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Membres prolifiques

Charles Lecavalier

06/06/2011 04h00

 

 

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Photo : groupe Envac

 

 

Annoncée pour 2012 par la ville de Montréal, la mégabalayeuse centrale souterraine de 8,2 M$, enfouie sous les rues du quartier des spectacles, au centre-ville, pourrait n’être terminée qu’en 2013, mais les travaux avancent bien, selon les représentants.

« Les premières conduites ont été mises en place au printemps 2008 et elles sont presque toutes installées. Par contre, il reste à construire la centrale et l’appel d’offres n’a pas encore été fait », affirme David Ross, conseiller en emménagement à la Ville de Montréal et responsable par intérim de l’aménagement du Quartier des spectacles.

 

« On vise toujours l’horizon 2012, mais ça risque d’être difficile », soutient ce dernier.

 

L’ensemble des pièces provient de la compagnie suédoise Envac, la seule compagnie qui offrait ce type de produit pour les pays nordiques, ce qui devrait raccourcir le processus. « L’enveloppe de 8,2 M$ englobe l’installation de la tuyauterie et la construction de la centrale, qui sera probablement souterraine. »

 

Balayeuse centrale géante

 

La Ville a opté pour un projet à trois voies, qui permettra de collecter de façon distincte les déchets, les matières recyclables et les matières compostables. Une fois que les déchets sont mis dans une borne, un système informatique détermine l’intervalle ou la trappe laisse tomber la matière dans les conduits souterrains.

 

Par exemple, on risque de vider plus souvent la borne de déchet compostables pour éviter les mauvaises odeurs, même chose pour les poubelles lors d’évènements populaires comme le Festival de jazz.

 

« Les déchets seront propulsés à travers le conduit à une vitesse de 80 km/h, ce qui pulvérise complètement les gros objets, comme un sac de vidanges, et ça empêche les matières d’adhérer. On est sûr que les matières compostables ne seront pas contaminées », souligne M. Ross.

 

Expansion possible Le système ne sera utilisé qu'à 30 % de sa capacité d’aspiration, ce qui laisse place à de l'expansion dans d'autres secteurs, ultérieurement. « On a terminé d’installer la tuyauterie sous la rue Sainte-Catherine, ça serait donc théoriquement possible de raccorder d’autres secteurs à l’est ou à l’ouest par exemple. C’est un projet pilote et si ça fonctionne bien dans le Quartier des spectacles, ça va déterminer la marche à suivre dans le reste de la ville », rajoute-t-il.

 

http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/06/20110605-123917.html

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  • 2 mois plus tard...

Des rues sans déchets dans le Quartier des spectacles

 

Dominique Froment . Les Affaires . 27-08-2011

 

Aimeriez-vous résider dans un quartier où les bruyants et odorants camions à ordures ne vont jamais et où les sacs de plastique noirs n'encombrent pas les trottoirs ? Eh bien, ce quartier de rêve sera réalité d'ici deux à trois ans, au centre-ville de Montréal.

 

Le secteur Place des Arts (300 000 m2) du Quartier des spectacles (1 M m2) sera doté d'un aspirateur central géant installé sous les rues.

 

"Ce sera le premier projet du genre en milieu urbain en Amérique du Nord", affirme Clément Demers, directeur général du Quartier international de Montréal, l'organisme qui gère le Quartier des spectacles pour la Ville de Montréal.

 

Cette technologie pneumatique de collecte des déchets provient de Suède et existe depuis une cinquantaine d'années. Elle est plus répandue en Europe, notamment à Barcelone, en Espagne.

 

Le système, qui sera fonctionnel d'ici trois ans, est constitué de bornes, c'est-à-dire de poubelles hors terre reliées à une chambre souterraine par un tuyau d'environ 0,6 mètre de diamètre. Les poubelles seront divisées en trois parties, soit une pour les déchets destinés au site d'enfouissement, une pour les matières recyclables et une autre pour celles qui sont compostables.

 

Les 30 poubelles ou bornes du secteur Place des Arts (il y en a une centaine à Barcelone) seront reliées à une centrale qui sera aménagée sous un immeuble à construire entre les rues Balmoral et De Bleury, au nord de Mayor. À intervalles réguliers, l'aspirateur se mettra en marche pour vider les poubelles. Les employés municipaux pourront ainsi vider la centaine de poubelles d'appoint du secteur dans celles qui sont reliées à l'aspirateur central. Fini donc les poubelles qui débordent dès l'heure du lunch !

 

Rendement environnemental

 

Les commerçants du secteur pourront se procurer une carte magnétique leur donnant un accès réservé pour aller jeter leurs grandes quantités de déchets dans les poubelles. La facture de chaque commerçant sera établie en fonction de la quantité de déchets déposés, grâce à un capteur optique. On ne verra plus de sacs à ordures sur les trottoirs.

