendants, et quatre boutiques sur cinq sont détenues par des Québécois. D’ailleurs, plus de la moitié des locataires ont eu droit à l’aide au loyer d’Ottawa réservée aux entreprises ayant un chiffre d’affaires inférieur à 20 millions.

La nouvelle aire de restauration se voudra par ailleurs écologique, puisque « l’environnement fait partie des valeurs de Desjardins », poursuit Jean Ruest.

La vaisselle sera compostable et les déchets organiques seront utilisés par une usine de biométhanisation. L’idée d’utiliser de la vaisselle en céramique – comme au Carrefour Laval, par exemple – a été abandonnée en raison des coûts et de l’organisation que cela implique.

Nouvelle plateforme « à la Amazon »

Le 2 décembre, le Complexe Desjardins « deviendra le premier centre commercial au pays », selon Jean Ruest, à lancer une plateforme de vente en ligne. Une quinzaine de commerçants participeront à la première phase de ce projet en y affichant entre 20 et 25 idées cadeaux.

Pour les consommateurs, la livraison en 24 heures sera gratuite dans un rayon de 4 km. L’idée, explique Jean Ruest, est de rester en contact avec les résidants du secteur, devenus encore plus précieux par la force des choses.

Dans les phases subséquentes du projet, on veut offrir la livraison au bureau (quand les 12 000 travailleurs seront de retour dans les tours), des casiers intelligents pour cueillir ses achats en ligne et le service à l’auto. Bref, on prépare l’avenir.

Et pour ceux qui se demandent si le père Noël trônera parmi les décorations qui égaient actuellement la grande place, la réponse est non. Les 7500 enfants qui viennent le voir chaque année devront cette fois prendre rendez-vous avec lui sur Zoom. Les rencontres virtuelles sont gratuites.

Le Complexe Desjardins en chiffres

110 boutiques et restaurants
18 millions de visites par an
646 $/pi2 : performance globale
1804 $/pi2 : performance de l’aire de restauration
1046 places de stationnement sous-terrain
846 millions : valeur au rôle d’évaluation

Le quartier immédiat compte…

43 000 travailleurs (dont 12 000 au Complexe)
50 000 étudiants
12 000 résidants
2 stations de métro
40 festivals
440 000 touristes par année
7 millions de festivaliers par année

Les croquis pour la rénovation de l’aire de restauration me semblent plus prometteur que PVM (beaucoup trop sombre et isolé et en vase clos). Je verrais d’un bon œil que le complexe se refasse une beauté intérieure en réduisant la surface exposée de béton et brique beige par l’ajout d’un fini en bois pour les colonnes supportant le toit ou même recouvrir les poutres en béton du toit par un fini en bois clair. L’espace est immense mais malgré cet avantage, on se sent oppressé par cette lourdeur des teintes grises/beige . La rénovation de l’aire de restauration sera certainement bienvenue.

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Il y a 4 heures, Mtlarch a dit :

Les croquis pour la rénovation de l’aire de restauration me semblent plus prometteur que PVM (beaucoup trop sombre et isolé et en vase clos). Je verrais d’un bon œil que le complexe se refasse une beauté intérieure en réduisant la surface exposée de béton et brique beige par l’ajout d’un fini en bois pour les colonnes supportant le toit ou même recouvrir les poutres en béton du toit par un fini en bois clair. L’espace est immense mais malgré cet avantage, on se sent oppressé par cette lourdeur des teintes grises/beige . La rénovation de l’aire de restauration sera certainement bienvenue.

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Je partage ta perception, ce complexe est hyper minéralisé, grisâtre et triste. Cependant difficile d'intervenir dans un concept architectural sans en dénaturer l'oeuvre, puisqu'il est clair que c'était un choix de conception au départ.

Du temps où j'habitais au Colisée sur Sherbrooke de 1975 à 1980, j'ai écrit à la gestion du centre commercial en leur faisant les mêmes remarques. Sans succès. Je proposais notamment que l'on peigne de couleurs vives les surfaces de gypse au niveau des étages pour égayer la place et bien d'autres améliorations esthétiques.

Je me rappelle d'ailleurs que les plafonds de la galerie marchande sous les tours étaient bas et noir. Ce qui donnait un effet écrasant peu invitant, avec comme résultat que c'était désert la plupart du temps. Je leur conseillais d'au moins peindre ces plafonds en blanc pour donner l'impression d'être plus hauts. Ce qui a finalement été fait.

Je continue de croire qu'il est possible d'améliorer l'endroit avec imagination, tout en respectant le concept original, par une foule d'artifices et des éclairages savants qui mettraient en valeur l'intéressante structure et ses vastes espaces uniques à Montréal.

Ici ce n'est pas le talent qui manque et je verrais bien un concours s'adressant à nos firmes de design, dans le but de dynamiser le décor et ainsi mettre en valeur en le rajeunissant substantiellement, un espace public intérieur malgré ses 44 ans, parmi les plus impressionnants de la ville.

 

https://www.google.com/maps/uv?pb=!1s0x4cc91a4fca1ae933%3A0x9e1c26554e8a2355!3m1!7e115!4shttps%3A%2F%2Flh5.googleusercontent.com%2Fp%2FAF1QipPz1hvuHpNE3-dz6KgMTV57paRMW1SMiijRd-4%3Dw213-h160-k-no!5scomplexe desjardins - Recherche Google!15sCgIgAQ&imagekey=!1e10!2sAF1QipPz1hvuHpNE3-dz6KgMTV57paRMW1SMiijRd-4&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiR0vqR-aPtAhVNSzABHZlaACAQoiowFXoECBQQAw

 

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il y a une heure, Rocco a dit :

Complexe Desjardins en construction en août 1976, on remarque aussi la construction de la Tour Transat dans le fond, avant le début des autres tours de La Cité. Le gros rectangle dans le bas aligné avec l'autoroute est l'ancien édicule du métro Place d'Armes, démoli pour faire place au Palais des Congrès en 1981-82, qui recouvre maintenant cette partie de l'autoroute.

Crédit: archives de Mtl

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C'est fou comment cette partie de la ville était un no man's land a une époque. Juste m'imaginer me promener dans ce quartier ça devait être désolant et sinistre. Question hors sujet, quelqu'un sait ce qui a pousser Transat à construire sa tour aussi ''loin'' du centre-ville ?

De plus, on peut voir sur la photo un restant du Square Dufferin, surprenant qu'il n'y ait aucun marqueur au référence sur le parvis de Guy-Favreau, l'espace fût tout de même un cimetière. 

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2 minutes ago, Dominic723 said:

C'est fou comment cette partie de la ville était un no man's land a une époque. Juste m'imaginer me promener dans ce quartier ça devait être désolant et sinistre. Question hors sujet, quelqu'un sait ce qui a pousser Transat à construire sa tour aussi ''loin'' du centre-ville ?

De plus, on peut voir sur la photo un restant du Square Dufferin, surprenant qu'il n'y ait aucun marqueur au référence sur le parvis de Guy-Favreau, l'espace fût tout de même un cimetière. 

Transat n'existait pas en 1976. La construction de la tour à bureau fut faite par un promoteur indépendant, et faisait partie du complexe La Cité. Faut pas oublier qu'il y avait un gros échangeur routier en face (des Pins/du Parc) ce qui poussait à construire très dense autour.

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