 

"Le but premier en adoptant la collecte pneumatique n'est pas de réduire les coûts, mais d'améliorer notre rendement environnemental, souligne M. Demers. Nous valorisons les déchets en les triant à la source plutôt qu'en les mélangeant tout ensemble, comme c'est le cas pour la collecte résidentielle, explique M. Demers. Nous n'aurons pas à les envoyer dans un centre de tri."

 

"Les déchets de table enfouis produisent du méthane ; ce sont les pires pour les gaz à effet de serre, ajoute M. Demers. Présentement, tout le contenu des poubelles publiques se retrouve dans les sites d'enfouissement. Avec le nouveau système, il y aura une récupération des matières compostables."

 

FINI LES SACS VERTS SUR LE TROTTOIR ?

 

Quand on se promène certains soirs sur la rue Sainte-Catherine, à Montréal, on doit partager le trottoir avec d'innombrables sacs à ordures que produisent les commerçants. Ceux-ci n'ont d'autre choix que de les placer juste devant leurs vitrines, puisqu'ils ne disposent pas de ruelle comme c'est le cas dans d'autres quartiers.

 

Et si, par hasard, vous vous trouvez sur cette artère au moment où les camions à ordures viennent ramasser les sacs, c'est "la totale" : odeurs nauséabondes, bruit des moteurs et cris des éboueurs sont au rendez-vous !

 

Mais le jour n'est peut-être pas loin où ce tableau peu inspirant fera partie de l'histoire.

 

En effet, selon Clément Demers, directeur général du Quartier international de Montréal, si le projet de cueillette des déchets pneumatiques qui sera implanté dans le secteur du Quartier des spectacles d'ici deux à trois ans est concluant, il pourrait être étendu à faible coût sur la rue Sainte-Catherine.

 

Un avantage de ce nouveau système, qui a une durée de vie de 50 ans, est que les camions à ordures, qui produisent beaucoup de gaz à effet de serre, ne seront plus requis.

 

10 millions

 

C'est le coût de l'aspirateur central géant souterrain du Quartier des spectacles. Cette technologie pneumatique de collecte des déchets provient de Suède et existe depuis une cinquantaine d'années.

 

Notre vidéo sur lesaffaires.com

 

Visitez lesaffaires.com/creerlavenir

 

Dans cette série, vous découvrirez comment de bonnes idées peuvent se traduire en solutions qui changent le monde. Cela vous inspire ? Venez échanger sur lesaffaires.com/creerlavenir.

 

marie-eve.fournier@transcontinental.ca

 

http://www.lesaffaires.com/archives/les-affaires/des-rues-sans-dechets-dans-le-quartier-des-spectacles/534132

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  • 1 mois plus tard...

http://www.journalmetro.com/linfo/article/996137--les-poubelles-pneumatiques-peu-populaires

 

  • Le système de collecte pneumatique des déchets implanté par la Ville dans le Quartier des spectacles pourrait n’être utilisé que par les particuliers
  • Des institutions qui devaient faire partie du projet hésitent à s’impliquer

 

 

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VILLE DE MONTRÉAL/COLLABORATION SPÉCIALE

Les canalisations sous la rue Sainte-Catherine ont été installées en avril 2010.

 

 

Le système de collecte pneumatique des déchets installé par la Ville de Montréal dans le Quartier des spectacles au coût de 8 M$ pourrait n’être utilisé que par les particuliers.

 

Initialement, les institutions riveraines, dont la Place des Arts, le Complexe Desjardins et le Musée d’art contemporain, devaient utiliser ce système pour se débarrasser de leurs déchets. Or, certains aspects du projet ont incité les deux premiers à prendre du recul.

 

«On n’a pas refusé d’adhérer au projet, a précisé Denise Melillo, directrice des relations publiques de la Place des Arts. Mais on a plusieurs réserves par rapport aux coûts de connexion au système et aux coûts de fonctionnement, que nous ne connaissons pas encore.»

 

La conception du système pneumatique a aussi soulevé quelques questions du côté du Complexe Desjardins. Selon les informations obtenues par la direction de l’immeuble, le système pneumatique – qui permet d’aspirer les déchets des poubelles qui y sont connectées vers des conteneurs à déchets – ne peut fonctionner qu’à un endroit à la fois.

 

Ainsi, si les déchets du Complexe sont aspirés par le système, les autres institutions qui sont connectées ne pourraient l’utiliser au même moment.

 

«Le système était sensé recueillir les déchets sur la voie publique, ce n’est qu’en cours de route que le système a été connecté aux immeubles privés, a soutenu France Moreau, responsable des communications au Complexe Desjardins. Là, la Ville essaie de nous intéresser pour financer son système, mais il n’est pas adapté pour la quantité de déchets que nous produisons.»

 

La Ville de Montréal a indiqué être toujours en discussion avec les institutions du Quartier des spectacles. Philippe Rousseau, porte-parole de la Ville, a assuré que le projet de collecte pneumatique des déchets ne serait compromis par leur retrait.

 

«Le projet ira de l’avant, a-t-il déclaré. Mais c’est sûr que nous aimerions avoir le plus de partenaires possibles.»

 

M. Rousseau n’a pas été en mesure de préciser les sommes dont la Ville serait privée si aucune institution ne participait au projet. Pour le moment, aucun échéancier de mise en service du système de collecte pneumatique des déchets n’a été défini.

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  • 8 mois plus tard...

http://inhabitat.com/nyc/nyc-plan-to-suck-garbage-through-vacuum-powered-trash-tubes-may-not-be-a-pipe-dream/

 

NYC Plan to Suck Garbage Through Vacuum-Powered Trash Tubes May Not Be a “Pipe” Dream

by Timon Singh, 06/21/12

filed under: Architecture,Energy,Infrastructure,Manhattan

 

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In the popular cartoon Futurama, a maze of vacuum-powered suction tubes is used to transport people around the city of New New York – but did you know that a similar system was recently rediscovered under Roosevelt Island in present-day NYC? OK, so it’s far less advanced and it carries trash around instead of people, but it’s capable of moving garbage from buildings around at speeds of up to 60 miles an hour. The Automated Vacuum Collection System (AVAC) may seem like a “pipe” dream, but the city is thinking about taking the tech city-wide, eliminating the need for garbage trucks as well as the associated traffic and emissions.

 

AVAC-System-e1340201753642.jpg

 

The AVAC System was installed under Roosevelt Island 30 years ago when urban planners were trying to turn it into a futuristic haven for the disabled and the mentally ill. Now Envac, the Swedish company that originally built it, has been bought in to upgrade it and potentially extend it to other parts of the city. Interestingly, Envac is known as “the global market leader in automated vacuum waste collection” and has built around 600 such systems in the Middle East, England, Southern Europe and Asia.

 

The entire project is being conducted by City University and funded by two city agencies, who are planning to stretch the AVAC system south to include the Coney Island boardwalk and Chelsea in Manhattan. The proposal states that the “trash tubes” could be installed underneath the infrastructure of the High Line in order to save on construction costs.

 

So why not install AVAC systems all throughout New York City? The short answer is efficiency. It’s simply not practical to install the systems in low density areas especially when bulk waste, such as furniture, cannot be collected by the tubes.

 

However that is not to say there isn’t any future potential. Speaking to Alex Pasternack of Motherboard, Juliette Spertus, an expert on AVAC, said: “Even the major disadvantages, start up cost and administrative complexity (where should the pipes go and who is responsible for them), are opportunities to bring service infrastructure into the design discussion and raise important questions about public space. To install a pneumatic system, or any alternative to trucks, a municipality or developer has to quantify the real cost of the current strategy, weigh the benefits, and project into the future. This seems like an invaluable exercise no matter what the outcome is. I think that developers and municipalities are remiss if they do not explore pneumatic collection any time they are putting in new underground infrastructure.”

 

What is clear is that New York needs some sort of efficient trash disposal system. While recycling is on the rise in the U.S., 77% of plastics still end up in landfills while municipal solid waste totalled 249.9 millions tons in 2010.

 

+ Envac

 

via Motherboard

 

Images: COPYRIGHT ENVAC

 

 

Read more: NYC Plan to Suck Garbage Through Vacuum-Powered Trash Tubes May Not Be a "Pipe" Dream | Inhabitat New York City

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  • 2 mois plus tard...

Quartier des spectacles: «9 millions dans un cul-de-sac à déchets»

 

 

Après les poubelles à 2400$, voilà que l'«aspirateur central» de 9 millions installé dans le Quartier des spectacles a un problème de taille: il ne mène nulle part. Le Complexe Desjardins, qui devait servir de point de chute, affirme avoir prévenu la Ville de son désistement avant le début des travaux.

Montréal avait annoncé en septembre 2008 vouloir doter le Quartier des spectacles d'un système pneumatique de collecte de déchets. Il s'agit d'une sorte d'immense aspirateur central reliant les poubelles d'un secteur pour acheminer leur contenu vers un seul endroit.

 

Dans un document présenté aux élus, on prévoyait que la centrale de collecte serait construite dans le stationnement du Complexe Desjardins. La date de septembre 2009 avait même été évoquée pour le début des travaux.

 

La direction du complexe confirme avoir participé à des pourparlers pour accueillir le système. Mais rapidement, Desjardins Gestion immobilière dit s'être désistée en raison des investissements élevés qu'elle aurait dû faire. «Le système semble être efficace dans les secteurs résidentiels, mais ici, c'est un secteur commercial qui génère beaucoup de volume de déchets. Si on était le pivot de ce système, ça impliquerait d'importantes modifications à l'architecture et à la structure de notre édifice», a déclaré France Moreau, porte-parole de l'entreprise.

 

 

Malgré cet important changement aux plans de la Ville, le projet évalué à l'époque à 8,3 millions est allé de l'avant. Quatre ans plus tard, Montréal installe d'ailleurs les dernières conduites - sous la rue De Bleury - du système acheté à l'espagnole Envac Iberia S.A.

 

Toutefois, les travaux pour la centrale de collecte n'ont jamais démarré. En fait, son emplacement n'est même pas connu.

 

«On pensait que c'était pour se retrouver au Complexe Desjardins, mais malheureusement, ce n'est pas possible. On attend toujours des développements ailleurs, avec le gouvernement du Québec», explique Helen Fotopulos, responsable du projet au sein de l'administration Tremblay.

 

Pas de plan B

 

«Normalement, la Ville aurait au moins dû s'entendre avec le Complexe Desjardins avant, mais ils ne l'ont pas fait. Là, ils ont construit l'infrastructure souterraine qui mène au Complexe, mais ses propriétaires n'en veulent pas», s'indigne le conseiller Marc-André Gadoury, de Projet Montréal.

 

La façon dont le système a été construit laisse peu d'options à la Ville, déplore l'élu. «Si on l'avait fait sur le modèle d'un circuit de course, en ovale, on aurait pu avoir plusieurs points de succion possibles. Mais il est fait en Y et ça mène directement au Complexe Desjardins. Ça n'a pas été pensé pour être déplacé.»

 

La seule option serait d'aménager la centrale sur un terrain voisin où la Société Angus souhaite construire un immeuble. «Mais le projet ne lèvera pas avant quatre, cinq voire même six ans. La Ville a donc mis 9 millions dans un cul-de-sac à déchets.»

 

Le système de collecte pneumatique n'en est pas à son premier écueil. Lors des travaux souterrains, plusieurs obstacles impossibles à déplacer ont été découverts, ce qui a forcé l'ajout de conduites. Ces difficultés ont fait gonfler la facture de 900 000$. Montréal prévoyait également faire payer une partie de la note à certains propriétaires voisins, comme la Place des Arts et le Complexe Desjardins, mais ceux-ci ont annoncé ne pas être intéressés.

 

Fait à noter, malgré l'ajout de ce système, Montréal a dû acheter 147 poubelles à 2400$ l'unité qui n'y seront pas reliées. Le réseau de collecte pneumatique n'est pas assez étendu, explique Mme Fotopulos.

 

http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201208/23/01-4567754-quartier-des-spectacles-9-millions-dans-un-cul-de-sac-a-dechets.php

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«Normalement, la Ville aurait au moins dû s'entendre avec le Complexe Desjardins avant, mais ils ne l'ont pas fait. Là, ils ont construit l'infrastructure souterraine qui mène au Complexe, mais ses propriétaires n'en veulent pas», s'indigne le conseiller Marc-André Gadoury, de Projet Montréal.

 

C'est ce qui s'appelle mettre la charrue avant les boeufs! Pour la ville, ce n'est pas grave. Ces citoyens payeront la note. :banghead:

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Ajoutons à cela quelques beaux exemples:

 

- Les bretelles de l'autoroute Montmorency à Québec qui arrivaient sur la falaise mais qui n'aboutissaient pas plus loin. Elles ont été démolies, il y a quelques années.

 

- La section d'autoroute 30 à Bécancour.

 

- La section de la 50 à Joliette.

 

- La 13 à moitié faite. Si elle avait été complété, l'aéroport de Montréal serait probablement resté à Mirabel. Mais non. L'argent nécessaire pour compléter cette route et le chemin de fer a servi à la place pour le réaménagement de Dorval et de son fameux rond-point qui ne sera pas fonctionnel avant longtemps.

 

- La 640 qui est devenu une route de desserte, plutôt qu'une véritable voie de contournement.

 

Il pourrai y avoir un nouveau sujet de discussion sur ce thème:

Les infrastructures qui auraient du être soit complétés pour qu'elles soient entièrement fonctionnelles ou jamais faites pour économiser les coûts de construction.

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